La résistance anti soviétique dans les pays occupés par l’armée rouge. 2 - La Pologne
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Alexderome Admin
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Sujet: La résistance anti soviétique dans les pays occupés par l’armée rouge. 2 - La Pologne Mar Mai 09 2023, 21:30
2 - LA POLOGNE
Drapeau de l'AK, dans le drapeau polonais, la kotwica (l'ancre en polonais), composée des lettres P et W: "Polska Walczaca" (Pologne combattante)
Après la campagne de 1939, des milliers de soldats polonais débandés se retrouvent cachés dans les forêts, échappant à la fois aux Allemands et aux Soviétiques qui se sont partagés le pays. Ils se regroupent en petites unités autonomes. L'AK est née de la fusion de diverses organisations de résistance dont l'Union pour la Lutte Armée (Zwaizek Walki Zrobonej) et l'Union Polonaise de la Résistance (Polski Zwiazek Powstanczy) le 14 février 1942. Elle est sous le contrôle du gouvernement en exil polonais à Londres, présidé par Wadislaw Racziewicz et de son Premier Ministre Wadislaw Sikorsky. Commandée successivement par Stefan Rowecki, Tadeusz Bor-Komorowski et Leopold Okulicki, elle comptera jusqu'à 500 000 combattants dans ses rangs. Équipés des armes cachées après l'arrivée des troupes allemandes ou avec celles dérobées à l'occupant , les soldats de l'AK sont approvisionnés par des parachutages effectués par les avions britanniques qui envoient également instructeurs et agents de liaison : les Cichociemni .
Les Soviétiques reviennent Le 7 juillet 1944, l'opération Ostra Brama est déclenchée pour la libération de Wilno. La ville est prise le 14 juillet suivant par l'AK et l'Armée Rouge mais aussitôt le lieutenant-colonel Aleksander 'Wilk' Krzyzanowski et les soldats polonais sont arrêtés par le NKVD. 'Wilk', après une tentative d'évasion mourra emprisonné en 1951. A Lvov (libérée le 23 juillet) comme à Byalystock, ou Lublin, les Soviétiques procèdent à l'arrestation des membres de l'AK, l'exécution des officiers et des récalcitrants, l'enrôlement des soldats dans la 1ere armée polonaise du général Zygmund Berling ou la déportation dans les camps de travail d'URSS. Début 1945, à Kąkolewnica, plusieurs centaines de soldats (certaines estimations varient entre 1300 à 1800) sont passés par les armes par le NKVD. Le général Leopold Okulicki dissout l'AK le 19 janvier 1945 afin d'éviter une guerre civile, mais diverses organisations décident de poursuivre la lutte, fidèles au gouvernement en exil dans l'intention d'empêcher la soviétisation du pays. 50000 soldats de l'Armaja Krajowa sont arrêtés et envoyés dans les goulags d'URSS.
Général Emil Fieldorf, nom de guerre 'Nil'parce qu'il avait vu le fleuve africain de l'avion qui le transportait en Afrique du Sud. Après la campagne de 1939 il réussit à rejoindre la France par la Hongrie. Parachuté en Pologne, il fonde le Kedyw , une branche de l'AK et organise l'élimination du SS-Brigadeführer und Generalmajor der Polizei Franz Kutschera, responsable de la police du Gouvernement Général, le 1er février 1944. Arrêté une première fois par le NKVD sous un faux nom, il n'est pas reconnu et envoyé dans un camp de travail en URSS. A son retour, suite à l'amnistie général décrétée par le gouvernement communiste il se présente aux autorités qui l'emprisonnent. Accusé par le procureur Helena Wolinska-Brus de 'trahison' et de 'fasciste' lors d'un procès-fantoche, il est exécuté 24 février 1953 dans la sinistre prison de Mokotow de Varsovie. Son corps, malgré les recherches de sa famille n'a jamais été retrouvé.
« Je ne veux pas me faire ficher, estampiller, enregistrer, ni me faire classer puis déclasser ou numéroter. Ma vie m’appartient ». N°6 Le Prisonnier
Dernière édition par Alexderome le Mar Mai 09 2023, 21:56, édité 1 fois
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Sujet: Re: La résistance anti soviétique dans les pays occupés par l’armée rouge. 2 - La Pologne Mar Mai 09 2023, 21:44
LES SOLDATS MAUDITS
Aleksander Krzyżanowski , nom de guerre "Wilk" , dirige l'action Ostra Brama pour libérer Wilno avec l'armée rouge, le 14 juillet 1944. Il est arrêté par le NKVD et emprisonné. Evadé, il est repris, jugé pour 'trahison', il mourra en prison de tuberculose suite aux mauvais traitements subis, le 29 septembre 1951.
Après la libération de Wilno effectuée conjointement par l'Armée Rouge et les forces de l'AK, le NKVD procède à l'arrestation des soldats de l'armée de l'intérieur. 6000 d'entre eux, harcelés par l'aviation soviétique, traqués par les hommes du NKVD rejoignent les forêts pour atteindre Białystok. Encerclés à Surkonty (village situé près de Grodno), les hommes du colonel Maciej 'Kotwicz' Kalenkiewicz après cinq heures d'âpres combats le 21 août 1944, parviennent à rompre l'étreinte mortelle du 3e bataillon du 32eme régiment motorisé du NKVD et à s'échapper. Ils déplorent 35 morts dont le colonel Kalenkiewicz , les blessés sont achevés à la baïonnette. Quant aux Soviétiques, ils laissent 135 morts sur le champs de bataille.
Cliché - Le colonel Maciej Kalenkiewicz au milieu de ses hommes (http://www.doomedsoldiers.com)
Le 7 mai 1945, alors que la guerre s'achève, le NKVD décide d'en finir avec les bandes de la N.Z.W. du major Franciszek Przysiesnak (nom de guerre Père Jean) cachées dans les forêts autour du village de Kuryłówka, une expédition punitive est menée avec plus de trois cents hommes. Pendant trois heures, les assaillants essaient de déloger les deux cents combattants anticommunistes sans y parvenir. Ils laissent sur le carreau 57 morts et doivent se replier. Ils reviennent le lendemain mais ils ne trouvent pas d' ennemis du peuple qui ont profité de la nuit pour s'enfuir dans les forêts avoisinantes. Par représailles, le village est brulé le lendemain et huit habitants sont fusillés. Enfermés dans des camps de prisonniers de guerre où ces combattants côtoient militaires allemands ou soldats de l'armée Vlassov, des coups de main audacieux permettent de les faire libérer. Ainsi, dans la nuit du 20 au 21 mai 1945, au camps de Rembertów dans la banlieue de Varsovie, quarante-quatre résistants dirigés par le capitaine Walenty Suda libèrent un millier de prisonniers (les chiffres varient) tuant une quinzaine de membres du NKVD. D'autres opérations sont menées contre les centres de détention de Sandomierz, Radom ou Kielce. Dans cette dernière, un raid mené par les combattants du capitaine Antoni Heda le 4 août 1945 permet de libérer 354 prisonniers. L'organisation W.i.N. malgré les divergences qui l'oppose à l'UPA, tournant la page sur les massacre commis en Volhynie par les sbires de Bandera en 1943 se rapproche de l'organisation ukrainienne. En mai 1946, dans la région de Lublin, Wacław 'Azja' Dąbrowski pour W.i.N et Jewhen Sztendera (Pryrwa) pour l'UPA élaborent une attaque conjointe contre la prison de Hrubieszów. Les volontaires polonais sont rigoureusement sélectionnés, il est nécessaire de ne pas créer de frictions avec les Ukrainiens. L'attaque débute le 27 mai 1946 à 23h00. Les objectifs ont été répartis : 100 Polonais doivent prendre d'assaut la prison et le siège local de l'UB et les troupes de l'UPA (200 hommes environ) le siège du NKVD. Si les premiers parviennent à libérer une vingtaine de prisonniers et récupérer des documents de la police secrète, profitant au passage pour liquider deux officiels communistes, les Ukrainiens sont stoppés par le feu nourri des hommes du NKVD, bien retranchés dans leur batiment. Une section du 5e régiment d'infanterie avec un certain lieutenant Jaruzelski arrive en secours obligeant les assaillants à décrocher à 03h30. L'opération, une des rares menées par les Polonais et l'UPA, est un succès. Seuls trois Ukrainiens ont été tués, les membres du NKVD comptent une dizaine de tués.
Membres de l'organisation WiN (Liberté et Indépendance) (http://www.doomedsoldiers.com)
-Les soldats des NSZ du Capitaine Henryk Bartek 'Flame', son organisation infiltrée par des agents de l'UB tombe dans un guet-apens (opération Avalanche ou Lawina), 158 hommes sont exécutés après avoir bu de la vodka contenant un sédatif, le 26 septembre 1946.
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Sujet: Re: La résistance anti soviétique dans les pays occupés par l’armée rouge. 2 - La Pologne Mar Mai 09 2023, 21:47
-Le lieutenant Wojciech Jaruzelski de la 1ere armée populaire polonaise. Le futur président de la Pologne est le premier à partir de la gauche. (http://www.doomedsoldiers.com)
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Sujet: Re: La résistance anti soviétique dans les pays occupés par l’armée rouge. 2 - La Pologne Mar Mai 09 2023, 21:50
Debica, 10 juillet 1946. Pendaison de trois membre de l'organisation WiN. Cliché clandestin de Józef Stec qui réussit à le faire parvenir à Londres pour informer les journaux occidentaux. L'intéressé écopera de plusieurs années de prison.
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Sujet: Re: La résistance anti soviétique dans les pays occupés par l’armée rouge. 2 - La Pologne Mar Mai 09 2023, 22:14
Après la dissolution de l'Armia Krajowa, ses principaux responsables ainsi que des délégués du gouvernement polonais clandestin sont invités par le général Ivan Serov, vice-commissaire au NKVD à une conférence pour former un gouvernement provisoire. Seize délégués dont le général Leopold Okulicki doivent se rendre à cette réunion, mais ils sont arrêtés le 27 et 28 mars 1945 à Pruszków.
General Leopold Okulicki, nom de guerre Kobra , dernier reponsable de l'AK, arrêté alors qu'il est invité à une réunion par le gouvernement provisoire, jugé pour 'trahison, collaboration avec les nazis et activités criminelles' lors du procès fantoche dit des 'Seize', il meurt dans la prison moscovite de Butyrka, assassiné par le NKVD.
Envoyés à Moscou et emprisonnés dans la sinistre prison de Loubianka, ils sont jugés pour 'collaboration avec les Nazis'et 'activité criminelle et terroriste' contre l'Union Soviétique, entre le 18 et 21 juin 1945 lors de ce qu'on a appelé le procès des Seize. Le procès fantoche dit des Seize.
Condamnés à de lourdes peines de prison malgré les protestations des USA, certains mourront durant leur enfermement, comme le général Leopold Okulicki, assassiné par le NKVD dans la prison moscovite de Butyrka, le 24 décembre 1946. Ces arrestations arbitraires portent un coup aux organisations de résistance antisoviétiques. Malgré les méthodes brutales et les intimidations, certains opposants capturés ne parlent pas. Les membres de l'UB n'hésitent pas à donner 'leur parole d'honneur' et s'engagent à ne pas inquiter les fugitifs. Emilia Malessa, appartenant à W.i.N., accepte le marché. Mais après avoir livré une liste de noms, elle demeure en vain en prison et ses compagnons sont arrêtés malgré la promesse d'amnistie. Après une grève de la faim, elle se suicide dans sa cellule le 5 juin 1949. Une amnistie votée le 22 février 1947 va permettre d'opérer un coup de filet dans lequels de 'gros poissons' vont tomber. 50000 combattants sortent de la clandestinité et se rendent, mais la promesse est à nouveau foulée aux pieds. Arrestations arbitraires et procès publics reprennent de plus belle. C'est une victoire pour le gouvernement car la résistance intérieure sort affaiblie. Un de ces chefs, le général de brigade Emil August Fieldorf 'Nil'croyant en la parole donnée se rend aux autorités. Fieldorf, envoyé par Londres, a dirigé durant la guerre le Kedyw, unité qui a procédé à l'exécution du SS-Brigadefürer Franz Kutschera, avant de prendre la tête de l'organisation NIE. Arrêté une première fois sous un faux nom, il est relâché. Emprisonné après s'être rendu, il est interrogé sous la torture dans une prison de Varsovie pour lui extraire une 'confession'. Il comparait devant un tribunal pour une parodie de procès, le procureur lieutenant-colonel Helena Wolińska-Brus l'accuse d'être un collaborateur des Nazis ! Il est condamné à mort le 16 avril 1952 et exécuté le 24 février 1953 dans la prison Mokotów de Varsovie. Son corps ne sera jamais rendu à sa famille et on ignore encore le lieu de sépulture. C'est dans cette sinistre prison qu'est exécuté le 25 mai 1948 Witold Pilecki, véritable héros qui s'était fait emprisonner volontairement à Auschwitz pour organiser une tentative d'insurrection dans le camp. Evadé, il rejoint l'armée Anders puis retourne en Pologne poursuivre la lutte contre l'occupant soviétique. Capturé par l'UB, accusé d'espionnage et d'activité illégale, il est condamné à mort après une parodie de procès. Pilecki comme Fieldorf et des centaines d'autres ont été mis à mort par le bourreau de la prison Mokotów, Piotr Śmietański, surnommé le boucher.
Witold Pitecki, héros de la résistance, déporté 'volontaire' pour Auschwitz, assassiné dans la prison Mokotw.
Piotr Śmietański, bourreau de la prison Mokotow, surnommé le boucher.
La sinistre prison Mokotow de Varsovie (http://www.doomedsoldiers.com)
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Sujet: Re: La résistance anti soviétique dans les pays occupés par l’armée rouge. 2 - La Pologne Mar Mai 09 2023, 22:15
-Józef Franczak, nom de guerre 'Lalek', dernier des 'soldats maudits', tué dans une embuscade tendue par la ZOMO, le 21 octobre 1963. Il avait été dénoncé par un proche au SB, le service de renseignement du ministère de l'Intérieur polonais.
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Sujet: Re: La résistance anti soviétique dans les pays occupés par l’armée rouge. 2 - La Pologne Mar Mai 09 2023, 22:18
HELENA WOLINSKA-BRUS, la 'Dolores' de la terreur communiste
Helena Wolinska-Brus, issue d'une famille juive, de son vrai nom Fajga Mindla Danielak, est née à Varsovie le 28 février 1919. Durant l'occupation allemande, elle s'échappe du ghetto et rejoint les rangs de la Gwardia Ludowa[url=#_ftn1][1][/url]. Sa famille est déportée à Treblinka et elle n'a plus de nouvelles de son époux Włodzimierz Brus. Surnommée la 'Dolores de Varsovie', elle se remarie avec le responsable de la GL avant de retrouver son premier époux. Nommée procureur militaire avec le grade de lieutenant-colonel, elle supervise l'arrestation du général Emil Fieldorf ainsi que de vingt-quatre autres membres de la résistance anti-communiste, n'hésitant pas à fabriquer de fausses preuves. Lors de la déstalinisation du pays (appelée l'octobre polonais de 1956), elle est relevée de ses fonctions puis est forcée d'émigrer en Grande-Bretagne avec son époux en raison de la politique antisémite du polonais lors des évènements de mars 1968. Installés à Oxford au début des années 70, Włodzimierz Brus enseigne y enseigne l'économie. L'Institut de la mémoire nationale - Commission de poursuite des crimes contre la nation polonaise entreprend l'extradition d'Helena Wolinska-Brus repoussée à trois reprises par le gouvernement britannique. La fille du général Fieldorf, Maria Fieldorf-Csarska mène une bataille juridique pour que Wolinska soit jugée pour ses crimes. Mais le procès n'aura jamais lieu, la 'Dolores' rouge s'éteint à Oxford le 26 novembre 2008.
Avec l'arrivée au pouvoir de Władysław Gomułka durant 'l'octobre polonais' de 1956, les persécutions orchestrées par Jakub Berman, le chef du Ministère de la Sécurité Publique (Ministerstwo Bezpieczeństwa Publicznego ou MBP) diminuent mais néanmoins les anciens soldats de l'AK, appelés les soldats maudits, réprouvés par le régime demeurent 'suspects' et constamment surveillés par la police secrète. Il faudra attendre 1989 et la chute du communisme pour qu'ils soient complètement réhabilités. Le 1er mars est devenu le jour de commémoration des Soldats Maudits depuis 2011, cette date rappelle l'assassinat de Łukasz Ciepliński, et de six autres compagnons d'une balle dans la nuque, selon la méthode éprouvée du NKVD à Katyn. Le bourreau était Piotr Śmietański, le 'boucher' de la prison Mokotów.
[url=#_ftnref1][1][/url]Gwardia Ludowa ou GL, la Garde du Peuple, organisation armée du Parti Ouvrier Polonais clandestin durant la guerre
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Sujet: Re: La résistance anti soviétique dans les pays occupés par l’armée rouge. 2 - La Pologne Mar Mai 09 2023, 22:24
Je n'ai jamais lu un sujet sur les Soldats maudits polonais et pour rédiger ce sujet j’ai été en contact avec l’association des Domsdoom soldiers.com. Prochainement, les Frères de la Forêt.