Remembering D-Day ! Le Débarquement du 6 juin 1944

super !!   
beau documentaire !!   
du vrai boulot...

magnifique dossier !
extraordinaire ! personne ne ferait mieux, n'est ce pas ?

cocoye1er a écrit:

Merci a toi , d'avoir été la :

La "Première Vague D'Assaut"

    

TOUT LE PLAISIR EST POUR MOI

(je cherche d'autres docs pour compléter)  

Loin de l’image du bon GI, les auteurs dévoilent
une pratique ultra minoritaire mais
réelle, celle des viols de guerre commis en
France à la Libération par des soldats américains.
Ces actes isolés, nés avant tout de la
frustration sexuelle des unités logistiques,
jettent un éclairage inédit sur l’attitude de
l’armée américaine sur le continent européen
mais aussi sur les relations interraciales
entre soldats noirs et population
blanche.


PLAN ARTICLE
◦ Un passé longtemps tabou
◦ Un phénomène statistiquement sous-estimé
Comment interpréter le viol de guerre ?
Les caractéristiques des viols de guerre commis en France
◦ La punition des viols de guerre par l’armée américaine


Pour citer cet article

Lilly J., Le Roy François, « L'armée américaine et les viols en France », Vingtième Siècle. Revue d'histoire 3/ 2002 (no 75), p. 109-121
SOURCE [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
DOI : 10.3917/ving.075.0109

Bouuuhhhhh ! Trop long pour moi, dsl Hayet   quel intérêt 70 ans après ? il y a prescription...    

Chacal a écrit:

Bouuuhhhhh ! Trop long pour moi, dsl Hayet   quel intérêt 70 ans après ? il y a prescription...    

un doc de plus pour le DOSSIER c'est très très important !!! pour le forum !! qui va devenir un site de références, de recherches !!!        

Depuis 4 ans, l’Europe entière est soumise à la dictature de l’Allemagne nazie.
Cette situation rend la vie de plus en plus difficile et tout le monde attend avec impatience le débarquement de forces alliées sur le continent. III – Plan d’attaque initial:
L’assaut était prévu pour 6H30.

Une première vague de 225 Rangers (compagnie D,E,F) du 2ème Bataillon devait gravir la pointe et de tirer une fusée au sommet pour signaler le débarquement des renforts.

Les renforts étaient composés de la compagnie A et B du 2ème Bataillon et du 5ème Bataillon de Rangers du Lieutenant-Colonel Max Schneider (8 compagnies au total!).

Si aucun signal n’était tiré avant 7H00 cela signifiait l’échec de la mission.

Les renforts devaient alors débarquer à Vierville et par voie de terre prendre la pointe du Hoc à revers.


Cette idée d’un retour sur le continent n’a jamais quitté l’esprit de Churchill.…

Pendant que les avions transportant les troupes britanniques foncent directement sur leus objectifs, les C/47 américains doivent faire un détour pour aborder les côtes normandes. Mais l’état-major a tout calculé afin que les largages anglais et américains soient le plus simultanés possibles.
La mission initiale des 2 divisions est double, d’une part tenir les voies d’accès à Utah Beach et d’autre part, interdire l’approche des zones de débarquement, notamment par le route nationale 13 reliant Caen à Cherbourg. Contrairement aux anglais qui arrivent par vagues, les paras américains sont largués en masse. Les 2 divisions sont ainsi larguées quasi simultanément pour établir un tapis de troupe. La réception de la 101ème est prévue sur 3 DZ, à l’ouest de Saint-Germain de Varreville, à l’ouest de Saint-Marie du Mont et à l’est de Saint-Côme du Mont. Il en va de même pour la 82ème qui disposera de 3 DZ, l’une au nord ouest de Sainte-Mère l’Eglise, les deux autres à l’Ouest de Merderet et de la voie ferrée de Carentan-Cherbourg.

…/… TOUT LE RECIT SUR : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Jean-Yves Le Drian aux cérémonies patriotiques
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Plumelec, haut lieu de la Résitance, s'apprête à revivre une page qui a marqué son histoire voici 70 ans. Comme en 1994 et 2004 un ministre, cette fois, un Breton, Jean-Yves Le Drian, ancien député maire de Lorient, ministre de la Défense présidera la première cérémonie de cette journée du 5 juin 2014 à la stèle dédié au caporal Émile Bouétard, considéré comme le premier mort du débarquement des troupes alliées en Normandie.

Le caporal Bouétard fut abattu dans la nuit du 5 au 6 juin 1944, à quelques dizaines de mètres d'où est érigé le monument dédié à sa mémoire au lieu-dit le Halliguen, par des supplétifs géorgiens cantonnés à Locminé qui avaient rejoint l'armée allemande. Natif de Pleudihen-sur-Rance le caporal Bouétard appartenait au stick de parachutistes des Special air service (SAS) du lieutenant Marienne largué sur Plumelec, mais trop près du moulin de la Grée, un poste d'observation des troupes allemandes depuis juin 1940.
Lors de son passage à Plumelec, le 26 juillet 1947, le général de Gaulle avait déjà rappelé le sacrifice de ces hommes. « Les parachutages en Bretagne, les actions conjuguées des Spécial air service et des Forces françaises de l'intérieur ont eu ainsi une grande part dans le succès de l'offensive alliée et ont été à l'origine de la libération de la Bretagne. » Ces événements du 5 juin 1944 ici ont marqué les mémoires. Le colonel Bourgoin, alors commandant, et surnommé « le Manchot », qui commandait les opérations Sas en Bretagne, et décédé en 1970, avait lui-même souhaité être inhumé à Plumelec ou treize de ses compagnons d'armes des Sas ont trouvé la mort.

Un hommage lui sera également rendu ainsi qu'au capitaine Marienne, fusillé au village de Kerihuel, et au sergent René Krysik, tous deux également inhumés à Plumelec. Jeudi, Plumelec rendra aussi hommage aux dix-huit personnes (parachutistes, FFI et civils), fusillées au village de Kérihuel le 12 juillet 1944 au lever du jour après avoir été trahi par des miliciens déguisés en officiers parachutistes.

Aux côtés de Jean-Yves Le Drian de nombreux invités sont attendus : anciens Sas, représentants de l'Association des familles des parachutistes SAS de la France libre, Fondation de la résistance, Souvenir français, associations patriotiques et leurs drapeaux, militaires, élus.

cocoye1er a écrit:

Merci Guy

Fanfois ..................... .......................    

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Pas du tout, mon Jean-Pierre, comme Sylvie je pense qu'un forum est un lieu où l'on peut s'exprimer sans contraintes; il n'y a que la sincérité qui compte    
Nonobstant les viols ont toujours sévi durant les guerres; des Russes violaient même les femmes mortes... quelle pitié ! Mais s'offusquer ? J'en ai connu en AFN   
Après l'argent, le c*l est le second moteur des hommes. Ne généralisons pas, ne faisons pas l'ange; mais que veux-tu faire 70 après ? Nous approchons de la Fin des Temps de Satan, tout est prophétisé dans Romains (l'épître de St Paul)   

Plumelec n'a pas oublié. Le Morbihan n'a pas oublié. La France n'a pas oublié. Une nouvelle fois, un ministre de la République, Jean-Yves Le Drian, est venu témoigner de la reconnaissance de la nation tout entière pour les parachutistes des Special air service (SAS) et les soldats de la France libre. L'un d'eux, le caporal Émile Bouétard, un Breton des Côtes-d'Armor, est tombé à Plumelec sous les balles ennemies le 5 juin 1944 vers 23 h 40.

Premier mort de l'opération Overlord, le caporal Bouétard est entré dans l'histoire de la Libération de la France. Soixante-dix ans après, ses nièces, un neveu (le médecin général Christian Delambily) étaient notamment entourés des bérets rouges du 1er régiment de parachutistes d'infanterie de marine (1er RPIma), venus de Pau sous le commandement du général Pierre Liot de Nortbecourt, commandant la brigade des forces spéciales terre.

Ils ont 90 ans et plus

Dans la matinée, un premier hommage aux martyrs de Kerihuel, où sont tombés le capitaine Pierre Marienne, un autre SAS, et dix-sept autres soldats, résistants et civils, avait eu lieu.

Portant toujours fièrement le béret rouge, les vétérans des SAS étaient aussi devant la stèle du Halliguen. Ils ne sont plus que 90 toujours en vie. À 90 ans et plus, quatre ont tenu à être présents. Trois autres les ont rejoints l'après-midi au mémorial de la Grée dédié à leurs frères d'armes.

Comme le colonel Jacques Joly du Souvenir français, Stéphane Hamon, maire de Plumelec, le général Pierre Liot de Nortbecourt, Jean-Yves Le Drian, à la stèle du caporal Bouétard, ont rappelé les sacrifices des parachutistes de la France libre des résistants.

Puis, au monument aux morts de Plumelec et au cimetière, les drapeaux se sont encore inclinés sur les tombeaux du colonel Bourgoin et du sergent René Krysik.

L'après-midi, les hommages se sont succédé au mémorial des SAS lors des interventions de Thierry Terrier, secrétaire général de la Fondation de la France, Guy de Kersabiec, vice-président du conseil général, François Savy, préfet du Morbihan.

Ils ont cité Plumelec, Sérent, Saint-Marcel, soulignant « la bravoure des Morbihannais. Le Morbihan n'oublie pas. Le Morbihan connaît le prix de la liberté et se souvient. »

Ouais ! les Miliciens... de beaux salauds, autant ne pas leur faire l'honneur d'en parler