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| Le "Musée de la Dernière Cartouche" . | |
| | Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Le "Musée de la Dernière Cartouche" . Sam Juil 06 2013, 21:05 | |
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| | | artificier
Nombre de messages : 1240 Age : 60 Date d'inscription : 25/02/2014
| Sujet: Re: Le "Musée de la Dernière Cartouche" . Jeu Fév 27 2014, 14:34 | |
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| | | mickdan
Nombre de messages : 267 Age : 76 Emploi : retraité Date d'inscription : 29/09/2013
| Sujet: Re: Le "Musée de la Dernière Cartouche" . Mar Juin 24 2014, 19:45 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le "Musée de la Dernière Cartouche" . Mer Juin 25 2014, 10:00 | |
| Pas de quoi , Marsouin : Merci |
| | | N Duchêne Leguy membre confirmé
Nombre de messages : 835 Age : 57 Emploi : Secrétaire / aide auxiliaire Puer. Date d'inscription : 10/08/2014
| Sujet: BAZEILLES Dim Aoû 31 2014, 10:37 | |
| BAZEILLES De Paris, la Division d’infanterie de Marine rejoint le camp de Chalons le 14 août 1870, malgré un manque de matériel (aucun brancard ni siège pour transporter les blessés sur un mulet). Alors que le 12e Corps de Mac-Mahon est prévu pour protéger la capitale, le ministre de la Guerre décide que cette troupe ira secourir le Maréchal Bazaine à Metz, ville bloquée par 210 000 Prussiens commandés par le Prince Frédéric Charles. A partir du 21 août, le 12e corps se dirige vers Metz dans des conditions très pénibles : le soleil est ardent, la poussière crayeuse qui s’élève sous les pieds des hommes augmente la fatigue. En raison de la canicule, puis des pluies diluviennes du 25 août qui alourdissent le chargement, la marche est entrecoupée de pauses de dix minutes tous les trois-quarts d’heure. Le 28 août, constatant l’avance ennemie, le maréchal Mac-Mahon décide de modifier l’itinéraire prévu : au lieu de poursuivre la marche vers Metz, le 12e corps se déplace vers le nord-est, à Mouzon (à 20 kilomètres au sud de Sedan). Dès lors, l’objectif n’est plus de secourir les troupes de Bazaine mais d’attendre l’attaque prussienne. Toujours le 28 août, le général Lebrun donne l’ordre au capitaine Wendling et au lieutenant de Ganfridy du 1er RIM d’aller récupérer des vivres à Beaumont. A l’entrée du village, ils aperçoivent des soldats bavarois venus en éclaireurs. Partis sans escorte, les deux officiers rentrent au plus vite au camp où la rumeur avait circulé qu’ils avaient été faits prisonniers. A peine arrivés, ils reçoivent à nouveau l’ordre d’y retourner, accompagnés par une brigade de cavalerie cette fois ci. A la vue des soldats français, les bavarois présents à Beaumont fuient rapidement, même si quelques coups de feu échangés ont précipité la fuite. A partir de ce 28 août 1870, les marsouins du régiment prennent conscience que l’ennemi est bel et bien là et que les combats sont désormais proches. Le 30 août, la Division bleue est chargée de protéger la retraite du 5e corps du général de Failly. En effet, cette troupe, qui n’a pas encore franchi la Meuse et est restée sur la rive gauche de cette rivière, est assaillie par l’ennemi à Beaumont. Cinq compagnies du 1er RIM, aidées sur la gauche par une batterie d’artillerie et par une grande partie de la Division Grandchamps, sont chargées d’assurer cette protection. Les cinq compagnies du régiment sont établies le long de la rive droite de la Meuse. Un feu nourri maintient les Bavarois à plus de 400 mètres et les empêche de franchir le cours d’eau. Malgré tout, la batterie d’artillerie est fortement touchée par les tirs ennemis. Décalée sur sa gauche, à l’abri des arbres, elle réussit à remplir au mieux sa mission. Ces actions conjuguées permettent aux hommes du 5e corps de rentrer au camp de Mouzon. L’objectif est donc parfaitement atteint, en dépit d’une vingtaine de tués ou de blessés pour le régiment. Lors de ce combat, le général Reboul adressa plus spécialement ses félicitations à trois officiers (capitaine Mauriai, lieutenant Malezieur, sous-lieutenant Chevalier) qui se sont particulièrement distingués «par leur fermeté et leur influence sur leurs subordonnés ». La 1re brigade du général Reboul, dont fait partie le 1er RIM, arrive le 31 août à l’usine de la Ruile (à six kilomètres de Sedan) avec pour objectif de surveiller les hauteurs de Remilly et d’Allicourt. Deux compagnies sont détachées et profitent du talus du chemin de fer pour s’abriter, tandis que le reste des troupes occupe l’usine de la Ruile et les bois environnants. Pendant ce temps, la 2e brigade pénètre dans le village de Bazeilles, et subit aussitôt les assauts des troupes bavaroises. La 1re brigade (1er et 4e RIM) reçoit alors l’ordre de reprendre le village et d’en assurer la défense. Au prix d’une furieuse charge à la baïonnette menée par le général Reboul et le colonel Brière de l’isle, elle parvient à repousser les Bavarois. Fortement touchés par cette attaque, ces derniers s’enfuient par une prairie et refranchissent la Meuse. Le général de Vassoigne décide alors de nommer un officier pour commander toutes les troupes françaises présentes à Bazeilles. C’est à un officier du 1er RIM, le commandant Lambert, que revient cet honneur. A la fin de la journée du 31 août, les mouvements de l’ennemi laissent augurer la reprise des combats. Pour empêcher l’offensive bavaroise, le général de Vassoigne ordonne alors de faire sauter le pont de Bazeilles sur la Meuse. Malheureusement, faute d’approvisionnement en poudre, le génie ne peut remplir cette mission. Les Bavarois ont de toutes façons la possibilité de franchir la Meuse à Remilly. Le 1er septembre, dès 4 heures et demie du matin, l’ennemi reprend l’offensive. Les Bavarois attaquent Bazeilles à la fois par le nord et par le sud. Le village en grande partie incendié, chaque parcelle de terrain est âprement disputée. Un bataillon du 1er RIM charge à la baïonnette dans la rue principale de Bazeilles, délogeant les troupes bavaroises des maisons et des jardins, leur infligeant des pertes énormes. C’est la raison pour laquelle les Bavarois durent renouveler à cinq reprises leurs bataillons d’assaut, sans parvenir pour autant à faire reculer la Division bleue.05 Cependant, le reste de l’armée française présente à Sedan est en situation plus délicate. Le général Ducrot, qui a succédé au général Mac-Mahon blessé, ordonne de battre en retraite. La Division bleue suit alors le mouvement général et se retire vers Giron. Bien que les deux brigades se protègent réciproquement, le retrait, effectué sous le feu de l’ennemi, cause de lourdes pertes. Mais, le général Durcit est rapidement remplacé par le général de Wimpfen qui, à l’opposé de son prédécesseur, décide de repartir à l’attaque. Ainsi, ordre est donné à la Division bleue de réoccuper Bazeilles. Formée en colonnes d’attaque avec à leur tête le général de Vassoigne et son état-major, la Division bleue se lance donc à nouveau à l’assaut de Bazeilles. Après un premier échec, elle parvient à s’emparer d’une partie de Bazeilles, mais ne peut reprendre le bas du village. En effet, si elle réussit dans un premier temps à faire reculer les Bavarois, ces derniers, une fois renforcés par la Division Schoeier, reprennent l’offensive, il s’ensuit un combat au corps à corps terrible où le colonel Brière de l’Isle, blessé à la hanche, est mis hors de combat. L’annonce de la nouvelle ne décourage pas les marsouins du 1er RIM qui causent de lourdes pertes au 15e régiment bavarois. Cependant, au fil des heures, les combats deviennent de plus en plus acharnés. Le village est en grande partie incendié. Les soldats ne quittent les maisons que lorsque les plafonds s’effondrent. La lutte se déroule alors surtout dans les rues du village, derrière des abris improvisés. Il n’y a plus de combat organisé. Les marsouins du régiment, exténués par un combat de plusieurs heures, entourés de toutes parts, sont contraints de se replier sur le village de Balan. Malgré tout, quelques marsouins n’ont pu sortir de Bazeilles, notamment la 6e compagnie du 1er RIM. Réduite à seize marsouins, la 6e compagnie, commandés par le lieutenant Watrin et le sous-lieutenant Chevalier, se réfugie dans une maison. Cernés, à court de cartouches, les hommes se rendent, confiants dans la promesse bavaroise de leur laisser la vie sauve. Cependant, une fois les marsouins sortis de leur refuge, les Bavarois changent finalement d’avis ils alignent les soldats du régiment contre un mur et les fusillent sans ménagement. Un autre bastion de la résistance du régiment est la célèbre maison Bourgerie, dite maison des dernières cartouches. C’est dans cette habitation, située sur la route entre Bazeilles et Sedan, que se sont réfugiés une centaine de marsouins avec à leur tête le commandant Lambert du 1er RIM. Les Bavarois qui se dirigent vers Sedan sont accueillis par le feu des marsouins. Comme l’ennemi ne peut guère s’abriter (hormis dans les maisons environnantes), les tirs font souvent mouche, ce qui oblige l’ennemi à battre en retraite à plusieurs reprises. Face à la résistance des troupes, les Bavarois envoient deux nouveaux bataillons en renfort. Dès lors, un véritable siège se met en place. Entraînés par le capitaine Aubert, les marsouins bouchent les issues en plaçant derrière les portes des roues de voitures, des enclumes. L’ennemi mine la maison dont une aile vole en éclat. Mais les marsouins, cernés, subissant les coups de butoirs de l’artillerie ennemie, refusent toujours de se rendre. Cependant, ils manquent rapidement de munitions, malgré l’utilisation de celles des morts et des blessés. C’est le capitaine Aubert qui tire la dernière cartouche et atteint sa cible. Ne pouvant plus rien espérer, les marsouins n’ont plus qu’à se rendre. Le commandant Lambert annonce qu’il sortira le premier: «Si l’on me tue, il n’y aura rien à espérer pour vous, et il sera temps encore de vendre chèrement votre vie ». Il sort par le jardin, occupé des deux côtés par les Bavarois, si bien que ces derniers ne peuvent tirer, au risque de tuer leurs camarades. Le commandant est fait prisonnier. Le capitaine bavarois Lissignolo, d’un geste remarquable, décide alors de lui laisser la vie sauve, eu égards à la bravoure et à la hardiesse avec lesquelles ses marsouins se sont battus: « Messieurs les Français, vous êtes des braves, votre conduite est héroïque et il a fallu du canon pour vous réduire. Gardez vos épées que vous portez si bien. » L’épée étant un symbole de commandement, le geste du capitaine Lissignolo constitue un immense honneur et un compliment sans précédent pour le régiment. Le 2 septembre 1870, la capitulation française est signée. Le colonel Brière de l’lsle décide alors de faire brûler le drapeau du régiment pour éviter que l’ennemi ne s’en empare. Les marsouins faits prisonniers sont conduits dans la presqu’île d’Yges pour être ensuite envoyés en captivité chez l’ennemi. Les officiers furent séparés de leurs troupes, mais aucun d’entre eux n’accepta de signer la promesse de ne plus se battre contre l’Allemagne afin d’éviter l’emprisonnement. Au total, les combats des 30, 31 août et 1er septembre 1870 s’accompagnèrent d’importantes pertes. Si les Bavarois eurent environ 4 400 morts, la Division bleue compta 2 655 tués, blessés ou disparus, soit environ le quart de ses effectifs. Avec au moins 790 tués, blessés ou disparus (31 officiers, 64 sous-officiers, 78 caporaux, 617 soldats), le 1er RIM fut, des quatre régiments d’infanterie de marine, le plus sévèrement touché. En 1951, le général Lapierre, directeur des troupes coloniales et Ardennais de naissance, prit la décision de faire de Bazeilles la fête des troupes coloniales. Il obtint en 1952 de faire inscrire « Bazeilles 1870 » sur les drapeaux des 1er , 2e , 3e et 4e RIC et sur l’étendard du 1er RAC. La Division bleue a perdu 2.655 des siens, l'ennemi, bien plus du double.
Source : Sites des troupes de la Marine, vétérans, balestrieri, 8 RPIMA | |
| | | L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message | milguerres
Nombre de messages : 1257 Date d'inscription : 13/01/2014
| Sujet: Re: Le "Musée de la Dernière Cartouche" . Dim Aoû 31 2014, 13:08 | |
| L’heure de vérité entre France et Prusse La guerre de 1870 voit s’affronter deux armées inégalement structurées. Au cours des années 1860, la Prusse a constitué une force militaire très opérationnelle. En 1866, année de son triomphe contre l’Autriche à Sadowa, elle a ainsi été à même de mettre sur pied très rapidement une force redoutable de 750 000 hommes, s’appuyant en amont sur un service militaire universel de trois ans assorti de longues périodes de réserve. Ces troupes bien entraînées et rigoureusement encadrées ont à leur disposition des armes efficaces et modernes (canons Krupp en acier, fusils Dreysen). Dans le même temps, le second Empire peine à réformer son organisation militaire. Suite aux succès de Bismarck en 1866, une commission dite La Valette est chargée par l’empereur de rédiger un projet de refonte du service militaire. Mais l’impopularité de tout allongement de l’appel sous les drapeaux, ainsi que de la remise en cause du tirage au sort, œuvre à vider la loi Niel (1868) de la plupart des nouveaux départs envisagés. L’artillerie est en outre vétuste, et les conceptions stratégiques déficientes ne permettent pas une utilisation optimale de nouvelles armes comme les mitrailleuses. L’état-major, plus souvent désigné par faveur qu’au nom de compétences effectives, montre au feu l’étendue de sa médiocrité et de ses carences. À Sedan, quelques heures suffisent à révéler l’ampleur du décalage militaire entre les deux nations. La mêlée furieuse, puis les ruines Dans les dix jours qui précèdent l’affrontement, le commandement français multiplie les atermoiements. Depuis Châlons, au gré des ordres, contre-ordres, marches et contre-marches, les soldats de Napoléon III s’épuisent à marcher sur Metz, où Bazaine est encerclé, pour finalement être déviés vers Sedan. Ayant opéré leur jonction pendant ce temps, les armées prussiennes se sont tapies dans les hauteurs des environs de la ville, ainsi que le montre la gravure, et sont parées pour une attaque d’envergure de l’ennemi par le flanc. Les combats débutent le 1er septembre tôt le matin. L’artillerie allemande utilise si parfaitement ses armes que vers 6 heures, Mac Mahon, dirigeant les armées françaises, doit céder son commandement à Ducrot après avoir été atteint d’un éclat d’obus. Au cours de la journée, face au déluge de feu qui se traduit sur l’image par d’épais nuages de fumée surmontant le champ de bataille, la déroute française devient inéluctable. Les charges aussi héroïques que désespérées de la cavalerie ne peuvent inverser le cours des choses. Le document montre aussi le roi de Prusse Guillaume, juché sur une hauteur près de Frénois, au sud-est de Sedan, pour assister aux opérations : « Ah, les braves gens ! », se serait-il exclamé en observant les manœuvres offensives françaises sans espoir. Cette image, qui donne le point de vue allemand, rend une forte impression de sérénité : l’infanterie avance en rangs serrés, passant près du roi et des officiers supérieurs, pour aller, toujours en bon ordre, rejoindre le champ de bataille où la victoire est promise. La photographie des ruines de Bazeilles, village situé au sud-ouest de Sedan, offre un tout autre point de vue. Ce lieu est en effet celui de durs affrontements, le 30 août et le 1er septembre, entre des unités bavaroises et des troupes d’infanterie de marine qui se battent jusqu’au dernier homme. L’enfilade de maisons détruites reflète l’intensité des combats. Leurs toits sont écroulés, leurs murs éventrés, et seules quelques fenêtres ont résisté au déluge de feu. L’effet produit est d’autant plus vif que les planches bien disposées et les gravats empilés montrent que les premiers travaux de déblayage ont déjà été réalisés au moment où est pris ce cliché. Placé en vis-à-vis d’une gravure héroïsante destinée à orner les salons des patriotes allemands, ce document contribue à équilibrer le regard porté sur la bataille et ses conséquences. La guerre moderne, sa conduite et ses conséquences « Nous nous exposions donc à une défaite et, qui pis est, à une défaite qui ne pouvait être qu’une calamité publique, puisqu’elle allait nous priver de la seule armée organisée que nous ayons encore en rase campagne » : la phrase est du général Boulanger (in L’Invasion allemande, p. 1253) et dit bien le fond de ce qui s’est joué à Sedan ce jour-là. À partir de cette défaite, la victoire prussienne est inexorable, ce que la reddition et la captivité de Napoléon III en personne ne tardent d’ailleurs pas à révéler de façon éclatante. Sedan a ainsi partie liée avec le retour de la république en France, proclamée le 4 septembre à Paris après l’avoir été à Lyon et à Marseille. Néanmoins, le nouveau régime ne rompt pas avec tous les travers de son prédécesseur, puisque l’impréparation de la guerre de 1914 répond à celle de 1870, malgré la réforme du service militaire. Plus largement, les ruines de Bazeilles reflètent l’intensité du pilonnage allemand, à tel point que cette photographie apparaît comme prémonitoire des guerres européennes à venir. De fait, si la victoire allemande de septembre 1870 est lourde de conséquences, ce n’est certes pas dans le sens d’un apaisement des relations internationales. Sedan, c’est aussi une redistribution des cartes de la géopolitique européenne. Le rival français terrassé, le roi de Prusse va pouvoir prétendre à la restauration de l’Empire allemand, aboli par Napoléon Ier, et prendre toute sa place dans les empoignades impérialistes des décennies suivantes, jusqu’à la Première Guerre mondiale. Un géant militaire et économique aux ambitions mondiales s’installe ainsi au cœur de l’Europe. Les répercussions de 1870 s’étendent des guerres mondiales à la construction européenne en passant par la guerre froide, jusqu’à nos jours. Auteur : François BOULOChttp://www.histoire-image.org/pleincadre/index.php?v=1870&w=1870&d=21&i=892&id_sel=undefined | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le "Musée de la Dernière Cartouche" . Dim Aoû 31 2014, 15:26 | |
| Merci Nathalie, et d'avoir choisi la date de parution à point nommé |
| | | Invité Invité
| | | | N Duchêne Leguy membre confirmé
Nombre de messages : 835 Age : 57 Emploi : Secrétaire / aide auxiliaire Puer. Date d'inscription : 10/08/2014
| Sujet: Re: Le "Musée de la Dernière Cartouche" . Dim Aoû 31 2014, 19:20 | |
| j'en aurai du jour mes copines Annie et Nadine y sont | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le "Musée de la Dernière Cartouche" . Dim Aoû 31 2014, 19:26 | |
| Si elles sont aussi Top Gun que toi, n'hésite pas à les faire inscrire sur notre forum: Ici nous sommes galants, pas un pet' machos, et "plus parité que nous tu meurs !" |
| | | N Duchêne Leguy membre confirmé
Nombre de messages : 835 Age : 57 Emploi : Secrétaire / aide auxiliaire Puer. Date d'inscription : 10/08/2014
| Sujet: Re: Le "Musée de la Dernière Cartouche" . Dim Aoû 31 2014, 19:30 | |
| je vais voir avec elles.. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le "Musée de la Dernière Cartouche" . Dim Aoû 31 2014, 20:10 | |
| Merci Nat & Hayet pour ce complément Bazeilles est a qq Kms de chez moi . |
| | | Papa schulz Admin
Nombre de messages : 12008 Age : 64 Emploi : Apéro à plein temps! Date d'inscription : 23/10/2007
| Sujet: Re: Le "Musée de la Dernière Cartouche" . Dim Aoû 31 2014, 21:58 | |
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| | | mickdan
Nombre de messages : 267 Age : 76 Emploi : retraité Date d'inscription : 29/09/2013
| Sujet: Re: Le "Musée de la Dernière Cartouche" . Dim Aoû 31 2014, 22:26 | |
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| | | artificier
Nombre de messages : 1240 Age : 60 Date d'inscription : 25/02/2014
| Sujet: Re: Le "Musée de la Dernière Cartouche" . Dim Aoû 31 2014, 23:16 | |
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| | | L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message | milguerres
Nombre de messages : 1257 Date d'inscription : 13/01/2014
| Sujet: Re: Le "Musée de la Dernière Cartouche" . Dim Aoû 31 2014, 23:20 | |
| QUELQUES ILLUSTRATIONS que j'ai tiré de : Titre : Français & Allemands : histoire anecdotique de la guerre de 1870-1871. Niederbronn, Wissembourg, Froeschwiller, Châlons, Reims, Buzancy, Beaumont, Mouzon, Bazeilles, Sedan / Dick de Lonlay Auteur : Lonlay, Dick de (1846-1893) Éditeur : Garnier frères (Paris) Date d'édition : 1888-1891 Sujet : Guerre franco-allemande (1870-1871) Type : monographie imprimée Langue : Français Format : 4 vol. : dessins, cartes et plans en noir et en coul. ; gr. in-8 Format : application/pdf Droits : domaine public Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-LH4-1735 (A,1) Provenance : bnf.fr | |
| | | L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message | milguerres
Nombre de messages : 1257 Date d'inscription : 13/01/2014
| Sujet: Re: Le "Musée de la Dernière Cartouche" . Dim Aoû 31 2014, 23:22 | |
| Titre : Français & Allemands : histoire anecdotique de la guerre de 1870-1871. Niederbronn, Wissembourg, Froeschwiller, Châlons, Reims, Buzancy, Beaumont, Mouzon, Bazeilles, Sedan / Dick de Lonlay Auteur : Lonlay, Dick de (1846-1893) Éditeur : Garnier frères (Paris) Date d'édition : 1888-1891 Sujet : Guerre franco-allemande (1870-1871) Type : monographie imprimée Langue : Français Format : 4 vol. : dessins, cartes et plans en noir et en coul. ; gr. in-8 Format : application/pdf Droits : domaine public Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-LH4-1735 (A,1) Provenance : bnf.fr | |
| | | L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message | milguerres
Nombre de messages : 1257 Date d'inscription : 13/01/2014
| Sujet: Bazeilles et Sedan Dim Aoû 31 2014, 23:58 | |
| Titre : Bazeilles et Sedan : essais critiques sur les opérations de l'armée de Chalons...Éditeur : J. Rozez (Bruxelles) Date d'édition : 1871 Type : monographie imprimée Langue : Français Format : 1 vol. (155 p.) : plan en coul. ; in-12 Format : application/pdf Droits : domaine public source BNF 177 PAGES A FEUILLETER EN LIGNE SUR : http://fr.calameo.com/read/0021527566f1804ba61cd
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| | | Invité Invité
| | | | N Duchêne Leguy membre confirmé
Nombre de messages : 835 Age : 57 Emploi : Secrétaire / aide auxiliaire Puer. Date d'inscription : 10/08/2014
| Sujet: Re: Le "Musée de la Dernière Cartouche" . Jeu Sep 04 2014, 22:52 | |
| Photos de mon amie Annie Dardenne, 21 RIMA, Régiment à Cayenne | |
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| Sujet: Re: Le "Musée de la Dernière Cartouche" . | |
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| | | | Le "Musée de la Dernière Cartouche" . | |
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