Institution : Ils considèrent qu'on les empêche de quitter l'armée : de jeunes engagés au 126e RI de Brive dans l'angoisse .
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Commandoair40 Admin
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Sujet: Institution : Ils considèrent qu'on les empêche de quitter l'armée : de jeunes engagés au 126e RI de Brive dans l'angoisse . Mer Sep 27 2023, 23:26
"Institution"
Ils considèrent qu'on les empêche de quitter l'armée : de jeunes engagés au 126e RI de Brive dans l'angoisse .
Neuf jeunes sur une cohorte de 48 engagés ont souhaité quitter l’armée de terre.
Deux jeunes engagés (surement des "Rebeus") au 126e Régiment d’infanterie à Brive (Corrèze) ont contacté une avocate spécialisée face ce qu’ils considéraient comme un refus de l’institution de les laisser partir.
Le commandant en second évoque, lui, un "circuit de départ qui peut paraître long".
Ce sont deux jeunes hommes "très angoissés" que l’avocate, spécialisée en droit militaire, Aïda Moumni (rebeu elle aussi), a eus au téléphone, vendredi dernier, 15 septembre.
Deux jeunes hommes arrivés au 126e Régiment d’infanterie de Brive (Corrèze) en tant qu’Evat (Engagé volontaire de l’armée de terre) début septembre au sein d’une cohorte d’une cinquantaine d’autres souhaitant servir dans l’armée de terre.
En droit de quitter le régiment
"Ils m’ont dit qu’ils ne pouvaient pas quitter le régiment alors qu’ils avaient fait part de leur volonté de partir. Ce qu’ils sont en droit de faire pendant une période de probation de six mois", explique l’avocate.
Une possibilité que confirme le commandant en second du régiment, le lieutenant-colonel Marc Amarger.
"Ils ont absolument le droit de partir. On est une armée de volontaires", insiste-t-il.
Une très longue attente
Pour signifier leur volonté de quitter le régiment, ils ont écrit un courrier à leur hiérarchie.
"Un courrier qu’on leur a demandé de rédiger plusieurs fois. On les a isolés des autres soldats", relaie aussi l’avocate.
Selon nos informations, les neuf jeunes de cette cohorte souhaitant quitter le régiment ont été regroupés dans un même préfabriqué, pendant plusieurs jours, "sans accès au mess, ils ont reçu des rations de combats pour repas".
Un point que réfute le commandant en second.
"Le reste de la cohorte est parti pour Angoulême pour suivre sa formation. Comme ils ont émis le souhait de partir, ils sont restés à la caserne Laporte, le temps de mettre en œuvre le circuit de départ."
Un processus de départ "un peu long"
Un "circuit de départ" sur lequel ces jeunes ont eu peu, voire trop peu d’informations.
"Il faudra qu’on insiste là-dessus, reconnaît Marc Amarger. Quand ils émettent le souhait de partir, ils ont 48 heures de réflexion parce qu’on veut qu’ils soient sûrs de leur choix. Puis, ils sont reçus par le chef de l’école des Bisons, puis par le chef de corps ou par moi quand il n’est pas là, pour qu’on puisse bien cerner et analyser les raisons de leur départ. Ils ont aussi une visite médicale. Le processus peut paraître un peu long", admet Marc Amarger.
"On leur a fait peur"
En attendant ces différentes étapes vers leur retour à la vie civile qui se sont étalées sur près de dix jours, "on leur a fait peur, analyse l’avocate, en les menaçant de les poursuivre pour désertion".
"C’est un mot qui a pu être utilisé, mais malencontreusement. S’ils ne revenaient pas le dimanche soir après leur permission, leur contrat aurait été résilié par l’autorité militaire et non plus du fait de l’intéressé. Dans le premier cas, on ne peut plus s’engager dans l’armée, alors que dans le second, c’est encore possible."
Le commandant en second affirme les avoir tous reçus et ces jeunes sont sur le point, aujourd'hui, jeudi 21 septembre, de quitter le régiment.
Je dis a ces deux "PD" : Bon voyage et bon retour a la citée , ou ils pourront "Dealer" .
Voici la deuxième chance pour la France et si ils restent , ils nous tireront dans le dos .
Que cette avocate qui n'a pour clients que des musulmans cesse de nous casser les amandons et quelle retourne avec ses frères , au "BLED" .
L'armée , face a sa ramasse , vas ratisser dans les citées : quelle Honte .
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
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Institution : Ils considèrent qu'on les empêche de quitter l'armée : de jeunes engagés au 126e RI de Brive dans l'angoisse .