Présentation de l’éditeurAlain Juppé dit avoir ” d’excellentes relations ” avec les ” principaux leaders ” de la communauté musulmane de Bordeaux.
Tareq Oubrou, futur imâm de la Grande Mosquée de Bordeaux, est pourtant un laudateur des Frères musulmans, un mouvement qui milite pour la restauration du Califat et la réunion des musulmans d’Istanbul à Bordeaux, la frontière étant ” une méprisable hérésie “.
A Marseille,
Jean-Claude Gaudin ménage quant à lui toutes les composantes de l’islamisme local, sa mairie allant jusqu’à réaliser les dossiers de presse du mouvement Tabligh.
A Paris,
Bertrand Delanoé offre 20 millions d’euros pour un Institut musulman, dont le site officiel nous informe qu’il comprend des salles de culte, c’est-à-dire une mosquée.
A Strasbourg, la nouvelle mosquée – financée par les collectivités locales – entretient des liens étroits avec l’islam radical.
Certains élus UMP demandent une loi punissant l’” injure au fondement d’une religion “, soit le délit de blasphème prévu par la charia, à la suite de l’affaire des caricatures de Mahomet. Etc, etc, etc.
Biographie de l’auteurAprès avoir dressé la longue liste des courtisans de l’islamisme, l’auteur s’interroge sur la capacité de nos démocraties modernes à endiguer les totalitarismes.
Auteur de l’étude ” L’islamisation de la France ” (2006), Joachim Véliocas dirige l’Observatoire de l’islamisation devenu une référence sur le sujet.
http://www.islamisation.fr/
Petites réflexions sur une évidenceQue nous les appelions « Modérés » « Islamiques » ou « Islamistes », ils sont avant tout et toujours des « Musulmans ».Ils suivent leur religion « adolescente », fondée il y a 1432 ans par Mahomet chef religieux, politique et militaire.
Elle peut se comparer dans sa maturité à la religion Chrétienne du XV iem siècle, sous les règnes de Charles VII et de son fils, le plus connu Louis XI, alors que l’église de Rome représentait la plus grande puissance mondiale et que l’inquisition s’exerçait en puissance.
Ceux qui connaissent cette partie de l’histoire médiévale ne s’étonnent pas des pratiques religieuses musulmanes que nous considérons maintenant comme excessives.
Les pratiques de la « charia » leur loi religieuse, des martyrs terroristes, du prosélytisme et de la volonté de conquêtes n’ont rien a envier aux actions chrétiennes de l’époque.
Dans le courant de l’histoire, les musulmans, dans des situations difficiles, n’ont jamais renoncé à leur religion.
Ainsi un siècle après la reconquête Espagnole du royaume de Grenade, les « Morisques » : musulmans convertis de force au catholicisme, se sont révoltés au nom de leur foi en provoquant des massacres qui leurs ont valu une expulsion massive vers le Maroc.
Ils y ont été fort mal reçus et largement décimés car ils ont été accusés d’apostasie (renoncement à sa foi).
Ce retour dans l’histoire a pour objet de faire comprendre le fanatisme religieux qui, aujourd’hui, anime les musulmans.
L’Islam conquiert le monde, de manière, semble t’il, immaîtrisable.Les clés de l’invasion tiennent essentiellement dans les principes religieux - Le développement démographique imposé par la règle coranique.
- L’élimination des « Infidèles » car le coran ordonne leur destruction physique.
- Le fanatisme conséquence des promesses de leur religion.
- Aucune perte d’effectifs : l’apostasie est sanctionnée par la peine de mort.
Sur ce dernier point je cite l’exemple de ce que nous avons baptisé le « printemps arabe » et qui se dirige vers un « printemps islamique ».
Les Islamistes se sont tenus cachés pendant des décennies sous les régimes forts qui les maitrisaient pour resurgir immédiatement, intact et en pleine puissance, dés leur chute.
A noter que dans les mentalités arabes la notion de vie ou de mort est totalement différente de notre conception :
En Lybie : 25.000 morts contre la peau de Kadhafi.
En Syrie, à chaque jour son massacre.
En Irak, des bombes sans arrêt.
En Somalie ça crève de faim pour cause de guerre civile.
Sans oublier les purges et nettoyage ethniques ou religieux : Rwanda, Soudan, Côte d’Ivoire, Coptes d’Egypte ou on mitraille, égorge, étripe, débite au coupe-coupe sans considérations ni d’âge ni de sexe, dans l’allégresse d’une sanglante grande kermesse.
Partout ça tue et ça meurt à tour de bras, les occidentaux s’en émeuvent et versent des larmes de crocodiles quant ils sont responsables, réels ou supposés, de « pertes collatérales » alors qu’ils mènent des actions utopiques sensées apporter le bien être par la démocratie…. Autre forme de prosélytisme!
L’ONU, pour sa part, brasse le vent pour justifier son existence de « pompe à fric mondiale » et sauvegarder sa pérennité.
Avec nos raisonnements de civilisés en dégénérescence nous ne sommes pas prêts a offrir une résistance à l’invasion de l’islam.
Si nous ne voulons pas nous faire bouffer nous avons intérêt, et vite, a laisser nos principes aux vestiaires et a devenir, presque, aussi sauvages qu’eux !!!!
Non pas au nom d’une foi que nous n’avons plus mais pour la simple conservation de notre espèce.
Je pense que si nous comprenions que l’impérialisme musulman nous écrase par l’argent, la diplomatie, la démographie et la violence, nous pourrions tout à fait y faire face sans violence, en appliquant nos propres lois.
Le peuple de France commence à comprendre que ses dirigeants le vendent pour des pétrodollars en mettant en avant une crise dont ils sont responsables et qu’ils entretiennent, qu’ils brandissent comme épouvantail, pour continuer à s’en mettre plein les poches sans vergogne.
Je constate que les Français de la rue ne sont pas dupes et que l’UMPS a bien du souci à se faire…