Michel Barnier nommé Premier Ministre

Nouveau Premier ministre : pourquoi Emmanuel Macron a choisi Michel Barnier pour Matignon

Le chef de l’État et l’ancien négociateur du Brexit, membre des Républicains, s’étaient entretenus mercredi soir à l’Élysée pour évoquer une nomination comme chef du gouvernement.


Comment s’est noué le choix de Michel Barnier à Matignon ? Après avoir parlé une nouvelle fois à Xavier Bertrand dans la journée de mercredi, Emmanuel Macron et Michel Barnier ont dîné ensemble le soir à l’Élysée, selon nos informations, pour évoquer sa nomination à Matignon. Ces derniers mois, le Savoyard se montrait pourtant assez sévère à l’égard du chef de l’État. « Il y a une usure du pouvoir, des déceptions », observait-il au printemps, estimant par ailleurs que l’après européennes symboliserait « le dernier jour du reste de la macronie ».


Mais la crise qui a succédé à la dissolution est passée par là. Et Michel Barnier, parfois dépeint en « technocrate fade », s’imagine pouvoir rendre service. Avec l’appui potentiel de sa famille politique, Les Républicains, qui a ouvert la porte mardi, lors d’un échange téléphonique avec Emmanuel Macron, à un soutien à un gouvernement s’il était vraiment de droite. Cet été, il a choisi de faire silence radio en juillet et en août, quand son nom commence à bruisser dans les couloirs du pouvoir, où l’on semble se cogner la tête contre les murs pour espérer en voir sortir une solution. Début août, un entretien avec le secrétaire général de l’Élysée, Alexis Kohler, qu’il connaît bien, a lieu. Il y est déjà question de Matignon.

Du côté d’Emmanuel Macron, Michel Barnier coche beaucoup de cases, selon les proches du chef de l’État : il ne détricotera pas la politique menée depuis sept ans, il permettrait la participation des Républicains à une coalition de gouvernement, il n’a pas d’ambition présidentielle pour 2027… et il ne serait pas censuré immédiatement, jugent-ils, contrairement à Xavier Bertrand et Bernard Cazeneuve.


Objectif : un gouvernement de « rassemblement »

Pourtant, ce jeudi matin sur France Inter, le député RN Jean-Philippe Tanguy se montrait très sévère à l’égard du Républicain : « On censurerait toute personne qui ruinerait davantage la France. Donc ça fait beaucoup de monde, et surtout quand on fait du Jurassic Park en permanence en allant rechercher des fossiles à qui on essaye de redonner vie. Donc monsieur Barnier est non seulement fossile, mais fossilisé de la vie politique. Tout ce qu’il a pu faire est un échec, même au niveau européen », jugeait-il.

Michel Barnier s’était lui dit « disponible ». « Si le président l’appelait, il serait prêt », glissait son entourage ces jours-ci. Le même Kohler l’a d’ailleurs rappelé en début de semaine, selon nos informations. Par ailleurs, Emmanuel Macron et lui se connaissent déjà : ils se sont croisés à des multiples reprises lorsque Barnier portait son costume de « M. Brexit ».

Le « négociateur » aura en tout cas fort à faire, pour composer un gouvernement « de rassemblement au service du pays », comme l’a précisé le président de la République dans son communiqué. Michel Barnier devra ensuite composer avec une Assemblée nationale aussi inédite qu’éruptive. La passation de pouvoirs avec Gabriel Attal devrait avoir lieu ce jeudi à 16 heures, comme le désormais ex-Premier ministre l’a confié à certains proches.

Sources

À peine élu le Nouveau Premier Ministre :  Et déjà les critiques pleuvent.
Les partis d’oppositions, ne lâchent rien. En tout premier, c'est " leur métier".
En deuxième lieu, ils se doivent de plaire à leurs électeurs, pour les mêmes raisons.
Tout ceci " résonne" ( t-il)  clairement et dans la mesure du raisonnable!
Difficile à envisager. Tout ceci est-il réellement crédible!
Crédible, cela n'y ressemble pas, pour qui n'aura pas d"œillères". Dangereux cela l'est à 100%
Dans un pays des droits de l'homme et " terre d'accueil" :
On (ne) peut (que)  constater : Que tout est fait pour diviser, par obligation " sans doute"!
Pour plaire à une certaine France, pays des droits de l'homme, " et terre d'accueil".
Cela en devient extrêmement pesant, Pesant, agaçant, décevant, : 
À l'égal d'une " Marie-Antoinette" " lors d'une parodie de la révolution. 
Qui voudrait d'une révolution en ce pays. Nous ne sommes pas des barbares,
Et puis : Nous perdrions, d'autant que " Nous ne le sommes pas" (barbares).

Sources

Les toutes premières critiques :

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Il reste à supposer que les gens bien pensants,
que les gens qui veulent la paix, qui de plus, est tellement relatives,
N'apprécierons pas ces critiques, et controverses, ne souhaitant pas d'embrasement.
"Un peu de bon sens" et de conscience morale, seraient souhaitables dans ce pays.
Aucun autre pays, pour l'instant ne nous a déclarer la guerre. Nous devrions en être satisfaits.
Et pourtant, " la guerre" semble bien se vivre en le pays, une guerre froide, plus ou moins dans l'ombre.
Une guerre de .... Etc ... Cela suffit largement. Ce pays est en danger.
Souvenons-nous : Jusqu'au harcèlement de plus.

Sources

Combien de faits dramatiques et de société, chaque jour - comme un avertissement, une "mise en garde"
L'éveil s'avère être une nécessité.

Sources  

" À force de jeter de l'huile sur le feu" : Tout s'embrase.

Passation de pouvoir entre Gabriel Attal et Michel Barnier
Un évènement important dans l'actualité de la rentrée, que l'on soit de gauche ou de droite.
Le pire aurait-il été évité. Présentement, cela y ressemble. L'avenir éclairera la suite.

Nommé par la volonté de Bruxelles pour mener des réformes qui ne plairont pas à la gauche.

Il est certain que la France représente,
et que Bruxelles dirige.