Para 1 jour, para pour toujours; le matériel de la Luftwaffe

Petite question rapide aux descendants ou aux connaisseurs du parachutisme:

Alors Es ce que dans le temps oui je parle toujours de l'Histoire moi, donc du temps de la seconde guerre mondiale. Cette posture était t'elle typique pour tous les para, même chez nos Alliées, et même chez nous les Français, qui eux avait sauté et s'était entrainé chez les British?.

Parce que Hollywood on est bien au courant, que ils ne montre pas la réalité.
Alors es ce la position standard que tout para doit adopté, avant de sauté?

Et comme vous l'aurez compris, ce sujet parlera sur non les opérations que ils ont effectuer, mais sur le matériel, des paras Allemands.
Puisque au départ j'avais créer un sujet, sur les para Russes, et qui eux eurent inventé le parachute. Donc les Allemands leurs premiers saut dans le vide, eux les ont fait en 1936 avec les premiers modèles de parachute.

Donc je commence ma traduction des infos trouvé :

Citation :

L'ÉQUIPEMENT DES PARACHUTISTES ALLEMANDS

Le caractère inhabituel des opérations aéroportées dicte le développement du matériel spécialisé nécessaire, qui à son tour a conduit à l'élargissement des possibilités offertes par l'art militaire en général.

Les opérations des troupes allemandes de parachutage pendant la Seconde Guerre mondiale ont été des exigences contradictoires en matière d'armes et d'équipements. D'une part, les parachutistes avaient besoin d'une puissance de feu élevée dont ils pouvaient manifester au combat pour agir de manière décisive et avec le maximum d'efficacité, mais d'autre part, l'arsenal auquel ils avaient accès.
était limitée par une capacité de charge extrêmement faible des moyens d'atterrissage - à la fois les avions et les parachutes et les planeurs.

Au cours de l'opération d'atterrissage, le parachutiste a sauté de l'avion presque désarmé, à l'exception du pistolet et des munitions supplémentaires. Lorsque les parachutistes ont été transporté au combat par atterrissage de planeur, la capacité et les caractéristiques aérodynamiques des planeurs du Gotha (242B) et du DFS-230 dictaient leurs limites - l'avion pouvait accueillir 10 personnes et 275 kg d'équipement.
Cette contradiction n'a jamais été surmontée, en particulier dans la partie qui concerne les canons d'artillerie de campagne et les canons antiaériens. Cependant, les entreprises allemandes, telles que les préoccupations de "Rheinmetall" et "Krupp" qui possédaient de puissantes ressources techniques, ont trouvé de nombreuses solutions innovantes aux problèmes liés à la mobilité et à la puissance de feu des pièces en parachutage. Sur le terrain, il était souvent difficile de distinguer l'équipement des parachutistes des forces terrestres reçues chez les forces terrestres de la Wehrmacht, mais des armes spécialisées apparaissaient encore, et non seulement d'accroître le potentiel de combat des parachutistes, mais aussi d'influencer la mise au point de matériel et d'armes militaires de la moitié à venir du XXe siècle.

L'uniforme :

Les vêtements de protection sont très importants pour quelqu'un qui saute avec un parachute, et pour les parachutistes, il a commencé avec le haut, fermant la chaussure sur la cheville. Ils avaient des semelles en caoutchouc épaisses, très confortables, bien qu'elles ne se prêtaient pas à de longues marches à pieds, et fournissaient une bonne adhérence sur le sol à l'intérieur du fuselage de l'avion (puisqu'ils n'utilisaient pas de grands botte clouté, généralement caractéristiques de ce type de chaussures fournies aux soldats des autres branches). Initialement, le laçage s'effectuait sur les côtés pour éviter la préhension des élingues parachutes, mais a progressivement compris que cela n'était pas nécessaire, et après les opérations en Crète en 1941. Les fabricants ont commencé à fournir des chaussures parachutistes avec un laçage traditionnel.

Par-dessus l’uniforme de combat, les parachutistes portaient une combinaison en toile imperméable jusqu’aux hanches. Il a subi diverses améliorations et a été conçu pour fournir une protection supplémentaire contre l’humidité lors des sauts, et était également plus adapté pour y mettre un système de harnais.

Comme l'atterrissage a toujours été l'une des étapes les plus risquées du saut pour le parachutiste, sa forme était équipée de genouillères et de coudières spéciales. Les pantalons de l'ensemble de l'uniforme de combat avaient de petites fentes sur les côtés au niveau des genoux, dans lesquelles des épaississements en toile étaient insérés, battus par un duvet végétal. Une protection supplémentaire a été donnée par des «amortisseurs» externes en caoutchouc poreux recouvert de cuir, qui ont été fixés à l'aide de sangles ou de liens. (Les épaississements et la combinaison elle-même étaient généralement éliminés après l'atterrissage, bien que la combinaison soit parfois laissée pour porter une ceinture. Le pantalon avait une petite poche juste au-dessus du niveau des genoux, dans laquelle un couteau-élingue important pour le parachutiste était placé.

Au fur et à mesure que la guerre prenait de l'ampleur, l'uniforme des parachutistes acquérait de plus en plus les caractéristiques distinctives de l'uniforme des soldats de l'armée de terre.
Probablement l'élément le plus important de l'équipement de protection. indispensable à la fois pour le saut et pour le combat, il y avait un casque d'atterrissage spécifique. En général, il s'agissait d'un casque ordinaire d'un fantassin allemand. mais sans la visière et les champs abaissés, protégeant les oreilles et le cou, équipés d'un casque absorbant les chocs et le fixant fermement sur la tête du combattant avec une jugulaire.

Étant donné que, dans la plupart des cas, les parachutistes ont dû se battre pendant longtemps sans avoir la capacité d'obtenir des fournitures, la capacité de transporter un grand nombre de munitions supplémentaires a été jugée importante pour eux.

La cartouchière parachutiste d'une conception spéciale avait 12 poches, se raccordant au centre avec une bretelle de bâche, qui était en train de jeter sur le cou, et la cartouchière était accroché à la poitrine de sorte que le chasseur avait accès aux poches des deux côtés. La patrouille a permis au parachutiste de transporter une centaine de cartouches pour le fusil K-98, ce qui aurait dû lui suffire jusqu'à la prochaine chute de matériel ou l'arrivée de renforts. Plus tard au cours de la guerre, des cartouchières ont été faits avec quatre grandes poches, qui abritaient jusqu'à quatre magasins pour la mitrailleuse MG-42.

Les parachutes

Le premier parachute entré en service par les parachutistes allemands était le parachute à dos à ouverture forcée RZ-1. Créé à la demande de la Direction des équipements techniques du ministère de l'aviation en 1937, le RZ-1 avait un dôme de 8,5 m de diamètre et une superficie de 56 mètres carrés.mètres. Lors du développement de ce moyen d'atterrissage, le modèle Italien Salvatore a été adopté comme base, dans lequel les brins du parachute convergeaient en un point et étaient attachés à la ceinture à la taille du parachutiste avec deux demi-anneaux. Une conséquence désagréable d'une telle conception était que le parachutiste était suspendu à des élingues dans une position ridicule et inclinée face au sol — cela entraînait également la technique consistant à sauter la tête en avant de l'avion afin de réduire l'impact de la secousse lors de l'ouverture du parachute. La conception était nettement inférieure au parachute de la société «Irwin», que Paul.appel;1.les parachutistes alliés et les pilotes de la Luftwaffe ont été déployés et ont permis à l'homme d'être en position verticale, soutenu par quatre sangles verticales. Entre autres choses, un tel parachute pouvait être contrôlé en tirant sur les élingues de support du système de suspension, ce qui permettait de se dérouler dans le vent et de contrôler la direction de la descente. Contrairement aux parachutistes de la plupart des autres pays, le parachutiste allemand ne pouvait avoir aucune influence sur le comportement du parachute, car il ne pouvait même pas atteindre les sangles derrière son dos.

Un autre inconvénient du RZ-1 était les quatre boucles qui devaient libérer le parachutiste pour se libérer du parachute, non équipé contrairement aux produits d'alliés similaires par un système de décharge rapide. En pratique, cela signifiait que le parachutiste traînait souvent le vent autour du sol, tandis qu'il faisait des efforts désespérés pour débouter rapidement les boucles. Dans de telles situations, il est plus facile de couper les frondes de parachute. À cette fin, chaque parachutiste l'a été depuis 1937. il y avait un "Kampfmesser" (couteau de combat), stocké dans une poche spéciale du pantalon d'uniformes de combat. La lame a été cachée dans la poignée et s'est ouverte avec un simple tour de pression et appuyant sur la fixation, après quoi la lame a été mise en place sous l'influence de la gravité. Cela signifiait que le couteau permettait d'être utilisé avec une main, ce qui en faisait un sujet important dans l'ensemble des outils d'atterrissage.
À la suite de la Rz-1 en 1940. Il est arrivé un système de suspension et une technique de fonctionnement du panneau d'échappement, qui se distinguait par un système de suspension quelque peu amélioré. Pendant ce temps, le principal parachute jusqu'à la fin de la guerre reste en service en 1941. La Rz-20. L'un de ses principaux avantages était un système de boucles plus simple, qui en même temps était construit sur la même conception problématique de Salvatore.

Plus tard, un autre parachute a été produit, le RZ-36, qui, cependant, n'a trouvé qu'une utilisation limitée au cours de l'opération dans les Ardens. La forme triangulaire du RZ-36 a permis de contrôler le swing pendulaire typique des parachutes des modèles précédents.
L'imperfection des parachutes de la série RZ n'a pu que se limiter à l'efficacité des opérations amphibies menées avec leur utilisation, en particulier en ce qui concerne les blessures subies au débarquement, ce qui a réduit le nombre de combattants capables de participer aux hostilités après le débarquement.

Au cours des opérations de parachute, presque toutes les armes et fournitures ont été déversées dans des conteneurs. Avant l'opération, il y avait des conteneurs de trois dimensions, tandis que des plus petits étaient utilisés pour transporter des cargaisons militaires plus lourdes, comme des munitions, et de grandes quantités - pour des plus grands mais des briquets. Après la Crète, ces conteneurs ont été normalisés - longueur 4,6 m, diamètre 0,4 m et poids de 118 kg. Pour protéger le contenu du conteneur, il avait un fond en fer ondulé, qui était plaqué lors du choc et fonctionnait d'un amortisseur. En outre, les marchandises étaient posées avec du caoutchouc ou du feutre, et les conteneurs eux-mêmes étaient entretenus au point de vue de la suspension ou placés à l'intérieur d'autres conteneurs.

Un peloton de 43 hommes avait besoin de 14 conteneurs. S'il n'était pas nécessaire d'ouvrir immédiatement le conteneur, il pourrait être porté par les poignées (quatre au total) ou roulé sur un chariot avec des roues en caoutchouc, inclus dans le kit de chaque conteneur. L'une des versions était un conteneur en forme de bombe, qui le conteneur était utilisé pour des charges légères difficiles à endommager. Ils ont été éjectés des avions comme des bombes ordinaires et, bien qu'ils soient équipés d'un parachute de freinage, ils n'avaient pas de système d'amortisseur..

La position du Fallschirmjäger est peut-etre due à la particularité du parachute RZ 20 qui l’obligeait de sortir en faisant le saut de ’’ l’ange’’ pour permettre l'extraction de la voile.

Coucou,  J'ai eu l'occasion de faire un saut en 1956, sur le terrain de BONDUE, exceptionnel. Le gag c'est que ce terrain lorsque le coucou fait son tour pour s'aligner sur la zone on passe successivement au dessus de 3 cimetière !. Je suis parti avec un coup de pied au Q car coincé à la porte très basse. Par rapport au Dakota. Je n'ai pas pu essayer le pépin russe RZ35 qui nous étais proposé. C'est partie de ma jeunesse.

Il y avait encore des Dakota pour sauter ! Quelle longévité. 
Je profite de ton passage Panpan pour te saluer.

Merci messieurs, mais comme moi j'aime l'histoire, jahiiiiiii, je vient enfin de trouvé le fil de la naissance des troupes para et Aéroportée.

ici, insigne de parachutiste décerné au parachutiste (Oberfeldwebel Werner Vick, 4e compagnie D'Infanterie parachutiste).



Et savez vous comment ont diférentie, pas les vraies du Faux, en raison que je ne suit pas un spécialiste qui sait identifier les vraies des faux, mais entre les modèles du IIIème Reich, et ceux des années 1957?

là oui, pour cet emblème, c'est je dirais un provenant du IIIème Reich, en raison de la croix nazi figurant sur le badges.
A partir de 1957, la Luftwaffe de la Bundes Republic Deutschland. A partir de cette année, fut officiellement ordonné que sur tout les insignes portés, soit retirer la fameuse croix ou autre symbole nazi, et bien sûr, aujourdhui encore, porté un badge comme celui ci, n'est pas interdit, sauf s'il dispose du fameux insigne nazi. Là un néo-nazi s'il porte cet insigne historique, comportant en plus le symbole nazi, le jugement sera sans équivoque "Aux niouf..... avec l'amande qui vas avec".

Et ses deux suivants:

et là


Le premier fut décerné à Juncker et le second à Assmann!
 et cela ils datent de 1936, juncker a été décerné avec le document de la luftwaffe daté du 15 Novembre 1936
Pour Assmann???


et Recto.


là même un aveugle pourrait le remarqué la maladroite contre-façon que le faussaire a souhaité faire.
Allez je vous laisse faire le jeu des 7 erreurs.

Bien, déjà il faut savoir que il existe 2 versions sur la création des unités paras de la Luftwaffe.
la première détient encore quelques point d'interrogation, donc ici l'auteur ou les auteurs ne sont pas réellement certains, donc des phrases remplit avec du peut être. Certes avec les noms, cela est exacte, mais là ou sa diverge, ce sont bien les dates et le comment.
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Ma source primaire. En Langue Hollandaise.

Ma source secondaire, elle se dirige plus déjà en direction, de ce que j'avais précédemment déjà écrit, à savoir: Que les Allemands pendant l'entrainement et le meeting aérien des parachutistes Russes, malgré que ils n'était pas listé dans la liste figurant les officiel présent au meeting, Ben oui ici c'est aussi mentionné que les observateurs Allemands était bien présent. (Envoyé par Goering).

Dont voici la création. Et je vous prierais de ne pas me hurler dessus, en raison de l'aspect politique actuel, Lorsque le livre a été écrit, c'était bien avant la guerre.
C'est comme si une personne, souhaite énumérer une lettre provenant de Jules Cesar, et que l'on sait que la lettre a été écrite bien avant, avant qu'il devienne le méchant sanguinaire de ce que l'on connait de lui. Merci!

Citation :

1. Origine et formation de la FST (Fallschirmtruppen= Troupe des parachutistes) en Allemagne

Les forces armées de l’Allemagne nazie ont été parmi les premières forces armées au monde à créer des troupes aéroportées.

Le département militaire allemand s'intéresse depuis le milieu des années 30 à la possibilité d'utiliser des troupes aéroportées au combat. La locomotive pour la mise en œuvre des plans pour leur création était personnellement le commandant de la Luftwaffe et le ministre de l'Aviation du Reich, le Reichsmarschall Goering.
Les capacités inhérentes au nouveau type de troupes étaient mieux adaptées au concept de blitzkrieg : mener des opérations offensives en profondeur ultra-rapides avec une percée dans les profondeurs des puissants coins des chars ennemis. Les troupes parachutistes (Allemand Fallschirmtruppen - FST) furent appelées à leur ouvrir la voie conformément à cette doctrine. [2] Leurs tâches comprenaient la capture rapide de point stratégiques - ponts par lesquels doivent passer des colonnes de chars et d'infanterie motorisée, zones fortifiées, centres de communication, etc. Entraînement à Kiev en 1935 avec la participation d'unités aéroportées de l'Union soviétique, qui était en présence de plusieurs observateurs militaires allemands, a clairement illustré l'application des développements théoriques des spécialistes de l'armée soviétique et a donné une impulsion supplémentaire à l'Allemagne pour commencer à créer sa propre FST. Dans l'ensemble, la direction de la Wehrmacht, obligée de se refaire pratiquement à partir de zéro, était en grande partie libérée des vues quelque peu dépassées sur la conduite de la guerre qui régnaient dans les cercles militaires d'autres pays.

La formation d’unités de parachutistes commença presque simultanément au sein des forces terrestres et de l’armée de l’air allemande. Le 1er octobre 1935, le détachement de police de la garde personnelle du général Hermann Goering (allemand : Landespolizeigruppe General Goering), qui, entre autres grades et titres, était le chef de la police de l'État de Prusse, fut transféré à la Luftwaffe en tant que un régiment distinct "Général Goering" [3].

Goering chef de la police de l'état Prusse, Donc cela ne m'étonne pas, que le nom après 1945 à Changer, Altengrabow; on le trouve bien en photo, avec les photos de 1916, qui était un lieu ou furent emmener les prisonnier de Guerre. Mais aujourd'hui, le nom qu'il détient????

Et pour mon (1) ici moi même j'avais déjà lu, que chez les SS, oui en 1936, il y'a eu un accident lors de l'entrainement. Mais dans mon ancienne lecture, ici ce n'était pas mentionné, que il s'agissait du début de sa création, et que cela faisait partie non des commandos SS, mais ce de la formation des troupes FST du génerale Goering.

Citation :

À peu près au même moment, des volontaires de sa composition sont envoyés dans la ville d'Altengrabov, où est en cours la formation d'un régiment de fusiliers parachutistes de l'armée de l'air, pour suivre une formation spéciale. Lors du premier saut de démonstration devant le personnel du régiment, un parachutiste qui l'a exécuté a été grièvement blessé à l'atterrissage et a été transporté hors du terrain sur une civière (1). Malgré cet incident, environ 600 soldats et officiers de l'unité militaire d'élite se sont immédiatement portés volontaires pour suivre une formation de parachutisme.
Ainsi, au sein du régiment du General Goering, est formé le 1er Bataillon de Fusiliers (Parachutes) (allemand : Jagerbataillon, en allemand : Fallschirmjaegerbataillon), déployé à la fin des années 30 en régiment, qui reçoit à son tour le nom de 1er parachute ( Allemand : Fallschirmjagerregiment 1). Il était dirigé par le major (allemand : Bruno Bruer), et accéda par la suite au grade de général des troupes parachutistes (allemand Général der Fallschirmtruppen).

Un nombre important de combattants de la nouvelle unité étaient des militaires qui avaient suivi un entraînement sérieux au combat pendant la guerre sanglante en Espagne au sein de la célèbre Légion Condor. Les conditions de sélection du bataillon étaient extrêmement strictes : près des 2/3 des candidats initiaux furent rejetés et le pourcentage d'abandons de volontaires ne répondant pas aux exigences du commandement du FST resta le même jusqu'en 1940.

Le commandement des forces terrestres, à son tour, créa au printemps 1936 un quartier général spécial pour développer des tactiques d'utilisation des troupes aéroportées, dont l'état-major comprenait 15 officiers et 80 sous-officiers. A sa base, un bataillon d'infanterie parachutiste (allemand : Fallschirm-Infanterie-Bataillon) fut ensuite formé - le deuxième des forces armées. Son organisation en effectifs correspondait à peu près à celle d'un bataillon de soutien d'infanterie, et il était armé de mortiers et de mitrailleuses lourdes, tandis que les parachutistes de la Luftwaffe ne disposaient que d'armes légères de petit calibre. Le commandant a été nommé major, et à l'avenir, général des troupes parachutistes, Richard Heidrich (pas Heydrich). À l'automne 1937, le bataillon participe à d'importants exercices de la Wehrmacht dans le Mecklembourg, où il fait bonne impression. Cet événement a donné une impulsion sérieuse au processus de consolidation des unités de parachutistes allemandes disparates.

Officiellement, l'existence de l'unité aéroportée de la Luftwaffe a été officialisée par arrêté du ministre de l'Aviation du Troisième Reich, (allemand : Erhard Milch) et approuvée par Goering le 29 janvier 1936. Au même moment, les inscriptions ont été annoncées pour l'école de Stendali. La nature extrêmement stricte de sa formation se reflétait dans les « Dix commandements » présentés personnellement par Hitler aux parachutistes. Le premier d’entre eux était :

    "Les parachutistes sont les combattants élus de la Wehrmacht. Vous devez vous précipiter dans la bataille et endurer toutes les difficultés avec fermeté. La bataille sera votre destin."

Un entraînement physique et de tir intensif, des systèmes de parachute imparfaits, de nombreuses blessures lors de l'atterrissage et même des cas de décès dus à la non-ouverture des parachutes ont contribué à la création de relations amicales officieuses entre officiers et soldats, à la formation d'une atmosphère particulière d'appartenance à des unités d'élite. et le renforcement du moral en général.

La haute qualité de la formation du personnel des unités parachutistes de cette période est confirmée par l'exemple de l'un des héros du débarquement en Crète en mai 1941 (allemand : Max Schmeling), 35 ans, surnommé "Siegfried" . Champion du monde de boxe poids lourd 1 an, a remporté 56 combats sur 70, il a traversé toute la Seconde Guerre mondiale dans les rangs des troupes aéroportées.

2. Concept d'application de la FST en Allemagne

Malgré la création de l'une des premières troupes aéroportées au monde, l'armée allemande n'a pas pu pendant longtemps se prononcer pleinement sur le concept de l'utilisation de parachutistes. Les officiers d'état-major de la Luftwaffe ont insisté pour que les parachutistes fassent partie de petits groupes de sabotage, dont la tâche principale serait de perturber les communications ennemies et de semer la panique derrière eux. L'idée est devenue très à la mode dans les cercles de l'Armée de l'Air selon laquelle des groupes de parachutistes devraient soutenir les opérations des bombardiers, en atterrissant à l'avance près des positions d'artillerie anti-aérienne ennemies et en neutralisant à un certain moment leur système de défense aérienne, en menant des opérations de sabotage actives. Après avoir terminé la tâche, les parachutistes doivent battre en retraite et attendre la fin du raid de leurs avions à l'abri, après quoi ils préparent un site d'atterrissage pour les avions de transport et évacuent vers le continent. Pour participer à de telles opérations, de petites unités parachutistes comme le 1er Bataillon, divisées en groupements tactiques de peloton ou de compagnie, suffisaient. Un petit groupe expérimental de parachutistes allemands reçut à ce titre son baptême du feu pendant la guerre civile espagnole.

Oui cela peut correspondre.

la suite....

Citation :

Le commandement de l'armée (OKW), en revanche, a jugé plus approprié d'utiliser de grandes forces de parachutistes dans des opérations offensives, y compris en tant qu'infanterie ordinaire. Cette doctrine s'expliquait par le fait que, en 1937, l'Allemagne était coincée par deux lignes défensives ininterrompues - la ligne Maginot à la frontière orientale de la France et une bande de fortifications frontalières Tchécoslovaques à la frontière germano-tchèque dans les montagnes des Sudètes. Une tentative de percée de ces positions du front entraînerait de lourdes pertes et pourrait facilement être contrecarrée, après quoi la répétition du "cauchemar de la guerre des positions" de la Première guerre mondiale n'était pas exclue. Par conséquent, les parachutistes, agissant dans le cadre de grandes unités et formations militaires, devaient fournir une aide substantielle aux troupes sur le terrain, attaquant des fortifications impressionnantes à l'arrière du front. La validation des vues tactiques des théoriciens de l'aviation et de l'armée a conduit à la reconnaissance de leur praticité égale, à cet égard, la formation des soldats et des officiers de la FST prévoyait la formation des deux techniques de combat. Dans l'ensemble, le point de vue du commandement terrestre a prévalu, selon lequel le personnel de la FST a été recruté dans l'armée de l'air.

Au cœur de toutes les grandes opérations aéroportées menées par les parachutistes allemands se trouvait presque le même plan: d'abord attaquer à plusieurs endroits de l'air et créer plusieurs bases pour briser le système de défense de l'ennemi de l'intérieur, l'empêcher de concentrer ses forces sur un site et couper les communications nécessaires à la défense; ensuite, choisir l'une des bases créées, concentrez-la sur toutes les forces disponibles, de sorte qu'elles se répandent ensuite, comme une tache d'encre, jusqu'à ce que la base principale fusionne avec les autres et les absorbe. Cette tactique - la " tactique de la tache d'encre "-a été préférée par les allemands dans toutes les opérations aéroportées par opposition à la" tactique du tapis " utilisée par les alliés et consistant en ce que, sur le terrain qui devait être capturé, les parachutistes se dispersaient uniformément dès le début. La "tactique de la tache d'encre" a fait ses preuves en Hollande et en Crète. [4]

Parallèlement à l'utilisation de ses troupes de parachutistes pour résoudre des tâches opérationnelles, le Haut commandement allemand pendant la guerre a de plus en plus confié aux parachutistes des tâches tactiques dans le cadre des opérations de combat des grandes formations de première ligne. Dans le même temps, les troupes aéroportées étaient principalement utilisées comme détachements avancés ou comme arrière-gardes, c'est-à-dire qu'elles jouaient le rôle de cavalerie modernisée. Les actions des troupes aéroportées en Norvège dans la région de Dombos et à l'aérodrome d'Oslo en avril 1940, ainsi que l'attaque par une section de sapeurs des troupes parachutistes du fort Eben-Emael, la capture et la sécurisation des traversées du canal Albert et la maîtrise des traversées du Bas-Rhin le 10 mai 1940, peuvent être considérées comme des actions des troupes aéroportées en tant que détachements avancés. Lors de l'offensive contre Alexandrie, Rommel a également prévu d'utiliser d'abord quatre groupes de parachutistes de combat comme détachement avancé pour capturer et détruire soudainement les barrages antichars des britanniques.

En 1942, il était prévu d'utiliser l'une des formations des troupes aéroportées pour capturer rapidement la zone pétrolière à l'ouest de Bakou au moment où les troupes soviétiques en retraite l'aurais délaissé, ce qui conférait également aux troupes aéroportées le rôle de détachement avancé. Enfin, le groupe de combat, largué lors des combats des parachutistes allemands en décembre 1944 dans la région montagneuse de l'Eifel pour assurer le flanc Nord des troupes en marche et capturer les passages de montagne et les routes, était également un détachement avancé.

Comme ont peut mieux à présent comprendre la tactique des paras Allemand. Donc 50% de chance que celà soit la tactique 1 ou 50% de chance que cela soit la tactique 2.

Et dieu Merci qu'il existe internet et Wikipedia!.

Donc, les personnes qui souhaite à présent encore suivre ma source primaire Néerlandaise, ne vous privez surtout pas, mais rappelez vous aussi de ce que j'avais écrit, que la source détenait des points d'interrogation (donc sans affirmation ou sans du concret). Et ainsi je vient de trouver la preuve que ma seconde source, étant un auteur Russe, est réellement le bon historique, ou le réel, juste parce que je vient de tomber sur l'info qui vas faire pleurer plus d'un.

Le nom de Walter koch, doit vous parler non? Eben Emael...
Ben Walter koch, lui en 1929 âgé de 19 ans, il entre dans la police en tant que Lieutenant et à servit en premier dans la Landespolizei (Police de la Province quoi). Le 23 Février 1933, une nouvelle unité est créer dans la Police créer par le Ministerpräsident de la Prusse (Goering). C'est la ZbV Wecke. Si walter koch est entrée dans l'unité lors de sa création?
Et juste 1 mois Après que Adolf Hitler était au pouvoir, le 2 Mars 1933, la ZbV Wecke qui leurs chef avait le grade de Generalmajor. Son unité est entré en action pour la première fois en effectuant une Razzia dans le quartier des Communistes de Berlin. (suivant la propagande du journal, en raison des flammes qui ont ravagé le 27 Février 1933, le parlement du Reichtag.).
source: Honnefer Volkszeitung Nr.51 du 2.Mars 1938.

Ainsi Walter koch, pour sa date d'entrée dans l'unité, je ne la connait pas, mais il a bien été intégré dans L'unité, avant que en 1935, l'unité soit renommé en tant que Régiment "General Goering".
Donc voici toutes ses dénominations que l'unité eu:

Polizeiabteilung z.b.V. Wecke
Landespolizeigruppe Wecke z.b.V.
Landespolizeigruppe General Göring
(Flak-) Regiment General Göring

Une Abteilung = Bataillon
Gruppe = Groupe (en Juin 1933 et Subordonné au Commandement de la Police de Province).
Et en 1934, oui elle a été renommé "General Goering" (En Janvier 1934 et où les Hommes appartenant à L'unité, ou qui souhaitait devenir membre de l'unité, ils leurs fallait terminer une formation militaire.).
et en 1935, renommé en tant que Régiment "General Goering" (En Raison que comme Hermann Goering lors de cet année là, il est devenu Commandant en chef de la Luftwaffe, et que il ne souhaita pas se séparé de l'unité, il a ainsi transmis l'unité sous le commandement de sa Luftwaffe en tant que Unité de la luftwaffe. Et ainsi l'unité Police est devenu l'unité Régiment. Et pendant cette période, l'unité, a du suivre une nouvelle formation, ou les 2 premières unités I. jäger Bat. et la 15. Komp. de Pionier, eux furent ordonné de suivre une formation de Fallschirmjäger dans l'école d'Aviation de Döberitz. Et qui eux formèrent par la suite, la base pour l'état major du FallschirmJäger Regiment 1.)

ma source: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Et Koch dans tout cela?
En 1938, Koch est monté en Grade, en tant que Hauptmann
Sûrement en raison que l'unité est entré dans Prague.

Witzig quand à lui, il n'avait intégré que la Luftwaffe, dans l'unité Koch, que en tant que Sapeur, et que après il est retourné dans son ancienne unité. (Ce qui lui as sauvé la vie, il a vécue jusqu'en 2001).

Koch lui, en 1943 en retour à l'état Civile (avec son ancien grade de Oberstleutnant et ses 2 décorations de Croix de Fer, et Chevalier de croix de fer ), ou il avait créer son entreprise, et après avoir critiqué ouvertement Adolf Hitler, il est mort dans l'année, dans un accident de voiture mystérieux.

Et pour l'aide pour retrouvé Richard Heidrich et merci de ne pas être lire ou croire à Heydrich.
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Pour Student, humhum, ont le trouve ou d'après vous?
En 1935, il avait encore le grade de Colonnel. Et oui, c'était lui le chef des envoyés sur le terrain d'aviation de Kiev des observateurs Allemands.

Ah, a présent je connais la raison que l'auteur Neerlandais, lui il a écrit dans son récit, "SA" en raison que lui il a surement juste utiliser l'info sur Altgrabow (attention c'est toujours un terrain d'entrainement de la Bundeswehr, c'est peut être pour cela, que les informations sons manquante, ou gardé dans les archives).

Citation :

1921-1935 la Reichswehr reprend le terrain et le conçoit dans les limites que le Traité de Versailles a imposé à L'Empire allemand et utilise la zone encore une fois comme terrain d'entraînement.

1933-1934 une école de sport de la Sturmabteilung (SA) Des nationaux-socialistes est créée dans le domaine.

Au Sud Ouest de Berlin.

Mais il ne faut pas oublier, ou garder en mémoire aussi, que beaucoup de dénomination ont été utiliser justement pour ne pas froissé le traité de Versailles, donc beaucoup de camouflage dans les textes.

Le camp en question ce ne serait pas Zossen siège de l’ OKH durant la guerre ?

Salut mon cher Alexderome!
Tu parle du camp d'entrainement? c'est le lieu même qui pendant la 1ère et seconde guerre mondiale était utiliser en tant que Stalag pour les prisonniers de guerre Français, Altengrabow.

ZossenTu as raison QG du OKH se trouve dans le Brandeburg au Sud de Berlin

Et Altengrabow se trouve dans le Saxe-Anhalt. (Actuellement c'est un terrain d'entrainement et de tir et pour tout engin et troupe de la Bundeswehr). 60km Est de Magdeburg.

Ah tient mon Cher Commandoair 40, sait tu pourquoi les allemands on plutôt choisi l'unité Luft Lande (aéroportée, pour prendre Eben Emael?).

Lors du rendez vous, il y avait présent à la discussion.
Le Générale de la 2è Flotte aérienne Albert Kesselring
Kurt Student
et l'Oberst (Colonnel) Brauer (1er Commandant du I. Bataillion des Fallschirmjäger Polizei Rgt Goering 1935 Et lui il détenait dans son livret, comme quoi il était le tout 1er Parachutiste Allemands).

Citation :

Eben-Emael, construite dans l'esprit de la ligne Maginot, était considérée comme la forteresse la plus puissante d'Europe et pouvait être un « problème » pour toutes les branches militaires traditionnelles, d'autant plus que maintenir un rythme de mouvement constamment élevé était une nécessité. facteur majeur de la stratégie de la guerre éclair. Ajoutons que les canons de ce monstre couvraient trois ponts d'importance stratégique, jetés à Maastrich sur la Meuse et le canal Albert et reliant des tronçons de chemins de fer et d'autoroutes menant du bassin de la Ruhr à la côte belge, Bruxelles et Anvers - Veldweselt, Vrenhoven et Cannes. Tous ces ponts étaient préparés pour l'explosion ; les charges explosives étaient contrôlées à distance depuis le poste de commandement d'Eben-Emael.

Le calcul des Belges était basé sur le fait que l'armée allemande resterait longtemps coincée dans le réseau de fortifications (comme ce qui s'est passé en 1914), laissant ainsi le temps aux troupes anglo-françaises le temps de se déployer stratégiquement. En plus des fortifications, sur le chemin des troupes allemandes se trouvait un réseau de rivières et de canaux équipés d'un système d'inondation d'urgence des zones côtières avec l'eau de la mer du Nord via des écluses. Sans maîtriser intacts les passages mentionnés ci-dessus, les Allemands n'auraient pas pu maintenir le rythme d'avancée donné vers l'ouest, d'où, entre-temps, les principales forces des Alliés - les armées anglo-françaises - serait arrivé. Dans cette situation, la fameuse « fuite vers la mer » d’il y a trente ans pourrait se répéter, suivie de la formation d’un front de position continu et de la poursuite d’une guerre d’usure sans fin. L’état-major allemand se souvient trop bien de l’issue de la Première Guerre mondiale. Ainsi, compte tenu de la menace réelle de retarder l'invasion, la 7e Division aérienne fut chargée d'atterrir sur les fortifications ennemies et de les maintenir jusqu'à l'arrivée des forces principales. Au total, 6 800 parachutistes ont participé à l’opération, débarquant dans diverses zones. Au début de l'opération, les 7e et 22e divisions avaient été regroupées en un groupe de corps aéroporté improvisé sous la direction du générale du commandant de la 2e flotte aérienne, le générale Albert Kesselring.

Après une discussion détaillée de la situation actuelle avec le Colonel Brauer, Student décida de créer une force d'assaut spéciale pour capturer le Fort Eben-Emael, dirigée par le capitaine Walter Koch, un courageux officier de 29 ans qui avait auparavant servi dans la sécurité prussienne. Police et régiment du général Goering. Pour mener à bien l'opération, ce dernier disposait de sa propre compagnie de l'I/FJR 1 et de la compagnie du génie du lieutenant Witzig de l'II/FJR 1. L'effectif total du groupe était de 11 officiers et 427 sous-officiers et soldats. .

En préparation de l'opération dans le camp de Hidelsheim près de Dessau, une maquette exacte du fort a été construite à l'échelle 1:1. Les parachutistes affectés à la mission effectuaient un entraînement approfondi dans cette installation depuis le début de l'hiver 1939.

Et pour la compagnie de Witzig,j'avais déjà lu, que lui, pour s'entrainer, il a été ordonné de se rendre en Tchécoslovaquie, pour s’entrainer avec les charges creuse, sur les bunker Tchèque.

Mais à présent, comme je suis tombé sur l'info:
l'arme charge creuse + le plan qui était top secret, il est réellement improbable, que quelqu'un a donné l'ordre à Witzig et à son groupe, d'aller s'entrainer en Tchecoslovaquie sur les bunkers, malgré le fait, que la Tchécoslovaquie, depuis 1938, était entre les mains des Allemands, mais des Explosions cela fait obligatoirement jasé. Et le niveau de secret, était telle identique au plan overlord, soit toute les sorties week end rayé, les lettres ont été censuré. Donc non pour l'envoi dans un autre pays, et même je ne pense pas, que même à Hildesheim, il devait y avoir un modèle reconstruit du bunker de Eben-Emael.
En modèle réduit oui, et pas à l'échelle 1/1, du genre surface sur le sol en planche, et ou le para devait atterrir dessus.
Et Hitler n'aurait jamais permis, que pour les besoins de l’entrainement, que la Luftwaffe reconstruise Eben Emael sur le terrain de Hildesheim pour le faire exploser.
Que les pilotes de la luftwaffe, qui allait piloté les planeurs DFS230, que eux pour s'entrainé ils devait réussir à attérir sur la distance, c'est réalisable en matière de projet pour s'entrainné. Mais financièrement hors de prix, laissé une équipe exploser un bunker 1/1 avec des armes secrète.

Et une autre source, énumère même, que Anna Reitsch, aurait parler avec Hitler pour utiliser le DFS 230 en tant que planeur pour cette tâche.
Non mais là ou on vas là? ici cela serait d’énumérer de suite, que Anna Reitsch, était la conseillère d'Hitler en terme de la luftwaffe, pour un plan hautement secret.
Donc Goering et Milch là dedans, n'aurais plus rien servit à leurs poste.

Et ici en Anglais, la bio du général de la luftwaffe Bruno Bräuer:
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Dans cet extrait de opération Crossbow on voit Hanna Reitsch aux commandé d'une bombe volante V1, Fi 103R
Ils auraient pu faire l’effort de mettre des officiers de la Luftwaffe !