Que faire d’un autochtone qui n’épouse ni les valeurs républicaines, ni la société inclusive ?
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Commandoair40 Admin
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Sujet: Que faire d’un autochtone qui n’épouse ni les valeurs républicaines, ni la société inclusive ? Jeu Fév 18 2021, 20:26
Que faire d’un autochtone qui n’épouse ni les valeurs républicaines, ni la société inclusive ?
Que faire d’un autochtone qui n’épouse ni les valeurs républicaines, ni la société inclusive ?
De ma Bretagne sur laquelle mes ancêtres vivent depuis des siècles et des siècles, je m’interroge. Car contrairement à toute la « diversité » qui tient à exprimer quotidiennement sa différence en France, je ne possède ni carte d’identité d’un autre pays, ni grand père au bled, ni la moindre racine au fin fond du Pakistan.
Je suis donc cantonné à rester vivre chez moi au pays, en Bretagne, sans partager des valeurs dont nos dirigeants nous font comprendre qu’elles sont aujourd’hui quasi impératives sous peine, pour certains, de déchéance de nationalité ou d’expulsion, pour d’autres de persécutions juridiques, judiciaires, morales et politiques.
Les « valeurs républicaines » si elles étaient un livre auraient la même place chez moi que les livres de BHL : dans l’armoire dédiée à faire passer le temps lorsqu’une fois par jour, nous nous isolons dans une petite pièce à désodoriser après notre passage.
Je ne partage pas la volonté d’égalité (qui en France est en plus dévoyée en égalitarisme). Je ne me sens pas égal avec le Professeur Raoult lorsqu’il me parle d’étude des virus. Je n’ai pas envie de l’être d’ailleurs, estimant qu’il a, dans son domaine de prédilection, une compétence et une science dont je n’ai pas la nécessité dans le mien. Je ne me sens pas plus l’égal d’Aya Nakamura, et de ses borborygmes, alors que j’essaie justement d’apprendre à mes enfants à peine scolarisés à bien parler, bien lire, bien écrire, bien compter.
Je suis contre le fait de mettre tous les enfants dans une même école, de ne plus les noter, de refuser des les évaluer ou de les faire concourir, afin qu’au final, ils se retrouvent victimes d’un nivellement égalitaire par le bas, Nakamura ayant la même valeur que le Professeur Raoult aux yeux de la République française.
Ma fraternité, je la choisis.
Au sein de ma famille, de mon clan, de ma communauté, de mes semblables et de ceux avec qui j’ai envie de partager. Mais je ne la ressens pas par contre avec des individus qui n’ont comme point commun que de parler la même langue (quand elle n’est pas massacrée), ou pire encore, la même carte d’identité, quasiment plus facile à avoir aujourd’hui que le baccalauréat, c’est dire le niveau…Je n’éprouve pas la moindre « fraternité républicaine » avec ces messieurs de la haute qui, de scandales en magouilles, de mépris du peuple en compromissions pluridécennales, se sont comportés comme tout, sauf comme des chefs, comme des guides.
Aucune fraternité non plus avec un système « Républicain » à qui nous avons confié notre sécurité (en échange du fait que l’on ne porte pas d’armes dans la rue), notre santé (par le financement collectif et proportionnel de la sécurité sociale) et qui nous laisse crever pour un regard de travers dans les rues des métropoles, tout en nous empêchant petit à petit de nous soigner correctement, notamment dans la ruralité.
De cette devise « Républicaine », je ne partage finalement que l’idéal de Liberté, qui, avouons-le, est tout de même un bel oxymore de République française. Car où est la liberté en France, à l’heure où les députés votent toujours plus de pouvoir pour les Préfets de la République, toujours plus de contrôles pour les familles voulant instruire leurs enfants en dehors de l’école, toujours plus de procédures administratives et financières pour les entrepreneurs qui entendent créer et développer leurs projets ?
Où est cette notion de liberté lorsqu’aujourd’hui votre propriété privée peut être souillée et squattée par des individus qui, aux Etats-Unis, n’oseraient pas le faire sachant pouvoir se retrouver rapidement une balle entre les deux yeux, au nom de la sanctuarisation du domicile ?
Où est cette notion de liberté, en République française, lorsque les citoyens du pays sont dépossédés du droit de choisir qui ils accueillent et qui ils n’accueillent pas dans leur maison commune au nom de traités internationaux qu’ils n’ont jamais signé ? Quelle liberté encore, lorsque l’on vous impose un masque alors que vous marchez en plein air, lorsqu’un Etat mène durant des mois une campagne de terreur de la population à grands renforts de médias aux ordres (économiques et politiques), de morale permanente, de menaces, au nom d’un virus bien présent mais qui tue relativement peu et majoritairement des personnes dont l’espérance de vie était très courte en raison de leur état de santé avant leur contamination ?
Non vraiment, cette devise qui orne les frontons de toutes les mairies de France, « liberté, égalité, fraternité » ne me parle pas.
Parce qu’elle est hypocrite (doit-on rappeler le fleuve de sang français que la République a fait couler depuis 1789 ?), mensongère et qu’elle entend faire de la terre qu’ont forgé mes ancêtres non plus une nation enracinée, mais une idée, un concept, un agrégat de valeurs « universelles ».
Des valeurs qui, lorsqu’elles ne sont pas arrosées de zeste républicain, le sont d’un zeste plus moderne, dit inclusif. Ecriture inclusive dans la presse, dans les collectivités. Discrimination positive au sein d’un service public qui vous prélève pourtant sans discrimination chaque année une redevance pour vous cracher au visage.
Partout, à la télévision, dans la publicité, la promotion, la victimisation, l’encensement inexpliqué, ici des gros, là des petits, là des jaunes, là des unijambistes, et puis des noirs, et puis des gays, et puis des transsexuels, et puis des nains, et puis des loutres cendrées façon moutarde…chacun son unicité, sa spécificité, son enrichissement culturel…
Et au final, l’atomisation d’une société dont la solidité était historique, culturelle, linguistique, ethnique et philosophique, au profit d’une société des enfants rois, des tribus, des déviances institutionnalisées et des maladies érigées au rang de nouveaux modèles sociétaux.
Alors effectivement, il y a un petit problème Houston. Hormis reprogrammation dans un camp de rééducation spécialisé (ne rions pas trop vite si l’on se souvient de ce dont l’on riait il y a encore quelques années et qui se réalise…) ou hormis élimination, je ne changerai pas. Et pire encore, je ferai tout mon possible pour permettre l’émergence sur notre territoire et dans le futur d’une société qui ne se conjugue ni avec la République française, ni avec la société dite « inclusive ». Que le match commence !
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
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