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| Tout ce que le macaron fait n'est peut etre pas si mauvais ( a suivre toutefois) | |
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Athos79 modérateur
Nombre de messages : 6633 Age : 84 Emploi : Retraité -Fonction publique Date d'inscription : 08/09/2019
| Sujet: Tout ce que le macaron fait n'est peut etre pas si mauvais ( a suivre toutefois) Mer Fév 19 2020, 08:40 | |
| Contre le « séparatisme islamiste », Macron annonce la fin des Enseignements de langue et de culture d’origine
Le dispositif ELCO, qui visait au départ à maintenir un lien pour les enfants avec leur pays d’origine, souffrait de critiques et de soupçons de prosélytisme religieux. Par Mattea Battaglia Publié aujourd’hui à 00h20, mis à jour à 07h33
Emmanuel Macron à Mulhouse le 18 février. JEAN-FRANCOIS BADIAS / AFP
Que peut, que doit faire l’éducation nationale pour lutter contre ce que le gouvernement qualifie de « séparatisme islamiste » ? Les observateurs de l’école avaient pris les paris, ces derniers jours, quant aux annonces présidentielles attendues mardi 18 février, certains pronostiquant un « contrôle accru » des écoles privées musulmanes (8 000 enfants accueillis dans 75 établissements hors contrat) ; d’autres, un « coup de projecteur » sur l’instruction à domicile (30 000 jeunes concernés). Le chef de l’Etat a joué une autre carte mardi 18 février, en annonçant, pour la rentrée 2020, la suppression « partout sur le sol de la République » des ELCO, ces « enseignements de langue et de culture d’origine » assurés par des maîtres étrangers dans les écoles primaires essentiellement, et que fréquentent, hors du temps scolaire, quelque 80 000 enfants.
L’acronyme d’ELCO ne dit pas grand-chose au non initié : ce dispositif facultatif, régi par des conventions bilatérales signées, à partir des années 1970, avec neuf pays (Algérie, Croatie, Espagne, Italie, Maroc, Portugal, Serbie, Tunisie et Turquie), visait au départ à permettre aux enfants du regroupement familial de maintenir un lien avec leur pays d’origine – et à faciliter leur retour éventuel. Mais ceux qui suivent de près les débats sur l’école savent que ces ELCO nourrissent, depuis au moins deux décennies, des soupçons de prosélytisme religieux plus ou moins étayés, des critiques sur les contenus enseignés autant que sur le recrutement des maîtres, du ressort des pays d’origine. Lire aussi L’arabe, une langue « communautaire » ? C’est surtout une matière oubliée de l’école Négociations diplomatiques « Je ne suis pas à l’aise à l’idée d’avoir dans l’école de la République des femmes et des hommes qui peuvent enseigner sans que l’éducation nationale ne puisse exercer le moindre contrôle. Et nous n’avons pas non plus le contrôle sur les programmes qu’ils enseignent », a fait valoir Emmanuel Macron à Mulhouse mardi, évoquant « de plus en plus d’enseignants qui ne parlent pas le français ». Avant d’ajouter : « On ne peut pas enseigner des choses qui ne sont manifestement pas compatibles ou avec les lois de la République ou avec l’histoire telle que nous la voyons ». A compter de septembre prochain, c’en sera donc fini des ELCO, remplacés par des « enseignements internationaux en langue étrangère » – des « EILE », a précisé le chef de l’Etat – sur lesquels on ne sait pour l’heure pas grand-chose, sinon que des négociations diplomatiques sont engagées avec les pays concernés. « Nous avons réussi [à trouver un accord] avec tous ces pays, sauf la Turquie à ce stade. Je ne désespère pas », a précisé M. Macron. Un virage ? « Attention à ne pas tomber dans la caricature, à ne pas instrumentaliser le dispositif à des fins idéologiques, prévient-on dans les rangs du SNUipp-FSU, syndicat majoritaire à l’école primaire. Les enseignants [des ELCO] ne sont pas en roue libre : ils participent au conseil des maîtres et au conseil d’école et travaillent sous la responsabilité des directeurs ». Article réservé à nos abonnés Lire aussi Pourquoi Yasmine, Tadzio et Joseph ont fait « le pari » d’apprendre l’arabe au collège « Des vieilles recettes » Dans les cercles éducatifs, mardi soir, une même réaction fusait : « On ressort des vieilles recettes ». En 2016, déjà, Najat Vallaud-Belkacem, alors ministre de l’éducation, promettait la transformation en sections internationales des ELCO, au motif qu’ils ne véhiculaient pas un « enseignement linguistique de qualité » et enfermaient les élèves dans une « logique d’entre soi ». Mme Vallaud-Belkacem a d’ailleurs réagi ce mardi à l’annonce présidentielle, sur Twitter, pour rappeler qu’elle avait initié l’évolution et les démarches diplomatiques sous le précédent quinquennat, au moins avec le Portugal et le Maroc. « Je regrette qu’on annonce l’arrêt des ELCO sans annoncer en même temps une véritable relance de l’enseignement de l’arabe à l’école publique prise en charge par des enseignants de l’école publique », souligne pour sa part l’essayiste Karim El Karoui, auteur de plusieurs rapports pour l’Institut Montaigne. « La suppression des ELCO est une bonne chose, concède Jack Lang, deux fois ministre de l’éducation. L’enseignement de l’arabe doit aujourd’hui être assuré pleinement et totalement par l’éducation nationale, sans cela nous prenons le risque de laisser des officines religieuses ou parareligieuses s’en acquitter ». Le président de l’Institut du monde arabe, qui vient de publier La Langue arabe, trésor de France (Cherche Midi), tient à rappeler que, dans un pays qui compte trois millions d’arabophones (tous dialectes confondus), l’« arabe standard », comme on dit dans le jargon de l’école, n’est appris que par 1 élève sur 1 000 au primaire, 2 sur 1 000 au collège. « Ces annonces sont certainement l’acte 1 d’un plan plus vaste et plus complet », conclut-il. Lire aussi Au-delà de l’emballement, l’enseignement de l’arabe reste ultraminoritaire à l’école ========= Et qui est le président de l'Institut du monde arabe. ? Eh bien Une autre Tarlat !
https://www.capital.fr/entreprises-marches/institut-du-monde-arabe-les-incroyables-gaspillages-du-president-jack-lang-1197297 | |
| | | Commandoair40 Admin
Nombre de messages : 29167 Age : 78 Emploi : Français Radicalisé . Date d'inscription : 07/11/2014
| Sujet: Re: Tout ce que le macaron fait n'est peut etre pas si mauvais ( a suivre toutefois) Mer Fév 19 2020, 12:00 | |
| Merci Athos ,
Pour moi :
1- Je ne crois plus ce menteur , c'est un "Marchand de Rêves" .
2- Si tu es Français , tu abandonnes tes racines , ta langue , tes mœurs et tu rentres dans le rang ; ou tu retournes dans ton bled .
La Langue arabe, trésor de France ..............................
Quand a Jack Lang , "Président de l'Institut du monde arabe" , qu'il aille voir ses petits musulmans au Maroc . ___________________________________ ____________________________________Sicut-Aquila « Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ». | |
| | | 81/06 membre confirmé
Nombre de messages : 4696 Age : 62 Emploi : Mécano, retraité Date d'inscription : 09/06/2019
| | | | Athos79 modérateur
Nombre de messages : 6633 Age : 84 Emploi : Retraité -Fonction publique Date d'inscription : 08/09/2019
| Sujet: Re: Tout ce que le macaron fait n'est peut etre pas si mauvais ( a suivre toutefois) Jeu Fév 20 2020, 09:43 | |
| SOCIÉTÉIslam : la lettre alertant Macron à laquelle il n'a jamais réponduPublié le 18/02/2020 à 19:02Tribune collective Liste des signataires disponible à la fin du texte.Cette lettre, qui n’a jusqu’ici fait l’objet d’aucun retour, avait pour seule vocation de contribuer à la réflexion du chef de l’État." Marianne publie une adresse signée par de nombreuses personnalités publiques, intellectuelles, ou issues de la société civile, à Emmanuel MacronEn octobre 2019, nous avons fait remettre en mains propres à Emmanuel Macron la lettre qui suit pour l’alerter sur les dangers d’une organisation « par le haut » de l’islam en France, une telle structure étant presque inévitablement vouée à tomber dans l’escarcelle des tenants d’un islam politique. Nous y faisions également des propositions autour de deux axes. D’abord, affirmer fermement les règles que toute organisation religieuse doit respecter si elle veut avoir droit de cité dans la République. Il s’agit notamment de la liberté de conscience, donc du droit à quitter une religion pour en adopter une autre ou pour n’en avoir aucune, et de la liberté d’expression et en particulier de critiquer la religion, donc du renoncement à l’accusation de blasphème, y compris sous la forme de l’accusation de « racisme envers une religion ». Ensuite, favoriser la prise de parole des musulmans humanistes, trop souvent tenus à l’écart car ne disposant pas de l’influence, notamment financière, de l’islam politique. LIRE AUSSICette lettre, qui n’a jusqu’ici fait l’objet d’aucun retour, avait pour seule vocation de contribuer à la réflexion du chef de l’État. Cependant, l’actualité nous a convaincus de la porter maintenant dans le débat public, d'autant plus que nous constatons ces derniers jours qu'il règne au plus haut niveau de l’État une confusion dangereuse entre liberté de culte et liberté de conscience. Point d’orgue de cette actualité : l’affaire Mila, notre jeune concitoyenne que des dizaines de milliers de personnes sur les réseaux sociaux appellent à violer et à assassiner au nom de l’islam. Les propos odieux du délégué général du CFCM désirant manifestement criminaliser le blasphème, l’ambiguïté fuyante du président de l’AMIF, Hakim El Karoui, plus généralement les réactions indignes de gens se voulant, ou aspirant à être, les représentants officiels de l’islam et des musulmans en France, nous ont prouvé que notre analyse était juste.Monsieur le président de la RépubliqueeCertains d’entre nous vous soutiennent. D’autres se placent dans l’opposition. Mais malgré nos désaccords, nous voulons tous croire que vous avez à cœur l’intérêt supérieur de la France et des Français, quelles que soient leurs convictions ou leur absence de conviction en matière religieuse.Le 25 avril dernier, vous évoquiez le « projet politique d’un islam qui veut faire sécession. » Nous partageons ce constat, et l’urgence d’y répondre. Mais la réponse ne doit pas aggraver le problème.Aucun accommodement ne le satisfera. Toute concession ne fera que le convaincre de notre faiblesse, et l’encourager à exiger toujours plus.L’islam sécessionniste dont vous parliez n’est pas, vous le savez bien, celui de tous les musulmans. Ni en France, ni ailleurs. Mais il dispose de réseaux qui s’infiltrent dans toutes les branches de l’islam, et qui sont soutenus par des moyens financiers, médiatiques et politiques considérables. Cet islam sécessionniste est lui-même divers, parcouru de rivalités internes, et pourtant uni par une lecture littérale du Coran et par ses ambitions hégémoniques. Il est l’islam des jihadistes violents, mais aussi du salafisme et des Frères Musulmans, du wahhabisme et de la Ligue Islamique Mondiale, du Milli Gorüs et du Ditib, du Tabligh. Aucun accommodement ne le satisfera. Toute concession ne fera que le convaincre de notre faiblesse, et l’encourager à exiger toujours plus.Face à ce danger, nous savons que toute tentative d’organiser l’islam en France « par le haut » dans une structure unique est vouée à reproduire les erreurs et l’échec du CFCM, malheureusement. Une telle structure, trop vaste, trop rassembleuse, incorporera nécessairement des groupes liés à l’islam politique, sécessionniste aujourd’hui, impérialiste demain. Et ces groupes ont des soutiens et des moyens tels, que l’influence qu’ils exerceront dans cette structure unique sera considérable, de nature à prendre en otage les musulmans républicains et humanistes qui voudront s’y opposer.L’AMIF en est un exemple. Alors qu’elle veut répondre à une problématique bien réelle et clairement analysée, elle est d’ores et déjà rendue au mieux, inopérante, au pire, dangereuse, par la présence en son sein d’un nombre considérable de personnes inféodées aux Frères Musulmans, même si certaines semblent aujourd’hui avoir rompu avec eux. Le dossier que nous joignons à cette lettre vous permettra d’en juger. Mais ce n’est qu’un cas parmi d’autres : la conférence au Palais Brongniart pour laquelle la Ligue islamique mondiale a tenté de vous instrumentaliser est aussi une tentative de pousser l’Etat à légitimer l’implantation de l’islam politique au sein de la République.Monsieur le Président, la priorité n’est pas aujourd’hui d’organiser l’islam en France. Elle est de réaffirmer les principes de la République laïque, les principes de liberté de conscience et donc du droit à l’apostasie, du droit de critiquer les religions et donc de la liberté de blasphémer. Principes auxquels les Français sont profondément attachés.Les courants de l’islam qui refusent ces principes ne peuvent être vos interlocuteurs. Ils n’ont pas leur place à votre table. Mais ceux de nos concitoyens musulmans qui se reconnaissent dans ces principes sauront s’organiser par eux-mêmes une fois que la France leur assurera la sécurité et la liberté d’expression dont ils ont besoin pour défendre leurs convictions. Un islam attaché aux valeurs républicaines ne pourra emporter l’adhésion des fidèles que s’il voit le jour d’abord sous la forme d’une véritable mobilisation humaniste, et ensuite seulement en se structurant en courant organisé.Les musulmans de France partagent certes des préoccupations liées à la pratique du culte et à des débats d’ordre religieux, mais ils ne forment pas un groupe homogène, et encore moins une communauté politiqueCe seront sans doute d’abord des initiatives locales, qui auront besoin de temps pour se fédérer. De multiples interlocuteurs émergeront, faisant vivre des islams résolument pluriels. Cette pluralité, de sensibilités et de représentants, est la meilleure garantie : vous pourrez, ainsi, rejeter ceux qui refusent de se plier aux règles fondamentales de la République sans être soupçonné d’hostilité envers les musulmans dans leur ensemble, et montrer que vous tendez la main aux musulmans républicains sans laisser quiconque vous accuser d’être la dupe, voire le complice, des islamistes.Simultanément, vous pourrez écarter de ce rôle de représentation ceux qui voudraient s’arroger des prérogatives qui ne doivent en aucun cas leur revenir. Les musulmans de France partagent certes des préoccupations liées à la pratique du culte et à des débats d’ordre religieux, mais ils ne forment pas un groupe homogène, et encore moins une communauté politique. En tant que citoyens, les Français de toutes confessions ne sauraient avoir d’autres représentants que leurs élus. Nul ne doit prétendre priver nos concitoyens musulmans de l’autonomie que garantit la laïcité, et nul ne doit laisser croire que les élus, à commencer par l’élu que vous êtes, n’auraient pas la légitimité requise pour représenter les Français musulmans au plan politique.Il y a un précédent avec nos concitoyens chrétiens. Politiquement, ils se répartissent sur l’ensemble de l’échiquier politique. Et en tant que croyants, ils n’ont pas auprès de vous et de l’Etat de représentant unique. Catholiques, protestants, orthodoxes sont reconnus dans leurs différences, et les groupes sectaires d’inspiration chrétienne sont dénoncés pour ce qu’ils sont, et soumis à toute la sévérité de la loi.Monsieur le Président, ce que nous vous demandons aujourd’hui est difficile, nous le savons. Mais votre parcours nous prouve que vous n’êtes pas homme à craindre la difficulté.Les Frères Musulmans, les wahhabites et les salafistes en général, le Milli Gorüs, le Tabligh, sont des sectes intolérantes, fanatiques et ambitieuses. Ne leur permettez pas de s’emparer de l’islam en France, même par personnes interposées, même si leurs soutiens ici ou à l’étranger tentent de faire pression sur vous. Laissez s’exprimer des islams pluriels, multiples, fragmentés même : ce foisonnement seul garantit la liberté de parole de ceux de nos concitoyens musulmans qui sauront être les dignes héritiers des Lumières.Signataires :
- Mehdi Aifa, président de l'Amicale des Jeunes du Refuge, militant LGBT, chargé d’assistance
- Waleed al-Husseini, essayiste
- Jean-Claude Allard, général de division (2S)
- Isabelle Barbéris, maître des conférences HDR en arts de la scène
- Kamel Bencheikh, écrivain
- Corinne Berron, productrice
- Hélène Berron, comédienne
- Sami Biasoni, banquier d’investissement, professeur chargé de cours à l’ESSEC, auteur
- Guillaume Bigot, directeur général de l’IPAG, politologue
- Jean-François Braunstein, philosophe, professeur à l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne
- Pascal Bruckner, philosophe
- Thierry Cotelle, conseiller régional d’Occitanie et chef d’entreprise
- Jean-Robert Daumas, chef d’entreprise
- Annick Duraffour, agrégée de lettres modernes
- Zineb El Rhazoui, journaliste, essayiste
- Patrice Franceschi, écrivain, ancien président de la Société des explorateurs français
- Renée Fregosi, philosophe, politologue
- Driss Ghali, diplômé en sciences politiques, écrivain
- Gabriel Gras, chercheur biologiste
- Yana Grinspuhn, linguiste, maître de conférence à l’université Paris III Sorbonne nouvelle
- Philippe Gumplowiz, historien et musicologue, professeur des Universités
- Claude Habib, écrivain, professeur émérite à la Sorbonne nouvelle
- Noémie Halioua, journaliste
- Nathalie Heinich, sociologue, directrice de recherche de classe exceptionnelle au CNRS
- Marie Myriam Ibn Arabi, professeur des lycées, agrégée de philosophie
- Philippe d’Iribarne, ingénieur, anthropologue, directeur de recherche au CNRS
- Bernard de La Villardière, journaliste, essayiste, producteur
- Alexandra Laignel-Lavastine, philosophe
- Josepha Laroche, professeur de science politique à l’Université Paris I Panthéon Sorbonne
- Jean-Marie Le Gall, professeur d’histoire moderne à l’université Paris I Panthéon Sorbonne,
- Damien Le Guay, philosophe et essayiste, maître de conférence à HEC
- Barbara Lefebvre, enseignante, essayiste
- Bérénice Levet, philosophe, professeur d’université, essayiste
- Laurent Loty, historien des idées scientifiques et politiques au CNRS
- Mohamed Louizi, essayiste
- Yves Mamou, journaliste, romancier, essayiste
- Anne Mandeville, maître de conférence en science politique
- Aurélien Marq, ingénieur, haut fonctionnaire
- Jérôme Maucourant, économiste
- Gil Mihaely, historien, directeur de la publication de Causeur
- Anne-Sophie Nogaret, professeur de philosophie, essayiste
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- Patrick Pelloux, médecin, écrivain, président de l’Association des médecins urgentistes de France
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| Sujet: Re: Tout ce que le macaron fait n'est peut etre pas si mauvais ( a suivre toutefois) Jeu Fév 20 2020, 12:55 | |
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