Nombre de messages : 29167 Age : 78 Emploi : Français Radicalisé . Date d'inscription : 07/11/2014
Sujet: Frontière franco-italienne . Lun Juin 15 2015, 22:15
Frontière franco-italienne : Génération Identitaire fait face aux clandestins !
Le dimanche 14 juin à 18h30, 20 militants de Génération Identitaire ont mené une action à la frontière franco-italienne, faisant face aux clandestins massés là depuis trois jours et exigeant d'entrer en France.
Rassemblés derrière une banderole "NO WAY ! - You will not make Europa home", reprenant le slogan de l'efficace campagne australienne de lutte contre l'immigration clandestine, les jeunes identitaires ont appelé les gouvernements européens au courage politique.
Rappelons que le 23 mai dernier, Génération Identitaire occupait pendant plusieurs heures les locaux de la Commission Européenne à Paris en y déployant une grande banderole : "L'émigration tue l'Afrique, l'immigration tue l'Europe".
C'est bien la même idée qu'a défendu devant les journalistes présents sur place Clément Martin, Conseiller fédéral du mouvement, rappelant que "le destin des Africains ne se trouve pas en Europe, tout comme le destin de l'Europe n'est pas de devenir l'Afrique" ou encore que la place de ces clandestins n'est "ni en France, ni en Italie mais dans leurs pays".
Pour défendre leur souveraineté territoriale, leur sécurité, leur identité, les pays européens doivent désormais faire preuve de fermeté en expulsant tous les immigrés entrés illégalement et en reconduisant systématiquement les bateaux de clandestins vers leur port d'origine.
Rappelons qu'en Australie, c'est cette politique de fermeté qui a notamment permis qu'il n'y ait plus AUCUN clandestin mort en mer.
Vintimille : «L’Italie ne peut pas accepter qu’on la laisse seule»
"Les migrants près de la frontière entre l'Italie et la France"
200 à 250 migrants ont été bloqués à Vintimille par les douanes françaises qui ne les ont pas laissés entrer en France.
L’ancien ministre des Affaires étrangères Franco Frattini est persuadé que «l’Italie ne peut pas accepter qu’on la laisse seule».
Depuis le 11 juin, les migrants du Sud de l’Afrique restent bloqués dans la ville italienne de Vintimille à la frontière franco-italienne. Ils veulent gagner les pays voisins mais les autorités les en empêchent. Des voitures de police sont stationnées en contrebas de la route qui conduit en France et les migrants manifestent.
Dimanche soir, tandis que les migrants manifestaient pour avoir la possibilité de se déplacer, une douzaine de militants français d’extrême droite du groupe Génération identitaire sont arrivés à Vintimille et ont déployé une banderole sur laquelle ils avaient écrit en anglais «Pas question, vous ne vous installerez pas en Europe !».
"Des militants français du groupe Génération identitaire"
Les policiers italiens les ont rapidement repoussés mais la vague d’indignation ne s’est pas calmée.
Les migrants n’ont pas quitté la ville.
La grande majorité d’entre eux passent leurs nuits dans les gares, dont certaines ont été transformées en camps où les migrants dorment à même le sol, y compris des enfants et des femmes enceintes.
«On ne peut pas laisser entrer en France des personnes en situation irrégulière et chacun mesure que l'Europe fait face à des flux migratoires exceptionnels», a commenté une source dans l'entourage du ministre français de l'Intérieur Bernard Cazeneuve.
Les autorités italiennes, à leur tour, ont donné leur avis sur la question.
L’ancien ministre italien des Affaires étrangères Franco Frattini estime pour sa part que les dirigeants de l’UE ne pensent qu’à «leurs intérêts politiques nationaux plutôt qu’à la solidarité européenne».
D’après lui, une telle attitude «causera un véritable dommage à la crédibilité de l’UE» car «l’Italie ne peut pas accepter qu’on la laisse seule» dans cette situation.
Le premier ministre italien a décidé d’élaborer un nouveau plan si le Conseil européen ne montrait pas plus de solidarité envers l’Italie.
Il a précisé que son pays avait secouru en mer plus de 57 000 migrants depuis le début de l’année tandis que l’UE prévoyait maintenant de ne répartir en son sein que 24 000 d’entre eux.
L’analyste politique et stratégique mondial Alessandro Politi croit que dans l’UE «tout le monde doit prendre sa part de migrants».
Mais certains gouvernement «dont l’Espagne, la France, le Royaume-Uni et la Hongrie, pour des raisons purement internes, s’y refusent aveuglément» pour privilégier des «commodités politiques de court terme».
La Grande-Bretagne refuse notamment de modifier ses pratiques en matière d’immigration.
«D’après le droit de la mer, si vous avez récupérez quelqu’un à bord, cette personne doit être envoyée dans votre propre pays parce que le bateau constitue une extension de la souveraineté de votre pays. Mais les Britanniques ont initié cette sorte de clause de sortie, ce qui est absolument scandaleux», a-t-il poursuivi.
«Si le Conseil européen choisit la solidarité, tant mieux. Sinon, nous avons préparé un plan B mais qui serait une blessure pour l'Europe», a récemment déclaré Matteo Renzi.
D’après lui, la crise «ne doit pas être sous-estimée.
C'est un problème sérieux et, que ce soit bien clair, les réponses de l'Europe n'ont jusqu'à maintenant pas été suffisamment bonnes». Maintenant, il espère que lors du sommet de 25 juin, les dirigeants européens ouvriront les yeux sur ce problème.
Le président de la Croix Rouge italienne, à Rome, Flavio Ronzi est d’avis que les gouvernements européens sacrifient les vies des migrants à la politique politicienne.
«Actuellement, les gouvernements ne font pas suffisamment attention aux perspectives des droits de l’homme. Et nous avons parlé avec certaines personnalités, plutôt politiques…. Mais nous pensons que certains gouvernements, certains hommes politiques commencent à jouer et à établir des stratégies politiques sur la base de la vie des migrants», a-t-il déclaré.
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
Invité Invité
Sujet: Re: Frontière franco-italienne . Mar Juin 16 2015, 08:48
C'est çà notre politique , prendre en compte toute la merde de l'Afrique , mais pour ce qui est du travail, ces migrants là n'en veulent pas , il veulent notre argent c'est tout