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 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944

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MessageSujet: 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944   2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 Icon_minitimeVen Nov 23 2007, 18:22

LES COMBATS DE SAINT-MARCEL .




« vous allez être les premiers soldats alliés à toucher le sol de France dans le cadre du débarquement que vous avez tant attendu. Soyez prêts, Messieurs, c'est un redoutable honneur; je vous félicite et vous souhaite bonne chasse et bonne chance!!! »
allocution du Général Mac Leod commandant la brigade SAS, dont fait parti le 2° Régiment de Chasseurs Parachutistes français.

En pointe du dispositif allié, un peu avant minuit le 5 juin 1944, deux sticks de huit hommes, formant quatre équipes aux ordres des Lieutenants Marienne, Botella, Deschamps, Déplante, sautent sur la Bretagne.
L'un dans les Côtes-du-Nord, l'autre dans le Morbihan. Deux jours après, dix-huit équipes sont larguées sur la Bretagne pour se livrer à des actions de sabotages et de guérilla visant à désorganiser les forces ennemies sur place et à empêcher tout éventuel envoi de renfort vers les plages du débarquement en Normandie. Le 9 juin, le commandant Bourgoin, son état-major, la compagnie de commandement, un escadron de jeep armées façon SAS et une compagnie à pied sautent à leur tour sur le Morbihan, tandis qu'une autre compagnie est larguée sur la base opérationnelle des côtes-du-Nord.
Les parachutistes de la France libre ont un terrible rendez-vous avec la mort et la gloire.
En cette nuit du 5 au 6 juin 1944, le premier drame a lieu. Leur avion ayant été repéré en vol au-dessus de la zone de saut, une partie du groupe du lieutenant Marienne est attaqué dès son arrivé au sol. Marienne, qui s'est éloigné pour tenter de faire la jonction, avec le reste de son commando, entend, alors qu'il s'enfonce dans les bois, des rafales et des explosions. Il a compris, mais il ne sait pas que vient de tomber le premier soldat allié du débarquement
le caporal Emile Bouétard, vigoureux et courageux Breton de dix-neuf ans,
et que ses trois radios sont prisonniers.
Le caporal Sauvé, à côté de Bouétard gisant, sait que tout est perdu pour eux; alors il se saisit du foulard de soie sur lequel sont inscrits les codes radiotélégraphiques et le noue autour de son cou.
Un sergent allemand se précipite sur lui et lui arrache le précieux tissu.
-beau cadeau pour ma fiancée!!!
Sauvé voit le foulard disparaître dans la poche de la vareuse du sergent. Il est soulagé. Le matériel et l'armement des paras sont entassés sur une charrette , les codes ne figureront jamais à l'inventaire.
Avec ses camarades Etrich et Jordan, il part en captivité.
L' arrivée des parachutistes est remarquée par la population. De son côté, la résistance, mise en alerte par des messages personnels de Londres, est impatiente de pouvoir agir après tant d'années d'espoir; ses hommes rejoignent les SAS et se constituent en unités. Le 7 juin, le reste du commando Marienne s'installe à proximité du village de St-Marcel. L'officier choisi un terrain qui servira de zone de parachutage et le dénomme « baleine ».
désormais, la Bretagne est à feu et à sang. Explosions et embuscades se succédent. Les paras semblent être partout à la fois. Ils attaquent, se replient, sabotent et disparaissent avant que les allemands aient pu se faire une idée des forces assaillantes et de la tactique employée.
-quelle folie!! répète Marienne . Comment pouvez-vous penser que les allemands ne vont pas nous repérer rapidement..., et toutes ces allées et venues de civils en armes..., ces voitures décorées de drapeaux tricolores?
ne t'inquiète pas, lui rétorque son adjoint Déplante, d'ailleurs peut-on renvoyer ces gens à leurs occupations?
Quand le commandant Bourgoin se pose sur Baleine, au soir du 9 juin, il n'en revient pas. Le mot kermesse lui vient à l'esprit. Marienne, qui avu le drôle de parachute descendre dans la nuit , se précipite. Non, ce n'est pas un parachute à matériel!!!
c'est le patron!!! hurle-t-il à l'adresse de ses hommes . En avant!!! il faut le couvrir.
Le « Manchot » est stupéfait. Tout juste débarrassé de son harnais, il rencontre les chefs régionaux de la résistance. En particulier, l'attitude du colonel Morice l'émeut. Il va falloir faire face, avec prudence certes, mais aussi convaincre Londres et agir. Voilà en gros ce qu'il déclare à ses officiers.
Jusqu'au 19 juin, les parachutages vont se succéder toutes les nuits sur Baleine; les allemands n'intervindront pas. Ainsi tombe du ciel, dans des conteneurs, armes, munitions, explosifs, engins anti-chars, mortiers légers. Les SAS instruisent, regroupent, organisent, canalisent tous ces civils, parfois inexpérimentés, qui connaissent mal, même quand ils ont éffectué leur service, les armes modernes nées du conflit.

LE COMBAT DE SAINT MARCEL.


2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 St_mar10

Hélas!!! A la rigueur et à la discipline des parachutistes SAS, dont l'entraînement rigoureux porte ses fruits, s'oppossent la fougue, l'ardeur et l'indiscipline de jeunes FFI qui ne rêvent que d'en découdre, ce qui va provoquer l'irréparable: la base opération va être découverte.
Entre le 11 et le 18 juin, Saint-Marcel va devenir le théatre d'escarmouches qui comdamnent à terme l'entreprise. Poutant, les allemands ne sauront vraiment ce qu'elle représente en volume et en puissance qu'au début de leur attaque en force.
maintenant, déclare Bourgoin, on doit se tenir sur le qui-vive... il faut s'attendre à de vives réactions.
Les paras établissent un dispositif défensif, ils répartissent judicieusement les armes lourdes dont ils disposent entre les positions tenues par les résistants, qui ne manquent ni de courages ni d'allant. Deux compagnies d'intervention aux ordres du commandant Puech-Samson sont constituées. Il déclare aux deux officiers qui les commandent:
-votre rôle sera d'étayer ponctuellement les points du périmetre défensif qui seront malmenés.
La nuit passe calmement, interrompue seulement par le parachutage de quatre Jeep et d'un important matériel d'accompagnement. Malheureusement, le conteneur qui renferme les mitrailleuses des véhicules s'écrase, parachute en torche, et onze armes sur douze sont détruites.
Le 18 juin, à 4h30 du matin, alors qu'est célèbré au camp la messe dominicale, un accrochage a lieu avec la Feldgendarmerie. Un des deux véhicules allemand est détruit par un engin anti-char; trois occupants sont tués, un gravement bléssé. Le second véhicule est immobilisé et trois gendarmes allemands sont capturés, mais le quatrième fuit à travers bois, évitant le tir qui l'encadre. C'est sans doute lui qui donnera les renseignements utiles à l'attaque en régle des positions françaises. A 8h30,
le village de Saint-Marcel est investi par un bataillon de la Wehrmacht, bientôt suivi par un second. Aussitôt, une compagnie part à l'assaut et se heurte aux positions tenues par les SAS, d'où part un feu nourrit et meurtrier. La compagnie s'acharne et tente de progresser; sespertes sont importantes, car le dispositif français est dense et les allemands n'évaluent toujours pas avec exactitude l'importance de leur objectif. Ils croient à la présence de quelques groupes mal organisés et perdent ainsi un temps précieux. Les sections de tête doivent bientôt se replier .
-enterrez-vous et ne bougez pas!!! crie un para à l'adresse d'un petit groupe de FFI qui se lève en voyant l'ennemi refluer.
On profite de cette accalmie pour consolider le périmètre défensif. Des paras arrivent en renfort sur le côtés Est. Les jeep constituent une réserve mobile, on les équipent de fusils-mitrailleurs Bren et les équipages emportent des PIAT.
La journée sera longue et rude. A son PC, Bourgoin examine la situation. Penché sur les cartes, il paraît encore plus massif avec son béret noir rejeté en arrière et sa manche vide prise dans le ceinturonde toile. Il sait que ses paras, qui ont subi un entraînement féroce et dont les plus anciens ont déjà combattu au Moyen-Orient, sauront faire face; ilest plus inquiet pour les jeunes volontaires qui vont recevoir le baptême du feu.
A 10heures, nouvelle attaque. Deux compagnies avancent en ligne..., leurs armes automatiques sément la mort chez les Français. On évacue les blessés en jeep. L'ennemi se fait appuyer par des mortiers qui battent les lisières des bois de Saint-Genneviève, croyant que le PC Français y est installé.
Le combat dure jusqu'à midi. On constitue des groupes mixte paras-FFI, afin de pouvoir les engager là où le dispositif peut-être mis à mal. A leur tour les 2° et 3° compagnies du bataillon FFI Le Garec subissent des offensives. La pression sur les secteurs Ouest et Sud-Ouest du camp s'accentue. De part et d'autre, des hommes tombent. Le château de Sainte-Genneviève est transformé en hôpital de campagne. Les blessés les plus graves sont évacués sur Saint-Marcel.
Le camp retranché souffre cruellement du manque d'armes lourdes(canon anti-chars, mortiers lourds) qui équipent les divisions aéroportées classiques. Les SAS, dont l'action commando nécessite légèreté, mobilité et souplesse, n'en sont pas dotés, puisqu'en principe leur combat n'est pas celui de l'infanterie. L'ennemi a profité de cette fin de matinée pour étayer son dispositif. Au lieu d'effectuer une large manoeuvre d'encerclement avec des unités motorisées, ilse retranche solidement face aux positions qu'il attaque depuis plus de quatre heures sans parvenir à passer.
Vers 14 heures, des renforts allemands arrivent: principalement un bataillon de parachutistes et un groupement tactique de la 275° division d'infanterie. Ils prennent position entre les unités d'un bataillon Géorgien. Ces derniers parviennent à ouvrir une brèche dans le dispositif, et arrivent ainsi à hauteur du château de Sainte-Genneviève.
A 17h30, les attaques sur le bois Joly permettent à l'ennemi de prendre la ferme et obligent les Français à reporter leur front à plus de 300m en arrière. Pourtant, à la suite de la demande par radio du commandant Bourgoin, une attaque de chasseurs bombardiers a eu lieu à 15h30; elle a permis, pendant un moment, de désorganiser l'ennemi. Mais celui-ci est bien décidé à en finir avec les « terroristes ». il obtient des troupes fraîches en renfort, et à la nuit tombée la situation, qui s'est dégradée en fin d'après-midi, devient tout simplement intenable.
Entre 19 et 20 heures, des attaques d'une extrême brutalité sont menées sur tout le périmètre situé entre Sainte-Genneviève et l'abbaye. A ce moment, le secteur nord, tenu par le bataillon Caro, subit lui aussi un assaut en règle.
Les renseignements qui parviennent au PC de la Nouette sont très alarmants: de nouveaux renforts ennemis affluent vers le camp. Une pluie fine commence à tomber, la fatigue se litb sur les visages des défenseurs. Dans un trou, un parachutiste, voyant son jeune voisin frissonner dans sa chemise légère ôte sa veste camouflée et la lui tend.
quel âge as-tu ? Lui demande le SAS.
Dix-sept ans depuis deusx jours, réponden souriant le jeune Breton...
Il n'a même pas le temps de lui demander son nom.
Depuis les fourrés qui leur font face l'attaque reprend de plus belle.
La nuit est maintenant totale. Bien que blessé, Puech-Samson et Marienne se dépensent sans compter. Le Manchot les demande au PC. Le visage tendu, bourgoin leur explique son plan de décrochage. C'est pour 22 heures.
Saint-Marcel, c'est fini!!! Comme Bir-hakeim, les français libres ont tenu avec des moyens inférieurs face à un ennemi puissant et résolu.
A lheure fixée, le repli commence avec discipline, alors qu'une compagnie mixte paras-FFI couvre la manip. Deux mille hommes, vingt camions et quatre ambulances se retirent vers Serent et Callac.
Le commandant Puech-Samson a fait regrouper en tas tout ce qu'on ne peut pas emporter: armes, vivres, équipements, munitions...et les fait piéger. Dans la nuit, les allemands, surpris entendent des explosions secouer le camp retranché.
Comme du sable, les Français leur ont coulé entre les doigts, et les 3 tonnes de matériel qui s'envolent en fumée sont comme un hourra qui monte dans la nuit.
Pour les paras les ordres sont formels: « disparaissez, cachez-vous quelques temps, puis, sur ordre, reprennez les sabotages. »
Au cours de cette mémorable journée, six parachutistes et vingt-quatre résistants ont été tué. Les allemands ont perdu, dit-on, plus de 300 hommes.
Le journal de marche de la XXVe armée allemande compte, quant à lui, 50 morts, 50 blessés et 20 disparus pour la période allant du 1er avril au 30 juillet 1944.

COMBATTRE, VAINCRE ET MOURIR


Cette belle et grave devise appartient à Marienne, tombé au combat. Elle va devenir, à partir de ce 19 juin, la proffession de foi de chaque homme du 2°RCP. Elle résume leurs folles et téméraires actions. Quand, en Août, les forces américaine arriveront enfin en Bretagne, elles trouveront la province libérée.
Mais elles trouveront surtout un régiment réduit à se plus simple expression. Devant tenir quinze jours en accomplissant des missions spéciales, le « Bataillon du ciel » et la résistance ont réussi à combattre pendant deux mois presque sans moyens!!! Le résultat eût été bien meilleur sans la trop grande concentration de moyens à Saint-Marcel, qui ne pouvait qu'entraîner une riposte allemande immédiate.
Le bilan est à lui seul éoquant. Sur un effectif de 550 hommes le 2°RCP a perdu 23 officiers et 175 hommes.


source"QUI OSE VAINCRA"

respect pour ces HOMMES 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 247322 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 247322 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 247322
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MessageSujet: Re: 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944   2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 Icon_minitimeVen Nov 23 2007, 18:32

2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 247322 pour eux !!!!

2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 373769 et merci charognard !!!!!!
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MessageSujet: Re: 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944   2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 Icon_minitimeVen Nov 23 2007, 18:35

charognard33 a écrit:
LES COMBATS DE SAINT-MARCEL


Bonsoir Charognard33,

merci de ce post fouillé,
j'ai lu, aussi, celui, des premiers PARAS (09?), avec Sauvagnac....
qui pour ma part est un excellent travail.

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MessageSujet: Re: 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944   2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 Icon_minitimeVen Nov 23 2007, 19:16

Merci Charognard,

De nous permettre de revivre l'histoire de nos anciens.
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MessageSujet: Re: 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944   2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 Icon_minitimeLun Oct 13 2008, 11:58

Des modeles 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 247322
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MessageSujet: Re: 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944   2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 Icon_minitimeLun Oct 13 2008, 15:28

Merci . Le musée de la Résistance à St Marcel est absolument à voir si vous passez en Bretagne .
Si cela se fait toujours vous pourrez même faire un tour de halftrack !!!
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MessageSujet: Re: 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944   2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 Icon_minitimeLun Oct 13 2008, 16:13

Pourquoi pas la ST Michel 2009 en Bretagne ?
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MessageSujet: Re: 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944   2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 Icon_minitimeLun Oct 13 2008, 16:17

blida1961 a écrit:
Merci . Le musée de la Résistance à St Marcel est absolument à voir si vous passez en Bretagne .
Si cela se fait toujours vous pourrez même faire un tour de halftrack !!!

peut tu nous donner + infos sur ce musée
merci
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MessageSujet: En Bretagne   2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 Icon_minitimeLun Oct 13 2008, 16:17

Pourquoi pas, comme cela je pourrais être présent! 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 991300 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 991300
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MessageSujet: Lien   2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 Icon_minitimeLun Oct 13 2008, 16:19

Un petit lien vers le musée

http://www.resistance-bretonne.com/index2.htm

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MessageSujet: Re: 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944   2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 Icon_minitimeLun Oct 13 2008, 16:26

severlow a écrit:
Pourquoi pas, comme cela je pourrais être présent! 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 991300 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 991300

Idem 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 991300 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 991300
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MessageSujet: Re: 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944   2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 Icon_minitimeLun Oct 13 2008, 16:47

severlow a écrit:
Un petit lien vers le musée

http://www.resistance-bretonne.com/index2.htm

2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 926774

Merci pour le lien 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 926774 Pour la St Michel la Normandie serait tres bien aussi 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 926774 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 926774 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 926774
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MessageSujet: Normandie ?   2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 Icon_minitimeLun Oct 13 2008, 16:54

Pourquoi pas Ste Mère Eglise 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 367768
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MessageSujet: Re: 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944   2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 Icon_minitimeLun Oct 13 2008, 16:59

je n'oser pas le dire 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 243581 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 243581 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 243581 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 337997 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 337997 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 337997 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 337997
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MessageSujet: Re: 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944   2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 Icon_minitimeLun Oct 13 2008, 17:00

M'enfin faut voir ça avec les BOSS !!!2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 367768
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MessageSujet: St Michel   2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 Icon_minitimeLun Oct 13 2008, 18:38

Ben oui, de plus c'est à quoi, 2h30 de chez moi 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 991300
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MessageSujet: Re: 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944   2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 Icon_minitimeMar Oct 14 2008, 06:40

Et au vu de tes conaissances tu nous serviras de guide 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 991300 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 991300
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MessageSujet: guide   2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 Icon_minitimeMar Oct 14 2008, 08:33

Je l'avais fait une fois pour un groupe de motards! d'Arromanches à la Pointe du Hoc!

Cela avait été sympa, casse-croûte au bord de l'eau, sièste au soleil.......

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MessageSujet: Re: 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944   2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 Icon_minitimeMar Oct 14 2008, 16:52

Si y'a du sanglier je signe tout de suite

2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 991300 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 991300 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 991300 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 991300 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 991300 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 991300 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 991300 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 991300
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MessageSujet: Re: 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944   2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 Icon_minitimeMar Oct 14 2008, 23:03

S' il faut venir avec la moto , c' est bon . Pour le Musée Obélix m' a devancé et a donné le lien ,
http://www.resistance-bretonne.com/
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MessageSujet: Re: 2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944   2° RCP EN BRETAGNE 5 JUIN 1944 Icon_minitime

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