Les jeux sont faitsJe n’écris plus grand chose en rapport avec l’armée car les jeux sont faits. Il n’y a plus qu’à attendre que tout s’écroule ou que quelque chose se passe. Tout a été dit, il ne sert plus à rien de répéter les mêmes choses: Louvois pour lequel le Mindef ne trouvera pas de solution car il fait de la trésorerie sur le dos de l’armée, les restrictions et économies de bouts de chandelles, le matériel vieillissant, l’entrainement réduit…Tout cela, d’autres sites en parlent, soit de façon informative, soit de façon propagandiste, soit de façon critique…
Le point qui reste à éclaircir est de savoir de manière non partisane si les raisons sont économiques ou s’il s’agit d’une entreprise volontaire de destruction de notre armée, et pourquoi . Pour l’instant, je ne suis pas sûre de pouvoir répondre à cette question sous un angle neutre.
Mais il reste l’actualité quotidienne, les déformations du JT de 20h, la contemplation de la caste dirigeante UMPS qui se gave sur nos plans épargne, les gesticulations des partis extrémistes qu’il est de bon temps soit d’approuver soit de honnir, les idées « révolutionnaires » de Terra Nova pour nous dépouiller un peu plus tous les jours…et madame Trierweiler qui cherche encore sa place là ou rien n’est prévu pour une concubine.
Trieweiler et le peuple qui souffre Et bien il semble qu’elle ait trouvé un combat juste à mener. Elle aurait pu monter une fondation et lutter pour légaliser la place de concubine officielle à l’Elysée…et bien non, elle a trouvé un nouvel arpatheid: la ségrégation des lesbiennes gay, bi et trans noirs en Afrique du Sud ou elle accompagne son jules qui tente de vendre notre savoir-faire énergétique. Je me demande si le fait de mettre en relief à la face du monde une discrimination quelconque dans le pays avec lequel on espère signer des accords économiques, aide beaucoup les industriels français.
Imaginez la scéne: « Bonjour, je suis la compagne de Célibataire 1er, je viens remettre de l’ordre dans la ségrégation contre les lesbiennes gay, bi et trans noirs ». C’est sûr, c’est une stratégie tellement fine qu’il parait que l’entretien avec le couple de lesbiennes gay, bi et trans a été fait à huit clos…
Mais il reste quand même que c’est en Afrique du Sud, et ça sonne « apartheid », c’est quand même de gauche non? Ce peuple souffre dit-elle …Taubira l’accompagne pour l’aider dans sa lutte. Le jour ou le ministre de la justice d’Afrique du Sud et la concubine du président Jacob Zuma viendront en France pour défendre la cause des lesbiennes gay, bi et trans blancs, on comprendra peut-être mieux l’humiliation subie et l’arrogance de nos bobos parisiens.
Et comme si ça ne suffisait pas, le ridicule a été consommé avec sa danse zoulou…maladroite dit la presse. Comme je n’ai pas à lécher les bottes du gouvernement pour les abattements fiscaux, je dirai que c’est grotesque et que j’ai appris avec le temps à ne plus me sentir ridicule en tant que française quand je vois ce couple pitoyable représenter le pays à l’étranger.
Jean Bourdeau, du langage ordurier pour sortir du néant aux propositions de tirer sur des manifestants Le méconnu mais néanmoins attaché parlementaire Jean Bourdeau a traité Marion Maréchal-Le Pen de ‘conne’ et ‘salope’ sur twitter, s’empressant de profiter du buzz de Guy Bedos et Morano, et ces deux inutiles courageux se retranchent derrière l’argument fallacieux de l’humour qui les autoriserait à insulter impunément qui bon leur semble.
Jean Bourdeau est aussi l’auteur du tweet ou il demandait de tirer des coups de canons sur les manifestants du mariage pour tous : « Bonaparte tira des coups de canons face aux ennemis de la République ! Valls devrait faire de même, concernant le Printemps francais ! » Je n’ai pas souvenir d’avoir entendu Marion Maréchal proposer de tirer sur le peuple français. Mais d’aprés Jean-Pierre Michel, sénateur de la Haute-Saône, son patron, il s’agit d’une boutade : « C’est humoristique … comme quand j’avais dit qu’il faut se souvenir de Staline » .Car Staline a ce côté « juste » d’avoir permis « d’écraser Hitler »…en oubliant qu’il a d’abord été son allié…Mais si je dis ça, je manque d’humour…
Le jeune Bourdeau aux dents longues et le vieux Bedos en fin de carrière s’imaginent-ils faire un remake de « Paris brûle-t-il ? » et pimentent-ils leur vie de l’illusion de faire de la résistance, alors que tout ce que risquent ces deux-là est une petite amende ?
Je me souviens d’une époque ou politiques et humoristes avaient de la culture et savaient « savonner » quelqu’un avec élégance. C’était aussi l’époque ou le Français moyen comprenait un discours et avait un lexique de plus de 500 mots. Aujourd’hui, bien forcés sont-ils pour être compris de faire du « raz de paquerette ». Dans 5 ans, on aura un ministre qui twittera « et zyva mon frére » en parlant à Monsieur Hollande. Ca fait tellement « djeune » n’est-ce-pas ?
A Marseille, que des ingrats Les socialistes se font doubler par leur propre clientèle à la primaire PS de Marseille. Ce n’est pas moi qui le dit , c’est Marie-Arlette Carlotti, qui accuse sa rivale de clientélisme et d’organisation paramilitaire. Le PS découvre avec douleur que le quart monde français acheté à coup d’assistanat, de désoeuvrement et d’indulgence ne l’aime pas.
Quand à la sénatrice Samia Ghali , elle a bien en main le discours vide de sens des politiques: Elle veut que les « tous les enfants aillent à l’école républicaine et pas à l’école du ghetto et de l’apartheid. » L’apartheid? encore? Qui va la croire ? franchement ?
Tout va mal mais on gère le fait divers C’est ainsi que la justice française a condamné un pére à 500 euros d’amende pour avoir donné une fessée humiliante à son gamin insolent de 9 ans .
Ou que Valls ouvre une enquête administrative sur l’expulsion d’une collégienne kosovare certes, mais surtout rom. Peillon, lui, veut « sanctuariser » l’école. Avant, on demandait asile à l’église, et on se mettait ainsi à l’abri des gens d’armes. Peillon veut transformer les écoles en églises ou mieux, en sanctuaire ! Remarquez, c’est un bon moyen pour faire aller les roms à l’école.
On touche le fond, cette société n’est pas sauvable.