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| Sujet: Alors Mme Filipeti......... Mer Aoû 07 2013, 15:44 | |
| Alors Mme Filipeti......... Décidément bien petite, après vos vociférations sur les richesses de l'immigration, les Légions d'Honneur (ou d'horreur) que vous distribuez comme des dragées, c'est maintenant les fautes d'hortaugrafe qui tombent comme s'il en pleuvait, ce sont vos collaborateurs.......attention un terme qui rappelle l'occupation nazie, je vais peut-être avoir droit à un procès..........qui vont être contents en apprenant que vous leur faites porter le chapeau. Vous avez droit au carton rouge Madame la ministre, ah! il est beau l'équipage du pédalo. Cocoye 1er (si une ou plusieurs fotes d'hortaugrafe, c'était glicé par inadvertence dans mes propots, ces pas moi, ces ma secrétère) Extrait de PLANET.fr Heureusement que le ridicule ne tue pas. En choisissant de rendre public son message de soutien au journaliste Frédéric Haziza, contre lequel circule une pétition lancée par l’extrême-droite, Aurélie Filippetti a provoqué les sarcasmes des internautes. Il aura suffi d’un tweet pour mettre le feu aux poudres. Un tweet comportant six erreurs d’othographe et de ponctuation, ainsi qu’une faute de syntaxe. Voici le message publié sur le compte Twitter officiel de la ministre de la Culture: "Soutien total a Frederic haziza dont les attaques ont des relans abjects d avant guerre". "Relans" ou plutôt "relents" ? Sur à peine 140 caractères, on dénombre ainsi pas moins de six fautes : l’absence d’un trait d’union, d’une apostrophe, d'une majuscule et de plusieurs accents, ainsi qu’une énorme faute au mot "relents", orthographié "relans" dans le tweet. Mais ce n’est pas tout, puisqu’Aurélie Filippetti a également commis une faute de syntaxe. En effet, ce tweet, ou du moins la façon dont il a été tourné, nous donne l’impression que c’est Frédéric Haziza qui a s'est rendu coupable des "attaques aux relents abjets", et que la ministre apporte donc son soutien aux attaques commises par le journaliste. "Un tweet rédigé par ses collaborateurs" Sur Twitter, certains s’amusent à renvoyer la ministre sur les bancs de l’école en surlignant en rouge, à la manière d’un professeur, les fautes d’orthographe, décernant même une note proche du niveau de la mer à la fautive. Confrontée aux railleries de la "twittosphère", Aurélie Filippetti s’est dédouanée et a fait savoir, via un nouveau message, que le premier tweet avait été rédigé par ses collaborateurs. "Merci à tous les amoureux de la Langue Française de leur vigilance vis-à-vis de mes collaborateurs", pouvait-on lire sur son compte. Un message, rédigé par un autre ou non, qui fait plus que désordre... |
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