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 13 janvier

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MessageSujet: 13 janvier   13 janvier Icon_minitimeMar Jan 13 2009, 07:57

13 janvier 13e jour de l'année

Zodiaque : 13 janvier Capric15

Aujourd'hui : Sainte Yvette et Saint Hilaire

Sainte Yvette

(Bienheureuse) Originaire de Huy (Belgique wallonne), elle est mariée contre son gré alors qu’elle est encore très jeune. Elle met au monde trois enfants, dont l’un décède en très bas âge, et est déjà veuve à 18 ans. Elle refuse alors de se remarier pour se consacrer entièrement au service des lépreux. Lorsque ses enfants sont élevés (l’un d’entre eux devient moine cistercien puis abbé d’Orval), elle se fait emmurer dans une cellule adossée à l’église de sa ville natale, et y passe les trente dernières années de sa vie, procurant réconfort et conseils aux nombreuses personnes qui lui rendent visite (1158-1228)

Saint Hilaire

Théologien originaire de la région d'Aquitaine, exilé en Phrygie par les ariens puis évêque de Poitiers (même s'il fut marié et père d'une fille nommée Abra), auteur de nombreux écrits exégétiques et poétiques, Docteur de l'Église (315-368) (Il est décédé le 13 janvier, mais il est inscrit au 14 du martyrologue romain)

Dicton du jour :

Soleil au jour de Saint-Hilaire, rentre du bois pour ton hiver


ÉVÉNEMENTS :

1129 : Ouverture du concile de Troyes, convoqué par le pape Honorius II à la demande d'Hugues de Payns, pour reconnaître officiellement l'Ordre du Temple, dont la règle, rédigée par Saint-Bernard, est approuvée par le concile.

1188 : Au départ de la 3e croisade à Gisors, en Normandie, Philippe II Auguste, Henri II d'Angleterre et le comte de Flandre conviennent de distinguer leurs hommes par couleurs. La croix de gueules (rouge) fut attribuée aux Français, d'argent (blanc) aux Anglais et de sinople (vert) aux Flamands.

1595 : Limitation de lecture !

Le roi François Ier fait interdire toute impression de livres en France sans autorisation. C'est la première censure officielle mondiale qui touche les livres.

1813 : Abandon de son commandement par Murat qui quitte la Grande Armée pour rentrer à Naples.

1898 : J'accuse

L'article d'Emile Zola, rédigé sous le coup de l'indignation provoquée par l'acquittement d'Esterhazy dans l'affaire Dreyfus, paraît dans L'Aurore. Clemenceau qui prend connaissance du texte avant sa publication, enthousiaste, donne son titre à ce qui est une lettre ouverte au président de la République. Vive émotion dans toute la France. A vrai dire, même plus que cela !

1908 : Le premier vol en boucle.

En aéroplane : 1000 mètres. Henri Farman est un aviateur et industriel français, né en 1874. Le premier avion de Farman est commandé, en 1907, aux frères Voisin, nouvellement installés à Billancourt : biplan avec moteur Antoinette et gouvernail de direction à l’arrière ; gouvernail de profondeur à l’avant, manœuvré par le pilote assis au bord de l’aile inférieure. Sur cet appareil, Farman exécutera le premier vol homologué de 1 000 mètres, en circuit fermé, pour lequel un prix de 50000 francs était proposé, depuis 1904, par l’Aéro-Club de France (et les mécènes allemands, Deutsch et Archdéacon). L’événement a lieu le 13 janvier 1908, au-dessus du champ de manœuvres d’Issy-les-Moulineaux : aller-retour entre deux repères à 500 mètres l’un de l’autre en une minute et vingt-huit secondes. La période des " bonds " est révolue. Quelques mois plus tard, le 30 octobre, Farman effectue le premier voyage en aéroplane. Depuis Bouy (près de Châlons-sur-Marne), où il s’est fixé, il volera d’une seule traite jusqu’à Saint-Léonard (près de Reims), couvrant les 27 kilomètres, à 25 mètres d’altitude, en vingt minutes. En 1909, avec son frère Maurice (1877-1964), Farman entreprend de construire, à Bouy, ses propres avions : biplans pourvus d’un moteur Gnome, gauchissement des ailes remplacé par un dispositif de quatre ailerons, équilibreur modifié. Un premier triplan est aussi réalisé. De l’avion d’observation (la " cage à poules ", 1915) aux bombardiers utilisés pendant la Seconde Guerre mondiale, Farman devait apporter une large contribution aux équipements de l’armée de l’air.

1910 : Naissance de la radio. La première radiodiffusion publique est réalisée à New York.

1912 : À Paris, formation du ministère Raymond Poincaré.

1993 : 127 pays signent à Paris une convention d'interdiction des armes chimiques.

2000 : Une équipe internationale de chirurgiens dirigée par le Pr Jean-Michel Dubernard effectue une double greffe des mains à l'hôpital Edouard-Herriot de Lyon sur un peintre en bâtiment de 33 ans, une première mondiale.

NAISSANCES :

1727 : Pierre Laujon, auteur dramatique et chansonnier français († 13 juillet 1811).

1804 : Sulpice-Guillaume Chevalier, dit Paul Gavarni, aquarelliste et dessinateur français († 24 novembre 1866).

1812 : Victor de Laprade, poète, homme de lettres, homme politique et académicien français († 13 décembre 1883).

1845 : Félix Tisserand, astronome français († 20 octobre 1896).

1859 : Maurice Paléologue, académicien français († 1944).

1877 : Georges Gurdjieff, écrivain français († 29 octobre 1949).

1887 : Gabriel Gabrio, acteur français († 1946).

1895 : Jane Marken, actrice française († 1er décembre 1976).

1913 : Gilbert Cesbron, écrivain français († 1979).

1915 : Louis Amade, préfet, poète, auteur français de chansons pour Gilbert Bécaud († 4 octobre 1992).

1918 : Maurice Blondel, footballeur français.

1922 :

* Jeanne Bourin, écrivaine française († 19 mars 2003).

* Albert Lamorisse, réalisateur français († 2 juin 1970).

1923 : Lucien Barrière, chef d'entreprise français († 1990).

1924 : Roland Petit, chorégraphe et danseur français.

1933 : Paul Valadier, philosophe français.

1934 : Jacques Debronckart, compositeur français († 1983).

1937 : Christian Darrouy, joueur de rugby français.

1938 : Richard Anthony, chanteur français.

1941 : Jean-Claude Guibal, homme politique français.

1945 : Pierre Galle, joueur et entraineur français de basket-ball.

1950 : Christian Gaudin, homme politique français.

1951 : Bernard Loiseau, chef cuisinier français († 24 février 2003).

1957 : Bruno Baronchelli, footballeur français.

1983 : Ronny Turiaf, basketteur français.

DÉCÈS :

1138 : Simon Ier de Lorraine, duc de Lorraine (° v. 1076)

1147 : Robert de Craon, deuxième Grand-Maître des Templiers

1151 : Suger, homme d'église et homme d'État français, abbé de Saint-Denis (° v. 1080)

1790 : Luc Urbain de Bouexic, comte de Guichen, amiral français (° 21 juin 1712)

1923 : Alexandre Ribot, homme politique français (° 7 février 1842)

1934 : Paul Ulrich Villard, physicien français, découvreur des rayons gamma (° 1860)

1982 : Marcel Camus, réalisateur français (° 21 avril 1912)

1993 : René Pleven, homme politique français (° 15 avril 1901)

1996 : Denise Grey, comédienne française (° 18 septembre 1896)

2002 : Pierre Joubert, dessinateur français (° 27 juin 1910)

2005 : Albert Piton, 106 ans, l'un des 14 derniers « poilus » de la Première Guerre mondiale. 13 janvier 247322
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MessageSujet: Re: 13 janvier   13 janvier Icon_minitimeMar Jan 13 2009, 09:22

Merci CA
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MessageSujet: Re: 13 janvier   13 janvier Icon_minitimeMar Jan 13 2009, 10:24


Joachim Murat ,
Maréchal (1804), roi de Naples de 1808 à 1815
(La Bastide-Fortunière (Lot), 1767 - Pizzo, 1815)


Maréchal, roi de Naples : dans le jeu d’échecs napoléonien, Murat est le cavalier, splendide guerrier aux costumes extravagants, Murat est le fou, impétueux et irréfléchi, Murat est la reine qui a besoin des preuves d’affection de son maître pour offrir tout son dévouement. Il est traité comme un pion, placé sur un trône sans liberté d’action. De là, une trahison à demi-consommée, une fin tragique dans un village italien.

Joachim, le cadet de douze enfants, de parents aubergistes, entreprend des études au séminaire des Lazaristes de Toulouse. En février 1787, à la suite d’une querelle avec un camarade, il abandonne la voie ecclésiastique pour s’engager dans un régiment de chasseurs à cheval. En deux ans, il devient maréchal des logis. Mêlé à une mutinerie, il est renvoyé de l’armée. Quand son père le voit revenir, il lui ferme sa bourse. Murat se fait épicier. Déjà, son panache impressionne et il est désigné par son canton pour participer à la fête de la Fédération du 14 juillet 1790. L’année suivante, il obtient d’être réintégré dans les rangs de l’armée comme simple soldat. Il est nommé sous-lieutenant le 30 mai 1791. Un moment inquiété par la chute de Robespierre, ce républicain fervent allé jusqu’à adopter le nom de Marat se retrouve finalement sans affectation en cette fin d’année 1794, à Paris. A l’aube du 13-Vendémiaire, Barras et un jeune général corse, Bonaparte, demandent un volontaire pour récupérer les canons parqués aux Sablons. Murat se propose.

Il revient avec 40 pièces, qui permettront d’étouffer l’insurrection royaliste.Par ce geste, Murat lie son destin à celui de Bonaparte. Ce dernier le nomme chef de brigade le 2 février 1796 et en fait un de ses aides de camp. A ce titre, Murat l’accompagne en Italie en 1796 où il se signale par sa bravoure. Chargé de porter les drapeaux ennemis au Directoire, à Paris, il est également prié d’intercéder auprès de Joséphine pour qu’elle rejoigne son époux. Il revient de Paris avec le grade de général de brigade. Il participe au siège de Mantoue. Après Campoformio, Bonaparte l’envoie au congrès de Rastatt.

En Egypte, Murat s’illustre à la tête d’une brigade de cavalerie. Après la prise d’Alexandrie (2 juillet 1798) et la bataille des Pyramides (21 juillet 1798), il est le premier à monter à l’assaut de Saint-Jean-d’Acre (28 mars 1799), lors de l’expédition de Syrie. A la bataille d’Aboukir, le 25 juillet 1799, il s’empare personnellement du pacha Mustapha, à qui il tranche deux doigts dans le feu de l’action. Cela lui vaut une blessure peu ordinaire une balle lui traverse la mâchoire de part en part et le grade de général de division. Murat est devenu une figure populaire.

Pourtant, tout au long des années passées ensemble, Bonaparte se montrera abrupt avec celui qui lui a donné des gages de sa loyauté le 18-Brumaire en lançant à ses grenadiers devant les parlementaires éberlués : «Foutez-moi tout ce monde-là dehors !». Bonaparte lui accorde la main de sa sœur Caroline, en février 1800, mais après l’intervention de Joséphine. Il le fait maréchal en 1804, grand amiral et prince l’année suivante, mais semble répugner à lui confier des commandements importants.

Gouverneur de Paris en 1804, Murat signe avec réticence la constitution de la commission qui préside à l’exécution du duc d’Enghien. Il part l’année suivante pour la campagne d’Autriche, à la tête de toute la cavalerie. Après la prise d’Ulm (15-20 octobre 1805), il poursuit les armées russes et autrichiennes le long du Danube. Alors que Napoléon lui ordonne de couvrir les flancs de la Grande Armée, il entre dans Vienne à la tête de ses hommes, le 11 novembre 1805. Napoléon lui fait de sévères remontrances pour cet acte d’insubordination. Murat se rattrape par sa conduite lors de la bataille d’Austerlitz, le 2 décembre.

Napoléon lui accorde le grand-duché de Berg et de Clèves en 1806 ; il lui faut un homme de confiance pour assurer le blocus continental. Murat goûte au pouvoir, s’avère soucieux du bien-être de ses sujets. C’est l’occasion de nouvelles tensions avec l’Empereur, qui le rappelle bientôt dans les rangs. En 1806, en effet, la Prusse, l’Angleterre, la Suède et la Russie ont déclaré la guerre à la France. Murat chasse les Prussiens jusqu’à Leipzig, participe brillamment à la bataille de Iéna le 14 octobre 1806, fait capituler Blücher à Lübeck. Il entre le premier à Varsovie le 28 novembre 1806. A Eylau (8 février 1807), il commande toute la cavalerie française. Sur l’ordre de Napoléon, il lance ses troupes pour repousser le centre russe. Cette charge reste dans la légende sous le nom de «charge des 80 escadrons».

Napoléon offre à Murat la couronne de Naples en 1808, mais à condition qu’il demeure un pion de la politique impériale. Murat a sans doute rêvé du trône espagnol pour lequel il a payé de sa personne. Envoyé en Espagne sans instructions précises, c’est lui qui réprime durement l’insurrection du 2 mai 1808, organise l’exode de Ferdinand VII et Charles IV vers Bayonne. Et cette couronne napolitaine enfin acquise, il tremble de s’en voir décoiffé, à l’instar du roi de Hollande, dont le royaume est purement et simplement annexé à l’Empire en 1810.

Ce roturier s’avère roi consciencieux. Il introduit des réformes, organise une armée… Les frictions avec l’Empereur reprennent, exacerbées par la dissension entre Caroline et Murat, qui se disputent le pouvoir.

En 1812, Napoléon appelle son beau-frère à ses côtés pour la campagne de Russie, à nouveau à la tête de la cavalerie. Durant les six mois de la campagne, Murat sera constamment au contact des armées russes. Lors de la bataille de Borodino le 7 septembre, il charge à la tête de 15 000 cavaliers au devant des canons russes.

Alors que Napoléon est à Moscou, en octobre 1812, il manque de se faire encercler à Taroutino (18 octobre 1812) mais parvient à se dégager. En décembre, Napoléon lui laisse le commandement de la Grande Armée pour rentrer précipitamment à Paris. Murat ne veut pas de ce commandement : il veut sauver son royaume. A Wilna, il perd son sang-froid et abandonne la Grande Armée. De retour à Naples, il écrit à Napoléon pour expliquer sa conduite. Il demande à revenir au service de l’Empereur.

Il revient pour participer à la campagne d’été de 1813 ; Napoléon lui confie le commandement de l’Armée du sud, chargée de contenir les Coalisés de Schwarzenberg. Après la défaite de Leipzig (16-19 octobre 1813), il rentre dans son royaume. En janvier 1814, Murat signe un traité avec l’Autriche.

Au congrès de Vienne de 1815, les généreux subsides qu’il a versés aux diplomates, à Talleyrand notamment, ne servent de rien. Il est question de restaurer les Bourbons sur le trône napolitain. Murat, désespéré, tente des ouvertures de tous côtés ; il écrit une lettre cordiale à Louis XVIII, renoue avec Napoléon exilé à l’île d’Elbe. Ce dernier lui fait part de ses projets de retour. Murat déclare la guerre à l’Autriche dès qu’il apprend le débarquement de l’Empereur. Il occupe bientôt Rome, Ancône, Bologne. De Rimini, il lance une proclamation où il appelle à l’unification de l’Italie. Mais bientôt les troupes autrichiennes, menées par Neipperg, l’encerclent. C’est la défaite de Tolentino, le 21 avril 1815.

Murat doit prendre la fuite tandis que Ferdinand retrouve son trône. Il arrive en France où Napoléon refuse de le recevoir. En Corse, il réunit 600 hommes. Cela lui suffit pour rêver de reconquérir Naples; il s’embarque pour la côte italienne. Débarqué à Pizzo, il est fait prisonnier, incarcéré. Un décret du Roi ordonne à la commission qui le juge de lui laisser une «demi-heure pour recevoir les secours de la religion» avant de le fusiller. Murat donne lui-même l’ordre de tirer, le 13 octobre 1815.



Texte d'Alexandra Dalbin
13 janvier M-mura10

MURAT par GROS (musée du Louvre)
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MessageSujet: Re: 13 janvier   13 janvier Icon_minitimeMar Jan 13 2009, 10:45

Merci Noisot, pour ce complément
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MessageSujet: Re: 13 janvier   13 janvier Icon_minitimeMar Jan 13 2009, 11:16

Merci Noisot
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MessageSujet: Re: 13 janvier   13 janvier Icon_minitimeMar Jan 13 2009, 19:02

Meci CA et NOISOT
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MessageSujet: Re: 13 janvier   13 janvier Icon_minitime

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