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| Accueil ~ " deux poids - deux mesures " d'un pays à l'autre | |
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Eva Admin
Nombre de messages : 4656 Age : 72 Emploi : Retraite Date d'inscription : 01/02/2021
| Sujet: Accueil ~ " deux poids - deux mesures " d'un pays à l'autre Lun Sep 16 2024, 20:04 | |
| Remigration : avec 30.000 euros d’allocation retour, la Suède met le paquet
Ce jeudi 12 septembre, la Suède pourrait avoir fait un pas de plus en matière de remigration. Le gouvernement suédois a proposé que l’aide de retour aux migrants soit revue à la hausse, pour atteindre 350.000 couronnes (soit environ 30.000 euros) en 2026.
L’annonce a été faite par le ministre des Migrations et de la Politique d’asile, Johan Forssell, qui a également déclaré : « Nous franchissons de nouvelles étapes dans la réorientation de la politique migratoire. » L’objectif d’une telle mesure est on ne peut plus claire : la Suède veut réduire l’immigration sur son sol. C’est d’ailleurs sur la base d’un programme de coalition avec les Démocrates de Suède que Ulf Kristersson, chef des Modérés, a été élu Premier ministre en octobre 2022. Des mesures drastiques et incitative. Depuis cette date, une série de dispositions ont été prises : le regroupement familial a été restreint, le quota des réfugiés accueillis est passé de 6.400, en 2022, à 900, en 2024, le niveau minimum de salaire pour obtenir un permis de travail aux migrants extérieurs à l’Union européenne a été revu à la hausse, le titre de séjour permanent a été remplacé par un titre de séjour temporaire… Résultat : en 2024, pour la première fois depuis plus de cinquante ans, le nombre d’immigrés devrait être inférieur au nombre d’émigrés en Suède, comme annoncé en août dernier par Maria Malmer Stenergard, alors ministre des Migrations. Le pays d’Europe du Nord ne compte pas en rester là. Plus que de mettre un terme à sa « politique de la porte ouverte », il veut inciter les immigrés à regagner leur pays. L’allocation de retour mise en place en 1984 étant trop peu connue et d’un montant assez faible (10.000 couronnes, soit 880 euros pour un adulte ; 5.000 couronnes, soit 440 euros par enfant et au maximum 40.000 couronnes, soit 3.520 euros, pour une famille), elle n’a pas l’effet escompté. Pour preuve, selon Johan Forssell, en 2023, une seule personne a accepté l’allocation. L'augmentation significative proposée devrait la rendre plus séduisante.
Après avoir été une importante terre d'accueil, notamment depuis les années 1990, pour des populations venant principalement de régions en conflit comme l’ex-Yougoslavie, la Syrie, l’Afghanistan, la Somalie, l’Iran et l’Irak, la Suède, dont 20 % de la population est immigrée, revoit totalement sa copie et ne lésine pas sur les moyens.
Pour sauver le modèle suédois
Un changement de cap expliqué par Ulf Kristersson dans une tribune publiée dans le quotidien Dagens Nyheter (DN) : « Avec une politique d’intégration qui n’a pratiquement aucune exigence [envers les migrants] et aucune incitation à s’intégrer à la société, cette forte immigration a créé une Suède divisée. » Elle a, selon lui, pour conséquence « la ségrégation, l’exclusion, le chômage, les mauvais résultats scolaires et l’absence de valeurs suédoises communes ». Une dernière phrase qui laisse entendre que si rien n’est fait pour contrôler et réguler l’immigration, le généreux modèle social suédois sombrera, mais également que le modèle culturel du pays scandinave pourrait disparaître. Chose que les Suédois ne semblent ni vouloir ni accepter, tout comme leurs voisins danois ou norvégiens, qui proposent déjà des allocations de retour de près de 13.000 euros semblant être efficaces. Comparativement, en France, elle n’est que de 2.500 euros maximum. Une somme peu convaincante, lorsque l’on sait que les immigrés venus sur notre sol peuvent bénéficier de l’allocation demandeur d’asile (432 euros par mois avec majoration logement) ou du RSA (607,75 euros par mois) ou encore de l’allocation de solidarité aux personnes âgées (961,08 euros). Des prestations auxquelles s’ajoutent une prise en charge gratuite des principaux soins médicaux au titre de l’aide médicale de l’État (AME) ainsi que des aides au logement (APL, ALF et ALS), des allocations familiales et des réductions dans les transports en commun. La comparaison avec la Suède est cependant tout à fait inadaptée car, ne l’oublions pas, en France, l’immigration est une chance !
Sources
___________________________________ ____________________________________ « Lorsque dans notre pays on parle de courage et de grandeur, c’est vers les croix de guerre que se tournent les regards » Alphonse JUIN Maréchal de France
Dernière édition par Eva le Lun Sep 16 2024, 20:18, édité 1 fois | |
| | | Eva Admin
Nombre de messages : 4656 Age : 72 Emploi : Retraite Date d'inscription : 01/02/2021
| Sujet: Re: Accueil ~ " deux poids - deux mesures " d'un pays à l'autre Lun Sep 16 2024, 20:17 | |
| Les Italiens qui ne veulent plus de migrants iront en prison !
L’affaire est grave. Gravissime. En Italie, un procureur qui n’est rien de plus qu’un fonctionnaire islamo-gauchiste parmi d’autres, a requis six ans de prison ferme contre Matteo Salvini pour avoir, alors qu’il était ministre de l’Intérieur en 2019, empêché des délinquants, clandestins sans passeport ni visa, de déferler sur les côtes italiennes.
L’Italie, avec sa législation inspirée du droit romain, appliquait depuis 2000 ans le principe de la légalité des infractions et des sanctions. Pas de texte incriminant de façon précise, pas de délit ni de peine.
Or là, des magistrats en roue libre, inventent un nouveau principe selon lequel les nébuleux droits de l’Homme qu’on peut accommoder à toutes les sauces idéologiques doivent prévaloir sur la souveraineté de l’État et sur les règles de droit écrit. Le Parlement a-t-il voté une nouvelle loi en sens ? Non ! Les Italiens ont-ils été consultés par référendum ? Encore moins ! L’Eurocrature a-t-elle pondu un diktat, pardon une directive ? Même pas. Juste des avis. Sans valeur normative. Ce sont des petits juges sans légitimité démocratique qui décident désormais, entre eux, de ce qui est bon et juste pour le pays.
Après sa russophobie, la Meloni nous a encore déçus
Salvini est son vice-Premier ministre et elle n’intervient pas dans le procès en sorcellerie qui lui est fait. Elle qui s’était faite élire avec, dans son programme, le projet controversé d’empêcher les migrants illégaux de débarquer et de submerger les ports italiens. Projet auquel elle a renoncé après une entrevue avec Pustula la Hyène qui lui a promis que l’Eurocrature accueillerait les intrus. En Italie, ils ne feraient que passer. Et en attendant, quelques subsides aideront à avaler la potion amère.
Dans l’affaire qui nous préoccupe, Salvini aurait dû donner l’ordre de raccompagner ces navires au delà des eaux territoriales, et à la marine italienne de les couler, après un tir de semonce, s’ils tentaient de forcer le barrage. Cela aurait été tout à fait conforme au droit maritime appliqué par presque tous les pays de la planète, contre les forceurs de blocus. Une pratique couramment admise en droit international où l’on considère qu’un pays souverain a le droit de protéger ses frontières maritimes et de les fermer aux indésirables, quelle qu’en soit la raison. Aujourd’hui, en Italie comme en France, ce n’est plus l’État qui poursuit les délinquants, et demande à ses forces de l’ordre de les neutraliser, ce sont les délinquants qui attaquent l’État devant les tribunaux où des juges rouges acquis à leur cause leur donnent mille fois raison. Ne pas laisser les voyous faire tout ce qu’ils veulent, serait une atteinte intolérable aux droits de l’homme.
D’ailleurs, preuve que la justice italienne marche sur la tête, loin de critiquer le comportement des délinquants, responsables de leurs propres malheurs, la majeure partie de l’audience a consisté à se demander si la responsabilité de ce bannissement provisoire incombait au gouvernement de Giuseppe Conte ou seulement à Matteo Salvini !
Dans cette affaire, les poursuites ont été engagées à l’initiative de l’ONG Open Arms dont le métier consiste à transporter des clandestins, et à leur faire passer en force des frontières. Ce qui, dans un pays normal, vaudrait à ses responsables de se retrouver sur le banc des accusés. Avec d’autres délits connexes relatifs à la sécurité approximative des navires, leurs immatriculations fantaisistes, des assurances douteuses, le nombre excessif de passagers, et le non respect des règles sanitaires imposées aux transporteurs réguliers. On reproche à Matteo d’avoir maintenu 147 migrants en mer pendant trois semaines sur un navire de débarquement non autorisé. Pour ces «actes de cruauté», le procureur réclame six ans de prison ferme. Quelqu’un a-t-il fait remarquer à ce magistrat d’égout que personne n’avait contraint les clandestins à attendre si longtemps, pour avoir les autorités à l’usure. Abusant d’une détresse feinte pour apitoyer les médias et passer pour des naufragés auxquels on doit porter secours.
Une tactique payante puisque, à la fin, on les a laissés débarquer à Lampedusa. Naguère une charmante petite île touristique. Aujourd’hui, désertée par ses habitants de toujours, des pêcheurs-paysans, remplacés par toute un faune exotique qui ne sait que réclamer et exiger tous les droits qu’elle croit avoir.
Les migrants avaient refusé de s’en aller, alors que le navire était manœuvrant, et s’étaient maintenus délibérément à la dérive, à la limite des eaux internationales. Il paraît qu’il y aurait eu des cas de folie et une épidémie de gale à bord. Mais dans ce cas, pourquoi avoir attendu si longtemps ? Il n’y a que 116 nautiques ou 187 km, soit 6 heures de route jusqu’à Sfax, grand port de commerce équipé pour recevoir des navires, et qui dispose de toute l’infrastructure sanitaire nécessaire. Et des possibilités comparables existent à Bizerte, Gabès, la Goulette. Oui mais les Tunisiens n’en veulent pas. Chez eux, ce n’est pas la chienlit qui fait la loi. On dit même que lorsque ce genre de rafiot de débarquement passe trop près de leurs côtes, ils sont en état d’alerte. Avions et radars suivent les intrus, et les garde-côtes sont prêts à intervenir pour bloquer les envahisseurs. Avec des méthodes musclées. Avant de les renvoyer dans le Sud. Moins souvent concernés, les Libyens agissent de façon plus radicale. « Nous ne voulons pas de ces hordes de migrants clandestins venus changer la composition démographique de notre pays. »
Comment ça se passe ailleurs ?
Ainsi font les Australiens qui n’hésitent pas à mobiliser leurs forces spéciales pour repousser l’invasion. Sinon, les intrus iront en prison, pas dans un hôtel club quatre étoiles, mais condamnés aux travaux forcés pour plusieurs années, après confiscation de leurs biens. Car quelques-uns ont de grosses sommes d’argent sur eux, des Iphones, des bijoux, de l’or, des montres de luxe, de la drogue…
Le texte intégral En " source"
Sources
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| | | Eva Admin
Nombre de messages : 4656 Age : 72 Emploi : Retraite Date d'inscription : 01/02/2021
| Sujet: Re: Accueil ~ " deux poids - deux mesures " d'un pays à l'autre Lun Sep 16 2024, 20:39 | |
| Ce ne sont pas les migrants qui gênent; c'est leur nombre. Ils ne seraient encore qu'une centaine /An. Mais ce n'est pas le cas. De tous pays, et en masse, ils se dirigent vers l'Europe : En un pèlerinage incessant. Au final : Malgré les aides multiples (voir plus haut pour la France) : Malgré tant d'aides, Une grande partie d'entre eux, ne respectent pas les " Us et coutumes" d'un pays. Et puis, cela impose des restrictions : Puisqu'il faut partager : Divisions multiples d'aides : Entre eux et la population. Et peut-être: Moindre possibilité d'apport pour la population en place. De plus pour une partie d'entre eux : : Ils ne sont pas des réfugiés d'un pays en guerre. Une certaine complexité, repose sur l'accueil des migrants. Certains pays, reculent et pensent à renvoyer les migrants, moyennant une somme importante. Pour d'autres pays : Australie, Turquie etc ... les restrictions ne sont pas récentes. Et puis, pour ces pays : 'Frontières il y a". Alors que les pays d'Europe qui débutent les retours au pays d'origine, risquent de revoir les mêmes, sous une autre identité.
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| | | Eva Admin
Nombre de messages : 4656 Age : 72 Emploi : Retraite Date d'inscription : 01/02/2021
| Sujet: Re: Accueil ~ " deux poids - deux mesures " d'un pays à l'autre Lun Sep 16 2024, 20:54 | |
| TARDINGHEN : 3 chasseurs agressés par des migrants.
Sources
" À l'info ce soir en voix off : Ce qui se passe chez nous (Nord) : C'est tous les jours, mais cela ne se sait pas car ce n'est pas médiatisé".* Le chasseur traumatisé témoigne : "J'ai vu ma vie défiler devant mes yeux". Je n'irai plus à la chasse. Ils étaient 60 à attaquer la hutte des chasseurs.
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