Le Waffenamt et ses entreprises pour la production de l'armement.

la source en Anglais: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Donc soit lui était l'ancien vendeurs, vendu au prix de 86250$ aux enchères (James de Julia). Parce que ce n'est pas la première fois que ce modèle est en ventes:

Citation :

SN 17232. 4x 9mm bbl avec gravure de folie de feuilles de chêne autour de la bande de vue avant et imperméabilité couronne/N sur le fond. HK Anchor/KRIEGHOFF SUHL sur liaison à bascule centrale. Étoile (détection militaire) sur le récepteur avant droit et Eagle/2 à l'avant du rail de trame droite. Étugance couronne/N à l'avant du récepteur gauche et à l'avant du rail de châssis gauche. Gravure sur le récepteur, assemblage à la genouillère, plaque latérale, cadre, bouton de libération du magasin et vis de préhension. Les poignées d'ivoire sont gravées avec un motif de feuilles de chêne avec un comblement noir de fond. Avec deux magasins numérotés en aluminium qui sont très polis et plaqués en plat plat. Toutes les parties numérotées sont correspondantes. Le panneau de cadre latéral gauche est incrusté «HEINRICH KRIEGHOFF/WAFFENFABRIK SUHL/15. 8. 39.” indiquant la présentation le 15 août 1939. D'autres pistolets à pincée/ivoire similaires dans cette gamme SN commerciale de 5 chiffres avec l'inscription identique ont été identifiés positivement à la propriété par Hermann Goering par l'usine de Krieghoff, bien que l'importance exacte de la date de l'inscription reste inconnue (voir The Krieghoff Parabellum/Gibson leurs source de professionnel qu'ils contrôles pour identifier la veracité de l'appartenance, et pour Goering c'est non). Avec un outil de rabattage plaqué en platine et en platine qui est Eagle/2 étanche et un canne/cuiseur de nettoyage en laiton dans un étui avec un extérieur en similicuir noir, intérieur en velours bleu, poignée en cuir et plaquage nickelé. Ce canon est présenté sur pp. 536 et 803 de The Borchardt et Luger Automatic Pistols par Joachim Gortz et Dr. Geoffrey Sturgess. Ce canon figure également en bonne place dans la couleur dans The Krieghoff Parabellum de Randall Gibson (voir pp. 200, 204/5 et 212). PROVENANCE: Collection de Dr. Geoffrey Sturgess. CONDITION: Près du nouveau. Maintien de plus de 99 % du platine de platine qui a résisté au ternissement et à la corrosion. L'allongation est brillante et nette. Les poignées d'ivoire commencent à jaunir et la préhension gauche est munie d'une puce sous le levier de sécurité qui a été réparée de manière professionnelle. Les magazines sont proches de la nouveauté avec quelques taches de corrosion. Les mécaniciens sont excellents. Le tang à ressort ouvert est cassé et inclus avec le canon. Le cas est en très bon état avec quelques tirets sur le couvercle. S'user à bord aigu et un peu s'use dans les coins. La poignée en cuir présente une certaine fissuration et en sécant. Les raccords nickelés sont légèrement dénoynchlés. Le velours intérieur est taché et mis en cachet par pistolet assis dedans pendant de nombreuses années. L'outil de décompression est proche du neuf. La tige de nettoyage est excellente avec une certaine corrosion sur des articles métalliques. 4-52167 BWS58 (50 000 à 100 000)

Est vendu aux enchères.
Dans un forum Allemand, j'en ai aussi posé la question, les premières réponse indiquait aussi Goering, mais pour les modèles de Goering, les numéros de séries étaient dans les 16000 pas 17232.

En tout les cas, j'ai transmis la liste de nom, telle que bien sûr pour la possibilité qu'il avait appartenu si il en as reçus un, et que pour son envol pour l'Angleterre il l'avait sur lui, et que bien sûr le pistolet se trouvait sur un site d'enchère Britannique.
Ici je pense à Rudolf Hess.
ou à Martin Bormann
ou peut être à Goebbels, mais lui c'était juste du travail avec les médias, mais qui sait le gros outsider de la liste????

Himmler ou pour Hitler?? Déjà en sachant que Hitler ne mangeait pas de viande sans raisons, donc de l'ivoire provenant d'un soit Éléphant, ou d'un Rhinocéros abattu.
Et pour Himmler, ici pas de Rune SS ni du sigle Tête de mort, donc pas produit dans ses camps de concentration, donc je ne pense pas que lui eut été fier de recevoir une arme en cadeaux, mais ????

Ben voilà le p08 de Goering lui il avait le P08 n° de série 16999 en réplique fabriquer par la société Maroushin au Japon!

Citation :

Le pistolet de récompense d'Hermann Goering, Luger LUGER P-08(PARABELLUM), les marques de l'armurier allemand HEINRICH KRIEGHOFF WAFFENFABRIK SUHL 15.8.39 et le numéro 16999 correspondent à l'original. Fabriqué par la société japonaise "MARUSHIN" (LAYOUT)​. La copie la plus parfaite du légendaire LUGER P-08 en métal, le nom de la société Marushin lui-même parle de lui-même, c'est la qualité japonaise et la précision de fabrication de ce produit, la copie est réalisée une à une avec l'original, démontage et le remontage s'effectue comme d'habitude, comme sur l'original, Toutes les pièces sont de taille interchangeable. Le kit comprend un pistolet avec un chargeur, 16 cartouches factices 9x19 Luger, un outil de démontage et de chargement du chargeur, une boîte de transport et de rangement en bois, des instructions de démontage (PASSPORT) et un livret avec des photographies couleur du fabricant. Excellent état, tout est visible sur la photo, une excellente pièce pour une collection. ATTENTION!!! LE LOT EST UN "MODÈLE D'ARME D'USINE" ET NE NÉCESSITE PAS DE DÉSACTIVATION SUPPLÉMENTAIRE !

Goering lui c'est la version OR. Pas Platine.






Et ont remarque bien, que cela est une réplique, puisque sur les 2 dernières photos, les marques à l'avant du canon son visible, tandis que sur le modèle original made by krieghoff, ah non, lui ne se serais jamais permis, de transmettre un cadeaux, contenant de l'imperfection, et d'autant plus fabriquer avec du métal précieux!
Et je ne pense pas que ici c'est de l'or 24 carat. C'est suivant le tarif pour la vente au enchère.

Et pour les potentiel intéressé, ah attention, ici je pense que la Douane peut vous créer des problèmes.
Tout simplement parce que aujourd'hui l'ivoire provenant soit des rhinocéros, soit des éléphants, c'est comme pour les chaussures en crocodile, strictement interdit. Avec un modèle d'origine, cela doit passé, puisque c'est l'époque ou c'était encore autorisé. Mais ici il s'agit d'une réplique fabriquer récemment. Et là cela ne pardonne pas!

Et vous voyez ici le petit symbole de la tête de mort, avec la rune SS.
cela voudras dire, que ce pistolet a été créer dans un KZ.

Bien à présent l'écrit, et ohhhhh pétard, non de nom! heureusement que il y'a les photos..

Citation :

Exportation de pistolets Parabellum - Partie 1 (Contrats d'exportation de pistolets Luger - Partie 1)

Tous les pistolets Parabellum peuvent être divisés en deux grands groupes : les armes fabriquées pour les forces armées allemandes et les armes commerciales. La production commerciale comprend un grand groupe de pistolets fabriqués pour l'exportation.

Les pistolets Parabellum vendus à des pays étrangers dans le cadre de contrats gouvernementaux ou simplement en tant que produits commerciaux portaient souvent des marquages ​​spéciaux. Il s'agissait généralement d'une image d'emblèmes nationaux au sommet de la chambre, ainsi que d'inscriptions sur la sécurité et sur l'éjecteur dans la langue nationale du pays de l'importateur. Nous essaierons de décrire brièvement les principaux types de Lugers d’exportation.

Marquage typique pour les exportations:

ici c'est la version pour les vendus au Mexique. Ne vous étonnez pas, oui comme vous le savez déjà, le Mexique, l'Argentine, et d'autre pays encore pendant de nombreuses années au cours du XIXè et XXè Siècle, il y avait pas de répits pour le bouleversement du régime.
Et ici pour faire la révolution dans leurs pays, ou chacun souhaitait instaurer sa propre politique, ben certains achetèrent des armes à l'étranger.

Celui ci, l'emblème est reconnaissable.

Citation :

Suisse. L’acheteur le plus constant et le plus reconnaissant des pistolets Parabellum était peut-être la Suisse. C'est l'adoption du pistolet Luger par l'armée suisse en mai 1900 qui marque le début de la production en série des pistolets Parabellum.

Les marques d'acceptation suisses sont des images en forme de croix, qui ont été appliquées sur la surface du canon et du boîtier de culasse sur le côté gauche, à l'arrière du cadre et sur la partie supérieure du levier de culasse arrière. Un trait caractéristique des Lugers suisses est l'image de la croix suisse (Genève) appliquée sur la partie supérieure de la chambre. Swiss Luger  ou Luger Swiss Cross jusqu'en décembre 1908 était marqué de l'image d'une croix au soleil (croix suisse sur un rayon de soleil).

Citation :

Depuis 1909, le marquage a changé et commence à ressembler à une image de la croix suisse sur un écu (Swiss Cross in Shield). En règle générale, tous les pistolets livrés en Suisse étaient équipés d'une sécurité automatique. Ils ont continué à équiper les parabellums suisses, même après que l'Allemagne ait adopté le pistolet P.08 Parabellum , qui ne disposait pas de sécurité automatique.

Citation :

Après le déclenchement de la Première Guerre mondiale, la société DWM orienta toutes ses ressources de production vers l'armement de l'armée et de la marine allemandes. Pour s'approvisionner en armes, la Suisse a conclu un accord de licence avec DWM et a lancé en 1917 la production de ses propres pistolets Swiss Luger dans une usine d'armes de la ville de Berne. Initialement, les pistolets produits sous le nom d'Ordonnanzpistole Modell 1906 Waffenfabrik Bern copiaient entièrement le design du pistolet Parabellum du modèle 1906. Techniquement, ils ne sont pas différents des pistolets produits par DWM. Les premiers pistolets Parabellum, fabriqués à l'usine fédérale d'armement de la ville de Berne, sont marqués sur la partie supérieure du levier de culasse avant sous la forme d'un texte en deux lignes : « WAFFENFABRIK / BERN ». Ces pistolets ne portent aucune marque en haut de la chambre. Les pistolets étaient fabriqués sous cette forme à Berne, en Suisse, jusqu'à la fin des années 20.

Citation :

Plus tard, les ingénieurs et les concepteurs de l'usine fédérale d'armement de Berne ont apporté un certain nombre de modifications importantes à la conception du pistolet Parabellum. Ainsi, la poignée du pistolet dans la partie inférieure avant est devenue lisse, sans saillie. Les surfaces des saillies des leviers de volet ont commencé à être lisses sans encoches, la forme du levier de sécurité a changé et du plastique a été utilisé à la place du bois pour fabriquer les joues de la poignée. La partie avant de la boîte à boulons a commencé à avoir un contour arrondi et la fente de visée a commencé à prendre la forme d'un U au lieu d'une forme de V. Les marques sur le dessus du levier de verrouillage avant ont commencé à ressembler à l'image d'une croix suisse sur fond de bouclier. Ce Luger suisse a reçu le nom officiel  de « Ordonnanzpistole Parabellum 06/29 Bern » . Elle fut fabriquée à l'usine de Berne de 1929 à 1948. Au total, 27 930 de ces pistolets ont été produits avec des numéros de série allant de 50011 à 77941.

Pour une arme destinée à la Waffen-SS,  le poinçon réglementaire est un losange avec SS à l’intérieur.

Deutsche Waffen und Munitionsfabriken dit DWM était un fabricant d'armes et de munitions allemand, notamment du pistolet Luger P08

Un tableau des divers poinçons 

Alexderome a écrit:

Pour une arme destinée à la Waffen-SS,  le poinçon réglementaire est un losange avec SS à l’intérieur.

Mon cher Alex, il faut que tu ne lise pas entre les lignes:
Je n'avais pas mentionné, destinée à la Waffen-SS.
Mais que ce symbole contenant la tête de mort et la rune SS = Fabriquer dans un KZ ou KL. On y reviendra surement après pour parler plus en profondeur.

Citation :

Les Pays-Bas (Hollande),  comme la Suisse, se sont intéressés assez tôt au pistolet de Georg Luger. Les tests actifs du pistolet Borchardt-Luger aux Pays-Bas (Hollande) ont eu lieu entre 1899 et 1905. En 1911, les Pays-Bas (Hollande) ont passé un contrat pour des pistolets New Model Luger de calibre 9 mm avec une longueur de canon de 100 mm. L'arme avait une sécurité automatique, était de conception similaire aux pistolets Parabellum du modèle 1906 et reçut le nom officiel de « Pistool M11 » dans l'armée néerlandaise. Les pistolets Dutch Luger M11 Pre-1914 DWM Contract Parabellum M11  se distinguent des autres armes par la présence du texte « RUST » avec une flèche vers le haut située sur la surface du cadre près de la sécurité manuelle. De plus, les Lugers néerlandais font imprimer le texte « GELADEN » non seulement sur le côté gauche de l'éjecteur, mais aussi sur le côté droit. Le marquage sur la surface du levier de boulon avant est le marquage DWM habituel. Il n'y a aucune marque sur la surface de la chambre. La marque d'acceptation est située sur le côté gauche de la mécanique et est une image de la lettre « W » sous une couronne. La lettre « W » fait référence à la reine Wilhelmine, qui régnait à cette époque aux Pays-Bas. Les pistolets néerlandais Luger M11 ont été envoyés par DWM aux Pays-Bas entre 1912 et 1914 et portaient des numéros de série allant de 1 à 4181.

Citation :

Après la fin de la Première Guerre mondiale, les Pays-Bas avaient à nouveau besoin de pistolets M11 pour armer leur armée coloniale en Inde. Cependant, DWM a été contrainte d'abandonner ce contrat en raison des restrictions imposées par le Traité de Versailles. Pour cette raison, la commande pour la production de Lugers hollandais a été transférée à la société britannique Vickers. La société Vickers (depuis 1911 Vickers Ltd) était engagée dans la fabrication de mitrailleuses basées sur la conception d'Hiram Maxim, de chars, ainsi que de construction d'avions et de navires. Les chercheurs ne parviennent toujours pas à un consensus sur le type d’accord dont il s’agissait entre les ennemis récents. Certains experts affirment qu'il s'agissait d'un accord secret entre DWM, Vickers et les Néerlandais, visant à contourner les dispositions du traité de Versailles. Dans le même temps, Vickers n'agissait qu'en tant qu'intermédiaire, s'occupant uniquement de l'assemblage et du marquage, et non de la fabrication complète des armes. D'autres chercheurs pensent que Vickers, profitant des restrictions imposées à DWM, a accepté une commande néerlandaise et a entièrement fabriqué des pistolets Luger, dans le but d'améliorer sa situation financière. Les pistolets Luger de la commande néerlandaise fabriqués par Vickers (Dutch Luger Vickers Ltd) sont marqués dans la partie supérieure du levier de culasse avant sous la forme d'un texte en deux lignes « VICKERS / LTD ». L'arme, comme la plupart des Lugers hollandais, possède une plaque en laiton sur le côté gauche du cadre, qui indique le nom de l'unité militaire à laquelle appartenait le pistolet. Le texte « GELADEN » est imprimé des deux côtés de l'éjecteur et le marquage « RUST » avec une flèche pointant vers le haut se trouve sur le levier de sécurité manuel. Les numéros de série des pistolets M11 Dutch Luger Vickers vont de 4182 à 10181. Au total, environ 6 000 Dutch Luger Vickers ont été produits.

Citation :

Après 1927, le contrôle des inspecteurs internationaux sur la production d'armes en Allemagne, exercé conformément au Traité de Versailles, a pratiquement cessé. BKIW (DWM) a commencé à produire des pistolets de style militaire de calibre 9 mm. En août-septembre 1928, le BKIW (DWM) envoya 3 820 pistolets Parabellum à l’armée coloniale néerlandaise stationnée en Inde. Ces pistolets sont souvent appelés par les collectionneurs les Dutch Luger DWM East Indies. Ces pistolets portent des numéros de série allant de 10182 à 14001. L'arme porte le tampon DWM habituel sur le dessus du levier de culasse avant.

BKIW = "Berlin-Karlsruher Industriewerk" ou encore dénommé "BerKa" qui ont racheté la DWM.

Citation :

Les pistolets portent les marquages ​​néerlandais habituels "RUST" avec une flèche vers le haut et un double "GELADEN". Contrairement aux Lugers hollandais antérieurs, l'arme ne porte pas la marque de la reine Wilhelmine sous la forme de la lettre « W » sous la couronne. Au lieu de cela, sur le côté gauche de la boîte à boulons se trouve une marque d'acceptation allemande sous la forme de la lettre « N » sous la couronne (poudre à canon nitro). Des marquages ​​apparaissaient sur l'arme sous la forme des lettres « KOL », désignant probablement le mot Kolonien (colonies), c'est-à-dire indiquant que l'arme appartenait à l'armée coloniale (Luger des Indes néerlandaises).

Citation :

Alors que le dernier Luger M11 des Indes néerlandaises était destiné à l'armée coloniale néerlandaise, la marine néerlandaise a adopté le pistolet P.08 Parabellum. Ce pistolet est communément appelé par les collectionneurs Dutch Navy Luger ou par son nom officiel, Dutch Navy Automatisch Pistool Nr. 1 . L'arme n'est pas équipée d'une sécurité automatique ; au bas de son manche se trouvent des saillies avec des rainures pour la fixation d'une crosse amovible. Selon le contrat avec le BKIW (DWM), les Néerlandais ont commandé initialement 1 484 pistolets, numérotés de 1 à 1 484. Les pistolets ont été livrés entre 1928 et 1930. Un petit nombre de ces pistolets portaient la marque « K.M » pour les distinguer des pistolets de l'armée néerlandaise Luger M11. Les éjecteurs des pistolets Luger de la marine néerlandaise étaient, comme les précédents Lugers néerlandais, équipés de l'inscription « GELADEN » des deux côtés. Les marques sur le cadre près du levier de sécurité manuel comprenaient également le mot « RUST » avec une flèche, mais la flèche sur les Lugers de la marine néerlandaise pointe vers le bas. Ce furent les derniers pistolets sous contrat fabriqués par BKIW (DWM), après quoi la production fut transférée à Mauser.

Et je termine juste avec les hollandais, pour revenir avec les Allemands dès leurs débuts.

Citation :

Les livraisons finales de pistolets Parabellum Dutch Navy ont été effectuées par Mauser de 1930 à 1939. Les Pays-Bas ont acheté 1 169 pistolets pour leur flotte. Le premier lot de pistolets Mauser (numéros de série 1485 à 2129) portait la marque DWM sur le levier de culasse avant. Les lots suivants (numéros de série 2130 - 2329 et 2330v - 2654v) portaient la marque Mauser sur la partie supérieure du levier de volet avant. Les armes portaient les marques d'acceptation habituelles d'Oberndorf. Ces pistolets, comme les premiers Lugers hollandais, portaient la marque « RUST » avec une flèche vers le bas et la double inscription « GELADEN ».

Citation :

Classification générale des pistolets Luger (variantes Luger). Pistolets Parabellum modèle 1902, Parabellum modèle 1906 (Parabellum modèle 1902, Parabellum modèle 1906)

Le pistolet Parabellum  , ou comme on l'appelle parfois Luger, a été modernisé à plusieurs reprises tout au long de la période de production. De nombreux changements ont été apportés à la conception du pistolet au cours des premières années, de 1900 à 1908. L'évolution du pistolet est liée non seulement au désir de Georg Luger d'améliorer l'arme, mais parfois aux exigences spécifiques des clients potentiels.

Il est tout simplement impossible de décrire toutes les variétés existantes de pistolets Parabellum dans le cadre de plusieurs articles. Pour cette raison, ont passera en revue uniquement les principaux modèles de pistolets et tentera d'illustrer et de décrire les caractéristiques de leur conception.

Avant de commencer une histoire sur tel ou tel modèle de pistolet Luger, il est probablement logique de donner une classification générale des pistolets Parabellum.

le modèle de l'année 1908, comparer le bien avec les modèles des années précédente, ça y'est vous avez trouvez en jouant au jeu des 7 erreurs, la transformation du moins visuel sur le modèle P08?

Citation :

Tous les pistolets Parabellum peuvent être classés selon différents critères. Ainsi, selon le but, on distingue les pistolets Parabellum expérimentaux ou de test ( Prototype & Test Lugers ), les pistolets militaires produits en série ( Military Luger ) et les armes commerciales ( Commercial Luger ). Les pistolets d'essai soumis à divers tests sont de conception particulièrement différente, car ils sont essentiellement expérimentaux ou prototypes de modèles de production. Selon les caractéristiques de conception, les pistolets Parabellum peuvent être divisés en modèles Parabellum standard, modèles Parabellum marins, modèles Parabellum longs ou d'artillerie et pistolets à carabine Parabellum.  Modèles standards Les pistolets Luger sont divisés en modèles : 1900, 1902, 1906, 1908, 1914. Les caractéristiques de conception du pistolet Parabellum standard 1900 (Luger 1900)  sont décrites en détail à l'aide de l'exemple d'un modèle suisse dans l'article Pistolet suisse Parabellum modèle 1900 (Pistole, Ordonnanz 1900) .

Citation :

Le modèle naval du pistolet Parabellum (Naval Models Luger) est devenu le premier modèle du pistolet Luger adopté par l'Allemagne. La Marine a commandé le pistolet à DWM. Le pistolet diffère du pistolet standard par son canon plus long, sa hausse améliorée et la possibilité de fixer un étui amovible à la poignée.

Citation :

Le pistolet Luger Modèles Long ou Artillerie se distingue des modèles de pistolets standards par un canon encore plus allongé. Ces pistolets étaient destinés à armer les artilleurs, les équipages de mitrailleuses et les premiers pilotes militaires. L'arme avait un canon de 200 mm de long. La hausse du pistolet est réglable, avec des graduations pour tirer de 100 à 800 mètres.

Citation :

Les pistolets à carabine Parabellum (Carbine Models Luger) étaient particulièrement différents des pistolets Luger conventionnels, car ils étaient équipés non seulement d'un long canon, mais également d'un devant placé en dessous, comme une arme à long canon. Les pistolets à carabine Parabellum étaient généralement équipés de crosses amovibles à part entière, qui étaient fixées à la poignée. L'arme sous cette forme est une petite carabine. L'apparition des carabines-pistolets Parabellum a probablement été influencée par l'expérience de la société Mauser dans la fabrication et la promotion des carabines-pistolets Carbine Mauser C96 sur le marché civil .

Citation :

Les pistolets Parabellum peuvent être classés selon le fabricant. Initialement, les pistolets Luger étaient fabriqués par DWM (Deutsche Waffen und Munitionsfabriken Aktien-Gesellschaft). Plus tard, un grand nombre de pistolets Parabellum ont été produits avec les marques de l'usine d'armes Mauser. Cependant, il existait d'autres fabricants de pistolets Luger.

Citation :

Outre DWM ( DWM Production Lugers ) et Mauser ( Mauser Production Lugers ), la production de pistolets Luger a été créée dans les entreprises Vickers ( Vickers LTD Production Lugers ), Krieghoff ( Krieghoff Production Lugers ), Erfurt ( Erfurt Production Lugers ), Simson ( Simson Production Lugers ), usine d'armes à Berne, Suisse ( Swiss Berne Production Lugers ). Ces pistolets portent généralement des marques individuelles sur le dessus du levier de culasse avant identifiant le fabricant.

je continue!

Citation :

En outre, les pistolets Georg Luger, fabriqués pour des essais et dans le cadre de contrats avec divers pays, peuvent être classés dans un groupe distinct.

Citation :

Les pistolets Parabellum ont été achetés et demandés pour être testés à différents moments par : la Suisse, la Bulgarie, les États-Unis, la Russie, les Pays-Bas, la Grande-Bretagne, le Chili, le Portugal, la Serbie, la Turquie, la Perse et un certain nombre d'autres pays. Les pistolets fabriqués pour l'exportation portent généralement des marquages ​​individuels en haut de la chambre. Très souvent, le marquage est une image de l'emblème national du pays vers lequel les armes ont été envoyées.

Citation :

Les chercheurs divisent généralement tous les pistolets Parabellum en deux grandes catégories : l'ancien modèle du pistolet Parabellum (Parabellum Old Model) et  le nouveau modèle du pistolet Parabellum (Parabellum New Model) . Bien entendu, il existe un grand nombre de pistolets, appelés période de transition, qui combinent les caractéristiques des modèles Old et New Luger. Un représentant typique du modèle Old Luger est  le pistolet suisse Parabellum du modèle 1900 (Pistole, Ordonnanz 1900) .

Citation :

Des modifications de conception ont été apportées au pistolet Parabellum au cours de l'évolution de l'ancien modèle. Par exemple, le levier de sécurité automatique du pistolet Borchard-Luger était étroit ; dans les premiers pistolets suisses de 1900, sa largeur était augmentée aux 2/3 de la largeur du cadre, et dans les derniers pistolets suisses M1900, la largeur du levier automatique Le levier de sécurité est devenu égal à la largeur du cadre.

Ici à présent, je laisse le mot pour la traduction, mais je ne sais pas si chez nous il porte la même dénomination.

Citation :

Le guidon de l'ancien modèle Luger a également été modifié. La hauteur et la largeur de sa base, la longueur du guidon et la configuration de sa partie arrière ont changé.

Citation :

Cependant, les modifications de conception les plus importantes apportées au pistolet Parabellum ont été apportées entre 1900 et 1906, lorsque la transition de l'ancien modèle Luger au nouveau modèle Luger a eu lieu.

Citation :

L'ancien modèle de pistolet Luger est parfois appelé  Luger Long Frame et le nouveau, respectivement, Luger Short Frame . La longueur du cadre du pistolet Ancien Modèle Parabellum est de 131 mm, la longueur de sa boîte à culasse est de 132 mm. La longueur du cadre du pistolet New Model Parabellum est de 129 mm, la longueur de la boîte à verrous du nouveau modèle Luger est de 130 mm. La réduction de la taille du cadre s'est produite après le développement de la cartouche Parabellum de 9 mm pour le pistolet en 1902. La longueur du boîtier de la nouvelle cartouche était 2 mm plus courte que la longueur du boîtier de la cartouche Parabellum de 7,65 mm. Cela a permis de réduire de 2 mm la longueur de la boîte à boulons et du cadre de l'arme.

Citation :

La cartouche Parabellum de 9 mm a été développée après qu'il est devenu clair que la puissance d'arrêt d'une balle de 7,65 mm n'était pas suffisante pour atteindre une cible de manière fiable. De plus, aux États-Unis et en Grande-Bretagne, l'armée considérait que les cartouches de pistolet d'au moins .45 ou .40 étaient efficaces. Afin d’intéresser les acheteurs potentiels dans ces pays, DWM avait besoin d’augmenter le calibre de son pistolet. La solution s’est avérée assez simple et efficace. L'étui de la cartouche Parabellum de 7,65 mm a été légèrement raccourci (de 21,5 mm à 19,1 mm), la partie bouteille de l'étui de la cartouche a été élargie à 9 mm et l'étui est devenu cylindrique. Dans le même temps, la longueur totale de la cartouche est restée presque inchangée - 29,6 mm (pour la cartouche Parabellum de 7,65 mm, la longueur de la cartouche était de 29,8 mm).

Tien Mr. le fils de l'armurier, dit moi au fait, les couleurs à l'arrière des cartouche c'est un code?

Citation :

Cela a permis de ne pas changer initialement non seulement le chargeur de l'arme, mais également le cadre et le verrou du pistolet. Il suffisait de changer la culasse et le canon pour commencer à fabriquer un pistolet Parabellum de 9 mm. Étant donné que le canon était vissé sur la boîte à boulons, des changements minimes étaient nécessaires du point de vue de la technologie de fabrication d'armes.

Citation :

Le canon du pistolet Parabellum de 9 mm, par rapport aux modèles de calibre 7,65 mm, est devenu légèrement plus épais. La longueur du canon a été réduite à 98 mm. Sinon, l'apparence du pistolet 9 mm ne différait pas du pistolet Parabellum 7,65 mm habituel du modèle 1900. Sous cette forme, le pistolet a été introduit sur le marché civil, proposé aux gouvernements de plusieurs pays comme arme militaire et a été appelé pistolet Parabellum 9 mm modèle 1902  (pistolet Luger 1902).  Plusieurs centaines de pistolets Luger commerciaux DWM modèle 1902 ont été vendus en Europe et aux États-Unis.

Citation :

En 1901, les Américains ont demandé 1 000 pistolets Parabellum de calibre 7,65 mm pour les tester dans les unités de cavalerie. Les armoiries américaines étaient représentées sur la chambre de ces pistolets et l'arme s'appelait Luger - American Eagle 1900 (1900 American Eagle Luger Pistol). Après la présentation du pistolet Parabellum 9 mm du modèle 1902, les Américains se montrent intéressés et demandent 50 pistolets en calibre Luger 9 mm. Cependant, ils stipulaient que les pistolets devaient être équipés d'un indicateur spécial (Powell Indicating Device), développé par Graham H. Powell.

Citation :

L'indicateur est une fente dans la joue gauche de la poignée, dans laquelle est réalisée une fenêtre en celluloïd transparent et une échelle en laiton avec des chiffres gravés de 1 à 7 est placée. Les chargeurs spéciaux pour ces pistolets ont une fente sur le côté gauche dans laquelle le. la tige montée sur le chargeur se déplace. Cette tige est visible à travers la fenêtre de la joue gauche de la poignée et, au fur et à mesure que les munitions sont épuisées, elle se déplace en prenant position en face du chiffre indiquant le nombre de cartouches restantes. Les pistolets, appelés Powell Indicating Device Luger 1902 ou American Eagle Cartouche Counter Luger 1902, furent soumis à des tests aux États-Unis le 20 avril 1904.

Citation :

Une comparaison des caractéristiques de conception des modèles anciens et nouveaux du pistolet Parabellum nous permet de retracer l'évolution du pistolet Georg Luger au cours des premières années. L'une des principales différences entre l'ancien et le nouveau modèle Luger est le ressort de rappel. Dans l'ancien modèle de pistolet, le ressort de rappel est un ressort à lames avec un crochet à son extrémité. Le nouveau modèle est équipé d'un ressort en spirale qui est fixé à la boucle d'oreille du ver de vase via un levier de rappel spécial. Le levier de rappel est monté sur un axe dans le châssis du pistolet.

Citation :

Lors de l'installation de ressorts hélicoïdaux dans les cadres des pistolets Parabellum Old Model, il est devenu nécessaire d'installer un cavalier spécial contre lequel reposerait la partie supérieure du ressort. À cette fin, un revêtement spécial a été utilisé qui, après avoir découpé les rainures de montage, a été installé dans le cadre et fixé par soudure.

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L'utilisation d'un ressort spiral a permis d'augmenter la fiabilité du verrouillage des leviers du volet. Pour cette raison, il n’était pas nécessaire d’utiliser un verrou de position du pêne dans le pistolet. Sur le pistolet Luger ancien modèle, ce verrou est situé dans le galet de pêne droit. Le nouveau modèle du pistolet Parabellum n'a ni le loquet lui-même ni le crochet sur le châssis auquel ce loquet doit s'accrocher.

Citation :

L'apparence du Parabellum Old Model diffère du Parabellum New Model par la forme des rouleaux de volet. Si l'Ancien Modèle possède des rouleaux biseautés à l'arrière, alors le Nouveau Modèle possède des rouleaux sans biseau et ont une forme cylindrique. Une fine encoche en forme de losange est réalisée sur la surface d'extrémité des rouleau

Citation :

Les experts notent la position différente de la surface supérieure du levier de culasse arrière (souffleur) par rapport à la surface du corps de culasse des anciens et des nouveaux modèles de pistolets Luger. Sur l'ancien modèle, le boulon affleure le haut de la boîte à boulons. Dans le nouveau modèle du pistolet Parabellum, le ver de vase dépasse d'environ 0,8 mm au-dessus de la surface de la boîte à verrou.

Citation :

Une autre caractéristique externe caractéristique par laquelle l'ancien modèle Parabellum peut être distingué du nouveau modèle est la conception de l'éjecteur et la forme de la partie supérieure du verrou. Lors des premiers tests, Georg Luger a souligné à plusieurs reprises que pour manipuler l'arme de manière plus sûre, il était nécessaire de l'équiper d'un indicateur de la présence d'une cartouche dans la chambre. Luger a résolu ce problème assez facilement et, le 22 mai 1904, a déposé le brevet n° 164853 en Allemagne. Selon le brevet, le rôle d'indicateur était assuré par le levier d'éjection. Lorsque la chambre était vide, l'éjecteur affleurait le haut du boulon. Lorsqu'il y avait une cartouche ou un étui dans la chambre du pistolet, le levier d'éjection dépassait vers le haut et signalait que l'arme était chargée.

Et sur la dernière image en lisant la date, est mentionné l'année 1904, donc valable pour les pistolet P04, et ce sont ses modèles que la Marine du kaiser avait acheté pour eux. Soit dénommé "Luger de la marine".

Citation :

Si l'éjecteur du modèle Old Luger était un levier à ressort droit, alors dans le nouveau modèle, le levier d'éjection commençait à avoir une forme complexe et était équipé d'un ressort en spirale séparé. Bientôt, un texte commença à être écrit sur le côté du levier indiquant que l'arme était chargée. De plus, le texte était rédigé dans la langue du pays auquel les armes étaient livrées. Pour les pistolets destinés à l'Allemagne, le texte « GELADEN » a été appliqué, pour les pays anglophones « LOADED », pour la Bulgarie « PILEN », etc.

Citation :

À l'aide d'un nouvel éjecteur, le concepteur a dû modifier la forme de la partie supérieure du boulon. Alors que l'ancien modèle Luger a une glissière supérieure plate, le nouveau modèle Luger a un dessus arrondi. De plus, le nouveau modèle Parabellum dispose d'une fente verticale dans la partie supérieure de la chambre, où entre la partie avant du levier d'éjection ; l'ancien modèle ne dispose pas d'une telle fente.

Citation :

En train de façonner l’apparence du nouveau modèle du pistolet Parabellum, la sécurité manuelle a été modifiée. Les pistolets Borchard-Luger ont une tête de levier de sécurité moletée plus longue que les modèles ultérieurs. Sur les premiers pistolets Old Model, l'encoche sur la surface du levier de sécurité manuel était rectangulaire. Plus tard, l'encoche a commencé à être réalisée sous la forme de rainures parallèles. Une indication de la position de sécurité engagée dans les premiers pistolets Old Model était une zone de cadre polie qui se détachait sur le fond d'un cadre bleui. Les pistolets Old Model des versions ultérieures n'ont pas de tampon poli et portent le texte "GESICHERT" sur le cadre. Pour les pistolets Luger Nouveau Modèle qui ne disposent pas de sécurité automatique, la position « sécurité activée » ne correspond pas à la position supérieure, mais à la position inférieure du levier de sécurité manuel.

Citation :

Sur le pistolet Parabellum Ancien Modèle, la largeur du pontet est égale à la largeur du bas de la carcasse du pistolet. Dans le nouveau modèle, le pontet est devenu plus étroit. Il existe d'autres différences plus petites entre l'ancien modèle Luger et le nouveau modèle Luger. Par exemple, la conception du déclencheur est légèrement différente. Grâce à la modernisation de sa partie supérieure, il a été possible d'augmenter légèrement l'amplitude de ses mouvements, ce qui a rendu la descente plus « intelligible ».

Citation :

Pour garantir la fiabilité de la gâchette, le nouveau modèle a augmenté la longueur de la barre transversale inférieure du levier intermédiaire en forme de L du mécanisme de déclenchement.

Citation :

Dans le modèle New Parabellum, la longueur de la découpe du cadre a été augmentée, à l'endroit où le ressort du levier de déclenchement (ressort de gâchette) est fixé.

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Les chercheurs classent parfois les pistolets Luger de modèle de transition en fonction de la configuration de l'avant et du bas du cadre de l'arme et de la largeur du pontet. Il existe généralement cinq types de montures de pistolet. Type #1 - Cadre long de l'ancien modèle, avec une façade arrondie et un cadre épais sous le levier de verrouillage. La largeur du pontet est égale à la largeur du bas du cadre. Ce type de carcasse se retrouve sur les Lugers militaires et commerciaux 1900 et 1902, les carabines pistolets 1902 et les Lugers navals 1904.

Citation :

Type #2 - Ancien modèle avec cadre court, façade "carrée", cadre fin sous le levier de verrouillage. La largeur du pontet est égale à la largeur du bas du cadre. Ce type de carcasse se retrouve sur certains pistolets commerciaux annoncés en 1902, sur des pistolets soumis à des tests aux USA, aux Pays-Bas et en Allemagne en 1902, sur des prototypes de pistolets commerciaux en 1903.

Citation :

Type n°3 - caractéristiques du nouveau modèle avec un cadre long et une partie avant arrondie du cadre. La largeur du pontet est inférieure à la largeur de la partie inférieure du cadre, de sorte qu'une « marche » caractéristique est visible entre eux. Ces cadres se trouvent sur les Navy Lugers de 1906 et sur les pistolets Luger commerciaux, américains et suisses du début de 1906.

Citation :

ype n°4 - Nouveau modèle avec cadre court, façade « carrée », cadre fin sous le levier de verrouillage. La largeur du pontet est inférieure à la largeur du bas du cadre. De tels cadres se trouvent sur les pistolets Luger de calibre 1906 9 mm (commercial, American Eagle, russe) et soumis aux tests en calibre 1907 .45 Test Luger, sur les Lugers de calibre 1906 7,65 mm (bulgare, portugais, certains commerciaux et suisses).

Citation :

Type #5 - Nouveau modèle avec un cadre court, une façade "carrée", un cadre plus épais sous le levier de verrouillage. La largeur du pontet est inférieure à la largeur du bas du cadre. Ce type de cadre se retrouve sur pratiquement tous les pistolets Parabellum fabriqués après 1908, y compris les Lugers commerciaux et contractuels modèle 1906 avec sécurité automatique.

Citation :

Le nouveau modèle de pistolet Luger  (New Luger) a finalement été créé en 1906-1908. La plupart des experts estiment que la plupart des pistolets Parabellum du modèle 1906 possèdent toutes les caractéristiques du nouveau modèle Luger. Pour cette raison,  le pistolet Luger 1906 est le pistolet emblématique Parabellum New Model. Un représentant typique du pistolet Luger du modèle 1906 est le pistolet Parabellum du modèle 1906 « American Eagle » (1906 DWM « American Eagle » Luger).

Citation :

La valeur de collection des pistolets Parabellum dépend de la rareté d'un modèle particulier. Le prix moyen d'un pistolet Parabellum modèle 1906 se situe entre 1 500 $ et 3 500 $. Le pistolet Luger 1902, beaucoup plus rare, se vend entre 20 000 et 38 000 dollars aux enchères d'antiquités. Le compteur de cartouches Luger American Eagle 1902, extrêmement rare et très collectionnable, peut coûter entre 90 000 et 100 000 dollars.


Andreï Pasyouta

Et après encore j'ajouterais pour les ventes aux enchère. LE prix flambera encore en crescendo si le propriétaire était connu.
Et pour les collectionneurs qui souhaiterais, acquérir le P08 n° 16999 de Goering, j'espère pour vous, que vous avez de quoi dans vos chaussette, et priez que elle ne soit pas troué, sinon le commissaire priseur, ne vous feras pas de cadeau. Et ici je ne parle pas de la réplique made in japan, mais de l’authentique. Parce que ici Or et Ivoire.

Un grand travail donné pour cette page,
instructive.
Étant une femme, je ne m'y aventurerai pas.

On reviendra à Pasyouta comme auteur après.

Et Mme Eva, euhhhhhhhh Gi-Jane tu ne la pas vue le film? avec les yeux bandé, ils réussisse à démonté un Fusils, donc il y'a aussi des femmes intéressé.

Et tennez j'en ai une bonne! Si vis pacem, para bellum, parce que ah que oui, c'est comme cela que le nom de la marque à vue le jours. (Latin,latin, fait moi suer dans ta langue latine.)

Citation :

"Parabelum" (alias Bockhart-Luger, alias simplement Luger)

Georg Johann Lueger
Borchardt, co-développeur Georg Lueger est né en Autriche à Steinach (Tyrol). En 1865, alors qu'il avait 16 ans, il devient cadet dans l'armée austro-hongroise, mais sa carrière militaire ne dure pas longtemps puisqu'il se marie en 1872. Après un court passage à la Compagnie des chemins de fer du nord de l'Autriche, Luger entre au service de Ferdinand von Mannlicher et commence à concevoir des armes légères. Vers 1875, Mannlicher et Luger explorèrent la possibilité d'équiper un fusil de l'armée autrichienne d'un dispositif de chargement (magasin prototype), ce qui donna naissance à l'un des premiers fusils automatiques. Au cours des 12 années suivantes, Luger a poursuivi ses expériences avec des fusils à répétition. Au cours de cette période, il se rendit à plusieurs reprises aux États-Unis pour étudier le processus de production d'armes, notamment en 1890-91. rejoint finalement l'entreprise de Ludwig Loewe.
En 1891, Luger, au nom de Loewe & Co., fut envoyé en Amérique pour présenter un nouveau fusil, où il rencontra vraisemblablement Hugo Borchardt.
Borchardt travaillait alors comme directeur à la Compagnie hongroise d'armement, il avait des désaccords avec le ministre hongrois de la Guerre et par conséquent, l'inventeur accepta facilement l'offre de Luger de travailler pour Loewe and Co. et le mit à sa disposition pour peaufiner son projet. -chargement du pistolet. Malgré sa position subordonnée par rapport à Borchardt, Luger était considéré comme son premier assistant et, de l'extérieur, leur relation ressemblait à une véritable amitié entre égaux. Ils ont toujours voyagé ensemble et ont pris ensemble toutes les décisions concernant le sort du pistolet à chargement automatique.

Après la création de DWM, en 1896, Luger y forme un nouveau groupe de designers, puisque Borchardt décide de rester dans l'entreprise Loewe. Mais Luger et Borchardt sont restés de bons amis et s'entraident souvent pour résoudre certains problèmes. Cependant, à partir de ce moment-là, tous les travaux sur le pistolet automatique furent effectués de manière indépendante par Luger, et Borchardt se tourna vers la production d'équipements à gaz et, après 1911, perdit complètement tout intérêt pour les armes.
Borchard pensait que son arme était impeccable à tous points de vue, même si l'entreprise de fabrication souhaitait re-concevoir l'arme, alors l'entreprise s'est tournée vers Luger pour apporter les modifications. Luger a réussi à repenser l'arme. Le canon a été un peu raccourci, même s'il est resté assez long. La poignée était inclinée par rapport au récepteur et le recul du tir tombait sur la poignée. Des modifications ont également été apportées à la structure interne du pistolet.

En 1898, Luger présenta au gouvernement suisse un échantillon de son pistolet de 7,65 mm avec une longueur de canon de 122 mm, sous le nom de Versuchsmodelle III (modèle expérimental n° 3). Des essais de ces armes eurent lieu dans la seconde moitié de 1898, du 24 novembre au 8 décembre, à Berne auprès d'une commission d'officiers militaires. Ils ont également montré un Mauser avec un chargeur à 10 et 6 coups, un Bergmann, un Borghardt-Luger à 8 coups, un Roth à 10, un Mannlicher à 7 coups.
Chaque fabricant a expliqué et montré la conception de son appareil, le temps qu'il a fallu le tir a été mesuré et la précision du tir a été prise en compte, la cible, le champ de tir, etc. Le pistolet Borchardt-Luger était le seul à satisfaire à tous égards aux exigences de la commission. Il a passé avec succès les tests d’infiltration d’eau et de poussière et a continué à fonctionner.

La deuxième étape des tests a également eu lieu en Suisse du 1er au 3 mai 1899. Mauser, Bergmann, Roth et Mannlicher participèrent aux tests ; ils décidèrent de réessayer ces pistolets. Les modèles Mauser, Mannlicher et Borchardt-Luger ont été légèrement modifiés à la demande de la commission. Les tests étaient similaires aux précédents. Les armes Borchardt-Luger ont été décrites comme : « devenant plus légères et plus sûres à utiliser ».
Le poids a été réduit de 1,133 grammes à 850 grammes, la longueur de la bouche de 17,78 cm à 10 cm et la longueur totale était désormais de 22,8 cm. De plus, en raison de la précision du tir, la crosse n'était plus nécessaire.

Le 4 mai 1900, par arrêté parlementaire, le pistolet fut adopté par l'armée suisse sous le nom de « Pistolet, Ordonnanz 1900, Système Borchardt-Luger ». DWM s'est engagé à produire 3'000 pistolets de ce système pour l'armée suisse.

Non seulement les Suisses et les Américains ont essayé le Luger ; le modèle 1900 et le modèle Browning 1903 ont également été appréciés par l'armée suédoise. Bien que le rapport de test des armes Browning ait révélé que le Browning était supérieur, il a été noté que le Luger était en service en Suisse et utilisé avec succès dans les montagnes. Les mêmes rapports indiquent que le parabellum a été utilisé par les Allemands lors de la rébellion de Yihetuan en 1901. Les autres pays qui ont utilisé avec succès le Luger sont l'Autriche, l'Espagne, le Canada, la Russie, le Brésil, les Pays-Bas, le Portugal, la Turquie, le Luxembourg, le Chili et plusieurs autres.
Le 16 avril 1901, le colonel Frank Phipps, qui commandait le site d'essai, passa une commande à DWM pour fournir au site 1 000 pistolets au coût de 14,75 $ et une grande quantité de munitions pour eux au prix de 14 $ pour 1 000 cartouches. Ainsi, 1 000 pistolets et 200 000 cartouches ont quitté Hambourg le 18 septembre 1901 et se sont rendus en Amérique. Là, les pistolets ont été distribués dans diverses écoles et collèges militaires.

En avril 1902, le capitaine Swizzey, commandant de la compagnie de cavalerie de Fort Robinson, qui reçut le pistolet aux premiers rangs, envoya une lettre aux concepteurs du DWM, dans laquelle il admirait le pistolet, mais soulignait ses défauts. Il constate ainsi la difficulté d'équiper un chargeur de pistolet en cartouches, surtout par temps froid. Les concepteurs ont modifié le chargeur en introduisant dans sa conception un bouton externe pour rétracter le ressort, après quoi il est devenu beaucoup plus pratique de l'équiper de cartouches.

La même année, le chef de la société DWM a donné au pistolet le nom de "Parabellum" - du célèbre proverbe latin "Si vis pacem, para bellum" (du latin - "Si tu veux la paix, prépare la guerre"), qui a servi de devise à la société DWM. C'est aussi le nom donné à sa cartouche - 9x19 mm "Parabellum".
Le deuxième nom « Luger » a été donné à l'arme par Hans Tausscher, premier représentant commercial des pistolets Borchardt-Luger aux États-Unis, puis, après la Première Guerre mondiale, importateur A.F. Stoeger a popularisé le nom.

Les pistolets Luger du modèle 1900 utilisaient une cartouche de 7,65x21 mm avec un manchon en forme de bouteille, convertie à partir d'une cartouche Borchardt en raccourcissant le manchon de 5 mm. Cette cartouche est appelée 7,65 mm Luger ou 7,65 × 21 mm Parabellum. C'est avec cette cartouche que le pistolet fut adopté par l'armée suisse en 1900.
En 1902, la cartouche Parabellum 9 mm 9 × 19 mm est créée. Deux versions du pistolet ont été adoptées pour cette cartouche.

Au cours de l'été 1902, des tests compétitifs commencèrent en Allemagne, dans les environs de Berlin, pour sélectionner et adopter un pistolet à chargement automatique pour l'armée du Kaiser.
Le 12 décembre 1904, le pistolet Luger de 9 mm « Marine Model 1904 du système Borchardt-Luger » fut adopté par le quartier général de la marine allemande pour servir dans la flotte allemande.
Le 22 août 1908, le pistolet Luger de 9 mm appelé P08 (Pistole 08) fut adopté par l'armée du Kaiser comme arme standard à canon court.
Il faut dire que DWM, après avoir adopté le pistolet en Allemagne, a utilisé le nom « Parabellum » uniquement pour les pistolets commerciaux.

Entre 1901 et 1906, de nombreux travaux ont été réalisés dans le domaine de l'amélioration des caractéristiques de combat et de la modernisation du pistolet, sans négliger les avantages commerciaux.

M.1900
Le modèle 1900 était la première version du pistolet Luger. Il fut adopté par l'armée suisse en 1900. Ce modèle a hérité d'une caractéristique inhérente aux pistolets Borchard : un petit support sur le côté droit de la charnière du boulon. Sa tâche était d'empêcher le volet de rebondir après sa fermeture. En réalité, cela n'était pas nécessaire car lorsque la charnière du pêne est fermée, elle se trouve légèrement en dessous de la ligne le long de laquelle agit la force de recul, et donc toute action visant à ouvrir le pêne ne fait que presser davantage la charnière contre le récepteur.
Les éléments importants du M.1900 étaient un levier de sécurité bloquant le récepteur, situé à l'arrière gauche du cadre, et un éjecteur à ressort, situé sur la surface supérieure plate du boulon. Le M.1900 était chambré pour la cartouche 7,65 × 21 mm. Longueur du canon 122 mm.

M.1902
M.1902 est un développement ultérieur de la variante M.1900. Ce modèle a été créé pour la cartouche Parabellum 9x19 mm, de sorte que le canon a dû être légèrement plus épais et plus court que celui du modèle précédent. Longueur du canon 102 mm. Le verrou et le chargeur ont également été légèrement modifiés. Le nombre de rayures dans le canon est passé de quatre à six, et les dimensions du cadre et du boîtier sont devenues les mêmes. Dans la version finale du M.1902, le cadre, le récepteur et la douille filetée du canon ont été raccourcis d'environ 2 mm.

M.1904
La variante M.1904 est devenue la première version produite en série du pistolet Luger. Le premier achat de cette arme a eu lieu après que la marine allemande a adopté le « Selbstladepistole 1904 » de 9 mm avec une longueur de canon de 147,32 mm, connu plus tard sous le nom de « modèle naval ».
Certaines innovations ont été introduites dans la variante M.1904, qui est ensuite devenue la norme pour tous les pistolets Luger. Ce modèle dispose d'un viseur réversible à une distance de 100 et 200 m Au bas de l'arrière de la poignée se trouve une rainure pour la fixation d'un étui. Calibre 9 mm, longueur 262 mm, longueur du canon 147 mm, poids 915 g, vitesse initiale 350 m/s.
De 1905 à 1918, DWM a fabriqué 81 250 pistolets modèle 1904 pour la marine allemande.

Carabine Luger
L'une des variantes les plus intéressantes, excellentes et coûteuses du parabellum était la carabine Luger, qui a été présentée au public en 1904 et a tenté de rivaliser avec les Mauser, Mannlicher et Bergman sortis en même temps. La carabine avait un canon trop long pour être considéré comme un pistolet et trop petit pour être considéré comme un fusil, c'était l'équivalent d'un fusil à ours. En fait, la carabine Luger est restée un modèle 1900 avec un canon lourd, une crosse attachée, un devant et un viseur réglable. La carabine était livrée avec un calibre de 7,65 et 9 mm. Les cartouches de 9 mm étaient marquées de vernis noir afin de ne pas les confondre avec d'autres.
L'empereur allemand Guillaume II, en raison d'une déformation de la main gauche, ne pouvait pas utiliser un fusil de grande taille pour chasser le cerf et utilisait donc une carabine Luger. Le Kaiser a offert une carabine similaire à Théodore Roosevelt, président des États-Unis, lors de sa visite en Allemagne. L'arme avait une plaque avec une inscription dédicatoire et cette carabine est désormais conservée dans la maison Roosevelt à New York.

M.1906
Pour la première fois, des modifications majeures ont été apportées à la variante M.1906. Le ressort de rappel à lames de la poignée a été remplacé par un ressort cylindrique torsadé. La conception du fusible a également été modifiée ; lui-même fut descendu et commença à verrouiller la gâchette. Le M.1906 (ou, comme on l'a appelé, le « Nouveau modèle Parabellum ») a été fabriqué en deux versions : chambrée pour la cartouche de 7,65 mm avec une longueur de canon de 122 mm et pour la cartouche de 9 mm avec un canon plus épais. longueur de 102 mm.

M.1908
Le pistolet Luger du modèle 1908 diffère du M.1906 en ce que la sécurité automatique a été supprimée et seule la sécurité du drapeau est restée. Le M.1908 était le plus souvent appelé simplement « Pistol 08 » ou P08. Au total, jusqu'en 1918, la société d'armement DWM a produit 908 275 P08 pour armer l'armée et 1 500 pistolets à usage civil. À Erfurt, de 1911 à 1918, 663 600 unités furent produites.

Publier dans un Forum Russe sous le pseudonyme de nort_uliss.

Et ici cette photo, je l'ai aussi trouvé!


Es ce que celà pourrait être le modèle Luger V3 ou Versuchsmodel III de 1898?
C'est la première fois, sur tous les modèles vue sur des photos, qui est si droit. Et ici je le pense bien en raison que le canon doit sûrement être du 7.65mm pas encore 9mm.

Non les allemands l'on identifier en tant qu'un pistolet Borchhardt C 93 avec le calibre 7,65x25mm de 1893.
Et que Luger avait repris les travaux pour en faire son propre modèle de pistolet, qu'il avait par la suite eu les clients Suisses après les tests.

He  oui la suite de Pasyouta. Mais pas sur le Luger, mais la on vas aller dans le berceau.
Parce que tous les personnes, qui écrivent sur le luger, et qui commencerons son histoire soit à partir du P08, ou encore comme je l'avait fait au départ, à partir du Modèle vendu en Suisse. Eux son des mauvais historiens, qui souhaite juste écrire, les mêmes récits, qui se trouve déjà sur plusieurs site, et livres.
Mais il faut aussi savoir rattrapé ses erreurs, et là comme j'ai retrouvé le modèle qui ressemblait à deux goutte d'eau au Luger, Oui le modèle de 1893 de Borchardt.
Et que de nombreuses personnes l'on déjà énumérer, "Si tu souhaite connaitre l'âme d'une arme, suit comme les parieurs pmu le font, l'histoire ou le pédigrée du cheval qui la procréer." Et ici Luger n'était pas l'inventeur, mais juste un transformateur, l'inventeur ou l'idée originale est de Borchardt, Breveté sous son nom, et avec une date bien antérieur à la naissance et des brevets de Luger et de ses transformations originale..... Et ah non, Luger n'est pas un copieur, mais bien un transformateur à part entière, là ou Borchardt, n'avait pas réussis, luger avec ses idées, lui ont permit de le faire fonctionné.
Alors installer vous bien parce que il vas y avoir quelques pages internet, qui elle ne sont pas au format A4, qui vont passé bien sûr décrit comme Pasyouta l'avait déjà fait en commençant avec le luger.

Citation :

Le pistolet de Luger - héritier du pistolet de Borchardt

Pistolet Borchardt K-93 (Dénomination Russe du modèle)(Pistolet Borchardt C93)

Le prédécesseur du célèbre pistolet Luger P-08 « Parabellum » était un pistolet du designer peu connu Hugo Borchardt, appelé Borchardt K-93 (pistolet Borchardt Construction 1893) .

Hugo Borchardt  est né le 8 juin 1844 à Magdebourg, capitale de la province prussienne de Saxe. En 1860, il émigre aux États-Unis avec ses parents et obtient la citoyenneté américaine en 1875. Aux États-Unis, Borchardt a d'abord travaillé dans l'atelier d'usinage de la Pioneer Breechloading Arms Co., puis comme contremaître dans la production de machines à coudre chez Singer Company, après quoi il s'est retrouvé à la Winchester Repeating Arms Co., où il a reçu son premier brevet.


Ce brevet, numéroté n° 153310, daté du 21 juillet 1874, décrivait une machine conçue pour former des rainures de lubrification à la surface des balles. Alors qu'il travaillait chez Winchester, Borchardt s'est d'abord intéressé à la conception d'armes à feu - un revolver. À cette époque, Winchester et Colt ont entamé des négociations pour que Colt cesse de fabriquer des fusils de chasse Colt-Burgess avec le renfort Henry, et Winchester répondrait en ne fabriquant pas de revolvers. C'est peut-être l'une des raisons pour lesquelles le revolver Borchardt est resté un prototype.


En juin 1876, Borchardt quitta la société Winchester et occupa le poste de surintendant de l'usine de Sharps Rifle Co. Le 26 décembre 1876, il reçut son prochain brevet pour la conception d'un fusil sans marteau (brevet américain n° 185721). Bientôt, des fusils appelés Sharps-Borchardt modèle 1878 furent mis en vente en différentes versions : fusil de chasse, fusil de sport, carabine. Inspiré par son succès, Borchardt entreprit de développer un autre fusil, mais les problèmes financiers de la société Sharps ne lui permirent pas d'achever les travaux sur sa conception. En 1882, Borchardt fut contraint de retourner en Europe.


Travailler dans des usines d’armement américaines n’a pas été vain pour Borchard. De nombreux chercheurs pensent que c'est son travail à l'usine de Winchester et sa familiarité avec la conception du mécanisme de verrouillage à charnière des fusils avec support Henry qui ont donné à Borchardt l'idée de créer un pistolet à chargement automatique avec un mécanisme de verrouillage similaire. . À propos, le mécanisme de verrouillage à manivelle a été utilisé pour la première fois dans un pistolet par Horatio Smith et Daniel Wesson lorsqu'ils ont lancé la production du  pistolet Vulcanic .


Après avoir déménagé en Europe, Borchard a rapidement occupé le poste de directeur d'une usine d'armes légères à Budapest - Fegyver es Gépgyár. À la fin du XIXe siècle, l'Autriche-Hongrie est devenue pratiquement le centre de développement des armes à canon court. À cette époque, de nombreux armuriers amélioraient les pistolets à chargeur et développaient des armes à chargement automatique. Borchardt a rencontré Gustav Bittner, auteur du  pistolet à répétition Bittner , Karl Salvator et Georg von Dormus, développeurs du  pistolet semi-automatique Salvator Dormus , Joseph Laumann et les frères Schönberger, créateurs du  pistolet semi-automatique Schonberger-Laumann , Ferdinand Mannlicher, concepteur du Mannlicher Pistolet M1894 , et bien d'autres.


La familiarité avec la conception de la première mitrailleuse à succès, l'Américain Hiram Stevens Maxim, a probablement également influencé Borchardt. Après tout, il s’agissait de la première arme à chargement automatique dont le verrouillage du boulon utilise un mécanisme à manivelle.

Pour la dernière image, il vas falloir que je retrouve plutôt une en langue non Cyrillique, parce que vous n'allez rien comprendre, même si je vous énumère que c'est la 1ère mitrailleuse Hiram Stevens Maxim!
Donc patience jusqu'à ce soir pour la mise à jours.
Enfin j'ai tenté en vain de trouvé une photo identique en langue Anglo-saxone, mais elle n'existe pas, ou du moins pour moi elle est introuvable
j'ai juste trouvé ça!


Et puis ce n'est pas le sujet, puisque ce n'était pas Borchardt ni luger qui l'avait inventé.

Citation :

En 1892, Hugo Borchardt s'installe à Berlin et devient le principal concepteur d'armes à feu chez Ludwig Loewe & Co. De 1892 à 1913, Borchardt a reçu pas moins de 29 brevets allemands, protégeant diverses inventions dans le domaine des armes à feu et des mécanismes associés. Apparemment, Borchardt était un inventeur prolifique et polyvalent. Les chercheurs notent qu'une dizaine d'autres brevets en son nom concernent des inventions liées à la conception de machines-outils, d'équipements de chauffage au gaz et de systèmes d'éclairage au gaz. Borchardt possédait et exploitait pendant un certain temps une entreprise engagée dans la promotion commerciale de ses inventions liées au chauffage et à l'éclairage au gaz.

Citation :

Cependant, la plus grande invention d'Hugo Borchardt a peut-être été le développement de l'un des premiers pistolets commercialement réussis au monde : le pistolet Borchardt C93. Un brevet allemand pour la conception de ce pistolet, numéroté n° 75837, fut reçu par Borchard le 9 septembre 1893. Les usines de Ludwig Loewe commencèrent bientôt à produire des pistolets appelés  pistolet Borchardt Construction 1893.



Outre le brevet allemand, Hugo Borchardt a reçu des brevets pour son pistolet en Autriche-Hongrie le 11 septembre 1893 (n° 49411 et n° 81626), en Suisse le 16 septembre 1893 (n° 7296), en Belgique le 16 septembre 1893. 18 septembre 1893 (No. 106460), en Norvège le 19 septembre 1893 (No. 3324), en France le 21 septembre 1893 (No. 232975), en Italie le 25 septembre 1893 (No. 285) ; en Espagne le 29 septembre 1893 (n° 15014), en Angleterre le 6 octobre 1893 (n° 18774)



Borchardt a déposé une demande de brevet américain le 21 octobre 1893 et ​​le 10 novembre 1896, il a reçu le brevet numéro 571260. La partie descriptive du brevet commence par les mots : « Sachez que moi, Hugo Borchardt, citoyen des États-Unis, résidant actuellement à Berlin, dans le royaume de Prusse, Empire allemand, ai inventé certaines améliorations nouvelles et utiles pour pistolets à répétition fonctionnant à recul et autres armes à feu.



Le pistolet Borchardt est constitué : d'une carcasse (1), d'une détente (2), d'un couvercle de détente avec une vis (3,4), d'un chargeur (5), d'un bouton de chargeur (6), de joues de poignée et de leurs vis de fixation ( 7), un boîtier avec ressort de rappel et vis (8,9), couvercles gauche et droit de l'axe de fixation de charnière (10,11), axe de fixation de charnière (12), boîte à boulons (13), canon (14), boulon (15), percuteur avec ressort et vis (16,17,18).



Le principe de fonctionnement du pistolet automatique Borchard repose sur l'utilisation de l'énergie de recul avec une course de canon courte. Le verrou est verrouillé, tout comme dans les fusils Winchester ou la mitrailleuse Maxim, à l'aide des leviers du mécanisme à manivelle. Lorsque les leviers articulés supportant le boulon sont alignés en position horizontale et se trouvent au « point mort » inférieur, le boulon verrouille solidement l’alésage du canon. La commande manuelle du volet est possible à l'aide d'une poignée réalisée sur le côté gauche de la liaison articulée des leviers du volet.