« Lorsque dans notre pays on parle de courage et de grandeur, c’est vers les croix de guerre que se tournent les regards » Alphonse JUIN Maréchal de France
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Eva Admin
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Sujet: Re: Commémoration du 17 octobre 1961 : d’Alger à Paris, les mots de Macron attendus au tournant Sam Oct 16 2021, 21:34
Il ne manquerait plus qu'on s'excuse pour l'Indochine!
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Panpan19 membre confirmé
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Sujet: Re: Commémoration du 17 octobre 1961 : d’Alger à Paris, les mots de Macron attendus au tournant Sam Oct 16 2021, 21:45
Papon a été pris dans le système de commandement qui était une montagne d'échelons, qui n'a pas changé de nos jours la PP est un état dans l'état. Aux échelons supérieurs, chacun pensait à son avancement, déjà le pas de vague était d'actualité. J'ai connu la PP de 63 à 78, pas triste, c’est ce qui m'a décidé à partir dans l'anticriminalité du 92; Un exemple 68 dans le st germain barricade qui montent Z1 la barricade fait 1 m! attente - Z1 la barricade fait 3 m attente ;Z1 la barricade fait 5 ou 6 m; enlevez là .
Cette hiérarchie ; n'a jamais eu les C.... de monter au créneau et de défendre la troupe, la seule chose qu'ils faisaient, c’était pour calme la gauche bobos, c’est les Bœufs carotte pour calmer la presse. Ça n'a pas changé maintenant, c’est l'IGS.
NB/ Stora est certainement pas le mieux placé pour refaire l'histoire de cette époque. Sans être sur le terrain et dans son fauteuil, c’est facile. Voir ce qu'ils l'ont vécu ; tous ces historiens de canapé ne pensent qu'à paraître et vendre du papier.
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Panpan19 membre confirmé
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Sujet: Re: Commémoration du 17 octobre 1961 : d’Alger à Paris, les mots de Macron attendus au tournant Sam Oct 16 2021, 21:48
L'Indochine, au point ou en est, il en serait capable. Mais, il n'y a pas de mémoriel ? Et, puis c'est loin déjà, il ne reste presque plus d'anciens d'indo.
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Eva Admin
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Sujet: Re: Commémoration du 17 octobre 1961 : d’Alger à Paris, les mots de Macron attendus au tournant Sam Oct 16 2021, 21:58
Panpan19, vous semblez avoir de mauvais souvenirs de la PP Toutes les polices ne sont pas à blâmer Pour mémoire la C - R - S
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Eva Admin
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Sujet: Re: Commémoration du 17 octobre 1961 : d’Alger à Paris, les mots de Macron attendus au tournant Sam Oct 16 2021, 22:02
Panpan19 Concernant l'Indochine : Capable certes! Mais les Indochinois eux, se plaignent-ils, Font- ils des " vagues? Commettent - ils des actions contre le pays !
Comme qu'il soit " Nous sommes mal embarqués" ! Et notre descendance risque le pire! Soumission oblige!
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Commandoair40 Admin
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Sujet: Re: Commémoration du 17 octobre 1961 : d’Alger à Paris, les mots de Macron attendus au tournant Sam Oct 16 2021, 23:39
Ma vérité sur la “tuerie” du 17 octobre 1961
« Pour un coup donné, nous en porterons dix ».
Déclaration de Maurice Papon, préfet de police, le 2 octobre 1961, aux obsèques du brigadier Demoën, assassiné par le FLN-métro.
De janvier à octobre 1961, soit en 10 mois, le FLN a tué 22 policiers en région parisienne.
Dimanche prochain, 17 octobre, Macron va, une nouvelle fois, faire acte de repentance en critiquant son pays (et ses forces de l’ordre) pour (tenter de) recoller les plâtres et rentrer dans les bonnes grâces de son homologue algérien, Abdelmadjid Tebboune.
Le 7 mai 2020, Abdelmadjid Tebboune décrétait le 8 mai « journée de la mémoire des massacres de Sétif, Guelma et Kherrata » de 1945.
Il félicitait ensuite la décision de la France de restituer les crânes des moudjahidines décapités par les forces françaises lors de la colonisation de l’Algérie.
Dans un entretien accordé le 4 juillet 2020 à « France 24 », le Président algérien voyait dans cette restitution l’occasion d’aller « loin dans l’apaisement, dans le règlement du problème de la mémoire ».
Or, depuis les dernières déclarations de Macron et Darmanin, Tebboune est furieux.
En reconnaissant le soi-disant massacre du 17 octobre 1961, Macron espère aussi ratisser les voix des Franco-Algériens à l’élection présidentielle de 2022.
Le 17 octobre 2013, François Hollande, alors président de la République – à la demande de Benjamin Stora (déjà !) et du Gouvernement algérien – rendait hommage aux « victimes de la répression policière menée par Maurice Papon, préfet de police, le 17 octobre 1961… ».
Sans vergogne, on salissait le rôle des gens – militaires ou policiers – chargés du maintien de l’ordre sur notre sol.
Depuis on ne parle plus que du « massacre du 17 octobre 1961 »…
Il est vrai que, ce jour là, le préfet Papon, de sinistre mémoire, a empêché la Wilaya 7 (1) de manifester dans Paris.
Il mit, pour ce faire, les moyens policiers nécessaires et la répression fut pour le moins, « rugueuse ».
Mais, pour une bonne compréhension de l’histoire, disons un mot des forces musulmanes présentes en métropole.
À l’époque, le FLN se trouve en conflit frontal avec le Mouvement National Algérien (MNA), parti de Messali Hadj.
Pour prendre le contrôle de toute la population algérienne, le combat contre le MNA sera impitoyable.
Le massacre de Mélouza, en mai 1957, symbolise bien la cruauté dont le FLN est capable pour l’emporter dans cette lutte fratricide.
Dès 1957, le FLN a pris le dessus sur son rival.
En avril 1961, il décide de passer à l’assassinat pur et simple des responsables messalistes en France.
Cette guerre civile entre Algériens a coûté la vie à plus de 4 000 victimes uniquement en métropole.
L’enjeu de cette lutte à mort était l’encaissement de « l’impôt révolutionnaire » prélevé sur tous les travailleurs algériens en métropole.
À la fin de l’année 1960, le MNA ne disposait plus que de 6 000 cotisants contre 120 000 pour le FLN.
À cette époque, la communauté algérienne en France connaît une forte expansion : elle est passée de 5 000 personnes en 1910, 85 000 en 1937, 211 000 en 1954, à 400 000 en 1961.
Une grande partie de cette communauté, accueillie par les services de la Cimade (2) et quelques associations de chrétiens progressistes, est concentrée dans le département de la Seine.
Les travailleurs algériens, souvent illettrés et manœuvres peu qualifiés, vivent dans des bidonvilles : à Nanterre, Aubervilliers ou Argenteuil, ou dans les quartiers les plus pauvres de Paris, comme la Goutte d’Or.
L’imposition prélevée sur la communauté algérienne en France représentait près de 80 % des ressources du FLN.
Pour chaque travailleur algérien, cet impôt représentait entre 5 % et 10 % de son salaire.
L’emprise du FLN sur les Algériens en France s’étend aussi à certains domaines de la vie quotidienne.
Il prescrit, par exemple, le respect de la loi coranique et interdit la consommation d’alcool.
Le recours aux juridictions françaises est prohibé.
Les contrevenants peuvent être purement et simplement éliminés.
Jusqu’en 1958, le FLN était organisé en structure pyramidale classique (Fédération de France du FLN) qui permettait aux cadres un contact direct avec la base, mais qui rendait l’appareil perméable à l’investigation policière. Lorsque, en 1958 ou 59, les autorités françaises comprennent (enfin !) que les 400 000 Algériens de France représentent un potentiel de combattants considérable, la décision de démanteler le FLN pour lutter efficacement contre la révolution algérienne s’impose d’elle-même.
De fait, en septembre 1958, après des attentats nombreux et spectaculaires, la police parvient à désorganiser l’appareil du mouvement en fichant ses différents membres puis en les localisant dans différents hôtels et foyers, parfois aussi en les internant d’office dans des centres d’assignation à résidence surveillée, comme le camp du Larzac, ou, en leur appliquant la procédure dite du « rapatriement forcé ».
Le FLN se réorganise alors en adoptant des règles de sécurité basées sur de petits groupes d’activistes limités à 5 ou 6 personnes.
Il pouvait ainsi compter sur environ 450 hommes en région parisienne pour former ses groupes de choc, en marge desquels il faut rajouter 8 katibas de 31 hommes chacune, constituant une « Organisation spéciale », structure formée de tireurs confirmés et de techniciens en explosifs, chargée de fabriquer des bombes et d’éliminer les « traîtres ».
La décision de condamner à mort un Algérien se prenait au sein de la Fédération ; en revanche, celle concernant l’élimination d’un militant n’était plus du ressort d’un seul responsable, elle relevait des « comités de justice » du FLN.
Cette structure de combat, véritable petite armée de la région parisienne – la « Wilaya 7 » – prit la décision d’organiser une démonstration de force, en plein Paris, le 17 octobre 1961 en mobilisant et en forçant tous les musulmans à manifester.
Le préfet de police Maurice Papon n’a pas laissé faire et, que cela plaise ou non, il a eu raison.
En effet, quel pays, aussi démocratique et garant des droits de l’homme soit-il, autoriserait-il une force ennemie – car il s’agissait bien de cela – à défiler dans sa capitale ? La France combattait le FLN depuis novembre 1954, ne l’oublions pas !
Des pays plus dignes, plus responsables, auraient envoyé quelques unités de l’armée et non les policiers du préfet Papon pour mater le FLN.
La répression du 17 octobre 1961 aurait fait… 3 morts selon les services de police, 300 selon quelques historiens pro-FLN.
Les gens plus sérieux (ou simplement plus honnêtes) parlent de 20 à 30 tués.
C’est regrettable, certes, mais c’était la guerre ! (de surcroît, une guerre civile puisque les départements d’Algérie étaient des départements français).
Et qui peut dire, parmi ces victimes, lesquelles sont à mettre au compte de la police ?
Combien ont été tuées dans des règlements de comptes entre Algériens ?
Plusieurs corps (combien ?) auraient été repêchés dans la Seine (3) : les a-t-on poussés ?
Fuyaient-ils la police ?
Personne n’en sait rien, ce qui n’empêche pas les Stora et consorts de baver sur la police, laquelle n’a fait que son devoir.
Contre des Européens pacifiques – le 26 mars 1962, rue d’Isly à Alger – le pouvoir gaulliste n’hésitera pas, lui, à envoyer l’armée ; une armée qui a tiré, laissant plus de 200 victimes, tuées ou blessées, sur le carreau (4).
Éric de Verdelhan
1)- La « Wilaya 7 » embrigadait des musulmans résidant en métropole. C’était, en fait, une « 5e colonne ennemie ».
2)- Cette association protestante s’est illustrée dans la « subversion humanitaire ». Lire sur ce sujet : « Le réseau Curiel ou la subversion humanitaire » de Roland Gaucher ; Jean Picollec ; 1981.
3)- Sur ces noyades, les chiffres sont fantaisistes : 2 selon la police et… 150 selon quelques auteurs de gauche. Mais cette affirmation n’est étayée sur rien, puisqu’on est bien incapable de fournir une liste nominative des victimes.
4)- 80 tués et plus de 120 blessés. Des familles venues pacifiquement dire leur attachement à l’Algérie française. Lire mon « Hommage à NOTRE Algérie française » ; Éditions Duapha ; 2019.
1)- La « Wilaya 7 » embrigadait des musulmans résidant en métropole. C’était, en fait, une « 5e colonne ennemie ».
2)- Cette association protestante s’est illustrée dans la « subversion humanitaire ». Lire sur ce sujet : « Le réseau Curiel ou la subversion humanitaire » de Roland Gaucher ; Jean Picollec ; 1981.
3)- Sur ces noyades, les chiffres sont fantaisistes : 2 selon la police et… 150 selon quelques auteurs de gauche. Mais cette affirmation n’est étayée sur rien, puisqu’on est bien incapable de fournir une liste nominative des victimes.
4)- 80 tués et plus de 120 blessés. Des familles venues pacifiquement dire leur attachement à l’Algérie française. Lire mon « Hommage à NOTRE Algérie française » ; Éditions Duapha ; 2019.
Source : Éric de Verdelhan dit Paracolo sur notre Forum ; pour : https://ripostelaique.com/
« Pour un coup donné, nous en porterons dix »
22 X 10 = 220 .
Le "Contrat" , n'a pas été rempli ,il en reste a jeter par dessus le pont de Bezon , le Marcon avec........et sa suite .
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
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Alexderome Admin
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Sujet: Re: Commémoration du 17 octobre 1961 : d’Alger à Paris, les mots de Macron attendus au tournant Dim Oct 17 2021, 08:42
Bernard Lugan analyse les événements de cette journée : https://www.lesalonbeige.fr/macron-et-le-17-octobre-1961-nouvelle-repentance-pour-un-massacre-imaginaire/
« Je ne veux pas me faire ficher, estampiller, enregistrer, ni me faire classer puis déclasser ou numéroter. Ma vie m’appartient ». N°6 Le Prisonnier
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Ancien38
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Sujet: Re: Commémoration du 17 octobre 1961 : d’Alger à Paris, les mots de Macron attendus au tournant Dim Oct 17 2021, 11:18
En France nous avons un Président qui se frappe la coulpe alors que depuis hier la TV algérienne ne perd pas un instant pour commémorer et condamner la France, je cite, auteur d'un génocide du XX° siécle et de crime raciste. Je me demande à quoi pense notre Président lorsqu'il préside ses propres cérémonies. A moins qu'il assume pleinement son rôle d'acteur à dessein ?
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Eva Admin
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Sujet: Re: Commémoration du 17 octobre 1961 : d’Alger à Paris, les mots de Macron attendus au tournant Dim Oct 17 2021, 11:55
Que de gens instruits à relecture de ces textes et liens Pour relever la situation, Pour autant le " pays" restera sourd, à leur vérité.
La France a déjà pas mal souffert, des attentats en tout genre en solitaires ou pas, - dévoilés ou pas. Et pourtant, on en rajoute! À vouloir refaire l'histoire (le monde) à chercher à remettre en cause l'humanité on finira par se perdre!
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Panpan19 membre confirmé
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Sujet: Re: Commémoration du 17 octobre 1961 : d’Alger à Paris, les mots de Macron attendus au tournant Dim Oct 17 2021, 12:16
Mon cher Commandoair, Quel bel article, j'avais oublié le MNA, qui lui; était favorable à la paix des braves, voilà pourquoi on les a oubliés et massacrés, j'oubliais aussi tu as raison de le rappeler les policiers assassinés en rentrant chez eux, et bien souvent ils avaient une arme perso, car le 7'65 était une cata (fait avec de l'acier à ferrer les ânes) j'ai été un des premiers à avoir une arme personnelle achetée à l'époque comme un frigo en plusieurs fois. J'ai effectué un véritable parcours du combattant, car à l'époque déjà les politiques disaient le 7,65 suffit alors que les truands de l'époque déjà fonctionnaient au 45, donc il me fallait bien un 357 magnum, qui n'était qu'une 4° catégorie ! J'ai de quoi écrire un bouquin avec toutes les conneries que l'on nous faisait faire. Pour EVA, j'avais un copain CGT (exception) qui devenais rouge . . dès que l'on parlait d'eux. Ils ne comprenaient pas que c'était les mêmes qui étaient sur les plages pour sauver de vies ! Et, dans les manifs si besoin. Ce n’était pas vrai suivant la dialectique des cocos.
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Alexderome Admin
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Sujet: Re: Commémoration du 17 octobre 1961 : d’Alger à Paris, les mots de Macron attendus au tournant Dim Oct 17 2021, 12:50
C'est une falsification historique du FLN comportée par les propagandistes de l’Huma et Liberation. On parle de 300 morts, peut-on imaginer 300 cadavres charriés dans la Seine ?
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Panpan19 membre confirmé
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Sujet: Re: Commémoration du 17 octobre 1961 : d’Alger à Paris, les mots de Macron attendus au tournant Dim Oct 17 2021, 19:32
S’il y avait eu 300 morts les écluses auraient dû se boucher
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Alexderome Admin
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Sujet: Re: Commémoration du 17 octobre 1961 : d’Alger à Paris, les mots de Macron attendus au tournant Dim Oct 17 2021, 20:34
Mais expliquer ça à des journalistes qui se prennent pour des historiens revient à dire à un marxiste que Dieu existe. Pourtant ils nous ont habitué aux bobards, les charniers de Timisoara, personne n’avait remarqué les cicatrices sur le ventre des corps exhibé, l’armée irakienne la 4e au monde, les lassacres d’Albanais au Kosovo .... Ce sont des propagandistes comme au temps de la Pravda. C'est bien l’Humanité qui affichait en gros titres que les meneur de l’insurrection de Budapest étaient de fascistes. Ils n’ont pas compris que pour les Algériens, la guerre n’est pas finie, il veulent la revanche et se venger.
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Alexderome Admin
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Sujet: Re: Commémoration du 17 octobre 1961 : d’Alger à Paris, les mots de Macron attendus au tournant Dim Oct 17 2021, 21:21
Une autre manipulation du FLN en prétextant que la manifestation était pacifique en faisant défiler femmes et enfants devant, les hommes derrière au cas où !
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Sujet: Re: Commémoration du 17 octobre 1961 : d’Alger à Paris, les mots de Macron attendus au tournant Lun Oct 18 2021, 08:58
Quand Jupiter va-t-il commémorer les 22 policiers qui ont été assassinés par le FLN en région parisienne ? Mais, ça, ce n’est pas électoral, J'en ai vu de présidents, mais alors celui-là, il a le pompon, blanc le lundi ; noir le mardi et vert le mercredi. Et, tous ces couillons qui se laissent gentiment mené à la catastrophe !
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Eva Admin
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Sujet: Re: Commémoration du 17 octobre 1961 : d’Alger à Paris, les mots de Macron attendus au tournant Lun Oct 18 2021, 16:07
Alexderome a écrit:
Une autre manipulation du FLN en prétextant que la manifestation était pacifique en faisant défiler femmes et enfants devant, les hommes derrière au cas où !
Permettez la citation: Cela ne date pas d'hier, de : Mettre femmes et enfants devant. Tout n'est qu'habitude en rapport avec état d'esprit, (mentalité).
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Eva Admin
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Sujet: Re: Commémoration du 17 octobre 1961 : d’Alger à Paris, les mots de Macron attendus au tournant Lun Oct 18 2021, 16:10
J'en viens à certains messages. Des plus " délicatement je dirai" : La "génération" actuelle n'ayant rien vécu de ce que nos anciens ont vécu et souffert ainsi que, de que Nous avons vécu Nous, Ni service national, ni guerre etc ... Ne peut pas comprendre (Nous), Ne peut pas se mettre à notre place. Elle peut paraitre égoïste, L'histoire doit s'effacer, mais pas pour tout " Pour preuve". Les anciens doivent s'effacer, mais pas tous. Si bien que " ceci expliquant cela" Des plus délicatement je " vous le dis".
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Sujet: Re: Commémoration du 17 octobre 1961 : d’Alger à Paris, les mots de Macron attendus au tournant Lun Oct 18 2021, 17:09
Ma vérité sur la « tuerie » du 17 octobre 1961
16 octobre 2021Eric de VerdelhanHISTOIRE, Honneur29
« Pour un coup donné, nous en porterons dix ». Déclaration de Maurice Papon, préfet de police, le 2 octobre 1961, aux obsèques du brigadier Demoën, assassiné par le FLN-métro. De janvier à octobre 1961, soit en 10 mois, le FLN a tué 22 policiers en région parisienne. Dimanche prochain, 17 octobre, Macron va, une nouvelle fois, faire acte de repentance en critiquant son pays (et ses forces de l’ordre) pour (tenter de) recoller les plâtres et rentrer dans les bonnes grâces de son homologue algérien, Abdelmadjid Tebboune. Le 7 mai 2020, Abdelmadjid Tebboune décrétait le 8 mai « journée de la mémoire des massacres de Sétif, Guelma et Kherrata » de 1945. Il félicitait ensuite la décision de la France de restituer les crânes des moudjahidines décapités par les forces françaises lors de la colonisation de l’Algérie. Dans un entretien accordé le 4 juillet 2020 à « France 24 », le Président algérien voyait dans cette restitution l’occasion d’aller « loin dans l’apaisement, dans le règlement du problème de lamémoire ». Or, depuis les dernières déclarations de Macron et Darmanin, Tebboune est furieux. En reconnaissant le soi-disant massacre du 17 octobre 1961, Macron espère aussi ratisser les voix des Franco-Algériens à l’élection présidentielle de 2022. Le 17 octobre 2013, François Hollande, alors président de la République – à la demande de Benjamin Stora (déjà !) et du Gouvernement algérien – rendait hommage aux « victimes de la répression policière menée par Maurice Papon, préfet de police, le 17 octobre 1961… ». Sans vergogne, on salissait le rôle des gens – militaires ou policiers – chargés du maintien de l’ordre sur notre sol. Depuis on ne parle plus que du « massacre du 17 octobre 1961 »… Il est vrai que, ce jour là, le préfet Papon, de sinistre mémoire, a empêché la Wilaya 7 (1) de manifester dans Paris. Il mit, pour ce faire, les moyens policiers nécessaires et la répression fut pour le moins, « rugueuse ». Mais, pour une bonne compréhension de l’histoire, disons un mot des forces musulmanes présentes en métropole. À l’époque, le FLN se trouve en conflit frontal avec le Mouvement National Algérien (MNA), parti de Messali Hadj. Pour prendre le contrôle de toute la population algérienne, le combat contre le MNA sera impitoyable. Le massacre de Mélouza, en mai 1957, symbolise bien la cruauté dont le FLN est capable pour l’emporter dans cette lutte fratricide. Dès 1957, le FLN a pris le dessus sur son rival. En avril 1961, il décide de passer à l’assassinat pur et simple des responsables messalistes en France. Cette guerre civile entre Algériens a coûté la vie à plus de 4 000 victimes uniquement en métropole. L’enjeu de cette lutte à mort était l’encaissement de « l’impôt révolutionnaire » prélevé sur tous les travailleurs algériens en métropole. À la fin de l’année 1960, le MNA ne disposait plus que de 6 000 cotisants contre 120 000 pour le FLN. À cette époque, la communauté algérienne en France connaît une forte expansion : elle est passée de 5 000 personnes en 1910, 85 000 en 1937, 211 000 en 1954, à 400 000 en 1961. Une grande partie de cette communauté, accueillie par les services de la Cimade (2) et quelques associations de chrétiens progressistes, est concentrée dans le département de la Seine. Les travailleurs algériens, souvent illettrés et manœuvres peu qualifiés, vivent dans des bidonvilles : à Nanterre, Aubervilliers ou Argenteuil, ou dans les quartiers les plus pauvres de Paris, comme la Goutte d’Or. L’imposition prélevée sur la communauté algérienne en France représentait près de 80 % des ressources du FLN. Pour chaque travailleur algérien, cet impôt représentait entre 5 % et 10 % de son salaire. L’emprise du FLN sur les Algériens en France s’étend aussi à certains domaines de la vie quotidienne. Il prescrit, par exemple, le respect de la loi coranique et interdit la consommation d’alcool. Le recours aux juridictions françaises est prohibé. Les contrevenants peuvent être purement et simplement éliminés. Jusqu’en 1958, le FLN était organisé en structure pyramidale classique (Fédération de France du FLN) qui permettait aux cadres un contact direct avec la base, mais qui rendait l’appareil perméable à l’investigation policière. Lorsque, en 1958 ou 59, les autorités françaises comprennent (enfin !) que les 400 000 Algériens de France représentent un potentiel de combattants considérable, la décision de démanteler le FLN pour lutter efficacement contre la révolution algérienne s’impose d’elle-même. De fait, en septembre 1958, après des attentats nombreux et spectaculaires, la police parvient à désorganiser l’appareil du mouvement en fichant ses différents membres puis en les localisant dans différents hôtels et foyers, parfois aussi en les internant d’office dans des centres d’assignation à résidence surveillée, comme le camp du Larzac, ou, en leur appliquant la procédure dite du « rapatriement forcé ». Le FLN se réorganise alors en adoptant des règles de sécurité basées sur de petits groupes d’activistes limités à 5 ou 6 personnes. Il pouvait ainsi compter sur environ 450 hommes en région parisienne pour former ses groupes de choc, en marge desquels il faut rajouter 8 katibas de 31 hommes chacune, constituant une « Organisation spéciale », structure formée de tireurs confirmés et de techniciens en explosifs, chargée de fabriquer des bombes et d’éliminer les « traîtres ». La décision de condamner à mort un Algérien se prenait au sein de la Fédération ; en revanche, celle concernant l’élimination d’un militant n’était plus du ressort d’un seul responsable, elle relevait des « comités de justice » du FLN. Cette structure de combat, véritable petite armée de la région parisienne – la « Wilaya 7 » – prit la décision d’organiser une démonstration de force, en plein Paris, le 17 octobre 1961 en mobilisant et en forçant tous les musulmans à manifester. Le préfet de police Maurice Papon n’a pas laissé faire et, que cela plaise ou non, il a eu raison. En effet, quel pays, aussi démocratique et garant des droits de l’homme soit-il, autoriserait-il une force ennemie – car il s’agissait bien de cela – à défiler dans sa capitale ? La France combattait le FLN depuis novembre 1954, ne l’oublions pas ! Des pays plus dignes, plus responsables, auraient envoyé quelques unités de l’armée et non les policiers du préfet Papon pour mater le FLN. La répression du 17 octobre 1961 aurait fait… 3 morts selon les services de police, 300 selon quelques historiens pro-FLN. Les gens plus sérieux (ou simplement plus honnêtes) parlent de 20 à 30 tués. C’est regrettable, certes, mais c’était la guerre ! (de surcroît, une guerre civile puisque les départements d’Algérie étaient des départements français). Et qui peut dire, parmi ces victimes, lesquelles sont à mettre au compte de la police ? Combien ont été tuées dans des règlements de comptes entre Algériens ? Plusieurs corps (combien ?) auraient été repêchés dans la Seine (3) : les a-t-on poussés ? Fuyaient-ils la police ? Personne n’en sait rien, ce qui n’empêche pas les Stora et consorts de baver sur la police, laquelle n’a fait que son devoir. Contre des Européens pacifiques – le 26 mars 1962, rue d’Isly à Alger – le pouvoir gaulliste n’hésitera pas, lui, à envoyer l’armée ; une armée qui a tiré, laissant plus de 200 victimes, tuées ou blessées, sur le carreau (4). Éric de Verdelhan 1)- La « Wilaya 7 » embrigadait des musulmans résidant en métropole. C’était, en fait, une « 5[size=8]ecolonne ennemie ». 2)- Cette association protestante s’est illustrée dans la « subversion humanitaire ». Lire sur ce sujet : « Le réseau Curiel ou la subversion humanitaire » de Roland Gaucher ; Jean Picollec ; 1981. 3)- Sur ces noyades, les chiffres sont fantaisistes : 2 selon la police et… 150 selon quelques auteurs de gauche. Mais cette affirmation n’est étayée sur rien, puisqu’on est bien incapable de fournir une liste nominative des victimes. 4)- 80 tués et plus de 120 blessés. Des familles venues pacifiquement dire leur attachement à l’Algérie française. Lire mon « Hommage à NOTRE Algérie française » ; Éditions Duapha ; 2019.[/size]
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GOMER nouveau en attente de confirmation
Nombre de messages : 2672 Age : 80 Emploi : Retraite Date d'inscription : 20/09/2021
Sujet: Re: Commémoration du 17 octobre 1961 : d’Alger à Paris, les mots de Macron attendus au tournant Lun Oct 18 2021, 17:32
Bonjour,
B. Stora est un historien à la sauce FLN.
Il y avait interdiction de manifester, le FLN n'a pas respecter cette interdiction, le Préfet Papon a bien fait de remettre de l'ordre et si maCon accuse la France aujourd'hui d'un crime, pourquoi alors qu'il n'y a pas eu de procès contre Papon à l'époque ?
On traine Sarko, Fillon et Cie devant les tribunaux pour des miettes, la police en prison pour s'être défendu contre l'agression d'une racaille, les gendarmes pareil... Pauvre France !
J'espère que les Français se montrerons à la hauteur au prochaine élection présidentielle, mais ce n'est pas gagné avec des "veaux" pour glisser le bon bulletin dans l'urne.
A Lyon les gens râlent contre les rodéos et le Maire qui ne fait rien... Fallait pas voter un verdâtre !
Une autre verdâtre ce matin sur BFMtv déclare que le carburant n'est pas assez chère. Du grand n'importe quoi. Tant quand n'y est, retournant vivre dans des grottes.... et à la préhistoire.
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Commandoair40 Admin
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Sujet: Re: Commémoration du 17 octobre 1961 : d’Alger à Paris, les mots de Macron attendus au tournant Lun Oct 18 2021, 23:17
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
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Panpan19 membre confirmé
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Sujet: Re: Commémoration du 17 octobre 1961 : d’Alger à Paris, les mots de Macron attendus au tournant Mar Oct 19 2021, 08:38
Ces braves on fait confiance au grand Charles "Français de Dunkerque à Tamanraset disait-il" C'est vrai que les civils peuvent faire ce qu'ils veulent avec l'honneur, il n'est prévu dans le paquetage du politique, alors que le militaire l'a en lui !
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Eva Admin
Nombre de messages : 4668 Age : 72 Emploi : Retraite Date d'inscription : 01/02/2021
Sujet: Re: Commémoration du 17 octobre 1961 : d’Alger à Paris, les mots de Macron attendus au tournant Mar Oct 19 2021, 15:13
Très juste: L'honneur, le Militaire l'a en lui. Les familles de Militaire aussi. Une grande Famille l'Armée La Police aussi.
Commandoair je ne peux pas ouvrir le lien, dommage!
« Lorsque dans notre pays on parle de courage et de grandeur, c’est vers les croix de guerre que se tournent les regards » Alphonse JUIN Maréchal de France
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Eva Admin
Nombre de messages : 4668 Age : 72 Emploi : Retraite Date d'inscription : 01/02/2021
Sujet: Re: Commémoration du 17 octobre 1961 : d’Alger à Paris, les mots de Macron attendus au tournant Mar Oct 19 2021, 15:20
L'actualité regorge de ce 17 octobre. D'après moi, cela n'augure rien de bon.
« Lorsque dans notre pays on parle de courage et de grandeur, c’est vers les croix de guerre que se tournent les regards » Alphonse JUIN Maréchal de France
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Sujet: Re: Commémoration du 17 octobre 1961 : d’Alger à Paris, les mots de Macron attendus au tournant
Commémoration du 17 octobre 1961 : d’Alger à Paris, les mots de Macron attendus au tournant