Commandoair40 Admin
Nombre de messages : 29167 Age : 78 Emploi : Français Radicalisé . Date d'inscription : 07/11/2014
| Sujet: Si Macron était un homme, un vrai, voilà ce qu’il dirait aux Français . Jeu Avr 09 2020, 23:00 | |
| Si Macron était un homme, un vrai, voilà ce qu’il dirait aux Français
Macron : j’ai fait un rêve......................................
Macron doit s’adresser aux Français Lundi soir…
Et si, et si… un pot de fleurs lui tombait sur la tête avant ?
Et si une bonne fée, d’un coup de baguette magique, transformait le technocrate mondialiste en chef de guerre, en amoureux de sa patrie ?
Que dirait-il, alors ?
Mes chers compatriotes, je viens vous demander pardon.
Mille pardons. Même si je sais que vous aurez du mal à me pardonner et que nombre d’entre vous ne le pourront jamais. Je ne leur en veux pas, je les comprends.
Je pourrais, bien sûr, vous demander pardon pour tout ce que je vous fais subir depuis que j’ai eu le malheur d’entrer dans le gouvernement Hollande, depuis que j’ai eu le malheur (pour vous, moi j’y ai trouvé de grands plaisirs et de nombreux avantages…) d’être élu à la tête de la France, il y a presque 3 ans.
Je le pourrais, mais il faudrait que j’occupasse les ondes pendant plusieurs heures, j’ai tant à me faire pardonner… je vous lasserais et vous n’auriez pas la patience d’écouter l’essentiel. L’essentiel, c’est ici et maintenant, parce que nous sommes en guerre, comme je vous l’ai dit il y a quelques semaines.
Je suis venu, en ce 13 avril 2020, reconnaître devant vous que je suis un piètre chef de guerre. Pire, je ne suis pas un chef de guerre, pas du tout. D’ailleurs, la guerre, je ne l’ai jamais faite, même en rêve, je n’ai même pas fait de service militaire, c’est dire. Or, comment prétendre à la magistrature suprême d’un pays si on n’est pas un chef de guerre ?
Je ne suis pas de la trempe dont on fait les de Gaulle, les Jean Moulin, les Manouchian, les Salan, ni les Trump, les Orban, les Poutine, les Salvini sans doute…
À quoi les reconnaît-on, tous ces gens-là ? À leur capacité à désobéir, à être libres, à suivre leur instinct, à risquer leur vie pour la vérité, pour la liberté, et à dire merde au pouvoir, merde aux institutions, merde aux journalistes, merde aux technocrates, merde à la clique… merde aussi à Big Pharma. Entre autres.
Moi, hélas pour moi, hélas pour vous, mes chers compatriotes, je suis un pauvre type, je n’existe que si j’ai une nuée de courtisans autour de moi qui me soutiennent, m’applaudissent, me donnent à croire que je serais intelligent, utile, nécessaire…
C’est pour cela que depuis 3 mois j’ai mené le pays et vous, pauvres de mes concitoyens, au désastre ; n’ayons pas peur des mots.
C’est parce que je suis fort avec les faibles et faible avec les forts qu’on en est là.
Je n’ai pas voulu me mettre à dos mes amis de Big Pharma, mes amis de la caste, mes amis de l’UE, mon amie Merkel… Je ne pouvais pas me résoudre à me retrouver la cible de leurs critiques, de leurs lazzis, de leur déception…
Haï des Français de base que j’ai traités sans me gêner d’illettrés, de fainéants, de Gaulois réfractaires, de gens sans culture, d’assassins et de colonialistes même parfois…
Haï des Gilets jaunes qui, au moins au début étaient les mêmes que ceux-là…
Haï des patriotes pour avoir signé le Traité de Marrakech, le traité d’Aix-la-Chapelle, pour avoir accéléré le Grand Remplacement et l’islamisation de notre pays…
Haï des gauchistes pour mes réformes, de retraite entre autres…
J’ai eu peur, mes chers compatriotes, je vous l’avoue ce soir. J’ai eu peur d’être jeté, rejeté de tous, obligé de démissionner sauf à m’enfermer dans mon palais glacé, voué à ne plus en sortir que sous les huées.
Alors, quand Buzyn la traîtresse m’a parlé de la chloroquine utilisée en Chine dès janvier contre le Coronavirus, j’ai compris que j’allais avoir tous mes soutiens politiques contre moi, en France, à Bruxelles, dans le monde. Je savais qu’ils étaient tous sur la ligne de départ pour trouver le traitement et/ou le vaccin qui allait faire de Sanofi une multinationale milliardaire… Alors j’ai été lâche, mes chers compatriotes. J’ai accepté que Buzyn mette sur la liste des produits dangereux la chloroquine délivrée sans ordonnance depuis 50 ans… Quand j’ai contresigné l’arrêté, je me suis même dit que j’avais de la chance, le ridicule ne tue pas.
Cela aurait pu passer à peu près inaperçu si le petit génie de Marseille – un vrai chef de guerre, lui aussi, sachant dire non, sachant désobéir – n’était pas entré en rébellion et, devenu la coqueluche du peuple, de Trump, des Chinois, des Italiens… de la planète tout entière, ne m’avait pas ridiculisé à mort avec mon arrêté interdisant le médicament qui sauvait.
Mea culpa, mes chers compatriotes. Mea maxima culpa, mes chers compatriotes. J’ai sur les mains le sang de la plupart des victimes du Coronavirus, vos parents, grands-parents, vos enfants, même, car certains jeunes gens ont eux aussi perdu la vie. Je ne m’en remettrai jamais et la seule façon que j’aie trouvée pour me faire pardonner c’est de vous annoncer que, dès ce soir, tout médecin pourra librement prescrire de la chloroquine, que les pharmacies pourront à nouveau en délivrer et que j’ai sollicité Sanofi pour en accélérer la fabrication. Je sais que cela ne ramènera pas vos morts, je n’oserai plus jamais vous regarder en face, mes chers compatriotes…
Je sais que, face à l’horreur dont je suis responsable, mes autres insuffisances, mes mensonges, mes faiblesses, mes atermoiements sont tout aussi criminels. Si, depuis 3 ans que je suis au pouvoir, j’avais donné à la santé et aux hôpitaux les moyens dont ils ont besoin, les lits, les respirateurs, les masques, si j’avais fermé les frontières dès le début de l’épidémie… nous n’en serions pas là où nous en sommes. Nous ne laisserions pas nos anciens mourir en Ehpad faute de lits et de respirateurs en hôpital. Mais Bruxelles me poussait, me parlait de critères de convergence, me parlait d’économies à faire dans les domaines régaliens, me parlait d’autres priorités, les migrants, les quartiers… Et comme je ne suis pas un chef de guerre, comme je suis lâche, comme je suis vénal, comme je suis un mondialiste détestant la nation et n’aimant que les sociétés multiculturelles, comme je suis un médiocre, j’ai fait ce qu’ils attendaient de moi, tous. Et pour éviter que cela ne se voie trop, je me suis entouré d’autres médiocres, encore plus médiocres que moi, de simples serviteurs du système… Des incapables qui n’ont pas vu que, jour après jour, ils étaient la risée des Français et qu’ils faisaient monter la haine contre nous, contre moi. Et à présent, il est trop tard. La messe est dite.
Je comprendrais, mes chers compatriotes, que vous ne vouliez plus de moi à la tête du pays. Je vous donne ma parole de donner ma démission quand nous serons sortis de la crise et que nous pourrons à nouveau vivre normalement. En attendant, et d’ici là, je m’engage à vous servir et à agir en chef de guerre. Pour commencer, c’est Didier Raoult qui, dorénavant, nous dictera les mesures nécessaires pour lutter contre cette pandémie.
Vive la République, vive la France.
Emmanuel Macron, le 13 avril 2020, après qu’un pot de fleurs lui est tombé sur la tête. ___________________________________ ____________________________________Sicut-Aquila « Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ». | |
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81/06 membre confirmé
Nombre de messages : 4695 Age : 62 Emploi : Mécano, retraité Date d'inscription : 09/06/2019
| Sujet: Re: Si Macron était un homme, un vrai, voilà ce qu’il dirait aux Français . Ven Avr 10 2020, 08:31 | |
| Le rêve ,non juste un rêve hélas … | |
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