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| Pour niquer les Français ! Que ne ferait t'on pas ? | |
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Athos79 modérateur
Nombre de messages : 6597 Age : 84 Emploi : Retraité -Fonction publique Date d'inscription : 08/09/2019
| Sujet: Pour niquer les Français ! Que ne ferait t'on pas ? Sam Oct 26 2019, 10:30 | |
| Macron s’arme à gauche pour 2022 Nathalie Segaunes Nathalie Segaunes 22 octobre 2019 à 06h00Peu à peu, le président de la République pose les premiers actes de sa future campagne présidentielle. Ainsi un « pôle de gauche » est-il en train de voir le jour, qui a vocation à rejoindre une future coalition de démocrates autour de La République en marcheMacron s’arme à gauche pour 2022:copyright: KakSoixante-quinze élus et anciens élus PS ou écologistes et sympathisants ont publié dimanche un « manifeste pour un pôle de gauche dans la majorité », afin de porter « une voix sociale et républicaine » attentive à « la réduction des inégalités et la laïcité ».Emmanuel Macron n’est pas schumpétérien qu’en économie, il l’est aussi en politique. Faire table rase de l’ancien pour faire du neuf ne lui fait pas peur, la politique est une affaire de mouvements et de dynamiques, pas d’organisations immuables, estime-t-il. « Il abhorre les situations figées », résume l’un de ses proches.Il sait aussi que l’élection présidentielle de 2022, à laquelle il se prépare déjà activement, ne sera pas celle de 2017. Que le risque d’une victoire de l’extrême droite au second tour est réel si sa propre candidature est portée, comme en 2017, par une communauté réduite aux marcheurs et aux amis de François Bayrou.Le Président doit donc élargir sa base électorale, rassembler au-delà des siens. Créer un « grand parti démocrate à la française, dont le creuset serait LREM, résume l’un des artisans de ce projet. Il est extrêmement important de faire vivre différentes sensibilités, car le duopole En Marche/Rassemblement national est dangereux pour la démocratie ».L’activisme d’Emmanuel Macron est aussi une réponse à ses détracteurs, qui l’accusent de miser sur l’affrontement avec le RN pour assurer à son camp des victoires électorales. « On lui a fait le procès de profiter d’une décomposition mortifère de la vie politique française sans rien bâtir, rappelle l’un de ses visiteurs. Or, avec cette future coalition, il entend justement contribuer à une recomposition durable de la vie politique ».C’est dans cette perspective que s’inscrit le « manifeste pour un pôle de gauche dans la majorité » publiée dimanche dans le Journal du Dimanche. A l’instar des 72 maires de droite et du centre qui, avec Christophe Béchu, maire ex-LR d’Angers, annonçaient en juin leur soutien à l’action du Président, 75 élus et anciens élus PS ou écologistes affichent désormais leur adhésion à la politique du chef de l’Etat. « Cette initiative est le pendant de La République des maires de Christophe Béchu à droite, résume Pierre Person, numéro deux de LREM. Il est important d’avoir également une porte de gauche qui se structure dans la perspective de 2022 ».Porte de gauche. Une porte de gauche qui a mis longtemps à s’ouvrir. En mars, l’ancien député PS de Gironde Gilles Savary, chroniqueur à l’Opinion, battu en 2017 par une candidate MoDem soutenue par LREM, adresse une note au Président. Cela lui vaut d’être reçu par le secrétaire général de l’Elysée Alexis Kohler, qui l’oriente vers Philippe Grangeon, conseiller du Président. Celui-ci, venu lui aussi de la gauche, va alors pousser les soldats perdus de la social-démocratie à s’organiser.« L’effondrement du PS a laissé beaucoup d’entre nous sur la grève, résume l’un d’entre eux. On soutient la politique de Macron, mais on n’ira pas à En Marche, parce que ce n’est pas notre culture, ce n’est pas notre histoire ».Laurent Bonnaterre, 46 ans, maire de Caudebec-Lès-Elbeuf, près de Rouen, est de ceux-là. Après vingt-six ans de militantisme, cet ancien fabiusien a voté Macron dès le premier tour en 2017, a quitté le PS en septembre dernier, car « être à gauche toute quand on est dans l’opposition, puis faire le contraire quand on est au pouvoir, ce n’est plus tenable ». Mais il ne se « retrouve pas dans le syncrétisme de LREM, où toutes les lignes cohabitent ». Il a donc signé le manifeste. « Il faut assumer ce qu’on porte », dit-il. La posture anti-Macron de Bernard Cazeneuve, dont ces sociaux-démocrates sont pourtant proches sur le fond, a fini de les convaincre. « Le repli sur soi du PS, qui se contente d’attendre le retour du balancier, ce n’est pas possible », confie un signataire.Emmanuel Macron a d’abord confié à Jean-Yves Le Drian la responsabilité de bâtir ce pôle de gauche. Trop accaparé, le ministère des Affaires étrangères a passé le relais au secrétaire d’Etat Olivier Dussopt, venu comme lui du PS.Mais l’opération n’allait pas de soi. Il a d’abord fallu gérer, en juillet, la « fuite » d’une note de Jean-Marie Girier, directeur de cabinet de Richard Ferrand, qui a vexé ces néo-macronistes : elle les faisait passer pour de vulgaires « rabatteurs de maires » pour les municipales. Pas très incitatif.L’Elysée a aussi dû s’employer à rassurer la nomenklatura LREM, nerveuse à l’idée d’une cohabitation avec ces nouveaux venus. « La recomposition politique ne doit pas être une reconstitution coalisée de ligues dissoutes de tout bord ou de boutiques politiciennes en faillite [...] Nous ne sommes pas “en même temps” parce que nous additionnerions des gens de droite, de gauche et du centre », prévenait Marlène Schiappa en juin, dans une tribune. « Avec ce pôle de gauche, qui élargit et rassemble, on construit une extension pour les nouveaux arrivés », approuvait lundi la secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité femmes-hommes, manifestement rassurée.Comité de liaison. Reste que le « comité de liaison » qui doit rassembler autour de LREM le MoDem, Agir, les Radicaux, la République des maires, La République ensemble, l’UDE et ce nouveau pôle de gauche, ne s’est encore jamais réuni…Pour éviter en outre la cannibalisation du parti présidentiel, l’Elysée a dû mettre son veto aux députés En Marche qui souhaitaient exprimer leur sensibilité de gauche dans le pôle Le Drian/Dussopt. « Ils sont nombreux à frapper à notre porte, y compris des ministres », assure Gilles Savary. Le nom de ce pôle enfin, a fait l’objet de nombreuses délibérations. Certains suggéraient de l’appeler « Faire », référence à une ancienne publication rocardienne et réponse à « Agir », le parti créé par Franck Riester et ses amis venus de la droite. Olivier Dussopt a retenu « Territoires de progrès », référence à l’enracinement local qui manque à LREM.Ce pôle a vocation à accueillir, après les municipales, des maires de gauche ou écologistes qui auront été réélus. Mais qui se gardent bien aujourd’hui de répondre présent. « Les maires PS sortants ne peuvent pas se couper de leur aile gauche avant les municipales, mais après, beaucoup ont vocation à nous rejoindre », veut croire un signataire. Encore faudra-t-il, d’ici là, faire vivre cette nouvelle sensibilité du macronisme.---------------------. | |
| | | Commandoair40 Admin
Nombre de messages : 29167 Age : 78 Emploi : Français Radicalisé . Date d'inscription : 07/11/2014
| Sujet: Re: Pour niquer les Français ! Que ne ferait t'on pas ? Sam Oct 26 2019, 19:00 | |
| Merci Athos ,
Pour moi et je ne le cache pas , je voterai : RN , comme depuis des années .
Depuis la venue de ce petit Con de Macron , le ciel est de plus en plus noir pour la France .
Si il est réélu , ce sera une catastrophe : LREM + PS = nous amènera a une guerre civile et a un déclin total .
Un rassemblement de Voyous et d'Incapables , pros Bougnoules .
Armez vous , Prenez de l'Argent , faites des Provisions .
D'où viendrait l'étincelle qui mettrait le feu aux poudres, transformerait la France en territoire incontrôlé où des groupes prendraient les armes et se feraient justice eux-mêmes?
Qui verrait une nation en décomposition où alterneraient violences et vengeances du camp d'en face.
Où la spirale des affrontements ne s'arrêterait plus.
Rien n'est à exclure dans un pays aussi éruptif que la France d'aujourd'hui.
Beaucoup pensent d'abord à un nouvel épisode de terrorisme islamiste où, cette fois, sa confiance dans les services d'élite émoussée, la population verserait dans l'autodéfense.
Mais l'élément déclencheur peut aussi surgir d'une manifestation débordée par les casseurs, tel le triste saccage de la façade de l'hôpital Necker, d'une razzia de hooligans, d'une expédition punitive dans les banlieues ou pour prendre un exemple plus lointain, d'un viol collectif comme celui commis par des immigrés maghrébins à Cologne lors d'un Nouvel An…
Parmi toutes ces sources de dérapage, la plus redoutée reste l'attentat dirigé contre des enfants, la prise d'otages dans une école qui susciterait en retour un déferlement de violence.
Le plus haut niveau sur l'échelle de l'insupportable…
___________________________________ ____________________________________Sicut-Aquila « Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ». | |
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