Celles dont on ne parle pas à Dien Bien Phu

Lors des guerres coloniales, les BMC, faisaient parties intégrante des armées. L'histoire nous a conté largement les multiples aventures du ''Parc aux buffles''de Saïgon.

Geneviève de Galard, héroïne de Dien Bien Phu, raconte l'héroïsme et les tragédies des filles à soldats:<< Ces filles étaient des soldats, de vrais soldats, elles se sont conduites de façon remarquable. Tous mes blessés, mes amputés, mes opérés du ventre étaient à l'abri dans des souterrains, et il fallait qu'ils pissent, qu'ils fassent leurs besoins, qu'ils fassent un peu de toilette. Ce sont ces prostituées transformées en anges de miséricorde qui m'ont aidé à soigner les blessés, de supporter leurs misères. Elles les ont fait manger, boire, espérer contre toute espérance..........de la suite de leur agonie, il n'y a plus de témoins directs, simplement le récit que GRAUWIN a recueilli beaucoup plus tard, parce qu'un commissaire politique dans un camp a parlé de ces femmes à un prisonnier, pourquoi un commando de femmes contre nous?.......Il n'y avait pas de commando, si elles nous ont tirés dessus!
Grauwin sait qu'elles ont été rossés, tabassées, affamées, elles n'ont cessé de crier à leurs bourreaux qu'elles étaient françaises, qu'à l'instant ou elles ont reçu, l'une après l'autre, une balle dans la nuque!>>

Même les congaïes du BMC du camp retranché, le moment venu, sont venues aider les derniers combattants à approvisionner les dernières bandes de mitrailleuses. Elles n'en voulaient pas, de la "liberté" apportée par la fine fleur des massacreurs du viet minh.

Rendons hommage à ces filles du BMC (Bordel Militaire de Campagne, en référence au camion GMC), qui, lors de la bataille de Dien Bien Phu, se sont transformées spontanément en infirmières mais que les Viets ont exécutées ou laissées mourir.

Celles dont on ne parle pas.

C'est dans l'éclatement des bombes
Que je lui ôtai son soutif
Et j'eus entre mes mains deux bombes
Qui me rendirent attentif
Aux douceurs de son corps de rousse
Qui sous mon corps se déhanchait,
Et pourtant, y avait pas de mousse
Mais la poussière des tranchées !
Dans le fracas et le tonnerre
Je pénétrais ce corps divin
D'ange pur, venu sur la terre
Pour éclairer nos durs matins.
J'oubliais, à l'eau de sa bouche
La soif, la faim et cet enfer
Des corps, que les explosions touchent
Et criblent de terre et de fer
Si j'y songe, c'est grâce à elle
Que je n' suis pas devenu fou
Grâce aux caresses éternelles
D'une pute de Dien Bien Phu.

Merci Aokas

Pour la mémoires et l'histoire de ces femmes méconnues, qui sont mortes en combattantes.

Merci , pour ces FEMMES d'HONNEURS !!!!!

mesdame

à ces Femmes

merci de cette homage Aokas

le BMC de DBP était celui de la Légion!!!

merci de penser à ces femmes !!!!!!!!!

qui ont longtemps été décriées pour le metier !!! mais je reste persuader que sans elles, beaucoup auraient "peter" les plombs !!!!!!

mesdames

Le plus vieux métier du monde !!!!

Mais combien utile , et avec un coeur gros comme ça !!!!!

Honneurs a ces dames !!!!! de JOIE !!!!!!

Une pensée particuliere pour une qui a beaucoup contribuée a ma vie , sans rapport que celui de l'AMITIE !!!!!!!

merci AOKAS pour ces femmes qui le méritent et dont personne ne parle

HONNEUR A TOUTES ,car combien il est difficile de garder la tête froide dans le feu de l'action et toute sa lucidité....................Je tire mon chapeau a toutes ses filles ..............mon devoir et ne jamais faire de critique envers toutes ses femmes.....