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 La tragédie du paquebot-prison "Cap-Arcona"

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MessageSujet: La tragédie du paquebot-prison "Cap-Arcona"    La tragédie du paquebot-prison "Cap-Arcona"  Icon_minitimeDim Mai 14 2017, 08:11

La tragédie du paquebot-prison "Cap-Arcona"

La tragédie du paquebot-prison "Cap-Arcona"  22-copie-82Ignorée du grand public, fomentée par les nazis, censurée par les Anglais, l’une des plus grandes tragédies maritimes de l’histoire – le naufrage du paquebot « Cap-Arcona » et de trois autres navires, bombardés et mitraillés par la Royal Air Force britannique dans la baie de Lübeck, sur la mer Baltique, le 3 mai 1945 – devait servir à effacer la trace des abominations commises dans les camps. En quelques minutes, plus de 7 500 déportés y trouvèrent la mort.
Qualifié de « roi de l’Atlantique Sud », le Cap-Arcona, un vapeur rapide d’une jauge de 27 571 tonneaux, était le vaisseau amiral de la flotte des transatlantiques de la HSDG (Hamburg-Südamerikanische Dampfschifffahrts-Gesellschaft) de Hambourg.

paquebot de très grand luxe, élancé, à propulsion jumelée avec trois cheminées rouge et blanc. Le Queen-Mary-II de son époque. A l’intérieur, aucun détail n’avait été laissé au hasard : mobilier de très grande facture, suite royale, cabines victoriennes, jardin d’hiver, salle de sport, court de tennis... Un liner d’exception qui servit de décor, en 1942, à la version allemande d’un film sur le naufrage du Titanic.
 
Construit dans les chantiers navals Blohm & Voss de Hambourg, le Cap-Arcona fut lancé le 14 mai 1927. Lors de ce voyage inaugural, toutes les grandes personnalités européennes étaient à bord. Côté français, on notait la présence de Pierre Clostermann, véritable légende de l’aviation mondiale. Il sera l’as des as de la chasse française de la seconde guerre mondiale, terminant avec trente-trois victoires et plus de quatre cents missions.
 
Pendant douze ans, le Cap-Arcona avait enchaîné les croisières fabuleuses qui faisaient sa réputation. En 1933, il était l’orgueil du IIIe Reich, battant pavillon nazi sur tous les océans. Le 25 août 1939, il fut pourtant réquisitionné pour service de guerre. Après l’invasion de la Pologne, le vapeur fut accouplé au quai dans le port de Dantzig (Gdansk), en tant que logement flottant de la Kriegsmarine (la marine de guerre allemande).
Misère des prisonniers, luxe des cabines
En 1944, devant l’avancée des troupes soviétiques, le paquebot reçut la mission de transporter des civils et des soldats entre Dantzig et Copenhague. Mais ses turbines tombèrent en panne pendant la traversée. Il fut alors remorqué vers un chantier naval scandinave, où ses moteurs furent réparés, et put regagner l’Allemagne. Quand il jeta l’ancre dans la baie de Lübeck (port allemand de la mer Baltique), le 14 avril 1945, le Cap-Arcona n’était presque plus manœuvrable. La Kriegsmarine décida donc de le restituer à la compagnie maritime Hamburg-Süd.
Alors qu’il est ancré dans la baie de Lübeck, il va connaître la tragédie maritime la plus meurtrière de l’histoire. Car ce même 14 avril 1945, Heinrich Himmler, le chef des SS, donne l’ordre de ne laisser aucun déporté tomber vivant entre les mains des Alliés. Pour que les atrocités des camps d’extermination restent à jamais secrètes, les SS décidèrent de faire disparaître tous les déportés avant l’arrivée des Alliés. Mais la destruction des corps se révélait trop lente. Ils choisirent alors de vider les camps et de jeter les déportés sur les routes. Ainsi, les troupes alliées, le 4 mai 1945, découvrirent le camp de Neuengamme, le plus grand d’Allemagne, à 25 kilomètres de Hambourg, entièrement vide. Il avait pourtant reçu, de 1938 à mai 1945, environ 106 000 déportés de toutes nationalités. On y avait enfermé, en particulier, quelque 11 000 Français, dont quelques centaines seulement sont revenus.
Les « marches de la mort » prirent des proportions tragiques et constituèrent, pour les SS, dans ces derniers jours de guerre, un moyen effroyablement efficace d’exterminer les derniers survivants des camps. Beaucoup de détenus furent passés par les armes. Tués d’une balle dans la nuque sur le bord des routes. Mais quelque-uns parvinrent à résister aux coups, à la soif et à la faim, misant sur la fin de la guerre pour sortir de l’enfer. De leur côté, après avoir libéré le camp de Bergen-Belsen, le 15 avril 1945, les troupes alliées étaient sous le choc de l’horreur qu’elles avaient découverte.
Entre-temps, les dirigeants nazis, qui cherchent à tout prix un moyen d’effacer la moindre trace des déportés, décident de les entasser à bord de navires, de les y enfermer, et de les faire couler en haute mer. Karl Kaufmann, le chef nazi du district de Hambourg, ordonne aux officiers SS de diriger vers Lübeck, où se trouve ancré le Cap-Arcona, les déportés en marche sur les routes. Les cargos Thielbek, Athen et Deutschland, présents dans la baie, vont également être réquisitionnés pour servir le même sinistre dessein.
 
Le 18 avril 1945, des SS montent à bord du Cap-Arcona et informent les officiers qu’une « opération spéciale » se prépare, sans autre précision. Le capitaine Heinrich Bertram ainsi que le capitaine du Thielbek, John Jacobsen, sont appelés à terre, où on leur expose dans le détail le criminel projet. Jacobsen retourne à bord et révèle à son équipage toute la vérité sur l’« opération spéciale ». Il affirme que le capitaine Bertram et lui ont refusé. Le lendemain, Jacobsen est déchu du commandement de son navire.
De 19 au 26 avril, plus de 11 000 déportés atteignent à pied le port de Lübeck. Présente sur place, la Croix-Rouge suédoise tente de négocier leur sauvetage avec Himmler. En vain. L’embarquement commence le 20 avril. Le SS-Sturmbannführer Gehrig ordonne à Fritz Nobmann, capitaine du cargo Athen, de prendre 2 300 déportés et 280 SS et kapos à bord, et de les transférer sur le Cap-Arcona, ancré à quatre kilomètres au large. Il refuse. Puis, sous la menace d’être fusillé, il se résigne à obéir. Les SS et les kapos entassent à coups de matraque les déportés à bord. Quelques heures après, l’Athen quitte le port et se dirige vers le Cap-Arcona. Lorsqu’il arrive sur place, le capitaine du Cap-Arcona, Heinrich Bertram, refuse d’embarquer les détenus. L’Athen reste au large toute la nuit et doit retourner à quai le matin suivant, 21 avril, sans avoir pu transférer les déportés.
Le SS-Sturmbannführer Gehrig informe le commandant SS Max Pauly du refus du capitaine Bertram. Pauly transmet à son tour la nouvelle au général SS chef de la Gestapo de Hambourg, le comte Bassewitz-Behr, qui la rapporte au gauleiter Karl Kaufmann, commissaire du Reich à la marine. Le soir du 21 avril, Karl Kaufmann envoie son conseiller personnel, le SS-Hauptsturmführer Horn, rencontrer John Egbert, président du conseil d’administration de la compagnie maritime Hamburg-Süd, propriétaire du Cap-Arcona, pour lui dire que le capitaine Bertram doit se plier aux ordres d’embarquer des « prisonniers de guerre ». Sinon, il sera abattu. A ce moment, il est clair pour tous que le Cap-Arcona va être coulé avec les déportés à bord, et que le sort de ceux-ci se joue maintenant.
Cinq jours passent et, le 26 avril, le lieutenant-commandant Lewinski et le SS-Sturmbannführer Gehrig montent à bord du Cap-Arcona. Le capitaine Bertram essaie, sans succès, de négocier avec eux. Ils lui proposent l’ultimatum suivant : soit donner immédiatement la permission à l’Athende s’amarrer bord à bord et de transférer ses prisonniers, soit passer devant une cour martiale et être fusillé. Le capitaine Bertram finit par capituler.
 
Sous le commandement de l’officier SS Kirstein, des militaires enlèvent tous les gilets de sauvetage, ainsi que les bancs ou les banquettes pouvant être utilisés comme radeaux, et les enferment à clé dans la salle des entrepôts.
Pendant plusieurs jours, l’Athen va faire la navette entre le port de Lübeck et le Cap-Arcona. A l’exception des déportés politiques, tous les prisonniers restent un ou deux jours à bord du Thielbek, avant d’être transférés sur le Cap-Arcona via l’Athen. Finalement, 6 500 déportés et 600 gardes SS parviennent à bord.
Très vite, le luxueux paquebot se transforme en un véritable enfer. Vingt à trente déportés y meurent quotidiennement. Il y a à peine de quoi manger et boire. Chaque jour, une chaloupe apporte de l’eau potable et retourne à Lübeck avec les morts. Les gardiens s’acharnent en particulier sur les prisonniers russes. En vue du sabordage, le nombre de SS est graduellement réduit, et ceux-ci sont remplacés par des membres de l’armée territoriale, âgés de 55 à 60 ans, et de l’infanterie de marine.
 
L’Athen effectue son dernier trajet vers le Cap-Arconale 30 avril, cette fois pour retirer des prisonniers du paquebot, si surpeuplé que même les SS ne peuvent endurer plus longtemps les morts qui s’entassent ni la puanteur. De plus, des négociations avaient eu lieu avec la Croix-Rouge suédoise. Un accord concernant les détenus français est passé pour favoriser leur sauvetage.
 
Au total, 2 000 déportés français et ressortissants de l’empire colonial français réussiront à quitter le Cap-Arcona et le Thielbek, le 30 avril. Ils seront dirigés jusqu’en Suède et hospitalisés. Certains détenus français refuseront de sortir des cabines du Cap-Arcona et du Thielbek, estimant que les conditions de survie sur les autres bateaux sont encore plus aléatoires. Sans le savoir, ils signent ainsi leur arrêt de mort.
Les déportés apprennent, le 30 avril 1945, qu’Adolf Hitler s’est suicidé, que Berlin est occupé par les troupes russes et que la guerre est pratiquement finie. Depuis cinq jours, des barges et plusieurs péniches de débarquement apportent à Lübeck un demi-millier de déportés faméliques supplémentaires (hommes, femmes, enfants) en provenance du camp de Stutthof, près de Dantzig, en Pologne. Ils doivent rejoindre le Cap-Arcona.
Soudain, le 3 mai, alors que des sous-marins allemands manœuvrent déjà dans la baie de Lübeck et se préparent à tirer les torpilles pour couler le Cap-Arcona, des chars britanniques font leur apparition. Les Allemands se mettent à couvert pour combattre.
Le matin de ce même jour, un avion anglais avait effectué un vol de reconnaissance au-dessus de la baie de Lübeck et avait observé le Cap-Arcona. Sentant leur libération proche, les déportés lui avaient fait de grands signes de la main. Encore présents sur le cargo Athen, les soldats nazis avaient ouvert le feu sur l’avion. Pour échapper aux tirs des batteries antiaériennes, l’appareil volait alors à 10 000 pieds et distinguait mal l’identité des personnes à bord. En fin de matinée, deux officiers britanniques se présentent au bureau de la Croix-Rouge suédoise, à Lübeck, pour obtenir tous les détails sur les bateaux-prisons. Après avoir entendu un rapport, ils promettent d’agir en conséquence. Malheureusement, il est trop tard pour détourner l’opération lancée. Plusieurs appareils de la Royal Air Force (RAF) se présentent déjà dans la baie de Lübeck. Quatre escadres de chasseurs bombardiers Typhoon, de la Second Tactical Air Force, se disposent en position d’attaque. Les nazis ont équipé leurs bateaux militaires de drapeaux blancs, mais ont maintenu le pavillon hitlérien sur le Cap-Arcona, l’Athen, le Thielbek et le Deutschland.
 
A 14 h 30, la visibilité est bonne. Le capitaine anglais Martin Scott Rumbold lance l’attaque. Le Cap-Arcona et les autres navires sont bombardés et mitraillés par les chasseurs bombardiers. Parmi les pilotes se trouve l’aviateur français Pierre Clostermann, qui a intégré la RAF – celui-là même qui avait participé comme passager à la croisière inaugurale du Cap-Arcona. Entièrement en feu, celui-ci commence à sombrer. A bord, les détenus savent qu’ils n’ont que quelques instants pour s’échapper. Bertram, le capitaine, quitte le pont rempli de fumée en se frayant un chemin à coups de machette à travers la masse des prisonniers, et abandonne son navire. Les SS terrorisent les détenus avec le tir de leurs mitrailleuses. Beaucoup de canots de sauvetage sont percés. Un seul est mis à la mer par les SS pour fuir.
 
Dans une panique indescriptible, les déportés qui n’ont pas été tués durant l’attaque, ni brûlés, ni noyés dans leur prison, se précipitent sur le pont et se jettent à l’eau, où ils tentent de s’accrocher aux planches flottantes. La plupart se noient. Les autres nagent dans des eaux glaciales. Beaucoup meurent mitraillés par les canons de 20 mm des chasseurs anglais qui, volant au ras des flots, reviennent à plusieurs reprises. Quelques détenus sont sauvés par des pêcheurs allemands qui portent secours aux victimes. A terre, les premiers rescapés demandent aux troupes britanniques d’envoyer d’urgence des canots de sauvetage. Le pavillon blanc du cargo Thielbek ne sera pas suffisant pour arrêter la furie anglaise. L’attaque menée contre lui se produit quelques minutes après. Seuls quelques détenus s’échappent des cales.
 
Le bateau gîte à 50 degrés et commence à sombrer. Des 2 800 déportés présents à bord, seuls 50 survivront. Tous les gardes SS et ceux de l’infanterie de marine sont tués, ainsi que le capitaine Jacobsen. Les cris des mourants s’entendent depuis Lübeck.
Il y avait 4 500 détenus à bord du Cap-Arcona, 2 800 sur le Thielbeket 1 998 sur l’Athen ; 316 prisonniers furent sauvés du Cap-Arcona, 50 du Thielbek, et la totalité des déportés de l’Athen. Au total, 7 500 prisonniers de guerre, de 28 nationalités, furent tués en moins de trente minutes, au cours de ce raid aérien.
Dans l’euphorie de la victoire, les journaux anglais et internationaux ne mentionnèrent que la « brillante attaque » des avions anglais. Le lendemain, les troupes britanniques pénétraient dans le camp de Neuengamme, complètement vide, et le maréchal Montgomery recevait la reddition des troupes de l’Allemagne du Nord. Quatre jours plus tard, le 8 mai 1945, la guerre prenait fin en Europe.
Aucun gouvernement britannique n’a jamais fait référence à la mort des 7 500 déportés de la baie de Lübeck tués par son aviation. Il n’y a jamais eu de couronne déposée ni de discours prononcé en leur mémoire. Des fosses communes furent creusées le long de la plage entre Lübeck et Pelzerhaken. Des survivants firent construire un cénotaphe en pierre, sur lequel est écrit en grandes lettres noires : « A la mémoire éternelle des déportés du camp de concentration de Neuengamme. Ils périrent lors du naufrage du Cap-Arcona le 3 mai 1945. »
Des survivants réclament la vérité
 
Les autorités britanniques ont expliqué, par la suite, que la présence d’une flottille militaire allemande à côté du Cap-Arconales avait poussées à l’erreur, qu’elles pensaient que le bateau était occupé par des militaires allemands. En 2000, l’historien allemand Wilhelm Lange a affirmé que les Britanniques connaissaient l’existence de ces bateaux-prisons un jour avant leurs bombardements, mais que cette information était restée bloquée. La tragédie de la baie de Lübeck est considérée comme un véritable crime de guerre. Le drame est resté impuni et ignoré des livres d’histoire.
Pendant longtemps, jusque dans les années 1970, la mer Baltique rejeta des cadavres et des restes des déportés tués. Dans le procès dit « procès Curio- haus », l’ancien officier SS Max Pauly, le commandant du camp de Neuengamme et le chef de camp Thumann furent jugés, condamnés pour crimes de guerre et pendus dans le pénitencier de Hameln. De nombreux officiers SS du camp de Neuengamme furent jugés entre 1945 et 1948 par des tribunaux militaires anglais. Mais aucun des nombreux autres Allemands coupables ou complices du meurtre des déportés du Cap-Arcona et du Thielbek n’a été jugé, ni par une cour britannique ni par une cour allemande.
L’épave du Cap-Arcona resta échouée dans la baie de Lübeck jusqu’en 1950, puis fut démantelée par des plongeurs pour être réduite en ferraille. Sur cette jetée de Lübeck, elle fut étudiée et photographiée en détail par la firme Rolls-Royce, qui avait fabriqué les bombes anglaises, afin... d’en évaluer l’efficacité. Quatre ans après son naufrage, le Thielbek, remis à flot et réparé, reprit du service sous le nom de Reinbek. En 1961, la compagnie maritime Knöhr & Burchard vendit le Reinbek, qui navigua alors sous pavillon panaméen. En 1974, l’ancien Thielbek fut démonté à Split, en ex-Yougoslavie. Les restes des cadavres trouvés dans les épaves furent placés dans quarante-neuf cercueils, et reposent enfin en paix dans le carré Cap-Arcona du cimetière de Lübeck.
L’Union soviétique s’empara de l’Athen comme réparation de guerre, et le renomma Général-Brusilow. Le 27 mai 1947, il fut offert à la Pologne. Rebaptisé Warynski, il navigua longtemps encore entre Gdansk (ex-Dantzig) et Buenos Aires, via Hambourg. En 1973, il fut mis hors service et transformé en entrepôt flottant dans la ville polonaise de Stettin, avec la désignation NP-ZPS 8.
 
Aujourd’hui, soixante ans après, la tragédie de Lübeck demeure taboue. En France, il ne reste plus que quelques déportés survivants à réclamer la vérité. Ils veulent savoir pourquoi aucun historien n’a travaillé sur cette page de la seconde guerre mondiale, pourquoi dans les bibliothèques françaises aucun livre ne mentionne cette tragédie, pourquoi les archives de la Royal Air Force sur cette catastrophe ne seront accessibles qu’en 2045. En mémoire de leurs camarades disparus, ces survivants veulent témoigner des atrocités des nazis, de la folie de la guerre et des revanches aveugles qui ont conduit au massacre de milliers d’innocents.
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