DECES PAR SUICIDE D'UN MILITAIRE OP SENTINELLE

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Paris : un militaire se tire une balle dans la tête au sous-sol des Galeries Lafayette

Île-de-France & Oise>Paris>Paris IX|Céline Carez|24 juin 2016, 17h07 | MAJ : 24 juin 2016, 23h10|9

Un soldat de l’opération Sentinelle s’est tiré une balle dans la tête au 2e sous-sol des Galeries Lafayette (LP/Yves Fossey.)
Céline Carez
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photo illustration Google images

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Un militaire faisant partie de l'opération Sentinelle s'est tiré cet après-midi une balle dans la tête avec son arme de service, un pistolet, au 2e sous-sol des Galeries Lafayette, à l’angle du boulevard Haussmann et de la rue Mogador (IXe) à Paris.

Le drame a eu lieu ce vendredi à 16 h 30 dans un local réservé aux militaires qui patrouillent boulevard Haussmann. C'est un employé des Galeries qui a fait la macabre découverte en apercevant une flaque de sang sous une porte.

Police, pompiers et représentants de la hiérarchie militaire sont sur place. Un périmètre de sécurité a été établi. A l'initiative du gouverneur militaire de Paris, une cellule de soutien psychologique a été ouverte pour les collègues du militaire.
«Ses camarades qui l'entouraient ont été choqués et surpris de son geste. Ils n'ont décelé aucun signe avant-coureur», assure t-on au ministère de la Défense.
leparisien.fr

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SOCIÉTÉ

À Paris, un militaire de l'opération «Sentinelle» se tire une balle dans la tête
Par Caroline Piquet Mis à jour le 24/06/2016 à 23:23 Publié le 24/06/2016 à 18:49

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L'opération Sentinelle a été mise en place au lendemain des attentats des 7, 8 et 9 janvier 2015 et a été renforcée après les attaques du 13 novembre.

Pour l'heure, la thèse du suicide est privilégiée mais aucune piste n'est encore écartée, nous précise une source policière.

Un militaire appartenant à l'opération «Sentinelle» s'est tiré vendredi à Paris une balle dans la tête avec son arme de service. Il se trouvait dans les sous-sols des Galeries Lafayette, à l'angle du boulevard Haussmann et de la rue Mogador, dans le IXe arrondissement. Son corps a été retrouvé «dans la zone de repos de son unité», a déclaré le gouverneur militaire de Paris dans un communiqué publié en fin de journée, qui précise que «selon toute vraisemblance, il se trouvait seul au moment de sa mort». C'est un autre soldat de son unité qui a découvert le corps à 16h20.
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NDLR ; CONTRADICTION D'AVEC L'ARTICLE DU PARISIEN CI-DESSUS
Kanesatakè
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Pour l'heure, la thèse du suicide est privilégiée mais aucune piste n'est encore écartée, nous précise la même source. Les pompiers, la brigade criminelle, le procureur de la République et la cellule antiterroriste se sont rendus sur place. Un périmètre de sécurité a été établi. «Une enquête est en cours sous la responsabilité du procureur de Paris pour confirmer les causes et les conditions du décès», a précisé le gouverneur militaire dans son communiqué, même si une attaque était à priori exclue par les autorités militaires.
«C'est toujours très difficile de se prononcer», réagit Michel Bavoil, vice-président de l'Association de défense des droits des militaires (Adefdromil). «Est-ce que c'est une question de harcèlement moral? Une surcharge de travail? Un motif personnel? Il est encore trop tôt pour le savoir».
Les cas de sucide ne sont malheureusement pas rares dans l'armée. En avril dernier, un militaire de 22 ans s'était suicidé avec son Famas à la caserne de Laperrine, à Carcassone.
Vers un abandon en 2017?
L'opération «Sentinelle» a été mise en place au lendemain des attentats des 7, 8 et 9 janvier 2015 et a été renforcée après les attaques du 13 novembre. Cela fait donc plus de 18 mois que 10.000 soldats sont mobilisés à Paris et en régions pour assurer la sécurité du territoire. En janvier 2016, ils étaient déjà plus de 70.000 à avoir été mobilisés sur le dispositif. Fatigue, moral en berne, conditions de logement difficile, les militaires ont déjà témoigné des difficultés éprouvées depuis le début de l'opération.
Comme le révélait Le Figaro au début du mois, le dispositif «Sentinelle» pourrait être abandonné en 2017. «Il n'y a pas d'opération militaire à laquelle il ne faille pas, un jour, mettre un terme», indiquait une bonne source. «Plus on se place dans la durée, plus les risques de contournement et la vulnérabilité augmentent», justifiait-elle. Experts, politiques et militaires questionnent l'efficacité d'un tel déploiement. Avec «Sentinelle», les militaires «redoutent ce qu'ils perçoivent à terme comme une inévitable perte de certaines de leurs compétences techniques, nécessaires à leur engagement opérationnel», soulignait un rapport du Haut Comité d'évaluation de la condition militaire (HCECM).

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Je me doute que le travail effectué sur le terrain n'a rien de folichon, et de plus ;voir dans quelle conditions de travail et sont hébergés les soldats ! c'est honteux !! Si il a attentat ce n'est pas les patrouilles qui stopperons les terroristes !!

Pauvre "Enfant de France"

Il est dit , que ce plan Vigipirate , a amené aussi des dizaines de divorces .

Manque de confort , missions non valorisantes et j'en passe , font que nos soldats en ont par dessus la tête .

Reposes en paix , mon petit , tu as fait ton boulot pour nous protéger .

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Sicut-Aquila

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« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage.
La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure.
Être un homme et le demeurer toujours,
Quelles que soient les circonstances,
Ne pas faiblir, ne pas tomber,
Voilà le véritable sens de la vie ».

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Le mamouth
L'actu militaire par le journaliste Jean-Marc Tanguy - Twitter @Defense137 - 7209 posts depuis avril 2009 - 50,28 millions de pages vues - Armée, Irak, Chammal, Serval, Barkhane, Sangaris, Afghanistan, forces spéciales, armée de l'air, drones, hélicoptères, femmes militaires, lutte contre le terrorisme, GIGN, RAID, COS ...
vendredi 24 juin 2016
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Un Sentinelle meurt dans Paris (actualisé-3)
Un militaire de l'opération Sentinelle a perdu la vie cet après-midi, dans un local de repos situé dans
les sous-sols de l'immeuble des galeries La Fayette, vraisemblablement avec son pistolet automatique de service.
Pour l'heure, l'armée de terre n'a pas donné son identité, pas plus que son régiment d'origine. Initialement, seuls les officiers, les sous-officiers et les chefs de groupes disposaient d'un PA, mais ce dernier a été systématisé en double dotation dans l'infanterie.
Le GMP évoque ce soir les faits dans un communiqué prudent, qui explique que le "militaire du rang" a été trouvé par un camarade, sans vie, vers 16h20. Il était "seul au moment de sa mort", selon "toute vraisemblance". Cet EVAT participait, selon la même source, à une "mission de surveillance périmétrique dans le 9e arrondisement".
Selon le quotidien La Depeche, le militaire est un caporal de 26 ans du 3e RPIMa. En avril, un EVAT du 3e RPIMa s'était donné la mort au régiment.

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pour tout dire ! je resterai neutre sur cette acte de ce soldat !

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Dans une guerre, ce qui se passe, ce n'est jamais ce qu'on avait prévu. Alors ce qui compte, c'est d'avoir le moral !

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