Paras, bérets bleus, verts et rouges, tous unis ! Forum pour Parachutistes et Sympathisants de par le Monde |
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| TCHAD | |
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Invité Invité
| Sujet: Re: TCHAD Dim Fév 03 2008, 20:50 | |
| - Michel a écrit:
- Comment ils rentrent s'ils ont plus l'aéroport ?? Ils vont pas traverser le Chari à la nage.
en transall direction libreville tous et on en parle plus des moyens aero il y en as ou alors on fait l'inverse on envoie des TROUPES de se NOMS |
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| Sujet: Re: TCHAD Dim Fév 03 2008, 20:56 | |
| Il y a des troupes de ce nom, mais on embarque pas 1500 gars avec leurs matos en 5mn. |
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| Sujet: Re: TCHAD Dim Fév 03 2008, 20:59 | |
| - Michel a écrit:
- Il y a des troupes de ce nom, mais on embarque pas 1500 gars avec leurs matos en 5mn.
ah voila fallait prevoir c'est sa nos generaux politique previsions on est en 2008, guerres du chit et des etoiles et nos gars vont ramasser c'est du propre sa et le pire c'etait du previsible |
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| Sujet: Re: TCHAD Lun Fév 04 2008, 06:35 | |
| Tchad : N’Djamena en flammes, mais Déby tient bon L’armée nationale tchadienne réplique aux rebelles
dimanche 3 février 2008, par Khaled Elraz
Après une folle équipée victorieuse à travers tout le Tchad, la colonne rebelle est prise dans N’Djamena comme dans une souricière. Déby tient bon, au centre d’une capitale en flammes.
Tout s’était passé si facilement jusque là, pour les rebelles tchadiens, qui avaient pénétré depuis le Soudan jusqu’au coeur de N’Djamena avec une déconcertante facilité. L’attaque-éclair semblait avoir pris de court toute résistance de l’armée régulière tchadienne. L’entrée dans N’Djamena aux premières heures du matin, samedi 2 février, avait confirmé cette faiblesse des résistances tchadiennes. La conquête du Palais présidentiel et la chute d’Idriss Déby Itno semblaient une formalité...
L’enlisement de l’offensive
La journée de dimanche a semblé infirmer les pronostics de la veille : la colonne rebelle n’est que de 2000 hommes et elle est extrêmement éloignée de ses bases arrière. Autant dire qu’elle est condamnée à une victoire rapide, car tout enlisement des combats risque de l’épuiser. Le fait d’avoir pris la plus grande partie de N’Djamena ne constitue pas nécessairement une victoire : car prendre n’est pas tenir.
Depuis dimanche 3 février au matin, l’armée nationale tchadienne a sorti les grands moyens : les chars et les hélicoptères, qui constituent des remparts solides pour ce combat urbain, face aux 4x4 équipées de mitrailleuses lourdes dont sont dotés les rebelles. Tant et si bien que dimanche 3 février au soir, pour autant que la situation soit lisible, l’enlisement des combats dans la capitale risque de la transformer en souricière pour les rebelles. Dispersés, les affrontements sont confus et leurs issues difficiles à déterminer.
Le Président Idriss Déby Itno, pour sa part, assure à la communauté internationale qu’il tient la situation en main, et que l’armée nationale s’est ressaisie et s’apprête à reprendre le contrôle de la capitale, malgré la mort, dès vendredi, de son chef d’Etat-major, tombé dans les combats livrés entre Dagana et Massaguet, à quelques dizaines de kilomètres de N’Djamena.
La violence et les pillages
La confusion croissante sur le front militaire a malheureusement des conséquences tragiques sur les populations civiles de N’Djamena : les accalmies des combats permettent à de nombreuses familles de s’enfuir, les étrangers, de plus en plus nombreux, regroupés dans quelques points de la capitale que sécurisent les troupes françaises, sont progressivement évacués depuis la nuit de samedi à dimanche par des avions gros porteurs de l’armée française qui effectuent des rotations entre Libreville et N’Djamena.
La France, restée neutre tout au long des affrontements qui se déroulent sous les yeux des soldats français présents à N’Djamena, a même mis à l’abri des combats éventuels autour de l’aéroport ses avions "Mirage", qui ont été eux aussi se mettre au vert à Libreville.
Ainsi désertée par une aprtie de ses habitants et par toute autre force que celles de rebelles et de l’armée nationale tchadienne qui s’affrontent, N’Djamena offre en de multiples endroits des scènes de pillage et de désordre, magasins saccagés, habitations dévalisées, vols et violences... De loin en loin, de noires fumées révèlent des incendies, et les rues sont parfois jonchées de cadavres, fruit des combats des dernières heures, que personne n’ose recueillir...
Il aura suffi de quelques heures pour que la bataille bascule. Et il est de plus en plus difficile de prédire son issue.
Pour suivre le fil des événements :
3 février au matin : Le Président tchadien cerné par les rebelles
2 février mi-journée : Les rebelles prennent N’Djamena
1er février mi-journée : la bataille de Massaguet
31 janvier : Percée spectaculaire de la colonne rebelle au Tchad
Source: http://www.afrik.com/article13535.html |
| | | Aokas Admin
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| Sujet: Re: TCHAD Lun Fév 04 2008, 10:36 | |
| ?????? que penser ? on a connu pire, mëme 2 présidents de la république qui se causait à coups de canons dans la capitale d'une république d'afrique francophone, par dessus le marché franc-maçons tous les deux ! a ceux qui ont fait le Tchad, il y a 20/25 ans (+ ou -) lors de la dernière grosse embrouille, avez-vous connu le chef d'escadrille de l'AA....sur place, je parle du pilote bien entendu ? ___________________________________ ____________________________________Aokas 14ème RCP - 9ème RCP AFN 194658 | |
| | | Aokas Admin
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| Sujet: Re: TCHAD Lun Fév 04 2008, 17:43 | |
| La 3ème Compagnie du 1er RCP de Pamiers en projection dans le conflit tchadienLe 1er Régiment de chasseurs parachutistes de Pamiers était depuis Noël au complet, après les retours successifs d’Afghanistan et du Gabon… Cela n’aura duré qu’un temps puisque samedi soir à 18h30 la 3ème compagnie (environ 150 hommes) sous les ordres du capitaine Cognon partait de l’aéroport de Toulouse-Blagnac pour Libreville. Les paras de Pamiers ont été projetés au Gabon dans le cadre de l’opération Guépard. Si l’affectation au Gabon fait partie des missions régulières que remplit le 1er RCP en Afrique, la projection leur est également bien connue. Elle rentre typiquement dans le cadre des missions d’urgence que l’état major des armées confie au régiment ariégeois. Dès à présent, la 4ème compagnie sous les ordres du capitaine Gasnier et ses renforts sont placés sous un régime d'alerte Guépard à 12 heures (disponibilité des soldats sous 12 heures, prêts à partir si la situation évolue sur place). Hier dimanche un avion militaire français a décollé de Libreville pour Paris avec 202 étrangers évacués du Tchad à son bord. Selon l’armée française, le nombre d’étrangers évacués de N’Djamena vers Libreville était de 580 après une 7ème rotation. Le président Sarkozy après s'être entretenu avec le président Deby au téléphone, a convoqué dimanche à 16h30 une nouvelle réunion sur la situation au Tchad. «Cette réunion s'est tenue en présence du Premier ministre, François Fillon, du ministre des affaires étrangères et européennes, Bernard Kouchner, du ministre de la défense, Hervé Morin, du directeur du cabinet du Premier ministre, Jean-Paul Faugère, et du chef d'état-major des armées, le général Georgelin», a indiqué le communiqué de l’Elysée. «La France reste en contact permanent avec l'Union africaine, les chefs d'Etat africains et les membres africains du Conseil de sécurité des Nations Unies, ainsi que les Etats membres de l'Union européenne», conclut le communiqué. La France, qui a condamné l'offensive de la rébellion venue du Soudan, a indiqué que ses forces armées sur place sécurisaient l'évacuation des Français et étrangers qui souhaitent quitter le Tchad, sans prendre part aux combats. Photo: ©AriegeNews (archives) publié le 04/02/2008 NB. : on réalise pour ceux qui connaissent ces deux compagnies qu'ils sont mis à contribution..... ___________________________________ ____________________________________Aokas 14ème RCP - 9ème RCP AFN 194658 | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TCHAD Lun Fév 04 2008, 17:52 | |
| Et le plus malheureux , il font la queue , comme de pauvres quidams !!!! Aucuns respects pour nos p'tits gars !!!!!! Comme si il n'y avait pas des portes dérobées pour aller sur le tarmac !!!!! Quand je pense , aux mecs que l'on raccompagne aux frontières en FIRST CLASS !!! De qui se moque t'ont !!!!!!!!! |
| | | Aokas Admin
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| Sujet: Re: TCHAD Lun Fév 04 2008, 17:56 | |
| trés bonne observation...et remarque, c'est vrai minable.... pour cela il faudrait une mat49 qui parte toute seule dans l'aérogare, on prendrai soin d'eux..... ___________________________________ ____________________________________Aokas 14ème RCP - 9ème RCP AFN 194658 | |
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| Sujet: Re: TCHAD Lun Fév 04 2008, 18:06 | |
| Tchad: les rebelles ont quitté N'Djamena, des milliers de civils en fuite 04/02/2008 16h17
Des milliers de civils fuyaient lundi N'Djamena, où régnait un calme précaire et où l'armée tchadienne affirme avoir repoussé l'assaut des rebelles, qui promettaient de repasser incessamment à l'offensive et de renverser le président Idriss Deby..
"L'armée contrôle assez bien la situation, elle a certainement pu se réorganiser un peu", a affirmé une source militaire à l'AFP. "Mais ce n'est pas forcément terminé, il y a une colonne rebelle d'au moins une trentaine de pick-up pas loin, à l'entrée nord de la ville".
Des milliers d'habitants se sont enfuis vers le Cameroun pour échapper aux combats, a indiqué le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR).
"Cela continue ce (lundi) matin", a indiqué un porte-parole du HCR, Ron Redmond. "Nous nous attendons à ce que beaucoup plus de gens arrivent" sur la rive camerounaise du Chari, à l'ouest de N'Djamena.
"Les gens se rappellent de la guerre civile en 1979, beaucoup de monde avait été coincé en ville à l'époque. Alors ils partent (...), tout le monde a peur", a confirmé à l'AFP par téléphone une commerçante tchadienne.
Le ministre des Mines, le général Mahamat Ali Abdallah, commandant des opérations gouvernementales, a assuré de son côté que "l'ennemi (était) complètement en débandade".
Combats entre rebelles et forces gouvernementales au coeur de N'Djamena ©AFP/InfographieMais l'alliance rebelle, qui a traversé tout le pays d'est en ouest en une semaine pour attaquer N'Djamena, évoque un retrait purement tactique.
Un des chefs de l'alliance des rebelles, Timan Erdimi, a affirmé à l'AFP que ses forces se trouvaient aux entrées nord et sud-est de N'Djamena. "Nous attendons une colonne de renforts qui doit arriver incessamment. Dès qu'elle arrive, on va faire mouvement vers le centre", a-t-il expliqué lundi après-midi.
Des experts étrangers évoquaient un avantage logistique à terme pour Deby, qui dispose de munitions dans la capitale et de réserves en carburant à l'aéroport, protégé par le dispositif français Epervier. Les bases arrière des rebelles se trouveraient, elles, à plusieurs centaines de kilomètres.
Aux abords de la présidence, les scènes de destruction sont multiples: vitres brisées, impacts de balles, d'obus ou de roquettes sur les façades, arbres sectionnés, véhicules calcinés. Des cadavres de civils gisent à même le sol.
Ici, personne ne circule: de source militaire, on explique que l'armée a reçu comme consigne de tirer à vue. "Ils tirent sur tout ce qui bouge", confirme un habitant du centre-ville qui a fui la zone.
Portails des maisons enfoncés, lavabos arrachés, véhicules n'ayant plus le moindre pneu... les pillages ont été nombreux. Le grand marché de N'Djamena a été en partie incendié puis pillé, comme le siège de la radio nationale.
Il s'agit de l'attaque la plus grave à laquelle fait face le président Deby depuis son arrivée au pouvoir par les armes, en 1990. Mais le chef de l'Etat a déjà réussi à renverser des situations militaires difficiles.
Le Tchad accuse Khartoum, parrain des rebelles tchadiens ces dernières années, d'être l'instigateur de cette offensive. Une autre colonne rebelle a attaqué dimanche la préfecture d'Adré (est), à la frontière soudanaise. L'armée a assuré l'avoir repoussé.
Des militaires français évacuent des civils de N'Djamena, le 3 février 2008 ©AFP - Sonia RolleyUn des principaux chefs rebelles du Darfour, Abdel Wahid Mohammed Nour, a d'ailleurs accusé la communauté internationale d'assister "sans réaction à l'invasion du Tchad par le Soudan".
"Ce qui se passe au Tchad est une affaire interne et le Soudan n'a rien à y voir", a cependant répété lundi le porte-parole de l'armée soudanaise, Othman Mohammed al-Agbach.
Le Conseil de sécurité de l'ONU a condamné les attaques des groupes rebelles contre le gouvernement tchadien et appelé les Etats membres à apporter leur soutien à ce dernier, dans une déclaration non contraignante adoptée lundi.
Le Conseil "condamne fermement les attaques perpétrées par des groupes armés contre le gouvernement tchadien et toutes les tentatives de déstabilisation par la force, et rappelle son soutien à la souveraineté, l'unité, l'intégrité territoriale et l'indépendance politique du Tchad", dit ce texte qui a été lu par l'ambassadeur du Panama, Ricardo Alberto Arias, président du Conseil en février.
Le Conseil "appelle les Etats membres à apporter leur soutien au gouvernement du Tchad, ainsi qu'il l'a demandé et en conformité avec la Charte des Nations unies", ajoute la déclaration.
"J'ai demandé à l'aviation française de survoler la frontière avec le Soudan, côté Tchad, pour vérifier qu'il n'y ait pas d'incursion étrangère", a aussi annoncé le président Sarkozy.
Pour son ministre de la défense Hervé Morin, seule une résolution de l'ONU permettrait aux forces françaises d'appuyer directement le régime du président Deby.
Selon l'armée française, "un peu moins de 300" ressortissants étrangers sont en attente d'évacuation à N'Djamena, d'où 839 personnes ont déjà été évacuées vers le Gabon.
Sommaire AFP ___________________________________ ____________________________________Aokas 14ème RCP - 9ème RCP AFN 194658 | |
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| Sujet: Re: TCHAD Lun Fév 04 2008, 18:59 | |
| - commandoair40 a écrit:
- Et le plus malheureux , il font la queue , comme de pauvres quidams !!!!
Aucuns respects pour nos p'tits gars !!!!!! Comme si il n'y avait pas des portes dérobées pour aller sur le tarmac !!!!! Quand je pense , aux mecs que l'on raccompagne aux frontières en FIRST CLASS !!! De qui se moque t'ont !!!!!!!!! C'est malheureusement toujours comme ça quand on emprunte un aéroport Civil. La seul fois qu'on a été tranquille avec un DC8, c'est quand on c'est posé à Istre. Je viens d'aprendre par la radio que les personnes isolées dans leur habitation sont en train d'être évacuer avec des éléments du COS et des Hélicos (sans doute 1er RPIMA ou CPA). Avec le 1er RCP et peut être d'autres, il y a tout de même des renforts de qualité sur place. Chaque fois que l'on a des nouvelles, c'est pour nous parler de l'excellent travaille que font les gars sur place pour les ressortissants. Une résolution de l'ONU serait en pourpaler et permettrait à la France de se mêler à l'affaire. Merci à Aokas pour son dernier article qui explique bien ce qu'est la situation à N'Djamena (pillazge... comme d'hab.). |
| | | Aokas Admin
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| Sujet: Re: TCHAD Mar Fév 05 2008, 17:45 | |
| L'actualité / Dépêches AFP 05/02/2008 16h03
Paris apporte son soutien à Deby qui veut poursuivre les rebelles
Les soldats français sécurisent l'évacuation des civils tchadiens le 4 février 2008 de N'Djamena ©AFP - Pascal GuyotN'DJAMENA (AFP) - La France a apporté mardi un soutien clair au président tchadien Idriss Deby Itno, affirmant qu'elle ferait si nécessaire son "devoir" pour protéger son régime, alors même qu'il semblait contrôler la situation militaire et indiquait vouloir poursuivre les rebelles.
L'inquiétude grandissait par ailleurs sur le sort des habitants de la capitale, où les combats du week-end dernier auraient fait 1.000 blessés et provoqué l'exode de 15.000 à 20.000 personnes vers le Cameroun voisin.
Lundi, la France avait indiqué espérer "ne pas avoir à intervenir plus avant" militairement. Mardi, le président Nicolas Sarkozy a été plus ferme, en affirmant que "si la France doit faire son devoir (au Tchad), elle le fera".
Le président tchadien Idriss Deby, le 4 novembre 2007 à N'Djamena ©AFP/Archives - Issouf SanogoDes déclarations consécutives à l'adoption par le Conseil de sécurité de l'ONU, lundi, d'une déclaration non contraignante, dans laquelle il appelait "les Etats membres à apporter leur soutien au gouvernement du Tchad".
"L'armée française n'est pas là pour s'opposer par les armes à qui que ce soit, mais maintenant qu'il il y a une décision juridique du Conseil de sécurité (...) la France aurait, au conditionnel, les moyens de s'opposer à cette action contraire aux règles du droit international", a ajouté le président français.
Son ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, a souligné que la France était en faveur d'un "cessez-le-feu". "Pour cela nous continuerons de remplir nos obligations, qui ne comportent pas d'aide directe aux combats", a poursuivi le chef de la diplomatie française.
Hassan Saleh al-Djinedi (CNT) Timan Erdimi, et Mahamat Nuri (UFDD) le 23 juin 2007 à Tripoli ©AFP/Archives - Mahmud TurkiaLe soutien de Paris est intervenu alors que le chef de l'Etat tchadien, dont la chute semblait imminente samedi, semblait avoir repris le contrôle de la situation.
La capitale s'est réveillée dans le calme mardi pour la deuxième journée consécutive. "La ville est entièrement sous notre contrôle", a déclaré à l'AFP le général Mahamat Ali Abdallah, commandant des opérations de l'Armée nationale tchadienne (ANT).
"Finalement, il semble que (les rebelles) soient assez loin (de N'Djamena), à une trentaine de kilomètres. Les hélicoptères de l'armée sont allés les frapper toute la journée lundi", a expliqué un observateur.
L'ambassadeur de France à N'Djamena a indiqué disposer d'informations selon lesquelles "deux colonnes de rebelles" étaient en mouvement dans l'est du pays, sans pouvoir préciser la nature de leur mouvement.
"Nous sommes dissimulés sous les arbres, et étalés sur une vingtaine de kilomètres, entre 10 et 30 km au nord", a indiqué le porte-parole des rebelles, Abderaman Koulamallah. "Mais N'Djamena peut toujours fanfaronner, nous encerclons la ville et avons conservé nos forces quasiment intactes", a-t-il ajouté.
Tchad: Sarkozy affirme que la France "fera son devoir" si besoin (durée: 0mn47) ©afp.comMardi, sous la pression diplomatique, la rébellion a indiqué accepter le principe d'un cessez-le-feu, rejeté de manière cinglante par les autorités.
"Cessez-le-feu, pourquoi ? Ils (les rebelles) n'existent plus (...) Nous les avons matés", a affirmé le chef du gouvernement tchadien, Nourredine Delwa Kassiré Coumakoye.
La situation humanitaire monopolisait aussi beaucoup d'attention, après des combats dont le bilan complet chez les civils est toujours inconnu. Les affrontements ont fait au moins un millier de blessés, selon le Comité international de la Croix-Rouge (CICR).
Les Tchadiens continuaient par ailleurs d'affluer vers le Cameroun. Entre 15.000 et 20.000 réfugiés avaient été recensés mardi matin à Kousseri, bourgade camerounaise face à la capitale tchadienne, selon le Haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR).
Tchad :des dizaines de milliers de personnes fuient vers le Cameroun (durée: 1mn47) ©AFPTVAprès l'ONU, la France, et les Etats-Unis, la Russie a elle aussi condamné le raid rebelle parti le 28 janvier du Soudan, parrain des groupes armés hostiles au président Deby.
Le régime de Khartoum est soupçonné de vouloir empêcher le déploiement d'une force de 3.700 hommes de l'Union européenne à ses portes, l'Eufor, destinée à la protection des réfugiés du Darfour et de déplacés des pays voisins.
Mardi, les membres de l'Eufor ont décidé de maintenir la suspension du déploiement de l'Eufor décidée vendredi: "il reste un élément d'incertitude et il n'y a pas eu de décision ferme aujourd'hui de relancer le déploiement. Les vols restent suspendus", a déclaré un diplomate à Bruxelles, à l'issue d'une réunion des ambassadeurs des 27 pays de l'Union européenne. ___________________________________ ____________________________________Aokas 14ème RCP - 9ème RCP AFN 194658 | |
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| Sujet: Re: TCHAD Mer Fév 06 2008, 09:11 | |
| A N’Djaména, la journée a été calme ( 05.02.08 ).
Les forces tchadiennes contrôlent la capitale.
Les EFT maintiennent un dispositif permettant d’assurer la sécurité de nos ressortissants et le contrôle des installations indispensables à leur évacuation vers Libreville.
Ce matin, les militaires français ont poursuivi l’évacuation des derniers ressortissants encore présents sur les sites de regroupement en direction du camp Kosseï.
En milieu de journée, un avion militaire de transport tactique a réalisé une rotation entre N’Djaména et Libreville, permettant d’évacuer 76 ressortissants supplémentaires.
[*]Lien : Les éléments français au Tchad (dossier de référence) Sources : EMA |
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| Sujet: Re: TCHAD Mer Fév 06 2008, 09:50 | |
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| | | Aokas Admin
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| | | | Aokas Admin
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| Sujet: Re: TCHAD Mer Fév 06 2008, 10:33 | |
| Le ministre français de la Défense Hervé Morin au Tchad pour voir Deby 06/02/2008 09h09 Le ministre français de la Défense Hervé Morin, le 31 décembre 2007 à N'Djamena au Tchad ©AFP/Archives - Fred DufourN'DJAMENA (AFP) - Le ministre français de la Défense Hervé Morin est arrivé mercredi matin à N'Djamena pour une visite surprise de quelques heures au cours de laquelle il doit rencontrer le président tchadien Idriss Deby Itno, a constaté un journaliste de l'AFP. "Le ministre (français) de la Défense rencontrera le président tchadien en milieu de journée", a indiqué le commandant Pascal Le Testu, conseiller en communication du dispositif militaire français Epervier au Tchad. Au cours de cette visite, qui doit durer cinq heures environ, M. Morin doit également visiter le centre d'évacuation des ressortissants étrangers à N'Djamena mis en place par l'armée française qui possède une base militaire sur l'aéroport. Après les combats du week-end, qui ont opposé les troupes gouvernementales aux rebelles tchadiens au coeur même de la capitale, N'Djamena était calme mercredi matin pour la troisième journée consécutive. La France a lancé mercredi matin un nouvel avertissement aux rebelles en affirmant qu'elle pourrait agir "de façon plus décisive" en cas de nouvelle attaque contre le gouvernement tchadien, alors qu'une colonne rebelle était signalée à l'est de N'Djamena. La France est liée au Tchad par des accords de coopération militaire qui prévoient une aide logistique, médicale, de formation et dans le renseignement, mais pas d'intervention directe. Elle dispose en permanence sur place de moyens aériens et de forces dont le nombre a été porté à 1.450 hommes depuis le début de la crise. Le président Nicolas Sarkozy a déclaré mardi que la France était prête à "faire son devoir" au Tchad, après l'adoption d'une déclaration du Conseil de sécurité de l'ONU ouvrant la voie à une éventuelle intervention militaire directe française. ___________________________________ ____________________________________Aokas 14ème RCP - 9ème RCP AFN 194658 | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TCHAD Mer Fév 06 2008, 10:35 | |
| Oui , Il y en a même qui devaient être en vacances !!!! ils sont très BRONZES !!!!!!! Bof un de + ou de - quelle importance !!!!! |
| | | Aokas Admin
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| Sujet: Re: TCHAD Mer Fév 06 2008, 10:40 | |
| Le Tchad accuse la Libye de soutenir les rebelles
N'DJAMENA - Le Premier ministre tchadien Delwa Kassiré Coumakoye a accusé mercredi la Libye d'avoir "soutenu" et "armé" les rebelles tchadiens venus du Soudan qui ont attaqué N'Djamena le week-end dernier.
"C'est (le dirigeant libyen Mouammar) Kadhafi qui a contribué à armer ces gens", a-t-il déclaré lors d'un entretien téléphonique avec l'AFP. "Ils ont été armés par le Soudan et soutenus par la Libye".
Le chef du gouvernement tchadien, qui se trouvait au palais présidentiel de la capitale, était interrogé sur la présence à N'Djamena d'une délégation libyenne arrivée mardi soir. Mouammar Kadhafi et son homologue congolais Denis Sassou Nguesso ont été désignés médiateurs de la crise tchadienne par l'Union africaine (UA).
"On n'a rien à traiter avec ces gens", a balayé M. Coumakoye.
"Sassou Nguesso, il a été président de l'UA (en 2006). Est-ce qu'il a traité le problème tchadien? Non! Il est corrompu par (le président soudanais) Omar el-Béchir", a-t-il insisté.
Le Premier ministre a estimé que les médiateurs étaient "des farceurs, des hypocrites".
"Ils veulent faire une médiation entre qui et qui? Il ne reste presque plus rien de la rébellion, nous les poursuivons avec notre aviation et par voie terrestre", a-t-il affirmé.
L'alliance des trois principales rébellions hostiles au président Idriss Deby Itno assure toujours avoir conservé ses forces quasiment intactes et se trouver autour de la capitale.
Interrogé sur les propos de l'ambassadeur de France à N'Djamena Bruno Foucher, qui a évoqué mardi devant la presse des "informations" faisant état de "deux colonnes de rebelles en mouvement dans l'est", le chef du gouvernement a estimé qu'il s'agissait de "propagande".
"L'ambassadeur a choisi son camp, il a choisi le camp contraire de celui choisi par le président (français Nicolas) Sarkozy", a-t-il conclu.
Mardi, le président Sarkozy avait apporté un soutien appuyé au président Deby. "Si la France doit faire son devoir (au Tchad), elle le fera", avait-il annoncé.
Une source militaire à N'Djamena a toutefois confirmé mercredi qu'une colonne rebelle, dont l'ampleur reste à déterminer, avait été repérée dans l'est du pays, à environ 200 km de la frontière soudanaise, avançant vers la capitale tchadienne.
A N'Djamena, la situation était calme mercredi pour la troisième journée consécutive.
(©AFP / 06 février 2008 09h40) ___________________________________ ____________________________________Aokas 14ème RCP - 9ème RCP AFN 194658 | |
| | | Aokas Admin
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| Sujet: Re: TCHAD Mer Fév 06 2008, 11:50 | |
| voilà on en sait un peu plus au fur et à mesure..................
Le pétrole, enjeu sous-jacent du conflit tchadien
PARIS - La volonté de contrôler les ressources pétrolières joue un rôle sous-jacent dans le conflit au Tchad, où la production nationale d'or noir est limitée mais représente une véritable manne pour ce pays parmi les plus pauvres d'Afrique.
Pour Philippe Vasset, rédacteur en chef de la lettre spécialisée Africa Energy Intelligence, "le pétrole joue un rôle important" dans le conflit entre le gouvernement d'Idriss Deby et les rebelles qui tentent de prendre le pouvoir.
Car si ce conflit est selon lui essentiellement "politique, avec des ressentiments communautaires anciens", "il y a une rente à se partager".
Nicolas Sarkis, de la revue Pétrole et gaz arabes, juge que le pétrole joue un rôle "extrêmement important" dans le conflit "car le Tchad est un pays très pauvre, aux ressources extrêmement limitées", et le pétrole est "certainement la principale source de revenus du pays".
"L'opposition reproche au gouvernement d'avoir bradé les richesses du pays", ajoute-t-il.
"La rente pétrolière a été partiellement détournée et gaspillée vers les investissements en armement et vers les fortunes personnelles des proches d'Idriss Deby. Les rebelles veulent leur part", renchérit Philippe Hugon, chercheur à l'Iris et spécialiste de l'économie africaine.
La rente pétrolière du pays a fait l'objet d'un accord avec la Banque mondiale qui impose à N'Djamena d'en consacrer 70% au développement, en échange du financement d'un oléoduc de 1.000 kilomètres entre les puits de Doba et le port camerounais de Kribi.
Les principaux bailleurs du Tchad s'étaient plaints l'année dernière que le gouvernement de M. Deby ne respectait pas ce seuil de 70% en raison notamment de l'augmentation de ses dépenses militaires.
Le pays pompe 150.000 à 160.000 barils par jour et possède des réserves évaluées à 1,5 milliard de barils de brut. C'est peu comparé au Nigeria, premier producteur africain avec 2,12 millions de barils par jour environ et 36 milliards de barils de réserves --et où le pétrole est également à l'origine d'un conflit armé.
Comme le note M. Sarkis, avant 2003, quand le baril de brut coûtait moins de 28 dollars, le Tchad avait du mal à financer l'exploitation de son pétrole et à attirer les compagnies étrangères, d'autant plus que le pays n'a pas d'accès direct à la mer, nécessitant la construction de coûteux oléoducs.
Mais depuis la flambée des cours, le pays est devenu attractif. Et les recettes pétrolières du Tchad, qui exporte la quasi-totalité de sa production, sont devenues conséquentes au regard de la taille de son économie.
En 2004, les investissements étrangers dans le secteur et l'activité pétrolière ont ainsi permis à l'économie du pays d'atteindre une croissance record de 30%, même si elle est tombée l'année suivante à 8%.
De plus, les experts jugent le sous-sol du pays encore largement sous-exploré, avec de fortes probabilités de nouvelles découvertes pétrolières, de quoi susciter les convoitises étrangères, dans un contexte de course à la sécurité énergétique, en particulier de la Chine et des Etats-Unis.
C'est d'ailleurs une compagnie américaine, ExxonMobil, qui dirige le consortium en charge de l'extraction, où figurent une autre américaine, Chevron, et la malaisienne Petronas.
Total, et par extension la France, ancien colonisateur du pays, sont absents du secteur pétrolier tchadien.
"Les sociétés américaines ont réussi à s'introduire dans le pays* , ce n'est pas du goût des compagnies européennes ou chinoises", note M. Sarkis.
Pour lui, la rébellion en cours "est peut-être encouragée par ceux qui travaillent au Soudan, essentiellement les Chinois".
Pour la Chine, dont 30% de la consommation d'or noir provient du Soudan, une possible stratégie "à très long terme serait que le Tchad exporte vers Port Soudan" et de construire une extension de son oléoduc "vers le Soudan".
EXXONMOBIL
CHEVRON
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(©AFP / 05 février 2008 16h56)
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| Sujet: Re: TCHAD Mer Fév 06 2008, 13:46 | |
| Actualités internationales en continu Tchad: Paris multiplie les marques de soutien et envoie Morin à N'Djamena par Francesco FONTEMAGGI N'DJAMENA(AFP) - La France, qui multiplie les marques de soutien au président tchadien Idriss Deby Itno, a dépêché mercredi son ministre de la Défense Hervé Morin à N'Djamena et a lancé un nouvel avertissement aux rebelles, "pas dissuadés" pour autant de repasser à l'offensive.
Sur le plan militaire, l'horizon autour de N'Djamena semble s'éclaircir un peu plus chaque jour pour l'Armée nationale tchadienne (ANT).
L'alliance rebelle partie le 28 janvier du Soudan pour attaquer la capitale, après avoir affirmé ces derniers jours être aux portes de la ville, a dit mercredi s'être "un peu retirée" à "environ 70 km" de N'Djamena.
Plusieurs zones d'ombre persistent néanmoins, selon un observateur des opérations militaires. D'une part, les rebelles sont arrivés samedi avec environ 300 pick-up dont seule une petite partie a été détruite lors des combats: "où sont donc passés les autres ?", s'interroge cette source. D'autre part, une colonne rebelle a été repérée à 200 km de la frontière soudanaise en direction de N'Djamena, selon une source militaire. Bien qu'il lui reste encore près 600 km à parcourir, l'observateur estime qu'elle peut ravitailler les assaillants en carburant et munitions.
Le ministre français des Affaires étrangères Bernard Kouchner a fait état de 100 à 200 véhicules rebelles à l'est de N'Djamena. Or, l'adoption d'une déclaration du Conseil de sécurité des Nations unies ouvre désormais la voie à une éventuelle intervention française pour protéger le gouvernement légal, a-t-il assuré.
Mardi, le président français Nicolas Sarkozy avait promis que Paris ferait "son devoir" au Tchad s'il le fallait. Ce "devoir" de la France, "ce serait de protéger, peut-être maintenant de façon plus décisive si le besoin s'en faisait sentir, le gouvernement légal", a précisé mercredi Bernard Kouchner.
C'est dans ce contexte que le ministre de la Défense est arrivé dans la matinée à N'Djamena pour porter "un message politique au président Deby" indiquant le "soutien et (la) volonté de la France que le Tchad conserve son intégrité". Le ministre, qui doit rencontrer le président tchadien en milieu de journée, a confirmé "l'existence d'une colonne" de rebelles qui "se déplace lentement" vers la capitale. ___________________________________ ____________________________________Aokas 14ème RCP - 9ème RCP AFN 194658 | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TCHAD Mer Fév 06 2008, 13:54 | |
| tout ce que j'espère c'est que cela ne fasse pas un nouveau Rwanda !!!!!!!!
trop d'innocents meurent dans ce genre de conflit !!!!
est-ce qu'un jour les hommes arreterons de se battre ???????
enfin, ainsi va la vie !!!!
j'ai une pensée pour toutes les épouses de militaires français qui ont leurs hommes là-bas et qui doivent se ronger les sangs en attendant des nouvelles !!!!!!!! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TCHAD Mer Fév 06 2008, 14:08 | |
| Hervé Morin au Tchad porte "un message de soutien au président Déby"
Le ministre français de la Défense Hervé Morin a effectué mercredi une visite-surprise au Tchad, pour porter "un message de soutien au président Déby".Ce déplacement "est bien sûr un message de soutien au président Déby. Il y a eu une tentative de coup de force, c'est bien cela dont il s'agit", a déclaré Hervé Morin depuis N'Djamena au micro de France Inter. "Il me semble assez naturel que la France puisse apporter son soutien à un gouvernement légitime au Tchad"."Pour l'instant, nous n'avons pas de nouvelles attaques prévisibles. On vient de faire un point d'opération, il y a en effet une colonne de soutien qui est en route mais elle se déplace lentement", a précisé le ministre de la Défense. "Cela nous laisse un peu plus de marge de manoeuvre pour pouvoir éventuellement opérer".Auparavant, son collègue des Affaires étrangères Bernard Kouchner estimait qu'une centaine sinon 200 véhicules (rebelles) étaient regroupés à l'est de N'Djamena."Nous sommes en train d'analyser la situation", notamment parce que, "parmi les militaires morts que les forces françaises peuvent découvrir, il y a beaucoup d'enfants-soldats", a indiqué Hervé Morin. "Nous avons besoin d'éclaircir un peu tout cela". AP
Source: http://www.latribune.fr/info/Herve-Morin-au-Tchad-porte--un-message-de-soutien-au-president-Deby--212-~-AP-TCHAD-FRANCE-SITUATION-MORIN-$Db=News/News.nsf-$Channel=Monde |
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| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: TCHAD Mer Fév 06 2008, 17:50 | |
| N'importe l'arme !!! Avec leurs tronches !!!!!!nous allons gagner la guerre !!!! ILS ONT TOUS L'AIR DEFAITISTES , non ?????? et le MINISTRE (de la sinistrose) !!!!! |
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