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| Les chiens au combat | |
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Nombre de messages : 1257 Date d'inscription : 13/01/2014
| Sujet: Les chiens au combat Dim Jan 19 2014, 22:35 | |
| LES CHIENS DU FRONT RENTRENT CHEZ EUX Texte et illustrations" LECTURE POUR TOUS" numéro de Juin 1919 http://www.pages14-18.com/B_PAGES_HISTOIRE/chiens_de_guerre/chiens.htm
Ils ont été les compagnons du poilu, ces braves toutous qui ont, comme lui, couru tant de dangers, et rendu tant de services à nos armées. Au moment où ils rentrent dans la vie civile, n'est-il pas juste d'envoyer un mot d'éloge à ces bons combattants ? Voici qu'à leur tour, les chiens de guerre sont démobilisés ! Il n'est point de poilu qui, à cette nouvelle, n'évoque en sa pensée l'image d'un compagnon de misère à quatre pattes et ne lui accorde un souvenir ému. C'est que le chien de guerre a partagé toutes ses bonnes et mauvaises heures, vivant souvent de la même gamelle dans les tranchées" sommeillant la nuit sur la même botte de paille dans les cagnas, râlant sous les même vagues de gaz asphyxiants, mourant parfois du même obus. Mais des poilus se souviendront aussi que, s'ils purent continuer à combattre, à certaine heure critique, que s'ils ne furent point fait prisonniers, que si même, ils sont encore de ce monde, ils le doivent à l'obscur dévouement d'une pauvre bonne bête que rien, cependant, ne destinait au métier de héros.Pendant cette terrible guerre de cinquante mois, il a fallu demander en effet, au meilleur de nos frères inférieurs, l'emploi de .tous les dons, merveilleux d'intelligence, d'endurance et-de fidélité que la nature lui a si largement départis. Aussi le chien de guerre a-t-il été de toutes les tragédies, petites et grandes, qui ont eu pour théâtre le champ de bataille, et souvent on lui a demandé des sacrifices que l'homme ne pouvait accomplir.On ne sait guère qu'au cours de ces quatre ans et demi de guerre, plus de 15 000 chiens de races différentes, mais principalement des chiens de berger de la Beauce, de la Brie et des Pyrénées, des dogues et des bouviers, des ratiers et des chiens de montagne ont été mobilisés aux armées. Presque tous ont été donnés ou prêtés par leurs propriétaires qui rarement s'en séparèrent sans chagrin.La proportion des pertes montre que le sacrifice demandé fut loin d'être inutile. Quand, quelques semaines après l'armistice, on fit le recensement des chiens de guerre, on constata que plus de 35 p. 100 d'entre eux étaient morts ou disparus : 4 000, en chiffres ronds, étaient morts au champ d'honneur, tués par les balles, les obus, les torpilles et les bombes ou morts des suites de leurs blessures ; 1 500 étaient disparus, faits prisonniers ou perdus au cours des vicissitudes des combats ou des déplacements de troupes.UNE IDÉE QUI FAIT SON CHEMIN.UNE IDÉE QUI FAIT SON CHEMIN. L'idée de mobiliser les chiens est venue du souvenir des services remarquables que rendirent, en 1836, les quarante chiens éclaireurs de la compagnie franche du capitaine Blanpin, dans l'expédition de Constantine. Les surprises qu'ils évitèrent, les embuscades qu'ils déjouèrent sont demeurées légendaires et trace en a été conservée dans les archives du ministère de la Guerre.On savait aussi que l'armée allemande, de 1885 à 1914, avait soigneusement préparé des équipes de chiens éclaireurs, destinées à accompagner les sections d'infanterie et, chez nous, plusieurs officiers, préoccupés du soin avec lequel les Allemands paraissaient préparer tout ce qui leur pouvait être utile en cas de conflit européen, tentèrent de doter l'armée française de sections de chiens de combat et de chiens sanitaires. Parmi ceux-là, il convient de citer le capitaine Lauth du 67e d'infanterie, le lieutenant Faucher du 21e bataillon de chasseurs, le lieutenant Jarry du 5e dragons et le lieutenant Buer du 19ebataillon de chasseurs. Leurs chiens furent utilisés aux manœuvres surtout comme chiens porteurs d'ordres. Des rapports élogieux suivirent ces essais, et ce fut tout. On ne croyait pas à la guerre, alors à quoi bon !L'initiative privée, heureusement, était moins dolente. Quand éclata le coup de tonnerre de 1914, dès les premiers jours d'août, la Société nationale du chien sanitaire offrait au ministère de la Guerre une centaine de chiens dressés à la recherche des blessés. Presque tous devaient disparaître dans la tourmente de Charleroi. La plupart de nos soldats blessés gravement demeurèrent sur les champs de bataille et, comme il avait été, par suite de ces circonstances, à peu près impossible de se rendre compte de l'utilité réelle de cespauvres bêtes, une incroyable circulaire ministérielle, datée du 15 septembre 1915, supprima l'emploi des chiens sanitaires aux armées.Cependant nombre de nos officiers furent appelés à constater que, dans l'armée allemande, l'emploi des chiens avait maintes fois déjoué des coups de mains de nos soldats. Beaucoup de nos chasseurs alpins avaient amené avec eux leurs chiens personnels, de belles bêtes de montagne, dévouées et admirablement dressées. Comme elles sauvèrent bien des sentinelles et même des petits postes, et que cela fut répété, on fut bien obligé de se rendre compte que l'utilisation des chiens sur une grande échelle, donnerait des résultats sérieux. Ce ne fut cependant qu'au mois de décembre 1914 que le 12ebataillon de chasseurs fut doté d'une première équipe officielle d'une douzaine de chiens.L'armée de l'Est était commandée par un chef ouvert à toutes les idées pouvant apporter un supplément de sécurité à ses hommes : le général de Castelnau. La proposition lui fut faite de créer un chenil militaire pour son armée : il accepta. Des chiens furent demandés un peu partout : ils arrivèrent assez nombreux et le dressage commença.Un chenil militaire était aussi créé à l'armée des Vosges et d'Alsace et une quinzaine de dresseurs professionnels venaient en hâte instruire une soixantaine de chiens. En novembre 1915, notre IIe et notreVIIe armée avaient à Toul un chenil central, dont tous les sujets avaient donné depuis quelques mois les résultats les plus heureux. Le 25 décembre 1915, M. Millerand, alors ministre de la Guerre, reconnaissait officiellement les chenils militaires et rattachait le service des chiens de guerre à la direction de l'infanterie. Il avait fallu un an et demi d'efforts individuels pour en arriver là, mais enfin, mieux valait tard que jamais et notre armée allait être dotée d'une organisation sérieuse dont les services n'allaient pas tarder à surprendre même les plus optimistes. Peu à peu chaque armée eut son chenil central particulier, et l'on peut dire qu'à la signature de l'armistice, les 10 000 à 11000 chiens de guerre, qui étaient en service sur les divers fronts, constituaient la sélection la plus belle qui existât au monde. POUR RAVITAILLER LES COMBATTANTS. Ce ne fut qu'à la suite de tâtonnements et d'études que le service des chiens de guerre fut mis au point. Ainsi, à partir du début de 1916, on reconnut que certaines races de chiens, seules, étaient propres à un bon dressage. Il fallut presque totalement écarter les chiens de chasse, dont les fonctions furent limitées au rôle d'avertisseurs. Mais, par contre, tous nos bergers français, les bergers belges de Malines, de Grœnendael et de Tervuren, les bergers écossais, les grands loulous et les bâtards de ces races, donnèrent des résultats surprenants. Ce furent tous d'excellents chiens avertisseurs et de liaison. Les dogues, les bouviers, les mâtins devinrent de merveilleux patrouilleurs. Dressés à l'attaque, ils étaient lancés contre l'ennemi, et capturaient, non sans rudesse, des prisonniers. Les chiens de montagne devinrent des chiens d'attelage et des chiens porteurs. On ne saura jamais les services que rendirent ces animaux, notamment pendant les opérations de 1918. Les chasseurs à Grivesnes, les cuirassiers des 4e et 8e régiments à Moreuil, les cuirassiers du 11erégiment en Champagne qui tinrent tête pendant des journées à des forces supérieures et qui furent maintes fois séparés du gros des troupes de soutien par d'épouvantables tirs de barrage, ne furent ravitaillés en première ligne, tant en vivres qu'en munitions, que par des chiens de montagne. À l'arrière, ces robustes et courageuses bêtes étaient chargées de douze à quinze kilos de grenades réparties dans les deux poches d'une sorte de sac-posé sur leurs reins. Les dresseurs leur pointaient le nez dans la direction des soldats à ravitailler et — ne sourions point de ce touchant élan — les lâchaient, après les avoir embrassés comme de bons amis qu'on ne reverra probablement plus. Les chiens dressaient les oreilles, rampaient un instant sur le sol, puis à toute allure filaient sous les obus. Ils étaient si parfaitement dressés, qu'on les voyait agir comme des hommes, se terrant un instant dans les trous d'obus, puis repartant jusqu'à un autre trou d'obus. Souvent une balle de mitrailleuse jetait bas le pauvre chien qui poussait un cri plaintif et cherchait un trou pour mourir. Plus souvent encore un obus éclatait à côté de lui, un éclat venait frapper le chargement de grenades : tout sautait et la malheureuse bête était volatilisée. Mais sur cent cinquante chiens lancés, les trois quarts arrivaient à destination. Là encore les poilus les embrassaient, parfois les larmes aux yeux. Puis ils prenaient les grenades et, sous la rafale, les chiens repartaient vers l'arrière, reprendre un nouveau chargement. La section qui ravitaillait ainsi le 11e cuirassiers fut de beaucoup la plus éprouvée, mais sa vaillance et son excellent dressage furent l'objet de félicitations officielles du haut commandement, ce dont le lieutenant Hautecloque, qui la commandait, fut justement fier. Ces jours là, les chiens de guerre avaient bien mérité de la Patrie . HÉROS A QUATRE PATTES Le dressage des chiens durait généralement un mois Après quoi ils étaient bons pour le front et, en chemin de fer, ils rejoignaient les chenils des armées où ils étaient mis pendant quelque temps en contact avec les poilus destinés à devenir leurs conducteurs en première ligne. Dès lors la vie d'aventures, la vie infernale commençait : interminables stations au bord, d'un trou, à côté d'une sentinelle immobile, longues heures passées avec le masque contre les gaz asphyxiants sur le museau, voiturettes parfois chargées de plus de cent kilos de vivres et de munitions qu'il fallait traîner là où ni chevaux ni mulets ne pouvaient parvenir, courses à la mort sous les rafales d'obus, attaques furieuses, où, tout comme des poilus, les grands bergers malinois sautaient à la gorge des Allemands et les terrassaient.Une balle, un obus, une bombe, un coup de baïonnette venait souvent, hélas ! mettre fin à la carrière du brave animal. Les soldats savent combien de fois nombre d'entre eux ont commis l'imprudence de risquer leur vie pour sauver leur chien blessé, tombé entre les lignes. C'est que le plus souvent ce n'était pas seulement par un sentiment de tendresse vis-à-vis du chien, mais par un véritable sentiment de reconnaissance. On ne compte plus les chiens qui ont arraché des officiers ou des soldats à une mort certaine, et si la chronique officielle n'a point gardé les noms ou les matricules de ces nobles bêtes, il n'est guère de troupier qui ne puisse conter une histoire touchante où le chien de guerre joue un rôle splendide.SURTOUT, SOIGNEZ - LES BIEN ! La guerre finie, il fallait songer à démobiliser l'armée canine. Les livrets de chaque animal indiquant leur origine, les propriétaires qui les avaient prêté ont été invités à les reprendre, mais c'est le petit nombre. La majorité des chiens de guerre n'a plus d'autre maître que le soldat, ce qui rendit la démobilisation assez délicate. L'administration de la guerre a jugé sage de faire revenir au chenil central militaire de Satory, que dirige le capitaine Beur, tous les chiens disséminés dans les chenils d'armée. Ils sont revenus par lots de 300 à 400. Puis là, ils ont été divisés en deux grandes catégories: les uns ayant de la race, les autres ceux qui n'en avaient pas. Ces derniers n'en sont pas moins de bons et braves chiens qui ont fait leur devoir comme les autres. Les premiers ont été vendus à des amateurs pour la somme bien modeste de cent francs. Aussi nous n'étonnerons personne en disant que cela s'est su dès les premiers jours et qu'il s'est trouvé tout de suite beaucoup plus d'amateurs qu'il n'y avait de chiens à vendre. Il serait donc inutile de chercher maintenant à s'en procurer. Ceux de la seconde catégorie ont été donnés à ceux qui les désiraient, à la seule condition que les bénéficiaires prissent l'engagement de ne point les vendre et de bien les soigner. Ces chiens méritent tous les égards et l'engagement a toujours été pris de grand cœur. A la date à laquelle paraît cet article, ce qui reste de chiens disponibles ne se trouve plus à Satory, mais au chenil-dépôt du jardin d'acclimatation. Parmi ceux qui ont demandé des chiens de guerre se sont trouvés quantité de poilus qui ne regardaient guère à la race ; ils cherchaient surtout à retrouver un compagnon de campagne, et quand cela est arrivé, car c'est arrivé quelquefois, nulle phrase ne saurait traduire la joie du poilu et de l'animal. LA SÉANCE CONTINUE. L'institution de chiens de guerre ne disparaît pas du fait de la démobilisation des animaux. Le chenil central de Satory reste un dépôt central et une école où une pépinière de chiens de guerre continuera à être instruite. Maintenant, de même que des poilus restent au front, un certain nombre de chiens restent à l'armée. Des auxiliaires de sentinelles et des chiens de liaison demeurent dans les corps qui assurent la garde du Rhin. Une autre catégorie de chiens, celle des porteurs et chiens de trait, reste également mobilisée. Après avoir, fait la guerre, ces animaux ont à contribuer à la renaissance de nos régions libérées, 100 voiturettes et 300 chiens notamment sont affectés au ravitaillement de la ville de Lille. Chaque attelage véhicule quotidiennement cinq à six mille kilos de marchandises diverses. Pour nos bons serviteurs à quatre pattes, comme pour tant d'entre nous, ce n'est point assez d'avoir donné toutes les preuves de courage : la paix exige d'autres luttes, il faut être à la place d'honneur et faire son devoir. On craint une attaque, mais les mitrailleurs peuvent se reposer, le chien sentinelle veille......source / http://www.pages14-18.com/B_PAGES_HISTOIRE/chiens_de_guerre/chiens.htm | |
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| Sujet: Re: Les chiens au combat Dim Jan 19 2014, 22:35 | |
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- 1915 - L'armée belge utilise des bouviers des Flandres pour tracter des canons sur le front.
- 1914-1918 - Les chiens sont utilisés par les belligérants comme courrier. Un chien américain, Stubby, est le plus décoré de tous.
Bouvier des Flandres entraîné à tracter des armes légères pendant la Première Guerre mondiale. _________________ Chien de recherche de victimes sur les champs de bataille. ___ Au moment du déclenchement de la Grande Guerre, plusieurs armées européennes utilisaient les chiens pour tirer de petits chariots7 Beaucoup d'armées européennes adaptèrent le procédé à des fins militaires8. L'armée de terre belge utilisait des chiens pour tirer leur mitrailleuses et d'autres fournitures ou blessés dans des carrioles9. Les Français possédaient 250 chiens au début de la Première Guerre mondiale. Les Néerlandais copièrent l'idée et eurent des centaines de chiens entraînés et prêts à la fin du conflit (les Pays-Bas restèrent neutres durant cette guerre). Les Soviétiques utilisèrent également des chiens pour tirer les blessés vers les postes de secours durant la Seconde Guerre mondiale5. Les chiens étaient bien adaptés pour transporter des charges sur des terrains enneigés ou couverts de cratères de bombes.Les chiens étaient souvent utilisés pour transmettre des messages durant la bataille. Ils pouvaient être renvoyés de manière silencieuse vers un second maître. Cela nécessitait d'avoir un chien qui soit loyal à deux maîtres différents, sinon le chien risquait de ne pas délivrer le message à temps voire pas du tout.source : wikipedia | |
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| Sujet: Re: Les chiens au combat Dim Jan 19 2014, 22:35 | |
| Les animaux de guerre correspondent à des espèces qui ont été ou sont utilisées par les humains à des usages militaires. Il s’agit d’espèces généralement domestiquées, comme les chiens ou les chevaux, mais certaines espèces moins communes comme les éléphants ont aussi pu être utilisées en temps de guerre. Leur usage a été largement répandu pour atteindre une estimation de 14 millions d’animaux mobilisés lors de la Première Guerre mondiale et 30 millions lors de la Seconde. Quelque 120 000 animaux ont déjà pu recevoir des honneurs militaires. ___
- Des éléphants de guerre ont été utilisés par plusieurs peuples (Séleucides, Carthaginois…).
- L'usage de chars de guerre (avec ou sans faux) tirés par des chevaux est attesté chez plusieurs peuples (Bretons…).
- La cavalerie et les chevaliers utilisent des chevaux
- Pline l'Ancien a mentionné l’usage de cochons de guerre enflammés qui semble-t-il auraient servi à effrayer les éléphants lors de la campagne d’Italie d’Hannibal. Le cri de souffrance des cochons immolés faisait peur aux pachydermes1,2.
- Les pigeons-espions : l’armée allemande utilisa, durant la Première Guerre mondiale, des pigeons sur lesquels un appareil photographique miniaturisé était fixé.
- Les moutons pour déminer le terrain lors de la Première Guerre mondiale, et lors du débarquement en Normandie en juin 1944, s'est posé le problème du déminage des plages. Des troupeaux de moutons, dans leur marche, firent sauter des centaines de mines.
- Un programme d’expérimentations sur des chauves-souris pour des usages incendiaires similaires a été menés par l’Armée américaine lors de la Seconde Guerre mondiale, avant d’être abandonné devant l'avancement du projet Manhattan. L’usage de pigeons dans des bombes guidées fut aussi envisagé. Les Soviétiques menèrent des expériences avec des chiens anti-char. La Suède utilisa des phoques contre les sous-marins allemands.
- Selon le Pr Shi Bo, dans "Trente-six Stratagèmes chinois" (ISBN 2-911858-06-9), des singes furent aussi ainsi utilisés au début de la Dynastie Song.
- Toutes les armées modernes utilisent actuellement des chiens de combat pour garder les sites sensibles et aider à maîtriser une personne sans la tuer.
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