Nice: Un braqueur tué par balles par un bijoutier .

Nice: Un braqueur tué par balles par un bijoutier




 Le bijoutier a été placé en garde à vue...   "Hélas"

Un braqueur a été tué par balles par un bijoutier à Nice (Alpes-Maritimes) a appris mercredi matin l'AFP auprès des service de police.

Selon Nice Matin, l'accident a eu lieu mercredi matin vers 9h à quelques mètres de la bijouterie «La Turquoise», située rue d'Angleterre à Nice.

«Des témoins ont vu le bijoutier poursuivre à pied deux malfaiteurs sur un scooter. Trois ou quatre coup de feu ont été tirés en pleine rue», rapporte la quotidien niçois.

Touché, le passager arrière, un homme d'une vingtaine d'années, serait tombé du scooter au niveau de la rue d'Italie, avant de décéder «après plusieurs minutes de massage cardiaque», précise Nice Matin.

Le conducteur du deux-roues a réussi à prendre la fuite. Le bijoutier à l'origine des coups de feu a lui été placé en garde à vue.

 Le deuxième malfaiteur toujours recherché  

Mercredi en milieu de matinée, le corps de la victime était recouvert d'une bâche et un périmètre de sécurité mis en place par la police, alors que le second malfaiteur était activement recherché.

 Une série de braquages sur la Côte d'Azur  

Ce hold-up intervient après une série de braquages sur la Côte d'Azur. En juillet, l'hôtel de luxe Carlton, qui louait un espace pour une exposition-vente du joaillier israélien Leviev, avait notamment été la cible d'un casse record très médiatisé, pour un butin estimé à 100 millions d'euros.

A la mi-août à Nice, deux hommes, munis d'une arme de poing et d'un pistolet automatique, avaient volé deux montres de luxe d'une valeur totale de 20.000 euros dans le hall d'un hôtel de la Promenade des Anglais.

      Un de "MOINS"

 A Nice, un bijoutier tue un de ses braqueurs : des témoins racontent

  Nice : "Le bijoutier a fait feu sur les malfaiteurs qui s'enfuyaient"

  Faits divers      

Un bijoutier a ouvert le feu sur un braqueur ce mercredi matin à Nice. Selon la police, le cambrioleur est décédé des suites de ses blessures. Le directeur de la police judiciaire de Nice, Philippe Frizon, apporte quelques précisions sur l'affaire.

Le voleur blessé par balles mercredi matin par le gérant d'une bijouterie de Nice alors qu'il tentait de le cambrioler est décédé des suites de ses blessures en milieu de matinée.  L'homme a été abattu au pistolet automatique par le propriétaire, selon une source policière. Le commerçant, qui a été placé en garde à vue, a fait feu à trois ou quatre reprises en direction des deux malfaiteurs dans une rue adjacente, touchant le passager arrière.

Le braquage du magasin "La Turquoise", situé dans un quartier populaire du centre-ville et    récemment victime d'un vol à la disqueuse , a eu lieu à l'heure de l'ouverture, peu avant 9 heures.  "Les faits se sont produits vers 8h50", a expliqué à LCI, Philippe Prizon, directeur de la police judiciaire de Nice. Le propriétaire "a été agressé par deux malfaiteurs qui sont arrivés en scooter et qui se sont introduits dans la bijouterie sous la menace d'armes".

  Mortellement blessé, l'homme a chuté du scooter

Sous la menace d'au moins une arme, les malfrats avaient demandé au bijoutier d'ouvrir son coffre avant de se faire remettre le butin, au montant encore indéterminé. "Au moment où ils ressortaient, le bijoutier a récupéré une arme qu'il détenait dans son commerce et a fait feu sur les malfaiteurs qui s'enfuyaient", a-t-il ajouté. Mortellement blessé, l'homme a chuté du scooter dans une rue perpendiculaire, à quelques dizaines de mètres de la bijouterie, au milieu des commerces alimentaires de ce quartier populaire du centre de Nice en train d'ouvrir leur devanture.

Une partie des bijoux a été retrouvée "en possession de l'homme abattu", selon une source policière.

  Le second malfaiteur activement recherché

"J'étais dans le magasin, j'ai juste entendu au moins deux coups de feu. C'est moi qui ai appelé la police en voyant l'homme tombé à terre", a témoigné Rizam Salim, employé d'une boucherie halal qui se trouve juste en face du lieu où le malfaiteur, "un jeune de 22-23 ans", est tombé. Selon lui, le bijoutier est un père de famille de près de 60 ans qu'il décrit comme "quelqu'un de très bien, de calme".

Mercredi en milieu de matinée, le corps de la victime était recouvert d'une bâche et un périmètre de sécurité mis en place par la police, alors que le second malfaiteur était activement recherché.

  Une série de braquage sur la Côte d'Azur

Ce hold-up intervient après une série de braquages sur la Côte d'Azur. En juillet, l'hôtel de luxe Carlton, qui louait un espace pour une exposition-vente du joaillier israélien Leviev, avait notamment été la cible d'un casse record très médiatisé, pour un butin estimé à 100 millions d'euros. A la mi-août à Nice, deux hommes, munis d'une arme de poing et d'un pistolet automatique, avaient volé deux montres de luxe d'une valeur totale de 20.000 euros dans le hall d'un hôtel de la Promenade des Anglais.

Dans ce contexte de recrudescence des braquages dans la région, Christian Estrosi,  maire de Nice, a réagit sur son compte Twitter .    

Merci pour ces précisions , mon Ami .

Allons nous devoir bientôt, faire la même chose , en "BONS PERES de FAMILLES" ??????

 Oui , je crois .

  

Merci "Taubira"

Et ce n'est que le Début .

     

La suite

Ce jour a Paris


Braqueur tué à Paris : le bijoutier mis en examen pour homicide volontaire


Le bijoutier parisien ayant tué un homme qui tentait de braquer son commerce jeudi a été mis en examen pour homicide volontaire samedi selon des sources judiciaires. Il a été laissé libre sous contrôle judiciaire.


Le bijoutier a été mis en examen pour "homicide volontaire"

Le parquet ne semble pas croire à la légitime défense

Pas d’échange de coups de feu

L'autopsie a révélé que la victime a reçu une balle à l'épaule et une à la hanche, avait précisé vendredi une source judiciaire ajoutant qu'il n'y avait pas eu d'échange de coups de feu.

Agé de 52 ans, le braqueur n'était pas connu pour des faits similaires commis par le passé, a indiqué une source proche de l'enquête. Il n'avait jamais été condamné, a ajouté une source judiciaire qui a précisé qu'il était juste soumis à une interdiction de gérer.

Selon les premiers éléments de l'enquête, le bijoutier, installé avenue de la Motte-Picquet dans le VIIe arrondissement parisien, a sorti une arme alors que le braqueur venait de rentrer armé dans sa boutique.

"Le braqueur est rentré avec une arme de poing dans la bijouterie, le bijoutier possédait une arme et s'en est servi. Il a tiré et le braqueur est décédé quelque temps après", avait indiqué une autre source policière.  Selon une source proche du dossier, le bijoutier a tiré "à plusieurs reprises, au moins deux fois" et il n'y a pas eu d'"échange de coups de feu".

Le bijoutier, né en 1952, disposait d'un permis de détention d'arme, ont assuré des sources policières. Il gardait son arme dans son coffre-fort et l'a sortie très rapidement quand le braqueur est entré. Le bijoutier a lui-même appelé les services de police. "L'enquête devra déterminer si le bijoutier était dans le cadre de la légitime défense", avait indiqué l'une des sources policière.

Selon l'article 122-5 du code pénal, la légitime défense, excluant une responsabilité pénale, est retenue "sauf s'il y a disproportion entre les moyens de défense employés et la gravité de l'atteinte".

    

Nice : le bijoutier qui a tué un braqueur a été "menacé avec un fusil à pompe", selon son fils

Le bijoutier a abattu le braqueur lorsque celui-ci prenait la fuite, après avoir attaqué sa bijouterie, située à Nice.

L'un des deux braqueurs a été tué par balles. Le propriétaire d'un bijouterie de Nice a fait feu sur les malfaiteurs dans une rue adjacente à la boutique, alors qu'ils prenaient la fuite en scooter en scooter. Les versions diffèrent sur le déroulé des événements. Selon les témoins, le bijoutier serait sorti de la boutique et aurait tiré dans le dos de l'un des malfrats. Son fils, lui, évoque une version différente.

"Ils ont menacé [mon père] avec un fusil à pompe et l'ont contraint à ouvrir le coffre où il se sont servis", raconte-t-il à Nice Matin. "Au moment où ils sont partis, comme ils étaient garés juste devant la boutique, il a tiré sur les roues arrière du scooter. Le passager a pointé un fusil sur lui et je pense que c'est là qu'il a tiré plus haut pour se défendre."

"Tous les jours on ouvre avec la boule au ventre"

Le jeune homme dénonce un "sentiment d'insécurité de plus en plus fort", le commerce familial ayant été attaqué à plusieurs reprises selon lui. "C'est dur, tous les jours on ouvre avec la boule au ventre", assure-t-il.

    Dans son témoignage, il réclame "une vraie justice" : "Pas une justice laxiste où on voit le lendemain le braqueur-cambiroleur faire la fête avec ses potes, c'est inadmissible." "Ce n'est pas normal que des bandits aussi jeunes puissent avoir des armes, se balader comme ça dans la ville, braquer ce qu'ils veulent sans être punis derrière", conclut le fils.      

       

NICE :LA LEGITIME DEFENSE, C'EST MAINTENANT !!!!

       (par Marc Le Stahler)  


Ce qu'il y a d'extraordinaire dans l'affaire de la bijouterie de Nice, c'est qu'il se trouve d'honnêtes citoyens pour accabler le bijoutier récalcitrant.

       Rappelons simplement les faits...  

Mercredi 11 septembre, un peu avant 9 heures, centre ville de Nice. Le bijoutier du magasin La Turquoise - déjà cambriolé en octobre 2012 - se prépare à ouvrir son magasin. Deux malfrats surgissent, le rouent de coups - sans doute pour le mettre en condition -, se font ouvrir le coffre sous la menace d'un fusil à pompe et embarquent le butin après l'avoir frappé au visage en guise de remerciements.
Alors qu'ils tentent de s'enfuir en scooter, le bijoutier - honnête père de famille de 67 ans plutôt calme - saisit une arme, tire et touche le passager arrière, qui décèdera quelques instants plus tard.
Une partie du butin est récupérée. Le second braqueur est en fuite, mais pas pour longtemps.
On aurait tendance à conclure "justice est faite".
Un peu expéditif, mais efficace et dissuasif !
Et bien non. Le bijoutier est évidemment mis en garde à vue et risque une mise en examen pour homicide volontaire...

Et les médias se déchaînent, faisant preuve d'une surprenante compréhension askolovitchienne (*) pour le malfrat et d'une étonnante sévérité pour le bijoutier (qui reste quand même - restons sérieux - la victime)...

       Il fallait aussi entendre le frère du malfrat, déchaîné sur RMC ce matin.    

"Certes il a fait une bêtise, mais"...
Le choix des mots n'est jamais anodin. Il est des mots qu'on a du mal à supporter, comme "stigmatisation". "Bêtise" en fait partie. Braquer une bijouterie, en 2013, c'est donc "faire une bêtise" ? Dont acte.
"Antony sortait de prison (**), il était en phase de réinsertion et allait devenir papa" ajoute le frangin !
"On l'a tiré comme un lapin"... "On lui a tiré dans le dos"... "Le bijoutier a voulu faire le cow-boy"...

On en pleurerait... Drôle de réinsertion, soit dit en passant, que de démarrer sa journée en braquant un bijoutier. On rétorquera aux bonnes âmes qui pleurent le décès de ce "jeune" qu'il ne lui serait rien arrivé s'il avait été bosser... "Oui, mais le chômage, tout ça"... Ah bon ? C'est la faute de la société alors ?

"On ne doit pas faire justice soi-même" répliquent en écho les journaleux et les bobos, oubliant le principe même du pacte républicain : la justice est une fonction régalienne effectivement déléguée à l'Etat ; mais quand celui-ci cesse de défendre efficacement les citoyens et fait preuve - c'est le moins qu'on puisse dire - de complaisance envers les criminels, ce pacte républicain cesse de facto.
On ne peut pas dire que la Garde des Sceaux soit en ce sens une caution de sécurité pour les citoyens honnêtes.

       "Il faut terroriser les terroristes", disait avec pertinence Charles Pasqua, ministre de l'Intérieur.    

C'est précisément le problème...

Protégés par la loi, libérés par une justice laxiste tenue par le Syndicat de la Magistrature (merci, en passant, pour l'inscription de Minurne sur le Mur des Cons, c'est un honneur), soutenus par des médias bobos dégoulinant de guimauve thuriféraires d'une morale bisounours, les délinquants et les criminels se sentent en France en pays conquis.

Quand on fracture, armé, une bijouterie la nuit, il faut avoir conscience qu'on prend un risque. Et qu'on ne nous oppose pas des théories vaseuses comme la "riposte graduée" (un machin inventé pour protéger les hors la loi).

C'est ici plutôt la dissuasion qui doit s'appliquer :   "si tu m'attaques, tu risques ta vie".    

Qu'un bijoutier honnête, courageux et déterminé s'oppose à un braquage, et peut-être que d'un seul coup les petits salauds qui se croyaient tout permis et sûrs de l'impunité réfléchiront à deux fois avant de passer à l'acte.

Depuis quelques temps , on note enfin en France un sursaut de bon sens. Gageons qu'un vaste mouvement national va s'organiser pour empêcher la justice de s'abattre sur cet homme qui reste une VICTIME.

Nous serons de ce mouvement pour le défendre, et défendre tous ceux qui suivront son exemple. Oui, son EXEMPLE.

Il faut montrer au gouvernement, aux médias, à tous ceux qui tentent de nous imposer une morale de l'abandon, que le peuple Français relève la tête et compte bien reprendre au plus vite son destin en mains.

       ARMEZ VOUS, mes amis.    

Préparez vous à vous défendre, puisque votre gouvernement vous a abandonnés.


       Marc Le Stahler
   

(*) Askolovitch est ce pisse-copie qui a eu le culot de traiter de "pitoyable" la réaction du retraité courageux de Marignane, mort pour avoir tenté de maîtriser des braqueurs. Et Askolovitch d'ajouter avec cynisme "ce jeune homme venait de commettre un délit, le voila transformé en assassin"...



(**) Il était, comme on dit, défavorablement connu des services de police, ayant été condamné à plusieurs reprises pour vols, violence et délinquance routière.

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     PETITION DE SOUTIEN LEGITIME DEFENSE POUR LE BIJOUTIER NICOIS    

Comme nous l'écrivions hier, nous allons soutenir TOUTES les initiatives visant à soutenir la LEGITIME DEFENSE en général et le bijoutier de Nice en particulier.

Une pétition a été lancée hier sur le site "mesopinions.com". Vous en trouverez le lien ci-dessous. A l'heure où nous écrivons ces lignes, plus de 10 000 signatures ont été recueillies.

En voici le texte :

     À l'attention de Madame Taubira, Ministre de la justice    


Un bijoutier de Nice a été braqué et il s'est défendu. Selon les informations télévisées, il avait déjà été braqué en 2012.

Depuis, le bijoutier est en garde à vue parce que, pour se protéger, il a osé tirer sur le braqueur qui le menaçait.

Il n'y a plus de justice en France, les justiciables condamnés savent dès leur entrée en prison qu'ils ne feront que la moitié de leur peine. C'est une honte.

Les truands sont armés, n'hésitent pas à tirer, récidivent et si nous nous défendons, nous sommes immédiatement mis en garde à vue.

       Il faut relâcher le bijoutier de Nice qui n'a rien à faire en prison.    


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    Lien pour accéder à la pétition (et la signer !)  

    http://www.mesopinions.com/petition/justice/soutenir-bijoutier-nice/10596 

 

Ensuite, actionnez votre réseau pour faire de cette pétition un véritable avertissement à ce gouvernement !