C'est l'histoire d'un type qui va s'engager dans la Marine. Il arrive à la
caserne et là le sergent lui demande:
- Est-ce que vous savez nager ?
Le type répond:
- Pourquoi il n'y a pas de bateau ?
-----------------------------------------------------
Un appelé se retrouve au fin fond du Larzac pour son faire son service et
'servir la France' (!).
Au bout de quelques semaines d'abstinence forcée, et commençant à avoir quelque
peu mal au bras droit (ou gauche, on dirait que c'est quelqu'un d'autre), il
demande à son adjudant comment les autres parviennent à gérer ce cruel manque de
féminité à leurs cotés.
Celui-ci lui explique qu'il y a une ferme non loin de là, où il est possible de
passer un moment avec une truie en échange d'une bonne bouteille remise au
fermier.
L'appelé va donc, le soir même et sa bouteille sous bras, rendre visite à la
truie...
Le lendemain, l'adjudant le voit plein de bleus et de bosses, griffé et couturé.
Il lui demande ce qui s'est passé :
'C'est au moment où j'ai voulu la retourner, elle s'est débattue, et voilà le
résultat.
- Mais enfin, lui répond l'adjudant, ce n'est pas la peine de la retourner !
- Ah si, moi quand je fais l'amour, faut que j'embrasse !'
-------------------------------------------------------------------
Trois groupes de militaires, de gendarmes et de policiers s'ennuyaient. Ils
décidèrent alors de faire un concours de chasse au plus gros lapin.
Les militaires partirent et ramenèrent un beau gros lapin d'un moins 3 kg.
Les gendarmes à leur tour ramenèrent aussi un lapin mais hélas d'à peine 2 kg.
Au tour des policiers. Une heure passée, deux heures passées... trois heures,
quatre heures,....
Les militaires et les gendarmes commencent à s'inquiéter et partent à leur
recherche. Ils trouvent les policiers autour d'un cochon qu'ils sont en train de
passer à tabac, en le bastonnant sans merci et en répétant à tour de rôle:
'Avoue que t'es un lapin'.
------------------------------------------------------------------------------
La troisième guerre mondiale a éclaté. Les militaires ont trouvé le moyen
d'inventer un ordinateur ultra puissant, auquel ils doivent soumettre un
problème tactique particulièrement ardu. Lui ayant fait ingurgiter les données,
ils posent la question fatidique :
'Faut-il attaquer ou sonner la retraite ?'
L'ordinateur émet quelques cliquetis, une série de bips, ses diodes se mettent à
clignoter et soudain, la réponse jaillit :
« OUI. »
Les généraux se regardent, perplexes. L'un d'eux décide d'agir : il s'approche
du clavier et tape une autre question :
« Oui quoi ? »
L'ordinateur répond, instantanément :
« OUI MON GÉNÉRAL »
-----------------------------------------------------------------------------
Pendant les classes, le sergent fait passer aux recrues un test de
lecture.
C'est au tour du frère de Toto:
- Le pe..........tit laaaaaaaaaaaapin mar...cheux
- Soldat, vous êtes con, plus con qu'un wagon
- Comment ça sergent?
- Parce qu'un wagon lit (là, tout le régiment rit du gars)
Un peu plus tard, Exercices de groupes. Le Sergent lance:
- Rompez!
Tout le monde rompt, sauf le frère de Toto...
- Soldat! J'ai dit rompez
- Je ne peux pas, Sergent!
- Pourquoi?
- Parce qu'un wagon reste au rang!
-----------------------------------------------------------------
Question de l'adjudant à ses recrues au garde-à-vous :
- Qu'est-ce qui bout à 90 degrés ?
Silence général.
- Ben c'est l'eau, bande de nazes
Un bidasse agrégé de physique et préposé au nettoyage des cabinets reprend alors
l'adjudant:
- Mon Adjudant, si je peux me permettre, vous faites erreur, mon adjudant, l'eau
bout à cent degrés.
L'adjudant, se frappant le front :
- Ah oui! Que je suis bête! C'est l'angle droit qui bout à 90 degrés
------------------------------------------------------------------------------
C'est un para en plein exercice de camouflage en forêt. Le para qui s'était
déguisé en tronc arbre, a soudainement abandonné son poste à un moment crucial
des manoeuvres.
Le sergent l'engueule un bon coup et lui demande pourquoi il a quitté son poste.
Il lui dit:
- Espèce de sagouin! Tu te rends compte que tu as mis en danger non seulement ta
vie mais aussi celle de tous tes copains de la compagnie.
Au combat, l'ennemi nous découvrait tous par ta faute As-tu une explication pour
ta conduite?
- Oui sergent: Autant je n'ai pas bougé d'un poil quand un couple de pigeons m'a
pris pour cible. Autant je n'ai rien dit et je suis resté immobile quand j'ai vu
un serpent ramper à mes pieds... Mais quand ces deux écureuils sont rentrés dans
mon pantalon et que j'en ai entendu un dire 'Mangeons en une tout de suite et
gardons l'autre pour cet hiver', j'ai craqué!
--------------------------------------------------------------------------------
Vous savez à quoi servent les deux poches latérales sur les treillis des
légionnaires ?
- À mettre les pattes de la chèvre.
--------------------------------------------------------------------------------
Un soldat se demande comment s'habiller pour aller à la guerre.
Un collègue lui indique que Napoléon s'habillait en rouge parce que s'il était
blessé, ses ennemis ne pouvaient s'apercevoir qu'il saigne et en ainsi en tirer
avantage.
Le soldat répond:' C'est une bonne idée, vas donc me chercher mes culottes
brunes.'
----------------------------------------------------------------------------------
Un sergent s'exerce au tir avec son Famas. Il est couché sur le sol et
balance quelques balles au coup par coup.
Lorsque le première classe Dutrou va contrôler les cibles, il crie à l'intention
du sergent:
« AUCUNE BALLE DANS LA CIBLE, SERGENT »
Alors le sergent regarde son arme... puis regarde la cible... puis regarde à nouveau son arme... puis encore la cible.
Ensuite, il met son index gauche au bout du canon et à l'aide de son index
droit, il presse la détente. Naturellement, son doigt est pulvérisé!
À ce moment là le sergent hurle en direction du soldat:
« ÇA PART D'ICI CORRECTEMENT. LE PROBLÈME DOIT SE TROUVER LÀ-BAS »
-----------------------------------------------------------------------------
Un adjudant est au pied d'un arbre où sont embusqués des soldats.
« Combien êtes-vous là-haut? » demande-t-il.
« Trois, mon adjudant. »
'Bien, que la moitié descende