Paras, bérets bleus, verts et rouges, tous unis !
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Paras, bérets bleus, verts et rouges, tous unis !

Forum pour Parachutistes et Sympathisants de par le Monde
 
AccueilPortailDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment :
Bon plan achat en duo : 2ème robot cuiseur ...
Voir le deal
600 €

 

 16 Janvier

Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité
Anonymous



16 Janvier Empty
MessageSujet: 16 Janvier   16 Janvier Icon_minitimeVen Jan 16 2009, 08:22

16 janvier 16e jour de l'année

Zodiaque : 16 Janvier Capric17

Aujourd'hui : Saint Marcel

Après le décès de Saint-Marcellin (en 304), l’Église demeure privée de souverain pontife durant une période d’au moins une année (3 ans selon certains auteurs), en raison de la persécution de Dioclétien. Lorsque Maxence accède au pouvoir, on procède à l’élection d’un nouveau pape et c’est Marcel, un prêtre de Rome, qui est élu en 308. Refusant de réintégrer les nombreux renégats qui avaient eu la faiblesse d’apostasier durant les persécutions, il provoque leur soulèvement, ce qui donne lieu à de sanglantes émeutes et provoque des troubles importants. Afin de rétablir l’ordre, Maxence est contraint d’exiler Marcel, qui décède peu de temps après (+ 309)

Dicton du jour :

Prépare, pour Saint-Marcel, tes graines nouvelles


ÉVÉNEMENTS :

1235 : Mariage du duc de Bretagne Jean Ier le Roux avec Blanche de Champagne, fille du Comte de Champagne Thibaut IV le Chansonnier.

1646 : L'armée française occupe la ville belge de Courtrai.

1778 : La France reconnaît l'indépendance des États-Unis.

1943 : Hitler ordonne la destruction des vieux quartiers de Marseille.

1945 : en France, Nationalisation de Renault.

1947 : Vincent Auriol est élu président de la République (premier président de la quatrième République) de 1947 à 1953.

1954 : Début du mandat de président de la République de René Coty.

1969 : A la télévision, De Gaulle promet l'autodétermination aux Algériens.

NAISSANCES :

1675 : Louis de Rouvroy, duc de Saint-Simon, écrivain français, célèbre pour ses Mémoires. († 2 mars 1755).

1678 : François Cottignies, dit Brûle Maison chansonnier lillois

1756 : Martin Michel Charles Gaudin, duc de Gaète, homme politique français, ministre des Finances du Consulat et de l'Empire. († 5 novembre 1841).

1822 : Henri d'Orléans, duc d'Aumale, académicien français († 7 mai 1897)..

1849 : Eugène Carrière, écrivain français († 1906).

1858 : Henri Gourgouillon, sculpteur français († 1902).

1872 : Henri Busser, compositeur et chef d'orchestre français. († 30 décembre 1973).

1881 : Jean Bourguer, militant anarchiste, antimilitariste, anticlérical et syndicaliste révolutionnaire français.

1884 : Jules Supervielle, écrivain français († 17 mai 1960).

1903 : Pierre-Henri Simon, académicien français († 1972).

1906 : François Coulet, diplomate français († 1984).

1911 : Roger Lapébie, cycliste français († 12 octobre 1996).

1919 : Roger Nicolas, humoriste français († 1977).

1921 : Pierre Sipriot, journaliste français.

1922 : Jean Gaven, acteur français.

1925 : Anne-Marie Carrière, actrice française († 29 décembre 2006).

1929 : Jean Boissonnat, journaliste français.

1930 : Micheline Luccioni, actrice française († 1992).

1932 : Alain Jessua, réalisateur, producteur et scénariste français.

1934 : Marcel-Pierre Cléach, homme politique français.

1938 : Jean-Claude Narcy, journaliste français.

1942 :

* Richard Bohringer, acteur français.

* Nicole Fontaine, femme politique française.

1947 : Juliet Berto, metteur en scène de théâtre et réalisatrice de cinéma française († 1990).

DÉCÈS :

1659 : Charles Annibal Fabrot, juriste français (° 15 septembre 1580).

1854 : Charles Gaudichaud-Beaupré, botaniste français (° 4 septembre 1789).

1885 : Edmond About, écrivain français et académicien (° 14 février 1828).

1891 : Léo Delibes, compositeur français (° 21 février 1836).

1989 : Pierre Boileau, écrivain français (° 28 avril 1906).

2001 : Jules Vuillemin philosophe et auteur français.

2002 : Jean Elleinstein, historien français.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous



16 Janvier Empty
MessageSujet: Re: 16 Janvier   16 Janvier Icon_minitimeVen Jan 16 2009, 09:19

Date 16 janvier 1809
Lieu La Corogne, Espagne
Issue Victoire tactique française, suivie d'une retraite britannique
Belligérants
France Royaume-Uni
Commandants
Nicolas Jean de Dieu Soult John Moore †
Forces en présence
12 000 fantassins
4 000 cavaliers
20 canons 16 000 fantassins
9 canons
Pertes
1 500 morts ou blessés, 900 morts ou blessés
Guerre d'indépendance espagnole


La Bataille de La Corogne (ou Elviña) fut l'une des batailles de la Guerre d'indépendance espagnole qui eut lieu le 16 janvier 1809 et opposa les 16 000 Britanniques sous le commandement de Sir John Moore aux 16 000 Français du maréchal Nicolas Jean de Dieu Soult.

Contexte de la bataille
A la suite de la Convention de Cintra, du rapatriement de l'armée française après la bataille de Vimeiro, les commandants de l'armée britannique furent rappelés en Grande-Bretagne, y compris Sir Arthur Wellesley, pour y répondre devant une commission d'enquête. En conséquence, le corps expéditionnaire britannique au Portugal fut laissé sous les ordres de Sir John Moore, un commandant militaire qui jouissait d'une certaine notoriété pour avoir réformé la tactique de l'infanterie légère.

Cependant, la campagne qui suivit fut marquée par des défaites, et bien des privations. La retraite, menée dans un hiver rude, tourna au désastre et couta la vie à plus de 6 000 soldats britanniques. Les marches épuisantes, la froidure et les fréquentes escarmouches avec les unités françaises d'avant-garde poussèrent de nombreux soldats à abuser de l'alcool, à s'enivrer et à trainer en arrière. Moore ignora les conseils du général La Romana et se tint à l'écart de ses alliés espagnols, après leur défaite par une armée menée en personne par Napoléon[3], les Britanniques décidèrent de se replier vers le port de La Corogne, à l'extrême nord-ouest et à l'entrée du Golfe de Gascogne. Moore espérait attirer l'armée française loin du Portugal, afin de permettre au petit contingent britannique stationné dans ce pays de recevoir des renforts, et aux armées espagnoles de se reconstituer.

Pendant que ses armées affrontaient une suite d'âpres et frustrants combats d'arrière-garde de la part des Espagnols et des Britanniques, Napoléon apprit que l'Autriche faisait des préparatifs de guerre. Il rentra en France pour faire face à cette nouvelle menace, laissant à Soult le soin d'en finir avec les restes de l'armée britannique, qui était en vue des navires de la Royal Navy et se préparait à évacuer. Mais à cause du terrain accidenté qui rendait difficile l'avance de l'artillerie notamment sur les crêtes près de la ville, l'assaut final ne fut en réalité qu'une attaque lente et méthodique.

Déroulement de la bataille
Le 15 janvier, 500 tirailleurs français sous les ordres du général Jardon menèrent la première attaque à travers un terrain accidenté, repoussant les Britanniques hors de Palavea et Penasquedo. Des colonnes françaises prenant d'assaut les hauteurs de Monte Mero s'exposèrent au tir meurtrier de l'infanterie légère britannique, mais avec le support de leur artillerie, réussirent à repousser le 59e régiment sur la crête. Une tentative du 51e d'infanterie de capturer les canons français se heurta à l'infanterie et le 51e fut décimé et mis en déroute.

Le 16 janvier, les Français entrèrent dans Elviña, où une fameuse contre-attaque du 42e Highlander les força à se retirer après un sanglant combat à la baïonnette. La retraite du 50e d'infanterie britannique obligea finalement les Écossais à regagner leurs positions.

La bataille d'Elviña n'était pas encore décidée quand John Moore fut frappé à la poitrine par un boulet de canon et mourut sur le champs. Le 42e Highlander s'abattit une fois encore sur le village et continua à combattre dans l'obscurité. Cette nuit-là, les Britanniques se retirèrent vers leurs embarcations en abandonnant le champ de bataille.

La poursuite des Français fut rapide et au matin leurs canons ouvraient le feu sur les sloops et transports de troupe mouillés dans la baie. Seule la résistance intrépide de la petite garnison espagnole de La Corogne, sous les ordres du général Alcedo et le bombardement de soutien depuis les frégates et les navires de guerre, les maintint à distance pendant l'embarquement de l'armée britannique, dont de nombreux éléments allaient combattre plus tard sous les ordres de Wellington.

Conséquences
À La Corogne, les Britanniques comptèrent environ 900 morts ou blessés. Soult, mit la main sur 20 000 mousquets et autres fournitures abandonnées.

La bataille de La Corogne suivie de la retraite révéla tout le potentiel désastreux d'une campagne hivernale, principale cause des souffrances et privations de l'armée britannique dans la péninsule ibérique. De nombreux soldats pillèrent la campagne espagnole, ce qui ne contribua pas à les rendre populaires auprès de leurs alliés espagnols. Par la suite, le futur général en chef Arthur Wellesley veillera à coordonner efficacement sa logistique entre Espagnols, Portugais et Britanniques, et s'assurera que ces derniers payent régulièrement leurs fournisseurs locaux.

Le manque de communications entre les alliés contribua aussi au désastre. Le rôle de l'armée de Moore était de soutenir l'effort des armées espagnoles face à Napoléon. Cependant, quand elle arriva à Salamanque, Napoléon avait déjà défait les Espagnols. Plus tard, de sérieux efforts furent entrepris pour centraliser le commandement et les communications, dans les mains des généraux britanniques comme Beresford et Sir Arthur Wellesley.

Les Britanniques retournèrent dans la même année au Portugal, reposés, réapprovisionnés sous les ordres d'un nouveau commandant qui devint premier duc de Wellington et fut une constante épine dans le pied de Napoléon.



Nicolas SOULT
16 Janvier 250px-16
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous



16 Janvier Empty
MessageSujet: Re: 16 Janvier   16 Janvier Icon_minitimeVen Jan 16 2009, 09:39

Saint Marcel ....

C'était le prénom de mon jeune frère, décédé il y a qq mois.

Un ancien du 11 RPC.

Qu'il repose en paix .

Bonne fête Marcel

16 Janvier Chuteu10
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous



16 Janvier Empty
MessageSujet: Re: 16 Janvier   16 Janvier Icon_minitimeVen Jan 16 2009, 12:11

Merci Noisot (surtout, n'oublié pas de citer vos sources)

GB33, condoléances avec du retard,
16 Janvier 247322 Pour ton frère
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





16 Janvier Empty
MessageSujet: Re: 16 Janvier   16 Janvier Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
16 Janvier
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» 2 Janvier
» 15 Janvier
» 8 janvier
» 16 janvier
» 23 janvier

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Paras, bérets bleus, verts et rouges, tous unis ! :: LE FOYER :: Que s'est il passé un ?-
Sauter vers: