Législatives 2024 : Femmes ou Hommes Politiques : Ils ont dit

Législatives 2024 : Nicolas Sarkozy juge que la dissolution est un « risque majeur » pour le pays et estime qu’Eric Ciotti risque de faire de LR le « supplétif » du RN

Dans un entretien au « Journal du dimanche », l’ancien président de la République affirme que la réponse au Rassemblement national n’est pas dans sa diabolisation et il considère La France insoumise plus dangereuse que « le risque fantasmé de peste brune ».

Sources

"Ça me choque" : pour Manuel Valls, la candidature de François Hollande aux législatives est une "aberration


Manuel Valls a dénoncé une alliance "profondément immorale et choquante"

Lorsqu'il était encore à l'Élysée, on disait de François Hollande qu'il "ne devrait pas dire ça". Voilà que désormais, "il ne devrait pas faire ça". Manuel Valls n'a pas épargné l'ancien président de la République après l'annonce de sa candidature en Corrèze avec l'étiquette du Nouveau Front populaire.
Une alliance décrite comme "incompréhensible" par son ancien Premier ministre.

"C'est une erreur, ça me choque"

S'il reconnait que "c'est sa liberté", ce n'est pas avec grand enthousiasme que Manuel Valls a réagi à cette candidature surprise. 
Bien au contraire. "C'est incompréhensible, c'est une aberration, cela me révolte d'une certaine manière"
Avant de s'en expliquer. Après avoir rappelé "le respect et l'affection" qu'il porte à l'ancien chef de l'État, il a en effet accusé François Hollande de "participer à un mensonge".


À savoir, donner l'illusion qu'il fait partie d'une gauche capable de gouverner.
"Aujourd'hui, dans cette alliance, le parti fort, ça reste La France insoumise. 
Donc sur le projet économique, social, budgétaire, c'est du matraquage fiscal. 
Sur les questions de sécurité et d'immigration, c'est n'importe quoi. 
Et le pire du pire, c'est la politique étrangère", a énuméré l'ancien Premier ministre.
"Si François Hollande sait tout ça, sans le penser, c'est qu'il participe à un mensonge", a-t-il conclu, après s'être engagé à "faire attention aux mots" utilisés.

Sources

Législatives 2024 : le RN essaie de "préparer le peuple français au mensonge" a dit Gérald Darmanin

Ce mardi, Gérald Darmanin s'en est pris au programme du Rassemblement national dont le président n'est "plus crédible" selon lui, et a renvoyé dos à dos LFI et RN "les zinzins et les zozos". 
Le ministre de l'Intérieur est candidat aux législatives dans la 10e circonscription du Nord sous l'étiquette Renaissance, le parti de la majorité présidentielle.

"Monsieur Bardella, en une semaine de campagne, il est comme le coq de Saint-Pierre, il s'est déjà renié trois fois", affirme Gérald Darmanin, qui cite la baisse de la TVA sur les produits de première nécessité, sur laquelle Jordan Bardella reviendra dans "un second temps" indique le président du RN au Parisien. "Quand c'est plus une priorité, vous sentez déjà le moment où il va vous avoir" répond Gérald Darmanin, qui évoque aussi l'abrogation de la réforme des retraites.

Le RN a "raconté n'importe quoi dans l'opposition"


"La vérité", assène le ministre de l'Intérieur, "c'est que le Rassemblement national peut gagner ces élections. 
Il s'aperçoit que du coup, ils ont raconté n'importe quoi dans l'opposition et aujourd'hui ils essayent de préparer le peuple français au mensonge". 
Gérald Darmanin ajoute qu'"avec nous, on n'augmentera pas les impôts. 
C'est sûr qu'il y a des réformes, on fait des réformes difficiles, mais au moins on est courageux. On va sauvegarder notamment les retraités avec le pouvoir d'achat en les indexant sur les retraites. Mais fallait faire la réforme des retraites."

Sources

Législatives 2024 : "Reconquête n'est pas une filiale du Rassemblement national", assume Éric Zemmour


Éric Zemmour a fait le point sur l'état de son parti à trois jours des législatives et le refus d'une alliance de la part du RN

À trois jours du premier tour des élections législatives anticipées, le RN flirte avec la majorité absolue, selon notre sondage Harris Interractive Toluna pour RTL.
Si le RN obtient cette majorité absolue, tout désignera Jordan Bardella comme Premier ministre. "Ça serait la logique politique, je souhaite son arrivée à Matignon. Tant qu'on ne voit pas le maçon à l'œuvre, on ne peut pas juger, mais en tout cas, je le souhaite", a dit Éric Zemmour ce jeudi 27 juin sur RTL.

Reconquête présente dimanche 330 candidats avec face à chacun d’entre eux ou presque un candidat Rassemblement national. 
"Nous avons de multiples différences. Marine Le Pen pense que l'islam est compatible avec la République, pas moi. 
Sur l'économie, Marine Le Pen est plutôt socialiste, moi non", dit-il rappelant ses "cinq mesures d'urgence" : rétablir les frontières nationales, supprimer toutes les allocations données aux étrangers, interdire le voile dans la rue, baisser les impôts et instaurer des classes de niveaux dans les collèges et lycées dès la rentrée de septembre.
Le RN a refusé une alliance avec le parti d'Éric Zemmour. Sébastien Chenu, vice-président du RN, taclait la "radicalité" de l'ancien polémiste. 
"Je revendique le fait que je suis le seul à dire ces vérités, à aller à la racine des choses, sur l'islam, sur l'école, sur les impôts", dit-il avant de revenir sur l'idée d'une union des droites : 
"Éric Ciotti a eu raison, mais il n'a emmené personne à LR. 
Le chantier de l'union des droites sera à reprendre un jour ou l'autre. (...) Le parti Reconquête n'est pas une filiale du Rassemblement national. Nous sommes le parti de la vérité. Les autres ne disent pas toute la vérité".

Sources

«Il faut savoir choisir son meilleur ennemi»: DSK appelle à faire barrage au RN

Dans une tribune publiée ce mardi dans Challenges, l’ancien directeur du FMI appelle à tout faire pour barrer l'arrivée au pouvoir du parti de Jordan Bardella, quitte à voter pour un candidat LFI

Serait-ce une tentative de retour dans l’arène politique : 
Ce mardi 25 juin, Dominique Strauss-Kahn publie dans le magazine Challenges
Une tribune appelant à faire barrage au Rassemblement national. 

Malgré un regard très critique porté sur La France Insoumise (LFI) et Jean-Luc Mélenchon, le socialiste alerte sur le risque de commettre la même erreur que «les socio-démocrates allemands en 1933». Extrêmement discret depuis l'affaire du Sofitel de New-York, l’ancien patron du Fonds monétaire international (FMI) s’exprime pour la seconde fois en quelques jours.

Sources

Martine Aubry appelle Emmanuel Macron à soutenir le "désistement républicain" face au RN

Martine Aubry, maire PS de Lille, s'est adressée au président de la République sur X ce vendredi 28 juin. Elle lui a demandé de soutenir le "désistement républicain" face au RN lors des élections législatives.

La maire PS de Lille, Martine Aubry, a appelé ce vendredi 28 juin Emmanuel Macron à soutenir le "désistement républicain" aux législatives face au Rassemblement national.
"Monsieur le président de la République, vous ne pouvez pas refuser le désistement républicain qui vous a permis d’être élu pour vos deux mandats".

Sources

Législatives: Mélenchon estime que Faure et Roussel "commettent une lourde erreur" en lui "tapant dessus"

Jean Luc-Mélenchon a répondu à ses partenaires de gauche qui ne veulent pas le voir être nommé à Matignon dans le cas d'une victoire du Nouveau Front populaire aux législatives.

"C'est totalement contre-performant." Alors que plusieurs personnalités de gauche se sont opposées à la nomination de Jean-Luc Mélenchon à Matignon en cas de victoire du Nouveau Front populaire aux législatives, le leader insoumis a jugé leur position "très malhabile".

Citation :

"Je déplore d'être mis au banc d'une gauche pour laquelle j'ai quelques responsabilités dans son retour sur la scène", a-t-il expliqué sur M6 ce jeudi 27 juin.

"Monsieur Faure comme Monsieur Roussel commettent une lourde erreur s'ils croient qu'ils vont gagner des voix qu'ils vont prendre à la droite et l'extrême droite en me tapant dessus", a poursuivi le triple candidat à la présidentielle.

Sources

"J'assume tout le monde", assure Olivier Faure à propos du Nouveau Front populaire

Le premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure a réaffirmé ce jeudi 27 juin, face à Jordan Bardella (RN) et Gabriel Attal (Ensemble)? le message d'unité porté par le Front populaire pour les élections législatives anticipées.

Tout comme Manuel Bompard sur TF1 quelques jours plus tôt, le patron du PS, Olivier Faure, a présenté, ce jeudi soir sur France 2, le Nouveau Front populaire comme l'offre pondérée et raisonnable de ces élections législatives anticipées. 

Le premier secrétaire du Parti socialiste représentait l'alliance de gauche face aux représentants du RN, Jordan Bardella et du camp présidentiel, Gabriel Attal. 
Une occasion pour le socialiste de balayer les critiques que suscite son mouvement, notamment en raison de la présence de Jean-Luc Mélenchon dans ses rangs.

Face au "projet nationaliste, autoritaire, raciste, climatosceptique" porté par Jordan Bardella et le RN selon Olivier Faure, "il y a cet espoir nouveau qui s'est levé avec ce Nouveau Front populaire. J'assume tout le monde", a-t-il souligné, se félicitant de voir des liens tissés "de Raphaël Glucksmann à Philippe Poutou, de François Hollande jusqu'à Jean-Luc Mélenchon". Tout comme les écologistes Marine Tondelier et Yannick Jadot l'ont fait ces derniers jours, Olivier Faure a ainsi appelé à prioriser l'unité pour battre le RN dans les urnes. Un message qui contraste avec les déclarations dissentes de certaines figures de la gauche.

Sources

Il manque l'avis de nombreuses personnalités Politiques,
Il aurait été difficile, d'en rajouter d'autres.

N'oubliez pas d'aller voter.

Merci Eva, on voit revenir des gens qu'on ne souhaitait plus revoir, Aubry, DSK ,  Hollande et le traître Sarkozy. Tous portent une immense responsabilité dans le débuteront moral, social, économique du pays.

À la Martinique et à la Guadeloupe, des candidats du RN se qualifient pour le second tour dans trois circonscriptions sur huit


A la Martinique et à la Guadeloupe, trois candidats du Rassemblement national (RN) se sont qualifiés pour le second tour des élections législatives, selon des résultats provisoires communiqués par la chaîne Outre-mer, la 1^ère.

Ces résultats doivent être confirmés par le ministère de l’intérieur dimanche, à 20 heures, mais ils peuvent être communiqués dès maintenant : selon le code électoral, il est possible de rendre le résultat public une fois le dernier bureau de vote fermé dans le département concerné.

A la Martinique, aucun candidat n’a réussi à obtenir la majorité absolue, un second tour sera organisé dans chacune des quatre circonscriptions. 

Dans la 3^e circonscription, le duel opposera deux candidats du Nouveau Front populaire : le député sortant Johnny Hajjar (37,28 %) et Béatrice Bellay (25,26 %). Un candidat RN, Grégory Roy-Larentry, sera opposé au second tour, dans la 4^e circonscription, au député sortant La France insoumise Jean-Philippe Nilor.

A la Guadeloupe, les candidats du RN Laurent Petit et Rody Tolassy se qualifient pour le second tour, respectivement dans la 2^e et la 3^e circonscription, tous deux face à des candidats divers gauche, arrivés en première position.

En Guyane, les candidats de la Gauche démocrate et républicaine - Nupes Davy Rimane et Jean-Victor Castor se qualifient chacun pour le second tour, dans les deux circonscriptions. Avec 62,7 % et 60,2 % des voix, les deux députés sortants manquent d’être élus au premier tour, faute d’une participation suffisante.

Sources

C'est étonnant que malgré le décalage horaire on puisse connaître le résultat,  encourageant certes.

Effectivement, sauf qu'il y avait peut-être erreur de la part de l'info.

Polynésie : un député élu au premier tour

Le nom du premier des 577 députés à élire est connu. Il s'agit du marquisien Moerani Frébault, élu avec 54 % des suffrages. Le candidat autonomiste de centre droit non encarté est un novice en politique
Martinique : le Nouveau Front populaire en tête
En Martinique, seulement 30 % des électeurs se sont exprimés. Toutefois, les quatre candidats sortants, tous investis par le Nouveau Front populaire (NFP), arrivent en tête du scrutin.
Nouvelle-Calédonie : duels indépendantistes-loyalistes
En Nouvelle-Calédonie, les électeurs se sont davantage mobilisés : 60 % d'entre eux se sont rendus aux urnes. Les résultats illustrent la grave crise qui fracture l'archipel : dans chaque circonscription des duels indépendantistes-loyalistes auront lieu au second tour.
Guyane : plus de 60 % des voix pour le NFP
Les candidats soutenus par le Nouveau Front populaire sont en tête dans les deux circonscriptions guyanaises, avec plus de 60 % des voix, mais sans toutefois que les 25 % de votants soient atteints.
Guadeloupe : Liot et Nouveau Front populaire en tête
Les députés sortants du groupe centriste Liot ou investis par le Nouveau Front populaire sont en tête. Et, dans les 2^e et 3^e circonscriptions de l'archipel, deux candidats du RN, Laurent Petit et Rody Tolassy, sont qualifiés pour le second tour.
Saint-Pierre-et-Miquelon : le centre droit en ballottage favorable
Le député sortant Stéphane Lenormand (centre droit) est en tête du premier tour, avec 43 % des voix, selon les résultats provisoires. Derrière, avec 17,56 % des voix, Frédéric Beaumont (Parti socialiste) est qualifié pour le second tour. Le RN obtient 10,59 % des suffrages.

Sources

Sources