Allez petit jeux, c'est qui?

LA photo n'est pas bien connut, mais la personne elle était devenu Général! Je ne dirais rien d'autre!

Son combat épique contre Guynemer est resté légendaire. A court de munitions les deux hommes se sont salués comme des chevaliers du ciel.

He ben, là je croyait pouvoir un peu soufflé, en pensant vous avoir mis une colle.
He ben non vous êtes incollables. Bravo!
Je vais à présent tenté de retrouvé aussi d'autre photo encore de personnage.

Comme j'ai affaire a de vrais historien dans ce forum, allez durcissement du jeu.
Avec demande du nom du lieu soit le nom du château. qui est devenu célèbre.


ou alors je vous demanderais  c'est qui, qui est porté dans ce cercueil (allez pour moins dure, photo de 2002)?


Il ou elle, dans le cercueil bien sûr, a été déporté à Ravensbrück en 1944.

Je suis d'accord avec vous deux pour la réponse JP et Jojo

Hey Commandoair, tu as bouffé quoi à midi?
Ce n'est plus la peine que je vous donne du moyen, alors il me faut réellement trouvé du lourds.
Parce que bien sûr, je pensait, que pour la nièce du Général, vous n'alliez pas si vite la trouvé, mais non, Mr. Commandoair40, lui il mange comme popeye de l'épinard à midi, et pour son casse croute le matin. c'est injuste!!

Et la forteresse bien sûr c'était la forteresse ou furent emprisonné, tout les haut-Gradés, y Compris Giraud, et la raison de l'assassinat du Général Mesny, c'était lui qui a aidé Giraud pour sa fuite, ce qui lui a valu sa condamnation à Mort, bien sûr comme toujour, pour s'excuser, la Gestapo à utiliser les mots "Tentative de fuite".

Et celle ci: sans autre information, juste c'est qui, tu vas aussi me la sortir de ton casque de para, Commandoair?

Allez je suis indulgeant! Assassiné avant d'arrivé à Saarbrück.

allez zoust pour le nom du lieu merci si vous pouvez intégré aussi la partie histoire.

Et nous Mr nous n'avons pas le droit de jouer ???

tsss, Mr Commandoair, tu voulait me titiler?
ha, j'en ai une bonne a te raconter!
Arrête tes sources bidons pour ne pas te tromper de ville.
Qu'es ce que tu lis ici.
https://www.liberationroute.com/stories/236/roger-bushell
Les Allemands raconte la même version!
On est bien d'accord, il avait fait la route, avec le lieutenant Français, Comme ce lieutenant portait un nom de famille, typiquement mosselan, je parie que c'est la raison que ils ont souhaiter traverser par Saarbrücken. qui elle est la ville frontière avec la mossel Française.

EEt Commandoair, non d'une pipe, si tu laisse la main au autres, tait toi, parce que tu ne croix pas, que Gamelin et Raynaud, arrête, je te jure, si non je t'interdit de jouer au prochain!!!
Alors question subsidiaire, ^pour les autres joueur, quel nom vas sortir encore du lot des anciens prisonnier de ce château?
Il y'en as plusieurs!!!
Commandoair tu est un spielverderber! un mauvais joueur si tu donne la réponse, tu as donné une réponse, ok, maintenant tait toi! Je me demande bien, comment lorsque tu allait en classe CM1 et CM2, et que bien sûr, je te vois autant, en levant la main a chaque question. Comment donc ta maitresse ou ton maître d'école t'ordonnait pour t'asseoir? et pour te garder assis!
non d'une pipe!

[size=41]Bataille du château d’Itter (1) : Une alliance remarquable entre les Alliés et la Wehrmacht
La Seconde Guerre mondiale a donné lieu à toute une série d’histoires incroyables. L’une d’entre elles concerne la défense d’un château autrichien par une équipe hétéroclite de soldats américains, de membres des forces armées allemandes et d’éminents prisonniers de guerre français contre les SS supérieurs
 05.07.2017 - Jiří Suchánek

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Le château d’Itter est situé près du village du même nom, à environ 19 kilomètres à l’ouest de Kitzbühel au Tyrol. En février 1943, en raison de sa robustesse et de son emplacement relativement éloigné, il a été repris par les nazis et transformé en prison pour les prisonniers de guerre français éminents qui étaient d’une telle valeur pour le Troisième Reich qu’ils ont été détenus dans des conditions relativement douces.
Le nom officiel était Evakuierungslager (camp d’évacuation) et l’ensemble de l’installation était sous l’administration du commandement du camp de concentration de Dachau. D’où venaient non seulement les finances mais aussi les gardes.

Treillis proéminents

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Le SS-Hauptsturmführer Sebastian Wimmer a été nommé commandant avec environ 25 membres SS-Totenkopfverbände, dont la grande majorité étaient des hommes âgés sans expérience de la ligne de front. Parmi les habitants involontaires du château figuraient, par exemple, l’ancien Premier ministre Édouard Daladier, le président français de 1932 à 1940 Albert Lebrun, la sœur aînée de Charles de Gaulle Marie-Agnès Cailliau, les généraux Maxime Weygand et Maurice Gamelin, et la star du tennis Jean Borotra.
Bien que tous les prisonniers soient français, ils étaient loin d’être un groupe monolithique. Certains n’ont pas pu se faire un nom en raison de rivalités politiques bien ancrées, d’autres, comme Weygand, ont porté le stigmate de la collaboration avec les occupants allemands. Bientôt, ils ont été divisés en trois groupes distincts. Quant au traitement des prisonniers par les gardes, André François-Poncet, l’ancien ambassadeur de France à Berlin, l’a décrit comme « un mélange de force brute, de politesse et de tentatives occasionnelles d’amitié ».
Sinon, cependant, ces notables français pouvaient visiter la bibliothèque du château ou se promener dans la cour. Daladier avait même une radio cachée dans sa chambre, sur laquelle il écoutait les émissions de la BBC. C’était la propriété du prisonnier politique yougoslave Zvonimir Čučkovic, qui est venu au château de Dachau pour travailler comme électricien. Cet homme a ensuite joué un rôle clé dans le sauvetage de la vie de ses codétenus.
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Les Américains arrivent

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Dès le début du printemps 1945, divers officiers SS commencent à se relayer au château, fuyant les soldats alliés avec leurs familles. Le 30 avril, le SS-Obersturmbannführer Eduard Weiter, le dernier commandant du camp de concentration de Dachau, arriva. Les Français craignaient que Weiter ne les fasse exécuter pour tenter de brouiller les pistes, mais en réalité, il pensait surtout à son propre suicide, qu’il a également commis tôt le matin du 2 mai 1945 au château. Cet événement est devenu un signal clair pour les autres SS présents.
Le matin du 4 mai, Sebastian Wimmer avait disparu avec sa femme, suivi de tous les gardes. Au matin, les Français « régnaient » déjà dans le château. Cependant, les troupes SS traînaient toujours dans la région, alors sur l’insistance de Weygand et de Gamelin, le groupe s’arma de pistolets, de fusils et de mitraillettes de l’armurerie du château et décida de prendre contact avec l’unité alliée la plus proche. Zvonimir Čučkovič s’est porté volontaire pour assumer le rôle d’agent de liaison et est parti à vélo pour la ville voisine de Wörgl.
Ignorant que la majeure partie était encore contrôlée par des soldats SS, ce n’est que par hasard qu’il a rencontré un groupe de soldats de la Wehrmacht dirigé par le major Josef Gangl, qui avait l’intention de se rendre aux Américains dès que possible. Il a donc envoyé Čučković en direction d’Innsbruck, tout juste libérée par la 103e division d’infanterie américaine, et dans son kübelwagen, accompagné d’un camion avec environ 12 hommes, il est parti dans la direction opposée vers Kufstein. Čučkovic et Gangl rencontrèrent bientôt des soldats américains et négocièrent tous deux une mission de sauvetage pour d’éminents prisonniers français.
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Achèvement : Bataille du château d’Itter : les Alliés et la Wehrmacht contre les unités SS (sortie le 6 juillet)
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Alors que le groupe dirigé par le major John Kramers, parti d’Innsbruck pour aider le château, a dû s’arrêter en cours de route en raison des combats en cours avec les unités SS, la patrouille rassemblée par le major Gangl a eu plus de chance. Il y avait sept chars M4 Sherman, deux du 23e bataillon de chars, le reste appartenant au 142e régiment d’infanterie. Le convoi était complété par le Kübelwagen du major Gangl et un camion avec des soldats allemands. Tout était commandé par le lieutenant Jack Lee dans un char nommé « Besotten Jenny », qui a ajouté six fantassins noirs du 17e bataillon d’infanterie blindée à l’armure de son infanterie blindée.[/size]


Bataille du château d’Itter (2) : Alliés et Wehrmacht contre les unités SS
C’était l’une des batailles les plus bizarres de la Seconde Guerre mondiale. Le château, avec des prisonniers éminents qui devaient être tués par les SS, était défendu par d’étranges alliés : l’armée américaine et la Wehrmacht
 06.07.2017 - Jiří Suchánek


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La sœur de Charles de Gaulle, Marie-Agnès Cailliau, serre la main d’un soldat américain inconnu après la libération du château.

L’un des captifs était l’ancien joueur de tennis et ministre des Sports Jean Borotra.

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Partie précédente : La bataille du château d’Itter : une alliance remarquable des Alliés et de la Wehrmacht

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Dans l’après-midi, le groupe se mit en route en direction de Wörgl, qui avait entre-temps été abandonnée par les unités SS. Les Américains sont accueillis par des partisans autrichiens, qui persuadent le lieutenant Lee de laisser cinq Sherman du 142e régiment d’infanterie au nord de la ville pour défendre la route d’accès principale.

La mission commence

Le convoi considérablement affaibli a continué et a dû traverser le seul pont menant au château environ quatre kilomètres avant l’arrivée. Remarquant qu’il était miné, Lee demanda aux soldats allemands de retirer les charges et laissa son deuxième Sherman en garde à cet endroit stratégique. Finalement, sur le chemin du château, Lee rencontra un petit groupe de SS qui essayaient de construire une serrure antichar, mais le feu des soldats américains et allemands les poussa rapidement dans les bois.
Lee et Gangl se présentent enfin devant les portes du château d’Itter au crépuscule du 4 mai 1945. L’arrivée des libérateurs n’impressionne pas le moins du monde les Français, ils s’attendent à une colonne de blindés et à beaucoup d’Américains armés jusqu’aux dents. Au lieu de cela, ils ont reçu un char, sept « Yankees » et, à leur grand étonnement et à leur grand chagrin, un camion rempli d’Allemands armés.
Mais alors que le major Gangl traitait les notables décemment, voire respectueusement, ils avaient une impression complètement différente du lieutenant Lee. Comme toujours, il était insolent et donnait l’impression d’une brute grossière. D’un autre côté, il savait ce qu’il faisait. Dès son arrivée, il dressa une liste d’anciens prisonniers, plaça son char devant la porte du château, dont le canon et la mitrailleuse contrôlaient la route d’accès, et commença enfin à rassembler de la nourriture pour ses soldats fatigués. Ce soir-là, il partit avec le lieutenant américain Harry Bass et le major Gangle pour étudier le terrain et commença à élaborer un plan défensif.
Ils ont été rejoints par le SS-Hauptsturmführer Kurt-Sigfried Schrader, un jeune officier qui se remettait d’une blessure de guerre dans le village du château et a décidé de se joindre aux défenseurs du château. En principe, cependant, il n’y avait pas beaucoup de variantes. Comme Lee n’avait pas assez de véhicules pour ramener ses hommes, français et allemands, à Kufstein, il décida simplement d’attendre sur place jusqu’à l’arrivée des principales forces américaines. Les murs épais de l’ancien manoir étaient censés être un facteur décisif dans la défense si les SS dans les forêts environnantes décidaient d’attaquer le château.

Important au combat

Le coup est venu plus tôt que le lieutenant Lee n’aurait pu le penser. Dès onze heures du soir, des tirs de fusils et de mitrailleuses se firent entendre. Il n’est pas clair s’il s’agissait d’une tentative d’éliminer les Français ou si les soldats SS essayaient simplement de chasser une petite unité américaine de leurs arrières. Les Américains et les Allemands prirent des positions préparées à l’avance dans le château et répondirent avec leurs armes légères. Gangl a même réussi à contacter le commandant de la résistance autrichienne dans le village en contrebas du château par téléphone et à demander des renforts, mais seuls deux soldats allemands et un résistant autrichien sont arrivés.
Jusqu’au matin, la situation semblait relativement tenable, mais à l’aube, les assiégeants ont déployé un calibre plus lourd dans le combat. Un obus de 88 mm a d’abord détruit la pièce vide du général Gamelin, puis a détruit le seul char américain sur place, qui n’a pas fait de victimes, mais pour les SS, c’était le signal de lancer l’attaque principale. Il s’est développé dans deux directions, de l’est et de l’ouest, et a été suivi par 200 SS.
Les défenseurs des murs les plus élevés ont réussi à tirer des fusils et des mitrailleuses sur les assaillants, avec Borotra, Reynaud, Gamelin et d’autres notables français éminents se joignant également à la fusillade, qui, malgré leurs disputes antérieures, se tenaient maintenant côte à côte avec des armes à la main. Mais alors que le combat s’éternisait, il y avait aussi des pertes du côté des « alliés ». Les 88 ont tué plusieurs soldats de la Wehrmacht et en ont blessé d’autres, dont le major Gangl, tué par un tireur d’élite nazi. Cela s’est produit au moment où un officier de la Wehrmacht, avec le lieutenant Lee, essayait de détecter la position des artilleurs ennemis qui harcelaient gravement le poste d’observation.
Pendant ce temps, le major Kramers arriva et alla au secours du château d’Innsbruck jusqu’au pont, gardé par le second Sherman du lieutenant Lee. Le petit groupe (Kramers est arrivé sur les lieux dans une jeep avec trois autres hommes en raison de problèmes avec ses compétences) a ensuite été complété par une reconnaissance au combat du 142e régiment d’infanterie. Du pont, on pouvait voir la bataille qui faisait rage autour du château, et l’officier américain savait qu’il devait faire quelque chose.
Il a essayé de contacter le château par radio, ce qu’il n’a pas réussi, mais l’un des résistants autrichiens l’a traîné jusqu’à la mairie de Wörgl, où tout ce qu’il avait à faire était de décrocher le combiné et le lieutenant Lee parlait à l’autre bout du fil. Il a décrit une situation grave : les tirs SS devenaient plus forts, tandis que les défenseurs étaient à court de munitions. Kramers n’attendit plus, il rassembla toutes ses forces disponibles et se dirigea vers le château.

Une bonne fin de journée...

À midi, la situation du groupe bizarre sous le commandement de Lee ne semblait plus bonne. Ils n’avaient pratiquement pas de munitions et l’attaque des membres de la 17e division SS Panzer Grenadier « Götz von Berlichingen » ne faiblit pas. Au moment critique, le lieutenant Lee succomba finalement à l’insistance de Jean Borotra, qui voulait rencontrer la colonne de secours et la mener le plus rapidement possible à travers les rues sinueuses du village en contrebas du château. Après que Borotra se soit lancé dans une mission presque suicidaire (entre autres, il a dû courir sur plusieurs dizaines de mètres d’espace libre sous le feu), Lee a commencé à mettre en œuvre son plan de dernier recours.
Selon lui, tous les défenseurs étaient censés se retirer dans le bâtiment principal du château et s’y barricader. Les SS sentaient déjà la victoire et voulaient forcer le passage par la porte principale avec leur poing blindé. Soudain, un soldat de la Wehrmacht a crié la nouvelle salvatrice au château : « Amerikanische Panzer ! » Et en effet, les tirs de mitrailleuses M2 et de canons de chars américains pouvaient déjà être entendus depuis le village. En quelques instants, les assaillants se sont dispersés dans les forêts environnantes. La bataille s’est calmée, comme toute la Seconde Guerre mondiale quelques jours plus tard, et les défenseurs du château d’Itter se sont séparés.
Les Américains sont retournés dans leurs unités, les soldats de la Wehrmacht ont été envoyés dans un camp de prisonniers de guerre et les notables français ont finalement été renvoyés dans leur patrie. Cinq jours après la bataille, le lieutenant Lee a reçu une promotion au grade de capitaine et aussi une décoration, comme ses six hommes. Et le courageux Jean Borotra ? Il a survécu à son « voyage » depuis le château et a été intronisé au Temple de la renommée du tennis international en 1976.

Oh punaise, mais qu'es ce que j'ai fait au bon dieu, pour être tombé dans un forum, ou les admins son au courant de toute l'histoire.?
20/20 pour 81/06.

Allez zoust! vous souhaité connaitre tout, allons y!


Quel unité?

sinon!



Daté la photo??? Je ne la connaissait pas!

Et interdiction de résoudre les deux photos par le même admin, ou par le même joueur, merci!
Ta bien lu ce qui t'es destiné Commandoair40?!
Alors attention warning mr le super génie!