Bientôt fin de partie pour les néonazis ukrainiens ?
2 participants
Auteur
Message
Commandoair40 Admin
Nombre de messages : 29167 Age : 78 Emploi : Français Radicalisé . Date d'inscription : 07/11/2014
Sujet: Bientôt fin de partie pour les néonazis ukrainiens ? Ven Avr 19 2024, 19:45
Bientôt fin de partie pour les néonazis ukrainiens ?
Zelensky, comme Macron ou Trudeau, est un fantoche installé au pouvoir par le Nouvel Ordre Mondial.
Une marionnette capricieuse, hystérique, inconsistante, geignarde.
Mais ceux qui tirent les ficelles sont de véritables illusionnistes doués pour transformer les agresseurs en victimes, mettre en scène des narratifs homériques, et détourner l’attention de leurs malversations. Un véritable écran de fumée a estompé le budget consacré par les USA à la dictature ukrainienne
Jusqu’à la fin de l’année dernière, personne ne pouvait chiffrer à Washington, documents à l’appui, le montant exact des fonds fédéraux dilapidés au profit des Ukronazis.
Les congressistes Républicains avaient beau questionner, insister, exiger des réponses, personne ne savait.
Or si la Maison-Blanche est occupée par un vieillard gâteux qui ne sait plus où il habite, ses assistants sont des quadra et quinquagénaires au cerveau en parfait état de marche.
Mais les USA ne sont pas la France, et les commissions d’enquêtes n’y sont pas des boutiques de farces et attrapes.
À force de relances, une quinzaine de parlementaires ont exercé une pression constante, relayée par les médias, sur Shalanda Young la patronne du budget.
Et celle-ci a fini par leur répondre.
Au bout de huit mois, tout de même.
Par petits bouts.
Qui, mis bout à bout, éclairent les congressistes.
En 2023, les dépenses engagées pour « écraser la Russie » représentaient un minimum de 114 milliards de dollars.
On parle de 129 aujourd’hui, auxquels il convient d’ajouter une dizaine de milliards d’équipements militaires dont on a perdu la trace.
Shalanda Young a peiné à faire ses additions car, comme dans toutes les mafias, des comptables véreux utilisaient des rubriques nébuleuses pour masquer des transferts, passaient par des comptes emboîtés en forme de poupées russes (n’est-ce pas cocasse ?) et utilisaient des mandataires de paille…
En évitant si possible d’écrire le mot « Ukraine ».
Si les congressistes cédaient aux nouvelles exigences du nabot hargneux, il faudrait ajouter 61 milliards USD, soit presque 50 % de plus à l’addition.
Le président de la chambre, un républicain devenu pro-Ukraine (à la suite de quelles promesses ou chantages ?), risque de se faire blackbouler comme son prédécesseur.
Ce serait une confirmation de l’influence de Trump sur son parti.
Quant aux milliards engagés pour organiser le coup d’État de Maïdan et soutenir les imposteurs de Kiev pendant huit ans, ils se sont perdus dans les sables mouvants de la politique étrangère.
Le coup d’État dit EuroMaïdan, appelé ainsi pour ne pas mouiller les USA, fut organisé en février 2014 par la CIA sous la houlette de Victoria Nuland – alors sous-secrétaire d’État US – avec l’aide des groupes paramilitaires ukrainiens.
Ces milices en demi-sommeil depuis 1945 se réclamaient ouvertement de Stepan Bandera, binational officier de la Gestapo, et chef des waffen SS ukrainiens, alliés des Boches pendant la Seconde Guerre mondiale.
Leurs crimes s’inscrivent dans la longue liste des exactions commises par les nazis partout où ils ont sévi.
Après un début de guerre civile, le président élu Viktor Yanoukovytch pro-russe fut renversé par des milices qui avaient envahi le Parlement.
Puis un banquier oligarque, Petro Poroshenko lui succéda après un simulacre d’élection.
Les postes de ministres et de gouverneurs de régions furent attribués aux néo-bandéristes.
Les fonctions de sécurité revinrent à Svoboda, une milice autoproclamée de défense du Peuple ukrainien.
Qu’on retrouvera avec le régiment d’Azov lorsque les persécutions commenceront au Donbass.
Sous les sinistres emblèmes de la svastika et de la wolfsangel.
Les néonazis voulaient une guerre civile qu’ils étaient sûrs de gagner, et les Étasuniens les encourageaient.
Convaincus que la Russie qu’ils croyaient faible ne bougerait pas.
Sitôt le nouveau régime mis en place à Kiev, il interdit la langue russe parlée par une large partie de la population et majoritaire dans les oblasts de l’Est, du Sud et de la Crimée.
Le terne Porochenko, imité plus tard par le pitre crapuleux Zelensky, coupa l’accès à tous les services publics aux districts qui avaient manifesté leur mécontentement.
Et envoya des sbires néonazis lourdement armés faire régner la terreur dans les villes et les villages.
Ce n’est donc pas suite à des manigances de Moscou que la Crimée vota son indépendance et adhéra à la Fédération de Russie, tandis que les oblasts de Donetsk et Lougansk se déclaraient autonomes.
Les USA rejetèrent la proposition russe d’un traité de sécurité collective régionale et le 17 janvier 2022, quelques jours avant la prétendue « invasion », ils mirent en place un pont aérien livrant aux forces ukrainiennes des dizaines de tonnes d’armes et de munitions.
Les médias menteurs aux ordres de l’OTAN font commencer la guerre d’Ukraine le 24 février 2022…
Jamais ils ne reconnaîtront que, dès le 12 de ce mois, les Ukronazis avaient intensifié leurs bombardements suivis d’assauts au sol contre les populations civiles du Donbass.
Piétinant une nouvelle fois les accords de Minsk de 2014 et 2015, et se vantant à la télé d’éliminer les « rebelles ».
Qui jusqu’alors n’avaient revendiqué qu’un référendum en vue d’une libéralisation économique et administrative.
15.000 civils furent assassinés pendant ces huit années de terrorisme néonazi.
Pourtant les Russes ont tenté de privilégier la voie diplomatique
Mais les Ukronazis ont toujours refusé d’honorer leur signature sur des accords qui prévoyaient de démilitariser le Donbass et d’y procéder à des élections libres en vue d’une éventuelle autonomie, tout en restant dans le cadre de l’État ukrainien.
Et comme si cela ne suffisait pas, pour narguer les Russes, l’avorton Zygomyr poussé par la CIA annonçait son intention d’intégrer l’OTAN et invitait ses amis Yankees à installer des armes nucléaires à la frontière, à quelques minutes de tir de Moscou.
Bien sûr, Zelensky n’est qu’un pantin pleurnichard qui n’aurait jamais agi de la sorte sans avoir reçu des encouragements de Washington.
N’imaginant même pas que le sort des armes et les aléas de la géopolitique se retourneraient contre lui.
Sinon, il n’aurait pas rejeté les propositions de paix, presque acquises en mars 2022 à Istanbul, où Poutine ne demandait que la neutralité de l’Ukraine, la dénazification des cadres de son armée et un vote sous contrôle international proposant l’autogestion aux russophones.
À trop vouloir gagner, l’Ukraine va tout perdre
Certes, la guerre s’enlise.
Mais la contre-offensive ukrainienne a été un fiasco.
Et patiemment, les Russes grignotent du terrain.
Peu importe le temps qu’il faudra, l’objectif n’est plus seulement de sauver les Russes du Donbass et de Novorossya, mais d’éliminer le dictateur de Kiev et d’empêcher l’intégration de ce petit pays belliqueux dans l’OTAN.
La guerre peut durer encore grâce aux armes et renseignements fournis par les USA.
Mais l’armée ukrainienne se délite.
Même les médias qui reprenaient naguère les communiqués de victoire du ministère de la guerre de Kiev finissent par lâcher des bribes de vérité.
L’armée ukrainienne est une armée de « vieux ».
Cinquante ans en moyenne, c’est beaucoup.
Après l’hécatombe des jeunes hommes au début de la guerre, on en est arrivé à recruter des retraités et des femmes au foyer.
Avec une formation militaire des plus succinctes.
Les jeunes mobilisables préfèrent s’exiler ou payer des bakchichs pour échapper à la conscription.
Ça commence à se savoir.
L’armée ukrainienne ne tient que grâce aux mercenaires.
Comme on utilise des matériels sophistiqués et qu’on ne s’improvise pas technicien du jour au lendemain, leurs servants sont des soldats professionnels envoyés par les États « non-belligérants » sous uniforme ukrainien.
Ou des mercenaires privés, venus de tous horizons, appâtés par des payes et des primes substantielles.
L’armée ukrainienne n’a pas le moral.
Pilonnés jour et nuit par les Russes, enfouis dans des caves ou des boyaux, la plupart n’ont pas eu un seul jour de permission depuis deux ans.
Et ce mois-ci, le Zygomyr a signé un décret présidentiel disposant qu’ils devront attendre trois ans avant d’avoir quelques jours de répit…
Mais toujours pas de démobilisation en vue.
Des réserves inexistantes en Ukraine, qui se reconstituent en Russie
« L’armée de toutes les victoires » chantées par nos chaînes de désinformation continue manque d’obus mais aussi d’effectifs.
Les recruteurs mafieux payés au rendement échouent à kidnapper à la sortie des lycées des ados qui se calfeutrent désormais chez leurs parents…
Et les « stratèges » de Kiev renvoient au front des éclopés, manchots, trépanés, unijambistes, après quelques semaines d’hôpital.
Alors que l’armée ukrainienne est exsangue, les Russes n’ont utilisé que 10 % de leurs soldats, 8 % de leurs avions de chasse, 7 % de leurs chars, 5 % de leurs missiles et 4 % de leur artillerie.
Leurs réserves en volontaires et leur production industrielle dépassent largement les pertes…
L’armée russe applique la tactique du « rouleau compresseur » qui a fait reculer et vaincu les Boches entre 1943 et 1945.
Elle utilise intensément l’artillerie pour nettoyer le terrain, puis elle avance inexorablement.
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
Alexderome aime ce message
Alexderome Admin
Nombre de messages : 9338 Age : 59 Emploi : A la recherche du temps perdu Date d'inscription : 22/10/2010
Sujet: Re: Bientôt fin de partie pour les néonazis ukrainiens ? Ven Avr 19 2024, 21:32
J'ai vu une vidéo tournée en Ukraine Subcarpathique, région occidentale peuplée de magyarophones où l’on voit effectivement une mère supplier que l’on emmène pas son jeune fils au front. Les médias racontent que la levée des classes est faite sur les hommes entre 25 et 50 ans c'est faux. Par contre, je vois souvent à Budapest de gros SUV ou des berlines allemandes immatriculé en Ukraine avec des conducteurs dans la Force de l’âge, comme ceux qui ont pris leurs quartiers sur la Côte d'Azur, réformés P4 peut-être, inaptes à conduire un char mais pas une charrette de grosse cylindrée.