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 EPHEMERDES du JSF du 21 octobre par Athos79

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Athos79
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Athos79


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MessageSujet: EPHEMERDES du JSF du 21 octobre par Athos79   EPHEMERDES du JSF  du 21 octobre par Athos79 Icon_minitimeSam Oct 21 2023, 11:16

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[size=30]Ephéméride du 21 octobre[/size]
samedi 21 octobre 2023

EPHEMERDES du JSF  du 21 octobre par Athos79 21-nm

Tartuffe, aujourd’hui, à la Comédie Française (fondée le 21 octobre 1680) 




1520 : Découverte de Saint Pierre et Miquelon  


EPHEMERDES du JSF  du 21 octobre par Athos79 Saint-Pierre-et-Miquelon-21.10.2023

 
L’archipel était en réalité déjà connu des pêcheurs basques et bretons dès la fin du XVème siècle, mais ceux-ci gardaient jalousement le secret sur ces eaux où abonde le poisson.

C’est le portugais Joao Alvarez Fagundes qui dévoile l’existence de cet archipel de huit îles et îlots, qu’il baptise « îles des onze mille vierges ».

Jacques Cartier en prendra possession en 1536, au nom du Roi de France (ci-dessous, vue satellite).  

Saint Pierre et Miquelon

 
 

1650 : Naissance de Jean Bart


EPHEMERDES du JSF  du 21 octobre par Athos79 20.10.2022-Jean-Bart

« 25 ans au service de Sa Majesté« , comme on peut le lire sur l’épitaphe de sa tombe (ci-dessous).


Plus de 27 navires de la Marine Française portèrent son nom !Et Louis XIV l’invita à Versailles, afin de l’honorer personnellement. 

En 1694, le blocus de la Ligue d’Augsbourg fait monter le prix du grain, les négociants spéculent, la France est affamée. Louis XIV achète alors plus de cent navires de blé norvégien. Cette flotte ayant été capturée par les Anglo-hollandais, Jean Bart est chargé par le roi de la récupérer. Au large de l’île hollandaise de Texel, le 29 juin 1694, le Dunkerquois réussit à s’emparer des navires : apercevant à l’horizon le convoi français d’une centaine de voiles qui venait d’être capturé par les Provinces-Unies, et bien qu’inférieurs en nombre, Jean Bart et sa flotte hissent successivement le pavillon rouge (à l’attaque !) et le pavillon bleu (à l’abordage !). Le résultat est sans équivoque : 16 morts chez les Français contre plus de 300 chez les Hollandais.     

EPHEMERDES du JSF  du 21 octobre par Athos79 20.10.2022-Jean-Bart.2

La nouvelle de cette capture fait chuter les prix et met fin à toutes spéculations.

Ainsi Jean Bart  « …sauva la France en lui donnant du pain » (Cantate à Jean Bart).

Pour cet exploit, il reçoit des mains de Louis XIV la Croix de Chevalier de l’Ordre de Saint Louis, puis il est anobli par le même Louis XIV, qui l’autorise à porter une fleur de lys d’or dans ses armes, déclarant que  « De tous les officiers qui ont mérité l’honneur d’être anoblis, il n’en trouve pas qui s’en soit rendu plus digne que son cher et bien-aimé Jean Bart ». 

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D’argent à la fasce d’azur chargée d’une fleur de lys d’or, accompagnée en chef de deux ancres de sable en sautoir et en pointe d’un lion passant de gueules… 

Deux ans plus tard, la 17 juin 1696, il s’empare – à l’abordage… – sur le Dogger Bank de 5 vaisseaux de grains hollandais, et capture 45 vaisseaux de commerce !…

Le 7 septembre 1847, sa ville de Dunkerque inaugura sa statue, œuvre de David d’Angers. Chaque année au moment du carnaval, les Dunkerquois y chantent à genou la Cantate à Jean Bart :

« … Et la cité qui te donna la vie, érigera ta statue en autel… »

 

 Jean Bart, roi des corsaires  


 

1680 : Fondation de la Comédie Française 


EPHEMERDES du JSF  du 21 octobre par Athos79 1680-Fondation-de-la-Comedie-Francaise-21.10.2023

Par décret, Louis XIV décide de regrouper la troupe de l’Hôtel de Bourgogne (la plus ancienne de Paris) avec la Troupe du Théâtre du Guénégaud (née de la fusion de l’Illustre théâtre, de Molière, avec la troupe du Marais; sur L’Illustre Théâtre, voir l’éphéméride du 13 juin). 

1680 : Fondation de la Comédie Française

1805 : Désastre de Trafalgar 


EPHEMERDES du JSF  du 21 octobre par Athos79 Trafalgar-par-Turner-19.10.2023-scaled

Le simple rapprochement de deux faits historiques, couvrant à peine une vingtaine d’années, donne la mesure de la catastrophe incommensurable que fut la Révolution pour la France, sa puissance et sa grandeur.

A la veille de la Révolution, la flotte de Louis XVI est la reine des mers (ci contre, à la bataille de la Chesapeake): face à des Anglais aussi impuissants que leur Navy à l’arrêter, la flotte française transporte, au nez et à la barbe des « habits rouges » (surnom des soldats anglais) tout un corps expéditionnaire français, qui écrasera les troupes britanniques aux Amériques, puis s’en reviendra en France, aussi tranquillement qu’elle était partie aider les Insurgents. Le voyage aller-retour représentant, évidemment, plusieurs milliers de kilomètres (voir l’Ephéméride du 19 octobre).

A peine plus de vingt ans après, Napoléon sera incapable de faire traverser à son armée, réunie à Boulogne, les malheureux trente petits kilomètres séparant Calais de Douvres !

Que s’était-il donc passé, qui expliquât ce prodigieux – et catastrophique, pour nous… – retournement complet de situation ? La réponse est très simple : la Révolution !
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Dans l’anarchie totale et l’incompétence à tous les niveaux qui suivirent cette funeste Révolution, la flotte française – répétons-le, la première du monde… – avait déjà été amputée à Aboukir de ses meilleurs vaisseaux (certains étant tout simplement recyclés dans la Royal Navy !… voir l’Ephéméride du 1er août). Trafalgar lui portera le coup de grâce. Nelson y trouvera la mort, et Villeneuve se suicidera en 1806…

A partir de là, il faudra renoncer à l’invasion de l’Angleterre, seul moyen de l’abattre. Et s’épuiser sur le continent, dans des succès sans fin, contre des coalitions sans cesse renaissantes dont, précisément, l’Angleterre était l’âme permanente. 

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Horatio Nelson, le vainqueur, mourra dans la bataille 

 
 
De Jacques Bainville, Histoire de France, chapitre XVII, Le Consulat et l’Empire : 

« …Notre marine avait été ruinée par la Révolution. À peine avait-elle commencé de se relever lorsqu’elle avait été blessée à Aboukir. Napoléon, aidé de Decrès, avait entrepris de la restaurer. Mais la marine est une œuvre qui ne s’improvise pas. Malgré les délais que laissa la coalition, lente à se former tant les craintes que la France inspirait étaient vives, il fallut agir contre elle avant que nos escadres fussent prêtes, se retourner vers l’Allemagne sans avoir même ébranlé l’Angleterre. L’échec du plan de Boulogne allait changer toute la fortune de l’Empire.

Ce plan était simple et hardi. La France avait deux flottes peu importait que l’une fût détruite si l’autre, libre de ses mouvements, pouvait entrer dans la Manche et protéger, pendant vingt-quatre heures seulement, le transport de l’armée de Boulogne. C’est sur ce coup de dés que se jouait cette immense partie, et elle fut perdue. Pas plus qu’à Waterloo Napoléon ne verra venir Grouchy, il ne vit, à Boulogne, venir Villeneuve. Mais cet amiral doutait de l’instrument qu’il avait entre les mains, de son matériel imparfait, de ses officiers et de ses équipages inexpérimentés. La flotte de l’Espagne, notre alliée, avait été très éprouvée et ne valait guère mieux que la nôtre. Villeneuve redoutait un désastre, et la suite des événements ne lui donna pas tort. Le ministre de la marine Decrès partageait ses craintes. « Il est malheureux pour moi de connaître le métier de la mer, osait-il dire à l’empereur, puisque cette connaissance ne produit aucun résultat dans les combinaisons de Votre Majesté. »
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Au mois d’août 1805, ce furent pour Napoléon des journées de cruelle attente. Villeneuve se rendrait-il à Brest pour entrer dans la Manche ? On apprit enfin qu’il avait été trop heureux de se réfugier à Cadix : tous les plans de l’empereur étaient détruits. Il fallait encore une fois renoncer à l’invasion de l’Angleterre, au moins la remettre à plus tard. L’Autriche, qui avait cédé aux sollicitations du gouvernement britannique devenait ouvertement menaçante. La Russie la suivait. La Prusse, malgré des égards inspirés par une illusion traditionnelle, était peu sûre, Il était devenu nécessaire de battre les Autrichiens et les Russes avant qu’ils se fussent réunis. Alors, ayant imposé la paix au continent, Napoléon reviendrait sur l’océan pour obtenir la paix maritime. Il n’avait donc pas, à ce moment, l’idée funeste que l’Angleterre s’avouerait vaincue, lorsque les puissances continentales le seraient. Cette idée, qui nous avait coûté si cher sous Louis XV, Napoléon devait pourtant y revenir, contraint et forcé par la catastrophe dont la crainte avait paralysé ses amiraux : ses victoires magnifiques allaient être anéanties par un désastre naval.


Le lendemain de la capitulation des Autrichiens à Ulm, Villeneuve tentait de sortir de Cadix, où Nelson le tenait bloqué. La flotte anglaise, bien qu’elle fût inférieure en nombre, détruisit la flotte franco-espagnole, après un terrible combat, en vue du cap Trafalgar (20 octobre 1805). Les appréhensions de Villeneuve n’étaient que trop justifiées. Après cette catastrophe, le projet d’une descente en Angleterre n’était plus réalisable, Napoléon l’effaça de son esprit, n’y pensa même plus. La défaite de Trafalgar eut le même effet que celle de La Hougue : la France se désintéressa de la mer, l’abandonna aux Anglais… »   

 
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1830 : Aux origines des Monuments Historiques


C’est François Guizot qui proposa au Roi, le 21 octobre 1830, la nomination de Ludovic Vitet comme Inspecteur des Monuments historiques.

Vitet effectua une première tournée dans les départements de Picardie et du Nord, dès la fin de l’année 1830, et rédigea un rapport fondateur du Service des Monuments historiques.

En 1834, Vitet céda sa place à Prosper Mérimée, qui proposa, en 1837, la création d’une Commission des Monuments historiques.

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Logo officiel : le labyrinthe de la cathédrale de Reims

1848 : Publication des Mémoires d’outre-tombe 


Leur rédaction se sera étendue sur près de quarante ans et, selon le souhait de l’auteur, elles ne seront publiées qu’après sa mort, le 8 juillet de la même année.  

 
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Jean d’Ormesson, grand admirateur de Chateaubriand, les évoque ainsi dans Mon dernier rêve sera pour vous :  

« …Peut-être est-il temps de dire ici, avec les mots les plus simples, que les Mémoires d’Outre-Tombe constituent un des cinq ou six monuments majeurs de la littérature française. Si notre langue est ce qu’elle est, les Mémoires d’Outre-Tombe y sont pour quelque chose.

Ils se situent quelque part, en beaucoup plus amusant, entre l’Iliade et l’Odyssée, la Divine Comédie, Don Quichotte de la Manche, Le Paradis perdu, Les Souffrances du jeune Werther et Guerre et Paix de Tolstoï.

Dans la prodigieuse lignée qui va de la Chanson de Roland, des quatre grands chroniqueurs, de Rabelais et Montaigne jusqu’à Hugo, Balzac et Proust, en passant par Saint Simon et Jean-Jacques Rousseau, Chateaubriand tient sa place d’abord parce qu’il a écrit les Mémoires d’Outre-Tombe… » 

Dans notre album  Ecrivains royalistes (I) : Chateaubriand, voir la photo « 1848 : Publication des Mémoires d’Outre-Tombe »

1945 : Les femmes votent pour la première fois 


C’est l’Ordonnance du 5 Octobre 1944 qui leur avait accordé le droit de vote : les Françaises avaient pu voter pour la première fois le 29 avril 1945, à l’occasion des élections municipales; cette fois-ci, le 21 octobre 1945, elles participent au scrutin national. 

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Si Louis XVIII, Charles X ou Louis-Philippe avaient instauré le suffrage universel…

Mais les partisans du Système ont oublié – ou font semblant… – dans quelles conditions se fit la révolution : en ce qui concerne les femme, la constitution votée le 23 juin 1793 instaure un suffrage universel masculin. Peu de temps après, le rapport d’Amar, député de l’Isère, au comité de sûreté générale va dans le même sens : « les femmes doivent-elles exercer des droits politiques et s’immiscer dans les affaires du gouvernement ? L’opinion universelle repousse cette idée. Les femmes doivent-elles se réunir en associations politiques ? En général les femmes sont peu capables de conceptions hautes et de méditations sérieuses… Voulez-vous que, dans la République

française, on les voie venir au barreau, à la tribune, aux assemblées politiques comme les hommes, abandonnant et la retenue, source de toutes les vertus de ce sexe, et le soin de leur famille ? …Nous croyons qu’une femme ne doit pas sortir de sa famille pour s’immiscer dans les affaires du gouvernement. »

Le 30 octobre 1793 les clubs féminins sont fermés. Le 4 prairial an III (23 mai 1795), nouveau décret de la Convention : « toutes les femmes se retireront dans leur domicile respectif : celles qui, une heure après l’affichage du présent décret, seront retrouvées dans la rue, attroupées au dessus du nombre de 5, seront dispersées par la force armée et successivement mises en état d’arrestation jusqu’à ce que la tranquillité publique soit rétablie dans Paris. »

Tout ceci semble se passer de commentaire.

1947 : L’Abbaye de Jumièges et son parc classés monuments historiques


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L’histoire de l’Abbaye de Jumièges s’étend des années 654 – celles de sa fondation – jusqu’à 1790 – année où la Révolution dispersa les moines, avant d’entamer la démolition de l’édifice.

Détruite une première fois par les Normands le 24 mai 841, l’Abbaye fut reconstruite et solennellement consacrée en présence de Guillaume le Conquérant le 1er juillet 1067; son abbé participa au procès de Jeanne d’Arc, prenant parti contre elle, forcé par les Anglais et la Sorbonne (Paris était alors aux mains des Anglais); Charles VII y résida, avec Agnès Sorel, et Charles IX y vint également, pour constater les dégâts causés par les Guerres de religion.

Il revenait à la funeste Révolution – là comme ailleurs : elle a  détruit entre le quart et le tiers de notre Patrimoine artistique !… – d’achever définitivement l’édifice, qui ne cesse pourtant de rayonner, tellement ses ruines sont splendides et évocatrices.

Abbaye de Jumieges


1991 :  Authentification de la Grotte Cosquer  


Découverte par le plongeur Henri Cosquer, dans les calanques de Marseille, à une quarantaine de mètres au dessous du niveau de la mer, elle date du paléolithique supérieur (environ 11.000 ans avant Jésus-Christ).

 
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La grotte Cosquer


Dans notre album L’aventure France racontée par les cartes, voir la photo « Le Paléolithique (II) : entre – 29.000 et – 17.000 ».

 

1999 : Hélène Carrère d’Encausse, première femme Secrétaire perpétuel de l’Académie française 


Élue à l’Académie française en 1990, au fauteuil de Jean Mistler (14ème fauteuil), Hélène Carrère d’Encausse en est élue Secrétaire perpétuel en remplacement de Maurice Druon, démissionnaire de cette fonction.

Elle est la première femme à accéder à ce poste : on la voit, ci-dessous, à côté de Maurice Druon.  

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Academie francaise – Hélène Carrere d’En Causse


 

2012 : Canonisation de Jacques Berthieu, premier saint de Madagascar et de l’Océan Indien


  

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Ambiatibe, Madagascar (à 60 km de Tananarive) : monument érigé à l’endroit où fut fusillé le père Berthieu

Saint Jacques Berthieu



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MessageSujet: Re: EPHEMERDES du JSF du 21 octobre par Athos79   EPHEMERDES du JSF  du 21 octobre par Athos79 Icon_minitimeSam Oct 21 2023, 14:19

Merci Athos,toujours intéressant et bonne lecture avec des dates intéressantes.


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