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Sujet: Le massacre de Bande Mer Sep 27 2023, 09:24
Le massacre de Bande
À la fin de l'occupation, des membres de l'Armée secrète se cachèrent dans les bois entourant le village de Bande. Le 5 septembre 1944, le jour de la libération, trois soldats de la Wehrmacht perdirent la vie au cours d’une brève bagarre avec le mouvement de résistance. Des représailles sanglantes suivirent immédiatement, mais le pire était encore à venir.
Les habitants de Bande pensaient s’être débarrassés des troupes allemandes. Mais le 22 décembre, elles sont revenues en force. Les habitants de Bastogne, dont huit élèves du Petit Séminaire, se réfugièrent dans le village, espérant y être en sécurité. Un commando SD chargé de sécuriser l'arrière, suivi le groupe d'armées régulières. Cette unité, dirigée par le Major Franz Lang, ancien chef de la Feldgendarmerie de Marche, était également composée de francophones de France et de Suisse. Elles furent poussées par une soif de vengeance. À la recherche des maquisards ayant pris part à la lutte en septembre, l'unité intercepta 70 hommes du village. Mais aucun d’eux n’était parmi eux. Après des interrogatoires difficiles à la scierie de Rulkin, les hommes âgés de plus de 35 ans furent relâchés. Il ne restait plus que 33 jeunes de 17 à 32 ans. Dépouillés de tout ce qu’ils possédaient, ils se rendirent compte du sort qui les attendait. Trois élèves du Petit Séminaire furent parmi eux. Emmenés dans une cave voisine, ils furent, un par un, abattus d’une balle dans la nuque le 24 décembre. Le lendemain, le nombre de morts s’alourdit avec deux autres victimes de Roy, un village voisin. Deux jours plus tard, deux autres victimes furent tuées à Hodister. Seul le jeune Léon Praile (21 ans) se rebella, repoussa sa garde et réussit à s’échapper dans les fourrés enneigés. Il fut le seul survivant et resta caché jusqu'au départ des troupes allemandes le 11 janvier.
Le 12 janvier 1945, la région fut libérée par les soldats du 9ème bataillon de parachutistes anglo-canadiens. Aidés de Léon, ils découvrirent les corps des victimes vaguement cachés sous un tas de planches dans la cave fatale. Des funérailles collectives furent organisées le 18 janvier 1945. Les victimes d’Hodister ne furent découvertes que deux mois plus tard.
Le 6 juin 1948, un monument commémoratif fut inauguré dans la Cave des Fusillés de Bande, à côté de la route N4 reliant Marche-en-Famenne à la barrière de Champlon.
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Sujet: Re: Le massacre de Bande Mer Sep 27 2023, 09:31
Bataille des Ardennes : massacre à Bande
18/12/2014 - Événements - Divers - Archives de l'État à Saint-Hubert
En 2014 avait lieu le 70ème anniversaire de la Bataille des Ardennes, ultime affrontement de la Seconde Guerre mondiale… Les Allemands arrivent dans le village de Bande au soir du 21 décembre 1944. Le 24 décembre, veille de Noël, un détachement allemand arrête tous les hommes sur son passage, dont quatre élèves du Petit Séminaire de Bastogne...
Engagée le 16 décembre 1944, la contre-offensive allemande ou Offensive Von Rundsted, touche Bastogne deux jours plus tard. Alors que les premiers obus tombent sur la ville, le supérieur du Petit Séminaire de Bastogne décide de renvoyer les élèves dans leurs familles.
Le 20 au matin, les derniers d’entre eux partent enfin, sous la conduite de quelques-uns de leurs professeurs. L’abbé Jean-Baptiste Musty, qui deviendra évêque auxiliaire de Namur en 1957, accompagne dix élèves en direction de la gare de Marloie, faute de pouvoir rejoindre directement Libramont.
Vaille que vaille, ils arrivent à Bande le 21 en matinée. Harassés, ils s’accordent pour attendre un jour avant de continuer. Malheureusement, le lendemain matin, la route vers Marche est bloquée par les Américains ; le soir, les Allemands arrivent à Bande.
La veille de Noël, les soldats d'un détachement allemand patrouillent dans le village et arrêtent tous les hommes qui croisent leur chemin. Quatre élèves du Petit séminaire sont pris parmi les otages.
Vers 17h, les prisonniers sont répartis en deux groupes : ils relâchent les plus vieux et ne gardent qu’une trentaine de jeunes âgés de 17 à 32 ans.
Mis à part Léon Praille qui parviendra à s’échapper, les trente-quatre jeunes hommes seront abattus et leurs corps jetés dans la cave d’une maison sinistrée le long de la Nationale 4, la maison Bertrand.
Le 11 janvier 1945, les Anglais entrent à Bande et découvrent la tragédie de la maison Bertrand. Les connaissant mieux que tout autre, l’abbé Musty devra identifier les corps de ses quatre élèves : André Bourgeois, Joseph Henkinet, Jules Noël et Joseph Parmentier. Mais c’est Léon Praile, le dernier à les avoir vu vivant qui sera le déclarant de leur décès et de celui des trente autres victimes de Bande. Les actes de décès sont conservés aux Archives de l’État à Saint-Hubert.
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Sujet: Re: Le massacre de Bande Mer Sep 27 2023, 09:48
ACCUEIL MÉMORIAL MASSACRE DE NOËL 44 - LE VILLAGE DE BANDE PENDANT LA BATAILLE DES ARDENNES
Descriptif
Le village de Bande eut à souffrir lors de la retraite des Allemands en 1944. Le soir de la veille de Noël, 34 jeunes gens originaires de la localité et des villages voisins furent lâchement assassinés dans une maison en ruines le long de la N4. Un seul d'entre eux, Léon Praille, parvint à s'échapper... Un mémorial a été érigé à leur mémoire à l'endroit du massacre. La 'cave', présentant sobrement la photographie de chacune des victimes, invite à un moment de recueillement. La sculpture est l'œuvre de Victor Demanet. Durant la Seconde Guerre mondiale, le village de Bande devait avoir une mauvaise réputation chez les Allemands, à cause de l'esprit de résistance qui y régnait. Plusieurs faits de guerre s'y sont produits, menant inexorablement au massacre du 24 décembre 1944. Au mois de juin 1944, des incidents éclatent lorsqu'un collaborateur de l'occupant est tué par des patriotes. Durant le mois de juillet, le secrétaire communal de l'époque faillit payer de sa vie cette exécution en guise de représailles alors qu'il n'y était pour rien. Mais il parvient à s'échapper. Le 6 juillet 1944, la communication téléphonique entre Marche et Champlon est sabotée. La sanction pour cet acte de sabotage est que le 'Kreiskommandant' de Bastogne oblige trente personnes à surveiller les lignes durant la nuit, et à fournir cinq bicyclettes et deux radios à la 'Feldgendarmerie' de Marche.Au mois de septembre 1944, huit jours avant la libération, un groupe de l'Armée Secrète (ou Armée blanche) s'installe dans le bois de Bande. Le 5 septembre, ils attaquent les Allemands, tirent sur un side-car et tuent trois soldats. Les représailles pour ces meurtres ne se font pas attendre: le 6 septembre, les Allemands viennent bouter le feu systématiquement à toutes les maisons situées des deux côtés de la grand'route de Marche à Bastogne. Ils font évacuer les familles puis installent des grenades incendiaires dans chaque maison: 35 foyers sont ainsi détruits. De plus, dernier fait de nature à irriter les militaires allemands, les habitants de Bande ont eu le courage d'arborer le drapeau belge plusieurs jours avant leur libération effective.Après le 8 septembre 1944, l'armée allemande est repoussée vers l'Allemagne. Mais le 22 décembre, des soldats et officiers de la Wehrmacht occupent de nouveau la région (Offensive von Rundstedt). Des soldats d'une unité spéciale s'installent dans ou près de maisons incendiées. Le 24 décembre, les hommes de cette unité spéciale arrêtent des villageois et procèdent à de longs interrogatoires. Ils libèrent certains hommes plus âgés. Après avoir fait croire à leurs familles qu'ils allaient partir pour l'Allemagne, les membres de cette unité emmènent 33 hommes, âgés de 17 à 32 ans, devant la maison Bertrand et les exécutent l'un après l'autre dans la cave. Seul Léon Praile, âgé de 21 ans, tente le tout pour le tout : il assomme un soldat, s'enfuit et échappe au massacre. Il ignorait que sa vie sauve provoquerait d'autres représailles: le lendemain, deux jeunes du village de Roy sont abattus. C'est donc 34 jeunes hommes qui ont été exécutés lors de ces journées dramatiques. Après leurs crimes atroces, les meurtriers dissimulent les corps des victimes sous trois épaisseurs de planches et interdisent l'accès à cette partie de la route, de sorte que personne dans le village, excepté plus tard Léon Praile qui témoignera, ne soupçonne quoi que ce soit. Vraisemblablement, il s'agissait d'un détachement de la Gestapo, section du S.D. (Sicherheitsdienst), envoyé probablement par Himmler avec les troupes d'invasion de von Rundstedt, et qui avaient pour mission « de dépister et d'exécuter les membres des mouvements de résistance ». Les membres des cette "Compagnie spéciale d'Himmler" n'étaient pas tous des Allemands. Certains étaient étrangers à tous les officiers de la Wermacht qui logeaient au village et les témoignages parlent d'un Niçois, d'un Breton, d'un Suisse... Ces étrangers s'exprimaient en français et sans accent, et certains ne comprenaient même pas l'allemand. Cette "Compagnie spéciale d'Himmler" avait pour mission de tuer trente villageois à Bande pour venger la mort des trois Allemands en septembre 1944.Le 11 janvier, une patrouille de paras du 1st Canadian Parachute Battalion, accompagnée par des paras belges SAS, quitte Marche-en-Famenne, entre dans le village de Bande et découvre avec horreur les corps des 34 civils abattus d'une balle dans la nuque. Le plus jeune avait à peine 17 ans. Quelques jours plus tard, le commandant du 9th Battalion Parachute Regiment de la 6th Airborne décidait d'assurer une inhumation décente aux malheureuses victimes et de leur rendre les honneurs. Voici les noms des victimes du massacre: André BOURGEOIS, Domia DACO, Jean de GARDE, Joseph DUCHÈNE, Octave DUCHÈNE, Fernand GIRS, Georges GIRS, André GOUVERNEUR, Florent GUISSART, Victor GUISSART, Roger HARDY, Joseph HENKINET, Gaston LAMBERT, Herman LAMBERT, Lucien LAMBERT, André LASSANCE, Fernand LASSANCE, Alphonse LEROY, Fernand MAGONETTE, Edmond MAÎTREJEAN, Georges MALEMPRÉ, Raymond MALEMPRÉ, Albert MARCHAL, Richard MARÉE, René MATAGNE, Armand MICHEL, Clément MULLER, Jules NOËL, Joseph PARMENTIER, Louis PETRON, Joseph PONCIN, Paul SMITZ, Xavier TOURNAY, Albert VOLVERT.Un Monument, intitulé "Souviens-toi", dédié aux victimes des deux guerres mondiales a aussi été érigé au cœur du village. Sources:- DELFOSSE A., BASYN J., GAUX P. et al., COMMISSION DES CRIMES DE GUERRE (ROYAUME DE BELGIQUE, MINISTERE DE LA JUSTICE), Les crimes de guerre commis pendant la contre-offensive de von Rundstedt dans les Ardennes. Décembre 1944-janvier 1945. Bande, Bruxelles, 1945.- Guy Blockmans- [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Mathieu Longue, Massacres en Ardenne. Hiver 1944-1945, Racine, Bruxelles, 2006, p. 77-82- Commission des Crimes de Guerre, Les Crimes de Guerre commis pendant la contre-offensive de von Rundstedt dans les Ardennes Décembre 1944 - Janvier 1945. - BANDE, Georges Thone, Liège, 1950.
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Sujet: Re: Le massacre de Bande Mer Sep 27 2023, 19:01
Merci mon René .
Encore un article super , digne de toi .
Ahhhh les belles Ardennes , Françaises et Belges .
Je connais particulièrement cette région , qui a été ma terre d'accueil a mon retour de Thaïlande .
Une région ou les Allemands sont passés 3 fois .
Une région riche en histoire .
Je connais ce lieu en Belgique donc je vais en mettre une petite couche de plus .
Belgique / Histoire
À la fin de l'occupation, des membres de l'Armée secrète se cachèrent dans les bois entourant le village de Bande.
Le 5 septembre 1944, le jour de la libération, trois soldats de la Wehrmacht perdirent la vie au cours d’une brève bagarre avec le mouvement de résistance.
Des représailles sanglantes suivirent immédiatement, mais le pire était encore à venir.
Les habitants de Bande pensaient s’être débarrassés des troupes allemandes.
Mais le 22 décembre, elles sont revenues en force.
Les habitants de Bastogne, dont huit élèves du Petit Séminaire, se réfugièrent dans le village, espérant y être en sécurité.
Un commando SD chargé de sécuriser l'arrière, suivi le groupe d'armées régulières.
Cette unité, dirigée par le Major Franz Lang, ancien chef de la Feldgendarmerie de Marche, était également composée de francophones de France et de Suisse.
Major Franz Lang
Elles furent poussées par une soif de vengeance.
À la recherche des maquisards ayant pris part à la lutte en septembre, l'unité intercepta 70 hommes du village.
Mais aucun d’eux n’était parmi eux.
Après des interrogatoires difficiles à la scierie de Rulkin, les hommes âgés de plus de 35 ans furent relâchés.
Il ne restait plus que 33 jeunes de 17 à 32 ans.
Dépouillés de tout ce qu’ils possédaient, ils se rendirent compte du sort qui les attendait.
Trois élèves du Petit Séminaire furent parmi eux.
Emmenés dans une cave voisine, ils furent, un par un, abattus d’une balle dans la nuque le 24 décembre.
Le lendemain, le nombre de morts s’alourdit avec deux autres victimes de Roy, un village voisin.
Deux jours plus tard, deux autres victimes furent tuées à Hodister.
Seul le jeune Léon Praile (21 ans) se rebella, repoussa sa garde et réussit à s’échapper dans les fourrés enneigés.
Léon Praile
Il fut le seul survivant et resta caché jusqu'au départ des troupes allemandes le 11 janvier.
Le 12 janvier 1945, la région fut libérée par les soldats du 9ème bataillon de parachutistes anglo-canadiens.
Aidés de Léon, ils découvrirent les corps des victimes vaguement cachés sous un tas de planches dans la cave fatale.
Des funérailles collectives furent organisées le 18 janvier 1945.
Les victimes d’Hodister ne furent découvertes que deux mois plus tard.
Le 6 juin 1948, un monument commémoratif fut inauguré dans la Cave des Fusillés de Bande, à côté de la route N4 reliant Marche-en-Famenne à la barrière de Champlon.
Monument commémoratif inauguré dans la Cave des Fusillés de Bande
Le village porte les lourdes marques du passage des troupes allemandes
Un lien concernant qq lieux de massacres Nazi en Belgique :
Mais aussi par des troupes spéciales, comme celles du Sicherheitsdienst (SD), œuvrant en marge de l’armée régulière et composées notamment de collaborateurs français , belges et suisses ..
Des « gens qui avaient leurs raisons », dirait le ministre belge de l’Intérieur, Jan Jambon.
Symbole du SD cousu sur la partie inférieure de la manche gauche des uniformes SS.
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
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Sujet: Re: Le massacre de Bande Jeu Sep 28 2023, 08:55
Merci JP,
Dans mon autre vie de "Chevalier des routes" de l'Europe, Bande était une ville étape pour me restaurer et passer les nuits avant de poursuivre ma route dans un sens ou dans l'autre.
C'était dans un bar situé juste à coté de cette "cave" que j'avais acheté le livre qui fait le récit de ce massacre que j'avais évoqué plus haut, et à chaque fois que je passais à Bande, j'avais une pensée de tristesse pour ces lieus, de même, dans la traversée de Bastogne, j'avais le même sentiment, sur la N4 à l'entrée de Bastogne marqué par des tourelles de char sur les bas coté....
Oui, la Belgique c'est un beau pays aux gens sympa et chaleureux, mais attention.... Une fois, c'est le cas de la dire "une fois" passez la ligne proche d'Anvers, les Belges deviennent un peu C... à l'image des Hollandais !
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Sujet: Re: Le massacre de Bande Jeu Sep 28 2023, 20:01
Pétard , comme tu as raison .
La Belgique Wallonne est une région extraordinaire , mais les Flandres , quelle bande de Connards .
Je me souviens a Bruges , avec mon épouse , j'ai passé la totalité du repas a parler en Anglais avec le serveur .
Au café , changement d'équipe , une jeune femme parlant le Français .
Qui me confirme que ce con de loufiat , parlait le Français comme toi et moi .
Donc , je passe le bonjour aux Flamands , enfin presque tous , il y a des bons tout de même .
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
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Sujet: Re: Le massacre de Bande Ven Sep 29 2023, 07:52
J'en aurais encore des anecdotes à raconter sur la Belgique et la Hollande mais nous serions HS. Désolé.