NOUS N’AVONS PAS DE LEÇONS D’ANTIRACISME À RECEVOIR !
Citation de Martin Luther King sur l'indifférence des gens |
A peine rentré de voyage, avant-hier, je réalise que j’ai raté un anniversaire, un évènement suffisamment important pour que le ministère de l’Éducation dite « nationale » (on se demande bien pourquoi ?) se croit obligé de l’honorer. Je veux parler du fameux discours prononcé le 28 août 1963 par le pasteur Martin King qui commençait par « I have a dream ». Si mes informations sont bonnes, il semble que cette initiative soit due à Pap Ndiaye, l’éphémère ministre racialiste qui a succédé à Blanquer et qui vient d’être remplacé par Gabriel Attal, ce jeune inverti coqueluche de Macron, qui a fait récemment une déclaration « fracassante et courageuse », nous dit la presse servile, contre le port de l’abaya à l’école. Ce genre d’envolée ne sert strictement à rien et ne changera rien car vouloir interdire le voile dans les établissements scolaires est… inapplicable, mais à l’approche des élections européennes, ça permettra peut-être au pouvoir de glaner quelques suffrages au sein de la « droite-cachemire » et/ou de la « gauche-caviar ». Ce genre d’enfumage, ça fonctionne assez bien.
A mon (modeste) niveau, je m’inquiète et je dénonce la montée de l’islam conquérant depuis 50 ans. A cette époque lointaine, la plupart des gens qui, aujourd’hui, m’expliquent l’imminence du danger, étaient soit de gauche, soit tièdes ou neutres. Les uns comme les autres me trouvaient trop excessif et me traitaient de « facho ». Des années plus tard, je continue à penser que la dépravation, le délitement des mœurs de l’Occident fait le jeu d’un Islam qui se prétend plus rigoriste. Je voudrais que les imbéciles ou les naïfs qui commencent (enfin !) à se préoccuper de l’immigration-invasion que nous subissons se posent la question de savoir à qui profite le crime ? Car qu’ils le veuillent ou non, le « grand remplacement » n’est pas un fantasme de l’extrême-droite ! Mais ceci mériterait un long développement. Ce n’est pas l’objet de cet article. Revenons donc au discours du pasteur King.
Pour nous convaincre des bienfaits du « vivre ensemble », de la « diversité », de la lutte contre toute forme de racisme et de discriminations, etc…etc…le ministère deI have a dream » : polémique après un hommage à Martin Luther King, le ministère de l'Éducation retire une vidéo - Le Parisien l’Éducation a fait réaliser une courte vidéo niaiseuse dans laquelle des ados décrivent leur rêve pour une vie meilleure. Il va sans dire que ces rêves vont tous dans le même sens : moins de racisme, plus de justice sociale, plus d’égalité raciale et bien sûr, plus d’écologie pour sauver la planète. On me dit que les jeunes qui se sont exprimés ont été choisis pour leur capacité à parler…anglais, langue dans laquelle aime s’exprimer l’avorton présidentiel (lors du sommet sur le « Francophonie »).
Ce petit film aurait dû satisfaire pleinement la bienpensance mais, en fait, il a provoqué un véritable scandale. Figurez-vous que les jeunes invités à bafouiller, dans la langue de Shakespeare, la bouillie de chat qu’on leur fait ingurgiter à longueur d’année, étaient TOUS blancs ; pas un basané, pas un Black, pas un Maghrébin. Pap Ndaye serait-il un odieux raciste qui cache son jeu ?
Non la vérité est plus simple : ces jeunes ados auraient été désignés à la suite d’une sorte de concours d’expression orale en anglais. S’ils sont tous blancs, ils le doivent à leur niveau (1) et non à leur couleur de peau. Si la sélection avait été faite parmi les « décrocheurs », il ne fait aucun doute que le panel aurait été plus bigarré et cosmopolite ; un vrai reflet de la « diversité » à la française.
Permettez-moi de me gausser, de m’esbaudir, de me taper sur les cuisses, de rire « à gorge d’employé » comme dit Alexandre-Benoît Bérurier, le fidèle adjoint du commissaire San-Antonio.
Pap Ndiaye passe du rôle de pompier-pyromane à celui d’arroseur-arrosé, je me marre !
Plus sérieusement, j’en ai marre qu’on aille prendre de leçons d’antiracisme, qu’on choisisse nos modèles voire nos héros, chez les Américains, ce peuple ô combien raciste. Et qu’on idéalise, qu’on encense ou qu’on porte aux nues des citoyens noirs américains plus ou moins violents comme Angela Davis, Rosa Parks, Malcom X, ou même Martin King qui passe pour un homme de paix.
Je me souviens d’un sketch de Roger Pierre et Jean-Marc Thibault, dans les années 60, sur la guerre de Sécession. L’un des deux, déguisé en soldat sudiste, disait à l’autre : « Nous les Sudistes, si on avait été plus nombreux, on vous aurait foutu la pâtée… ».
La polémique autour du drapeau confédéré | ShareAmericaOui mais voilà : le Sud – l’Armée des Confédérés – a perdu après la reddition du général Lee au général Grant, à Appomattox, le 9 avril 1865. Outre un nombre indéterminé de victimes civiles, cette guerre fratricide a tué 620 000 soldats – 360 000 Nordistes et 260 000 Sudistes – ce qui en fait, à ce jour, la guerre la plus meurtrière sur le sol américain. Elle mit fin à l’esclavage, restaura l’Union et renforça le rôle du gouvernement fédéral. Les conséquences économiques, politiques et surtout sociales de cette guerre continuent à influer la pensée américaine contemporaine. Tant celle des Démocrates que des Républicains. Cette guerre a un caractère original, et ce, pour deux raisons :
Elle est considérée comme la première guerre « moderne » car l’importance de l’économie et de l’industrie y joua un rôle déterminant. Ce fut également la première guerre « idéologique » car on a présenté l’affrontement entre le Sud et le Nord comme motivé par la seule question de l’esclavage (ce qui n’est pas exact : 10 à 20% seulement des planteurs sudistes possédaient des esclaves).
Mais, depuis la guerre de Sécession qui a traumatisé tout un peuple, les Américains ont pris la très sale habitude d’aller faire la guerre chez les autres, à coup de Napalm, de défoliant (2) ou de bombes incendiaires – comme à Dresde – ou atomiques – comme à Hiroshima et Nagasaki (3).
Disons que deux constats expliquent, en partie, qu’ils en soient arrivés là !
Le premier, c’est que, depuis la guerre de Sécession (et même avant sans doute !) les USA sont un pays éminemment raciste : les Nordistes n’aiment pas les Sudistes ; les Blancs n’aiment pas les Noirs lesquels détestent les Blancs. Depuis un demi-siècle, la montée en puissance des minorités n’a fait qu’accroitre les tensions entre communautés. Les Américains blancs prennent conscience que dans quelques années les Noirs seront majoritaires dans le pays et qu’ils y feront la loi, leur loi.
L’Amérique profonde – cette Amérique des petits blancs déclassés – a bien compris que les Démocrates sont les « idiots utiles » de la communauté noire et qu’ils attisent la haine des Noirs à l’égard des Blancs. Depuis les émeutes de Watts (un quartier noir de Los Angeles) du 11 au 17 août 1965, les émeutes raciales sont un phénomène récurrent aux USA…
Avant d’aller plus loin, faisons une digression à partir d’une information qui est peu sujette à caution puisqu’elle émane du très démocrate « Washington Post » : ce journal a fait une comptabilité des victimes de la police de 2015 à 2020 (4). Or, durant cette période, la police a tué 1 262 Noirs afro-américains et…2 412 Blancs. Les tués hispano-américains sont au nombre de 887. On ne sait pas combien de tués sont à mettre au compte de policiers noirs ? On sait, en revanche, que 50 à 60 policiers sont tués chaque année en service et qu’ils le sont à plus de 80% par des Noirs.
La mort de George Floyd (5), le 25 mai 2020 à Minneapolis, était une « bavure » policière inexcusable, mais était-ce une raison pour mettre toutes les grandes villes des USA à feu et à sang ? En fait-on autant quand un policier noir tue un Blanc, un autre Noir, ou un Hispano ?
B. Le second constat, c’est que pour la puissante Amérique, il n’y a que deux sortes d’êtres humains : l’Américain pur sucre, dont la vie est sacrée, et…tous les autres : Indiens, « Bougnoules », Blacks, « Niakoués », Latinos etc…etc…qu’on peut bombarder, gazer, mitrailler et même affamer.
On pourrait, sans exagérer, y rajouter l’Européen qui n’a d’intérêt que pour le business.
Le Patriotisme américain est bien réel mais il n’a rien de commun avec la Nationalisme de Barrès. L’Amérique moderne ne connaît que la force et n’adule que le dieu-dollar ; c’est pour ça – entre autres – qu’elle perd toutes ses guerres. Et, sans s’en rendre compte, elle est en train de perdre la guerre raciale. Habituée à semer la zizanie chez les autres, elle a laissé les lobbies (LGBT, blacks, féministes etc…), tous de gauche, faire la pluie et le beau temps sur son sol.
Une simple « bavure » policière – certes regrettable – a suffi à enflammer tout le pays.
Mort de George Floyd : que signifie le genou à terre des manifestants ?
Il était pathétique, grotesque, pitoyable, de voir des flics (ou pire, des militaires) obèses et armés comme des cuirassés, mettre un genou à terre pour faire allégeance et (tenter de) calmer des casseurs noirs – souvent aussi obèses qu’eux – alors que dans n’importe quelle démocratie digne de ce nom, il appartient aux Forces de police de rétablir l’ordre, par la force si nécessaire.
Ce genou à terre, c’était une capitulation, une reddition sans honneur, une soumission aux minorités agressives et au « politiquement correct ». Quand on accepte de passer sous les Fourches Caudines de l’adversaire, il ne reste plus qu’une étape plus humiliante à franchir : le pantalon sur les talons (et le tube de Vaseline à la main pour les plus douillets).
Un quidam auquel je tenais ce raisonnement m’a répondu : « Il vaut toujours mieux essayer les solutions pacifiques, comme l’a fait Luther King autrefois ». Cette déclaration est stupide quand on connaît les dessous de l’histoire du révérend Martin King, cette icône américaine devenue un monument, une référence mondiale, le chantre du pacifisme et de l’antiracisme, car ce type était loin d’être un saint homme non-violent, c’était même le contraire :
« I have a dream » c’est le nom donné au discours prononcé le 28 août 1963 par le pasteur King (qui se faisait appeler Luther King), à Washington, devant 250 000 manifestants. Il réclamait la fin du racisme aux États-Unis et revendiquait l’égalité des droits civiques entre Noirs et Blancs.
Ce discours est, depuis, considéré par la bienpensance – celle qui idéalise Che Guevara, Fidel Castro, Thomas Sankara, Angela Davis et quelques autres – comme « l’un des discours les plus importants du 20ème siècle »[], excusez du peu !
Le pasteur King est mort assassiné le 4 avril 1968 à Memphis (Tennessee). Les pacifistes, les antiracistes et les gauches en général en ont fait un martyr opposé à toutes formes de violences.
Mais la réalité historique a démontré que, derrière cette icône de l’antiracisme, se cachait un dépravé, alcoolique, amateur de prostituées blanches – qu’il battait régulièrement – en plus d’être sous la tutelle de Communistes (contrôlés directement par Moscou). C’est précisément en raison de ses vices que l’URSS s’appuyait sur lui pour agiter les minorités noires et déstabiliser, par la même occasion, le gouvernement américain. Ce type était en fait un sulfureux pornocrate doublé d’une crapule stalinienne. A des années-lumière des préceptes qu’ilundefined aimait à prêcher, ses activités et fréquentations louches allaient écailler son aura et titiller la curiosité du FBI, dont l’un des chefs était à l’époque un certain William C. Sullivan, qui se qualifiait lui-même de « libéral ». Il avouait « avoir une certaine sympathie pour King, qu’il voyait comme parfait leader des Noirs en quête de droits civiques ». Ensuite, il découvrit que le charismatique prêcheur, si vénéré pour sa droiture, détournait sans vergogne de fortes sommes destinées à la communauté noire, les utilisant de surcroît, à des fins peu honorables.
Il dira de lui : « King est l’une des rares personnes complètement dégénérées que j’ai rencontrées… Il s’est aliéné l’affection de nombreuses femmes mariées et en a séduit d’autres, faisant aussi conduire à son hôtel nombre de prostituées, souvent deux à la fois, pour des parties qui pouvaient durer plusieurs jours… King passa sa dernière nuit avec deux prostituées blanches et d’une autre, battue et abusée, dans une chambre du motel Lorraine, à Memphis (Tennessee)… ».
Luther King a également été l’ « idiot utile » de l’URSS : dès les années 20, les intellectuels proches du Parti Communiste des États-Unis (PCUS), appuyaient les revendications des minorités raciales. Pour être exact, ils les organisaient. Luther King était entouré de conseillers presque tous communistes. C’était le cas de son secrétaire, Stanley Levinson, qui recevait des fonds d’URSS via un autre Communiste, Isidore Needleman. Ce dernier était un agent du KGB qui travaillait pour une compagnie achetant des biens de production américains pour l’exportation vers la Russie soviétique.
Luther King, totalement corrompu et amateur de putains blanches, accepta de nommer à de nombreux postes de son organisation des membres du PCUS, moyennant finances bien sûr !
Bref, Martin Luther King n’était qu’un pantin aux mains de l’URSS…
Obsédé sexuel et agitateur procommuniste : deux bonnes raisons pour que la gauche en fasse une icône. De surcroît, il était noir et luttait contre le pouvoir blanc.
Quand on connait ses vices, on reste perplexe à la lecture de son fameux discours « I have a dream ». Quand il dit, par exemple : « Je rêve qu’un jour, même en Alabama, avec ses abominables racistes, …un jour les petits garçons noirs et les petites filles blanches pourront se donner la main, comme frères et sœurs… ». Ce prédicateur vicelard aimait s’enfermer avec des putains blanches et les violenter pendant des heures : on est loin, très loin, des relations amicales qu’il prônait entre « petits garçons noirs » et « petites filles blanches ». On est loin, également, de l’image non-violente qu’on essaie de nous vendre depuis plus d’un demi-siècle.
Décidément, les gauches – « caviar » ou extrême – et tous les moralisateurs, parangons de vertu et donneurs de leçons, ont un art consommé pour porter aux nues, idéaliser, aduler, glorifier et idolâtrer des planches pourries. En fait, ils aiment les gens qui leur ressemblent !
Pour ma part, je reste convaincu que la France n’est pas un pays raciste. Car si c’était le cas, il faudrait que les populations de nos ex-colonies (ou d’ailleurs) soient sacrément masochistes pour venir aussi massivement chez nous. Alors, de grâce, arrêtons de nous laisser insulter et culpabiliser par des gens qui nous doivent tout et par les « collabos » qui leur servent la soupe.
Nous n’avons pas de leçons d’antiracisme à recevoir de gens qui, ne supportant plus la race blanche, entende la remplacer le plus rapidement possible. Et nous n’avons surtout pas de leçons à recevoir des Américains qui, je le répète, sont un pays raciste.
J’ai commencé cet article par une citation de Luther King : « Ce qui m’effraie, ce n’est pas l’oppression des méchants ; c’est l’indifférence des bons… ». Pour une fois, je suis d’accord avec lui… à une lettre près : « l’indifférence des bons », oui, mais avec un « B » comme…crocodile.
Éric de Verdelhan
02/09/2023
1)- Leur niveau en anglais car, s’il avait fallu les choisir en fonction de leur niveau dans tous les domaines, nous aurions sans doute vu apparaître des asiatiques.
2)- Le fameux « agent orange » qui faisait encore des ravages 30 ans après la fin de la guerre.
3)- 300 000 victimes civiles environ. Sans parler des retombées et séquelles tardives.
4)- Article publié lors de l’affaire George Floyd.
5)- George Floyd avait eu des problèmes de drogue et, en 2009, il avait été condamné à cinq ans de prison pour un braquage à main armée, ce n’était donc pas un enfant de chœur.