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 Que fait la droite nationale ?

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Commandoair40
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Commandoair40


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MessageSujet: Que fait la droite nationale ?   Que fait la droite nationale ? Icon_minitimeJeu Fév 09 2023, 20:04

Que fait la droite nationale ?

Le président Zelensky fait une tournée de ses fournisseurs d'armes à Londres puis à Paris où il a rencontré Emmanuel Macron et Sholtz.

Il use et abuse de la naïveté des Nations vassalisées par les États-Unis, obsédés par la nécessité d'écraser la Russie jusqu'à une défaite totale. Hélas, nous n'aurons jamais une paix d'équilibre dans ces conditions, parce que la Russie patriotique et dotée de l'arme nucléaire ne capitulera jamais. Nous aurons en revanche la guerre sans limites et le feu. Cette dictature de la communication et de l'émotion est la marque d'une folie de la grandeur qui ne peut que conduire l'Union européenne au suicide collectif. Je suis désespéré de voir mon pays devenu le petit caporal des américains et le serviteur obligé d'un pays corrompu. Et je ne comprends plus tout ces dirigeants qui ne se battent pas ... pour une paix d'équilibre plus que jamais urgente. Arrêtons de confondre l'intérêt français avec ceux de l'Ukraine !... » (Yann Bizien).

Dans un article récent, évoquant le 6 février 1934, j’ai repris la citation célèbre du socialiste Guy Mollet qui disait que « la droite française est la plus bête du monde ». C’est triste à dire mais il n’avait pas tout à fait tort. Depuis que Macron est au pouvoir, tout se délite dans notre pays. Je n’irai pas jusqu’à dire qu’il est le seul responsable de la déliquescence du pays, mais, en marionnette du Forum de Davos, il aura été, depuis 2017, un formidable accélérateur de notre décadence, certes déjà bien entamée depuis au moins un demi-siècle.

Actuellement en France, plus rien ne fonctionne normalement, l’inflation galope, les prix des produits flambent, faire le plein de sa voiture est devenu un luxe, se chauffer également, mais les Français - de droite comme de gauche - ne semblent préoccupés que par l’âge de la retraite.

Le terrorisme imposé par les écolos, le « bordel » des gauchistes de la Nupes à l’Assemblée Nationale ou le risque de voir Biden et Von der Leyen nous entrainer vers une 3ème Guerre Mondiale ne semblent émouvoir personne. Ce pays n’a plus d’âme, plus de valeurs morales, plus de tripes, plus d’idéal (en dehors des loisirs et des 35h). Et j’en viens à me demander où est passée la droite ?

Avec le maintien de la retraite à 60 ans, Marine Le Pen a trouvé LA mesure démagogique qui la mettra en pole-position pour 2027, mais nous vivons des heures qui me semblent beaucoup plus importantes, plus préoccupantes, que de savoir à quel âge les gens pourront prendre leur retraite.

Le projet porté par madame Borne est filandreux, mal conçu, mal expliqué et il mérite d’être contesté ou combattu, mais je suis un peu surpris, un peu estomaqué, de voir des gens qui voulaient rétablir l’âge de la retraite à 65 ans avec François Fillon, s’indigner qu’on veuille le porter à 64 ans.

Je m’attendais, naïvement sans doute, à ce que la droite nationale monte au créneau pour défendre la neutralité de la France dans le conflit ukrainien, mais, en dehors de Philippot, Poisson et Dupont-Aignan, tout le monde a adopté un profil bas. Il est mal venu de critiquer ou de contester l’avis des « va-t-en-guerre » lesquels ne risqueront pas leur peau si le conflit dérape. On entretient le Français dans un climat de « drôle de guerre ». Chaque semaine, on lui annonce de nouvelles sanctions contre la Russie et l’envoi d’armements à l’Ukraine.

Des chars lourds, bientôt des avions !

Ceci se fait de façon non-démocratique, sur le dos du peuple français (ou dans son dos), sans son aval mais avec son argent. Et on l’invite à approuver ce dangereux gâchis sous peine de se faire traiter de lâche, de traître ou de « poutinolâtre », qui devient l’injure suprême.

« Français vous avez la mémoire courte ! » disait le Maréchal Pétain dans une allocution de juillet 1941. A l’époque, le pays semblait avoir oublié les rodomontades du généralissime Gamelin en 1939 : « nous vaincrons parce que nous sommes les plus forts », et la mémorable déculottée de nos armées en juin 1940. Nous avions mobilisé 5 millions d’hommes, presque 100 000 étaient morts, 300 000 étaient blessés et...1, 9 million croupissait dans les « Oflags » ou les « Stalags » allemands.

Quant aux Français des générations suivantes, on leur a fait croire que la France avait gagné la guerre toute seule : De Gaulle ayant bouté le Teuton hors de France à coup de croix de Lorraine, aidé par une résistance nombreuse et exclusivement gaullo-communiste (1).

Emmanuel Macron est en train de réaliser - avec brio - le vieux rêve de Giscard d’Estaing: un parti « d’extrême-centre » qui n’est là que pour nous conduire à un gouvernement européen.

Il reste bien une opposition écolo-gaucho dans ce pays. Elle éructe, elle parle fort, elle braille mais elle n’est jamais que l’Auguste, le faire valoir, du Clown blanc Macron.

Alors que la guerre en Ukraine, les sanctions contre la Russie et l’armement livré à Zelansky mériteraient un référendum, ou au moins un débat au Parlement, la droite nationale se fait discrète. On a l’impression qu’elle marche sur des œufs. En fait elle est malade, elle craint la « diabolisation » et elle se convainc qu’elle appartient au camp des perdants, ou, si vous préférez, au camp du mal.

Elle traine ça comme un boulet depuis la dernière guerre. Elle a pourtant fourni de grands résistants : Honoré d’Estienne d’Orves, le colonel Remy, Pierre de Bénouville, etc... Et plusieurs figures de gauche furent des responsables de la Collaboration – dont le socialiste Pierre Laval, Marcel Déat, Jacques Doriot –.

Pourtant l'inconscient de la droite est resté entaché par Vichy. Depuis, elle rase les murs, cultive une tendance mortifère à s'auto-flageller et accepte qu’on l’accuse de crimes qu’elle n’a pas commis. Elle n’oublie pas la triste fin de la guerre ; cette période honteuse appelée « l’épuration ». La France d’alors, libérée par les Américains, était aux mains des gaullo-communistes.

Les épurateurs, souvent résistants tardifs, jugeaient les collabos (ou présumés tels). On fusillait à tour de bras, souvent sans jugement. Les prisons étaient pleines, on frappait d’ « indignité nationale » (avec confiscation de leurs biens) ceux qui avaient fait des affaires avec l’occupant. On tondait les femmes coupables de « collaboration horizontale », qu’elles soient putains ou simplement amoureuses. Au tout début des « trente glorieuses », la droite nationale semblait bien morte.

Ceux qui avaient fait une guerre honorable - et Dieu sait s’ils étaient nombreux ! - étaient déjà les cocus de l’après-guerre ; on les assimilait aux collabos voire aux Nazis.

Il y a eu, depuis, des soubresauts qui ont éveillé quelques espoirs :


En 1953, Pierre Poujade crée l’UDCA (Union de Défense des Commerçants et Artisans) pour défendre les petits commerçants contre le fisc et les charges trop élevées. L'UDCA, qui compte jusqu'à 450 000 cotisants, devient un parti, et décide de présenter sa propre liste aux élections législatives de 1956 avec un slogan qui fera son chemin: « Sortez les sortants ! ». Après une campagne musclée, l’UDCA obtient 11,6% des suffrages (2,4 millions de voix) et 52 députés, un vrai raz-de-marée populiste ! Mais comme il faut 50 députés pour constituer un groupe parlementaire, le système s’empresse d’invalider 11 des nouveaux élus, ce qui limite l’UDCA à 41 députés. Parmi ces nouveaux élus, il y avait un sous- lieutenant para d’Indochine, un certain Jean-Marie Le Pen, plus jeune député de France à 26 ans, et celui qui deviendra, beaucoup plus tard, un de mes amis intimes, Marcel Bouyer, le fondateur du réseau « Résurrection Patrie » de l’OAS-Métro(2).

Hélas, c’est le retour aux affaires de l’« Ermite de Colombey », présenté comme le sauveur de l’Algérie française, qui sonnera le glas de l’UDCA. La guerre d’Algérie, gagnée militairement, aura une fin tragique : De Gaulle a choisi, avec les funestes Accords d’Evian, de brader cette belle terre française au FLN. A partir du putsch manqué d’avril 1961, les prisons françaises se remplissent de héros et de défenseurs de l’Algérie française. Et la droite nationale rase à nouveau les murs, elle a peur qu’on l’assimile aux gens de l’OAS.

En 1964, Jean-Louis Tixier-Vignancour crée les « Comités TV », et nomme Jean-Marie Le Pen secrétaire général. Ce dernier est secondé et aidé par des pointures de la droite nationale : François Brigneau, Roger Holeindre et quelques autres dont on reparlera plus tard.

En 1965, Tixier se présente à l’élection présidentielle contre De Gaulle, mais les Français sont versatiles, ils ont oublié la trahison de l’Algérie, ils vivent de mieux en mieux et se moquent (déjà !) du destin de leur pays. Ils suivent un guide - méprisant mais lucide - qui les traite de veaux.

Tixier-Vignancour arrive en quatrième position avec à peine 5,20% des voix au premier tour.
Passons rapidement sur l’époque d’ « Occident » et d’ « Ordre Nouveau » juste pour rappeler que les leaders d’ « Occident » : Madelin, Longuet, Devedjian, trahiront leurs engagements pour des postes juteux - députés ou ministres - au sein de la droite dite républicaine.

Jamais personne, dans la presse aux ordres, ne rappellera ce meeting où Roger Holeindre, fondateur des « Jeunesses Patriotes et Sociales »(3), chassa, à coup de gifles, deux d’entre eux qui faisaient le salut fasciste en chantant, sur l’air de « l’eau vive » de Guy Béart :

« Ma petite est à Dachau ; elle est dans la chaux vive ».

Plus tard, devenus des notables, ces salopards prendront des airs de vierges effarouchées et oseront taxer Jean-Marie Le Pen et les militants de son parti d’antisémitisme.

La dissolution d’ « Ordre Nouveau » est un coup tordu dont notre camp a l’habitude:

Voulant perturber une réunion publique à la Mutualité, à Paris, le 21 juin 1973 (sur le thème « Halte à l'immigration sauvage », nous dénoncions déjà ça à l’époque), la Ligue Communiste d’Alain Krivine s’est attaquée violemment aux forces de l’ordre. Comme la « Ripoux-blique » ne veut jamais taper sur l’extrême gauche sans taper préalablement sur la droite pour rassurer le bourgeois, « Ordre Nouveau » et la « Ligue Communiste » ont été dissous en même temps, le 28 juin 1973.

À la suite de cette dissolution, une partie des militants ira au « Front National », (d’autres au « Parti des Forces Nouvelles » de Pascal Gauchon), car, en 1972, Jean-Marie Le Pen, Roger Holeindre, François Brigneau et les anciens des « Comités TV » décident de fédérer et d’unir les droites.

Lors des Présidentielles de 1974, la bourgeoisie et les « chevalières armoriées » soutiennent massivement Giscard d’Estaing. Je vote pour Jean-Marie Le Pen qui obtient... 0,75% des voix.

Durant cette période de balbutiement du FN, deux évènements n’émeuvent ni le pouvoir ni la presse : Le 2 novembre 1976, un attentat à la bombe détruit l’appartement de la famille Le Pen. Puis, le 18 mars 1978, entre les deux tours des législatives, François Duprat, numéro deux du FN, meurt dans l'explosion de sa voiture piégée, sur la nationale 182, près de Caudebec-en-Caux. Comme par hasard, aucun de ces deux attentats ne sera élucidé ; étonnant non ? Mais ces deux attentats effrayeront la « droite-cachemire » qui veut bien refaire le mode, mais autour d’une tasse de thé. Elle ose lire « Rivarol » ou « Minute », mais en cachette, comme d’autres lisent d’une main « Lui » ou « playboy » aux toilettes. Elle est déjà résistante puisqu’elle résiste... à l’envie de résister.

Les Législatives du 16 mars 1986 marquent un tournant dans l'histoire de la V° République puisque, pour la première fois, elles se déroulent au scrutin proportionnel. En fait, Mitterrand joue un jeu machiavélique : il veut favoriser l’émergence d’une droite nationale que des associations de gauche, comme « SOS Racisme », se chargent de diaboliser pour fracturer la droite.

Le « Front National-Rassemblement National » (4) fait entrer 35 députés au Palais Bourbon. Avant l’élection il fallait 30 députés pour former un groupe parlementaire. Les partis traditionnels s’entendent pour porter ce chiffre à 50, juste pour museler le FN. Encore un coup tordu !

En 1987, les instituts de sondage (qui sont là pour influencer l’opinion) donnent tous Jean- Marie Le Pen à 18% pour l’élection présidentielle de 1988, presque au même niveau que Jacques Chirac et Raymond Barre, et le système prend peur. Il faut à tous prix l’arrêter !

Le 13 septembre 1987, Le Pen est invité au « Grand Jury » RTL-Le Monde. On lui demande son avis sur le courant révisionniste (ou négationniste) qui conteste l'utilisation par les Nazis de chambres à gaz homicides. Il répond qu’il ne nie pas l’existence des chambres à gaz mais que c’est un « point de détail de l'histoire de la 2ème Guerre mondiale ». La formulation était pour le moins maladroite, mais, surexploitée, elle va provoquer un tsunami et alimenter le tam-tam médiatique pendant des mois. L’indignation – souvent forcée – est à son comble. On évoque, avec des trémolos « les heures les plus sombres de notre histoire », la bête immonde est à nos portes, Le Pen nous prépare la Shoah. Et les tièdes et les ventres mous le fuient par peur d’être taxés d’antisémitisme.

Pour ma part, c’est à cette époque que j’ai compris que la FN n’arriverait jamais au pouvoir.

Malgré ça, Le Pen obtient 14,4% des suffrages au premier tour. Ce score, qui a effrayé le Landerneaupolitique, fera naître
le«front républicain»et le«plafond de verre» contre le FN.

Le 5 novembre 1988, Jean-Pierre Stirbois, secrétaire général du FN, se tue au volant de sa voiture à Jouars-Pontchartrain. Personne ne sera en mesure d’expliquer comment quelqu’un qui ne buvait pas une goutte d’alcool et qui roulait dans une voiture en parfait état, a pu se tuer sur une route qu’il connaissait comme sa poche.

Encore une énigme non résolue !

En 2002, Jean-Marie Le Pen se hisse au second tour de l’élection présidentielle avec 16,8% des voix, devant Lionel Jospin, 16,18%. Et nous assistons à des cris d’orfraie et une pantalonnade grotesque : Le monde politique, intellectuel, médiatique, le show-biz, bref, tous appellent à faire barrage au Fascisme. Jacques Chirac est réélu avec 82,21%, un score de république bananière. Mais la France n’est-elle pas devenue, précisément, une république bananière ?

Cinq ans plus tard, Marine Le Pen se lance dans la course à la présidence.


Elue à la tête du parti, un an plus tôt, avec 67,65% des voix, elle chasse ou fait fuir presque toute la vielle garde du FN, et entame une stratégie de « dédiabolisation ». Elle renie les valeurs qui ont fait le FN et se lance dans une démagogie racoleuse pour attirer les classes populaires.

Cette politique fonctionne plutôt bien :

Dire au vulgum pecus ce qu’il a envie d’entendre s’avère payant.

En 2015, désireuse de se rendre plus fréquentable, elle exclut son père du parti qu’il a fondé et toute la presse applaudit. Marine pense qu’elle a gagné sa place au sein du système.

Son débat lamentable, face à Emmanuel Macron en 2017, ne suffit pas à lui faire prendre conscience de ses limites : elle est loin d’avoir les qualités intellectuelles de son père.

Cinq ans plus tard, dans une France fracturée, Éric Zemmour entre en politique. Il est proche de Jean-Marie Le Pen, mais pas de Marine qu’il considère, à juste titre, comme incompétente.

Il crée « Reconquête ! » et ambitionne de réaliser - enfin ! - l’union des droites.

La campagne d’Eric Zemmour démarre en flèche.

Ce dernier se voit déjà au second tour face à Macron mais il a sous-estimé la capacité de manipulation des médias. Les instituts de sondages l’annoncent à la baisse tandis que Marine Le Pen monte, la presse et TOUS les partis politiques – y compris le RN – le descendent en flamme et le diabolise. Ses prises de position sur la guerre en Ukraine, pourtant claires et courageuses, seront le coup de grâce.

Le soir du 10 avril, les résultats tombent :

Marine Le Pen est qualifiée pour le second tour avec 23,1% des voix. Éric Zemmour finit quatrième avec un score très décevant : 7,07%.

Emmanuel Macron, qui entendait débattre avec Marine le Pen, a eu ce qu’il voulait. Marine Le Pen était (provisoirement) « dédiabolisée » grâce à l’émergence d’un nouveau parti « fasciste », celui du « sulfureux polémiste d’extrême-droite Eric Zemmour, aux thèses controversées » (5).

Aux législatives suivantes, le RN faisait entrer 89 députés à l’Assemblée Nationale. Certains s’en réjouissent. Pour ma part, je salue l’exploit : Marine Le Pen a réussi à intégrer la « bande des quatre » que son père a fustigée pendant des décennies.

Son groupe parlementaire serait en position de force pour demander, pour exiger, que les Français soient consultés sur le risque de voir le conflit en Ukraine dégénérer en Guerre Mondiale.

En réalité, Marine a découvert les vertus du « et en même temps ». En novembre 2022, elle demandait qu’on arrête les sanctions contre la Russie, puis elle clamait son soutien à Zelensky, et puis dans la foulée, elle demandait une « grande conférence sur la paix », conférence qui « passerait avant tout par un retrait total des troupes russes d’Ukraine », c’est du grand n’importe quoi !

Personnellement, je voudrais bien qu’on demande aux Français s’ils sont disposés à manquer de tout pour complaire à Biden et Ursula Von der Leyen.

Ou s’ils sont prêts, demain, à risquer leur vie dans un conflit qui ne devrait pas les concerner.

Eric de Verdelhan.


1)- J’ai développé le sujet dans « Mythes et Légendes du Maquis » Editions Muller ; 2018.

2)- Ce qui lui vaudra six longues années de prison à Tulle.

3)- les « Jeunesses Patriotes et Sociales » ont été mon premier engagement politique, en 1969. 4)- Groupe élargi à quelques CNI et indépendants Nationaux comme Michel de Rostolan.

5)- Descriptif tout en nuances d’un torchon de gauche.

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Sicut-Aquila

Que fait la droite nationale ? 908920120 Que fait la droite nationale ? Cocoye10 Que fait la droite nationale ? 908920120

« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage.
La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure.
Être un homme et le demeurer toujours,
Quelles que soient les circonstances,
Ne pas faiblir, ne pas tomber,
Voilà le véritable sens de la vie ».

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Alexderome
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MessageSujet: Re: Que fait la droite nationale ?   Que fait la droite nationale ? Icon_minitimeJeu Fév 09 2023, 20:30

Marine, une girouette politique,  finalement je pense preferer même Philippot.

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« Je ne veux pas me faire ficher, estampiller, enregistrer, ni me faire classer puis déclasser ou numéroter. Ma vie m’appartient ». N°6 Le Prisonnier

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