OPIUM du PEUPLE et GRAND REMPLACEMENT
Quelle que soit leur sensibilité, tous ceux qui se prétendent « de gauche » se réfèrent plus ou moins à Karl Marx et à sa doctrine, méticuleusement définie dans son ouvrage quasi biblique « Le Capital ». Il y dénonce l’exploitation capitaliste « de l’homme par l’homme », la captation de la « plus-value » du travail par les odieux patrons, allant jusqu’à considérer, comme Proudhon, que « la propriété c’est le vol » !
Mais le « marxisme » n’est pas qu’une théorie économique. C’est aussi une philosophie où – entre autres - la religion est considérée comme « l’opium du peuple », ce que ne manquent jamais de rappeler les communistes des temps modernes.
Mais, attention : pas TOUTES les religions !
Il ne s’agit bien entendu QUE du CHRISTIANISME !
Pas des autres, et SURTOUT PAS l’ISLAM !
Vous ne les entendrez JAMAIS critiquer l’islam, encore moins accuser ce dogme d’être à la source de beaucoup de nos maux. Pire : critiquer l’islam est même devenu un délit, presqu’un crime qui peut vous envoyer directement vers la 17ème chambre correctionnelle pour en répondre.
Pourquoi cette exception ? Pourquoi la « gauche » a-t-elle les yeux de Chimène pour l’islam et les musulmans ? On ne supporte plus les fêtes religieuses catholiques, on débaptise Noël et Pâques en « congés d’hiver » et « congés de printemps », on supprime avec délectation toute référence à la tradition religieuse, mais jamais Notre Drame de Paris n’oublie de souhaiter l’Aïd et le Ramadan aux musulmans, en chœur avec tous les islamo-gauchistes comme Jack Lang, président à vie de l’Institut du Monde Arabe…
Pourquoi cette exception ?
Il y a une explication, qui n’a rien à voir avec la piété et la religiosité. Mais plutôt avec l’opportunisme et l’intérêt politique. Regardons de plus près…
Le fonds de commerce de la gauche était jadis fondé sur la défense des « travailleurs », et notamment des ouvriers, classe d'une importance grandissante depuis la révolution industrielle. Défendre les « travailleurs », c’était jouer sur un fonds de commerce majeur.
Mais avec le déclin industriel et le développement des classes moyennes, la classe ouvrière s’est peu à peu « embourgeoisée », et la gauche radicale a progressivement perdu son leadership sur les « prolétaires ».
La « société de consommation » est passée par là. Un lent glissement s’est opéré des communistes vers les socialistes, puis vers le « marais » centriste, faisant fondre le parti communiste comme peau de chagrin. Le comportement d'une partie des autorités ecclésiastiques ayant peaufiné le travail, par connivence coupable avec la gauche radicale.
Puis vint l’IMMIGRATION. Il fallait bien remplacer les autochtones qui s’embourgeoisaient, prenant goût à cette nouvelle société et votant de moins en moins pour une hypothétique révolution et de plus en plus pour les partis dits « réformistes ».
Comble de bonheur, les immigrés, venus en masse des anciens pays colonisés dès le début des Trente Glorieuses, après avoir obtenu (ou conservé) la nationalité française, faisaient venir leurs familles par la grâce du « regroupement familial » giscardo-chiraquien.
Or, qui dit « nationalité française » dit « droit de vote »…
Le tour de passe-passe était joué : la vieille classe ouvrière autochtone déclinante et séduite par la « société de consommation » allait être REMPLACÉE par une nouvelle classe ouvrière IMMIGRÉE, qui allait constituer le nouveau fonds de commerce des communistes et autres anarchistes, dont le but final est de détruire la société, quelle qu’elle soit.
Pour obtenir et conserver le vote de ces nouveaux « travailleurs », il ne fallait surtout pas critiquer leur religion, ni leurs coutumes.
D’un seul coup, la religion n’était plus l’ « opium du peuple », mais le garant du vote de gauche ; ainsi naquit peu à peu l’islamo-gauchisme (symbolisé entre autres par Mélenchon) qui, sous des camouflages humanitaires, est devenu le courant majoritaire aujourd’hui, face au vote patriote, lui-même hélas encore divisé.
C’est aussi cela, le GRAND REMPLACEMENT.
D’où la nécessité urgente de rassembler nos forces, pour mettre un terme à cette dérive majeure et de réaliser l’UNION de la DROITE, afin contrer ce véritable poison qui est en train de tuer la société française, et même européenne.
Vive la République, et surtout... VIVE LA FRANCE !
Marc Le Stahler
14/12/2022