GOUVERNER, C’EST MENTIR
Jadis, gouverner, c’était prévoir. Mais ça, c’est fini.
En Macronie aujourd’hui, gouverner, c’est mentir. Mentir par omission, mentir pour dissimuler ce qu’on n’avait pas prévu, mentir pour cacher ce qu’on fait, ce qu’on va faire, et mentir aussi pour nier les conséquences de ce que l’on a fait.
Mentir, aussi, pour se faire élire et mentir encore pour être réélu.
Et enfin, mentir constamment sur les faits. Les transformer, les travestir, pour les rendre acceptables ou au contraire inacceptables, c’est selon.
Le tout, bien entendu, avec la complicité active de la plupart de médias.
Voici quelques exemples, parmi tant d’autres…
MENSONGE n° 1 : « LA FRANCE A TOUJOURS ÉTÉ UN PAYS D’IMMIGRATION… »
C’est le mensonge fondateur, le mythe de la France « Terre d’asile ». Celui qui accorderait à la France un rôle historique d’accueil. Il y a peu, l’immigration était encore officiellement présentée comme « une chance pour la France ». Il semble que les faits eux-mêmes ont eu raison de cette affirmation. On prétendait, intoxiqués par le « démographe officiel du gouvernement » Hervé Le Bras, que la France avait « toujours été un pays d’immigration ». C’est totalement faux.
Aucun mouvement migratoire significatif ne fut constaté en France entre 650 et 1850.
A partir de l’An 1000, la chrétienté médiévale n’a quasiment plus connu d’invasion. Nomades turcs, Mongols et Berbères ont été stoppés en périphérie.
C’est à la fin du XIX° siècle qu’a commencé l’immigration, intra-européenne.
Il y eut 3 vagues d’immigrations depuis 1850.
=> La première, essentiellement intra-européenne, est liée à la première révolution industrielle (besoin de main d’œuvre).
=> La seconde vague a lieu entre les 2 guerres mondiales. Toujours essentiellement d’origine intra-européenne, elle s’élargit partiellement aux peuples colonisés (Asie, Afrique, Maghreb).
=> Mais c’est surtout à partir de l’après-guerre (reconstruction) et lors de la décolonisation (dans les années 60) que se déclenche la 3ème vague, un plus vaste mouvement immigratoire ayant pour origine majeure l’ex-empire colonial.
Autre type de mensonge : face à l’évidence, gagner du temps en minimisant quantitativement l’immigration. L’interdiction des statistiques ethniques aide évidemment à ce genre de truandage intellectuel.
Officiellement, on compte aujourd’hui 7 millions d’étrangers, soit 10 % de la population totale.
Sachant évidemment que dès qu’un immigré obtient la nationalité française, il n’est plus étranger, ni lui, ni ses descendants. Oser dire de ces derniers qu’ils sont « issus de l’immigration » est déjà s’exposer aux gémonies de la bien-pensance.
On compte environ 100 000 acquisitions de la nationalité française par an, dont 75 000 par naturalisation.
Quant aux clandestins et immigrés en situation irrégulière, ils ne comptent pas, évidemment.
Darmanin les estime à 700 000 ; d’autres, plus sérieusement, à plus d’un million. Rappelons qu’ils sont près de 400 000 à bénéficier de l’AME (coût annuel : 1 milliard d’euros)
MENSONGE n° 2 : « IL N’Y A PAS D’INSÉCURITÉ MAIS UN « SENTIMENT D’INSÉCURITÉ »…
Transformer l’insécurité en « sentiment d’insécurité », c’est placer au niveau affectif ce qui relève du factuel, donc du rationnel. En d’autres termes, c’est prendre les Français pour des petits enfants apeurés qu’il convient de rassurer.
Dupond-Moretti qui, lui, n’a peur de rien, s’est permis de reprendre ce slogan éculé, en ajoutant que le « sentiment d’insécurité relevait d’un fantasme entretenu par les difficultés économiques, certains médias et le discours populiste » (ouf !).
Ce baratin officiel est cependant de moins en moins entendu. Après le carnage du 13 novembre au Bataclan, celui du 14 juillet à Nice, l’assassinat du Père Hamel, l’égorgement de Samuel Paty, et l’ensauvagement général qu’on constate depuis quelques années, il est vrai, hélas, que cette fiction du « sentiment d’insécurité » a pris sérieusement du plomb dans l’aile.
Les Français ont appris récemment la signification du sigle « OQTF » (Obligation de Quitter le Territoire Français). Ils ont appris en même temps que, malgré les engagements de Macron lors du précédent quinquennat de faire exécuter TOUS les OQTF, ils ne sont aujourd’hui que 6 % à être réalisés (contre 12 % en 2018).
L’ennui, c’est qu’une bonne partie des crimes et délits commis sur le territoire sont précisément commis par des étrangers frappés d’OQTF. Mais le simple fait de le dire est déjà considéré comme une attitude raciste et fasciste.
MENSONGE n° 3 : ÉTOUFFER LE RÉEL : LES MOTS MENTEURS. LA SÉMANTIQUE AU SERVICE DU MENSONGE.
Le mensonge par flou sémantique est plus subtil. La langue française se délite, elle est de moins en moins enseignée correctement à l’école. Et simultanément, moins il y a de mots pour s’exprimer correctement, plus ils servent à transmettre autre chose que des idées et encore moins des concepts…
Quant aux mots qui restent, bon nombre servent de vecteur à la colère, à la censure et au mensonge.
Les mots qui tuent…
Il y a des mots assassins, dans la France de 2022. Des mots qui accusent, qui blessent, des mots qui tuent, comme des flèches au curare.
Pour vous faire taire ou vous ridiculiser, on vous accusera d’être « populiste », d’extrême droite, voire fasciste. Pour réduire à néant votre discours, s’il n’est pas dans la « ligne », on prétendra qu’il est « nauséabond », rappelant « les heures les plus sombres de notre histoire ».
On vient d’en voir une démonstration magistrale à propos de l’odieux massacre perpétré par une algérienne en situation irrégulière de la petite Lola. La moindre allusion à son calvaire, et surtout à son bourreau, (qui faisait l’objet d’une OQTF), et vous étes accusé d’indécence, de récupération, d’indignité, d’irrespect envers le deuil de la famille. Ce qui n’a pas empêché Darmanin d’assister aux obsèques…
Le summum a été atteint par l’odieux Karim Zeribi. Comment cet infâme énergumène peut-il continuer de sévir sur CNews ?), lui qui a osé éructer que ce drame avait permis à Eric Zemmour de « réapparaitre dans les médias après son échec électoral » !
Dans le genre, on compte aussi le slogan assassin « la police tue », inventé par le dangereux Mélenchon, slogan qui, par un effet pervers (sans doute voulu par son auteur), incite maintenant les foules des banlieues à se déchainer encore plus violemment contre les forces de l’ordre. Mélenchon, l’inventeur du slogan qui tue !
Les mots censurés…
Il y a aussi les mots interdits par la doxa.
Quand Jean Pierre Chevènement, le premier, avait utilisé en 1999 le terme de « sauvageons » pour qualifier des « jeunes » (en fait, des « voyous ») ayant lancé des cocktails molotov contre des policiers (une nouveauté, à l’époque), certains élus (de gauche, évidemment) avaient alors réclamé sa démission.
Même chose, quand Cazeneuve a réitéré en 2016, ajoutant que ce mot était même devenu un euphémisme !
Peut-on enfin parler de « sauvageons » aujourd’hui sans être mis au pilori ? Ce n’est pas certain…
Sont interdits, de fait, tous les mots liés à la formidable liberté d’expression qui régnait jadis.
Les humoristes ont été les premiers frappés. Pourrait-on imaginer aujourd’hui Coluche évoquant tranquillement un « mec normal, blanc » ? Ne relisez surtout pas un album de Reiser, vous pourriez mal finir !
Le 2ème degré n’existe plus ; pire, la langue devient enfermée dans un carcan. Même les titres de roman sont soumis à la censure de Big Brother ! Agatha Christie n’a plus écrit « Dix Petits Nègres » mais « Ils étaient Dix » !
Évoquer une « personne de couleur » est une atteinte à son intégrité. Il n’y a plus de nains, mais des « personnes de petite taille ». Depuis le fameux « technicien de surface », la langue française a été passée à la moulinette et il ne fait pas bon se moquer des « grosses » si on ne veut pas subir un procès pour « grossophobie ». J’ai même constaté récemment que donner simplement l’origine nationale d’une personne (en l’occurrence une « roumaine ») était fort mal vu chez les jeunes.
Ne parler d’un « musulman » que pour rappeler qu’il pratique une religion de paix et de tolérance. Éviter de le qualifier ainsi s’il est l’auteur d’un délit ou d’un crime, au risque d’en commettre un à votre tour aux yeux des « wokes ».
Évitez surtout le mot « arabe » qui est devenu interdit (mais « juif » passe encore, surtout proféré par un arabe et précédé de « sale »). « Nègre », n’en parlons même pas ! « Noir » commence même à être difficile à caser.
Les mots mensongers qui adoucissent, qui rassurent…
Il y a les mots qui rassurent. Depuis combien d’années entend-on parler « d’incivilités » pour qualifier des comportements qui auraient envoyé jadis devant un juge ceux qui les auraient pratiqués ?
Incivilités… ça a un petit côté tolérant, contestataire, libertaire, résurgent joyeux des monômes de mai 68.
Pas trop grave, quoi, il faut bien que les « jeunes » s’amusent et se détendent !
=> Prendre les transports en commun sans payer ? Incivilité !
=> Mettre les pieds sur la banquette ? Incivilité !
=> Ne pas laisser traverser les piétons ? Incivilité !
=> Cracher par terre (ou pire) sur la voie publique ? Incivilité !
=> Appeler les pompiers dans une embuscade ? Incivilités !
=> Transformer les mariages en cirques urbains à grand renfort de klaxons et d’infractions au code routier ? Incivilités !
Et puis, de fil en aiguille, incivilité de rouler sans permis (c’est tellement cher à obtenir, pauvres « jeunes ») ou sans assurance ; incivilité, de forcer les caisses des supermarchés sans payer (« la vie est chère, il faut bien les comprendre ») ; incivilité de s’approprier les cages d’immeubles pour assurer les trafics de stupéfiants ; incivilité d’aborder en bande une fille dans la rue, la bousculer, l’embrasser de force, lui voler son téléphone ; incivilité de la traiter de tous les noms si par malheur pour elle ne se laisse pas faire (« sale pute » est très à la mode, surtout si elle parait bien élevée)…
En fait, il semble que les incivilités soient la règle des agressions exogènes contre la population indigène. Ce qui permet de dire qu’il y a de moins en moins de délinquance et encore moins de crimes. Sauf quand il devient impossible de les dissimuler, comme le meurtre abominable de la petite Lola.
MENSONGE N° 4 : LE « JURIDISME » AU SERVICE DU MENSONGE
On nous le serine assez : la France est un « pays de droit ». Et la suite, exprimée d’un air compassé, résonne comme une prière, les mains jointes : « Je crois en la Justice de mon pays ». Fort bien. D’autant, rappelons-le, que la Justice est rendue au nom du Peuple Français. Vous en êtes sûr ?
Le seul problème est que ceux qui rendent la Justice ne sont pas élus, mais nommés. Des fonctionnaires, en fait, provenant tous du même moule (l’École Nationale de la Magistrature) dont chacun sait qu’on n’y professe pas franchement une idéologie de droite…
Des juges fonctionnaires qui n’hésitent pas, dès leur entrée en fonction, à interpréter les lois. Ça porte un joli nom : la jurisprudence. On arrive ainsi à des aberrations que n’avaient sans doute pas voulues le législateur.
Comme par exemple l’impossibilité de déloger les squatters. Ou encore l’impossibilité de renvoyer massivement les immigrants irréguliers.
Qu’il s’agisse de la constitution, des lois européennes, du droit pénal etc… nous sommes pris dans un carcan et on oppose « la LOI », les « DECRETS », les « ARRETÉS » et les « RÉGLEMENTS » à toute RÉFORME qui serait pourtant nécessaire à la sécurité du pays.
C’est pourtant le rôle du législateur, de s’emparer des lois devenues inutiles, voire gênantes, inapplicables, et de les changer. Mais non, on préfère les interpréter, dans le confort du prétoire, quitte à les user jusqu’à la corde, qu’elles deviennent inutiles et même souvent qu’elles soient appliquées au détriment de l’intérêt national.
« On ne fait pas justice soi-même », autre slogan dépassé, tant il est évident que l’Etat n’est plus capable depuis longtemps d’assurer la sécurité des personnes, pourtant première fonction régalienne.
Voyez à Roanne, l’affaire récente d’un père, aidé de 3 amis, ayant flanqué une sérieuse leçon au violeur de sa petite fille de 6 ans, quand il se préparait à recommencer. Mais là, les juges se fâchent, on leur pique leur boulot, quoi, c’est intolérable ! Va-t-on un jour retrouver ces messieurs-dames en robe à Pôle Emploi ?
Mis en examen, le père courageux et responsable, que nous soutenons de tout cœur, risque 5 ans de prison.
Ben voyons, comme dirait Éric.
MENSONGE n° 5 : LE MENSONGE NUCLÉAIRE
Un des pires. Organisé par Hollande et Macron pour plaire aux écolos et favoriser leur entrée dans le gouvernement. Dans le mépris total de l’intérêt de la France. Un mensonge qui a entrainé une catastrophe stratégique et financière que les responsables ne payeront jamais…
Depuis de Gaulle, la France avait mis des décennies pour se hisser au top niveau mondial du nucléaire. Pour de bas mobiles électoraux, dans la foulée de Merkel, la gauche et les écolos ont tout fait pour saborder cette industrie qui nous aurait garanti, dans la période actuelle, non seulement l’indépendance énergétique mais aussi des coûts de production compétitifs. Nous aurons perdu les deux !
Les meilleurs (ingénieurs, techniciens, ouvriers) sont partis à l’étranger. Nous fermons des centrales, les maintenances trainent en longueur, nous retardons les projets ; nous avons tout fait pour détruire notre fleuron et nous envisageons de rouvrir cet hiver la centrale charbon de Saint Avold ! Tous les prétextes étaient bons pour tuer l’industrie nucléaire, y compris la sécurité (combien de morts dans les mines de charbon par coups de grisou dans les années 50/60 ?).
Le nucléaire est une énergie propre, il aura fallu la guerre d’Ukraine et les privations de chauffage qui s’annoncent pour le comprendre. Hollande, Macron et les écolos payeront ils cette catastrophe organisée pour de pures raisons idéologiques ?
Par quoi remplacer le nucléaire ? Le solaire ? L’éolien ? Allons donc ! Ces énergies d’appoint sont loin de suffire à nos besoins ! Toujours à la pointe du progrès, les écolos visent aujourd’hui à détruire dans l’œuf le projet d’exploitation des mines de lithium dont, parait-il, la France regorge. Ils vont bientôt prétendre que c’est dangereux et qu’il faut arrêter les recherches « dans l’intérêt de la planète ».
Ah… « Planète » que de crimes contre la France on commet en ton nom !
Pour plus d’informations, relisez les articles de Minurne consacrés au nucléaire en tapant juste « nucléaire » ou n’importe quel mot-clé (Hulot, par exemple !) dans l’onglet de recherche en page d’accueil.
MENSONGE n° 6 : LE MENSONGE RÉCHAUFFISTE
Sur ce point aussi, Minurne s’est positionné depuis longtemps et a publié régulièrement de nombreux articles sérieusement étayés. Il n’est pas question, comme certains voudraient le faire croire, de nier les variations climatiques, mais seulement leur origine anthropique.
Le GIEC, qui n’a qu’une fonction administrative de collecte des informations et documents écrits à ce sujet, sélectionne et choisit ce qui conforte un dogme bien installé et qui n’a parfois aucun fondement sérieux. Ce qui est sérieux en revanche, c’est l’avalanche de réglementations et de taxes qu’on fait subir aux Français (qui ne représentent même plus 1 % de la population mondiale), et qui n’auront aucun effet notable sur le climat, même en considérant que le CO2 soit réellement l’une des principales causes du prétendu réchauffement, ce qui est aussi un mensonge.
Lire à ce sujet, si ce n’est pas fait, l’excellent livre de Christian Gérondeau
MENSONGE N° 7 : LE MENSONGE PAR PROCASTINATION
Pourquoi faire aujourd’hui ce qu’on ne fera pas demain non plus ?
L’uniforme à l’école
Un exemple récent. La querelle enfle sur la tenue scolaire ; elle concerne non seulement les filles (la querelle sur le voile a commencé sous Jospin), mais aussi les garçons, qui prétendent maintenant porter l’abaya (et hop, le mot est passé dans la langue française). Une avancée de plus pour les troupes de l’islam !
Le très contesté ministre de l’Éducation Pap N’Diaye vient de faire semblant d’accepter « un débat sur l’uniforme scolaire obligatoire », ce qui ne serait pas une mauvaise idée pour étouffer dans l’œuf cette forme nouvelle de communautarisme.
Mais voilà le ministre qui propose dans la foulée de créer un « groupe de réflexion », une commission pour réfléchir à la question. Pour l’enterrer, en fait, évidemment, aurait dit Clémenceau.
La « lutte pour le pouvoir d’achat »
La « lutte pour le pouvoir d’achat » est aussi un bon exemple d’énorme mensonge… On ne parle plus que de ça, depuis les campagnes électorales du printemps…
C’est bien joli de distribuer quelques cadeaux opportunistes ici et là…
Mais il n’y a qu’une seule manière d’améliorer le pouvoir d’achat des ménages : mieux gérer l’Etat, afin de réduire les prélèvements obligatoires, charges, taxes et impôts qui pèsent sur les salaires. Sans améliorer la gestion de l’Etat (l’un des plus coûteux au monde), il est rigoureusement impossible d’améliorer durablement le revenu disponible, et donc le pouvoir d’achat !
CONCLUSION
Des mensonges, il y en a encore beaucoup. A croire même que la politique aujourd’hui n’est plus fondé que sur des mensonges. Ceci explique peut-être la désaffection croissante des électeurs, qui préfèrent montrer par l’abstention leur refus de participer à cette mascarade.
Il était impossible de conclure ce long article sans évoquer l’incroyable mensonge planétaire qui touche la planète depuis près de 3 ans, j’ai nommé la pandémie de Covid 19. Parlant de mensonge, il faudrait sans doute y consacrer un article entier, et celui-ci est déjà bien long. C’est donc une incroyable vidéo du Parlement Européen que je soumets à votre appréciation. Regardez, écoutez, vous avez vécu ces années de plomb que les historiens de demain auront à cœur de disséquer. Je le répète : vous les avez vécues.
« Les hommes font l’histoire, disait Raymond Aron, mais ils ne savent pas l’histoire qu’ils font ».
Cette histoire-là, vous l’avez vécue. Vous ne l’oublierez jamais.
Marc Le Stahler
27 octobre 2022