LA GUERRE CIVILE A COMMENCÉ
19 août… Contrôle de police (qu’on aurait jadis qualifié de banal) d’un véhicule volé à Vénissieux… Refus d’obtempérer, tentative d’écraser l’un des 2 policiers. Le passager est mort et le conducteur blessé, suite aux tirs des policiers agressés, lesquels sont inévitablement placés en garde à vue.
Pour le temps qui lui reste à vivre, et selon la formule bien connue, « la France reste un pays de droit ».
Précisons : les 2 passagers sont « défavorablement connus des services de police », autre métaphore convenue pour évoquer un dossier épais comme un annuaire téléphonique. On ne connait pas encore le pedigree exact des voyous, mais on en devine aisément l’essentiel du contenu.
Relativisons : en 2021, 26 320 refus d’obtempérer mais « seulement » 290 tirs, dont 157 pour arrêter un véhicule, soit 0.6 % !
Quand adoptera t’on enfin la présomption de légitime défense pour les policiers en intervention ?
Évidemment, les responsables sont souvent les parents. Mais aussi ceux qui, pour certains, affublés de l’écharpe tricolore, hurlent dans les mégaphones et les micros le slogan vengeur « la police tue ! ». Honteux appel au meurtre et à la subversion, sous la désastreuse et criminelle autorité « morale » d’un leader islamo-gauchiste qui ne supporte pas les blonds aux yeux bleus, protège et défend les islamistes, défile avec eux (son principal fonds de commerce) à l’occasion, reste d’un mutisme assourdissant devant l’odieuse tentative d’assassinat de Salman Rushdie et prétend à l’occasion que l’ « État c’est Lui ».
Notre guerre civile-ethnique française s’exporte, mais ce n’est pas une bonne nouvelle pour notre balance commerciale ! Invités par le « snapchater La Flèche » (je ne connaissais ni ce néologisme ni cet individu - un artiste plein de talent, parait-il -) sur l’île de Santorin en Grèce, quatre jeunes « Français » âgés de 16 à 20 ans ont tabassé un touriste espagnol avant de lui voler son téléphone, laissant leur victime dans un état critique. Le mineur est libéré, les trois adultes ont été incarcérés.
Ce qui serait une information de routine, dans l’Hexagone, prend un air de vitrine à l’exportation.
Selon Alain Bauer, les attaques au couteau en France en explosé ces 3 dernières années (« frappez les au cou », sourate 8, verset 12). Mais on en parle de moins en moins dans la presse nationale, seulement un peu encore dans la presse régionale et locale. Depuis le regretté Samuel Paty, ce ne sont plus des « scoops », mais des images de la violence ordinaire d’une France à l’abandon...
VIVE LA RÉPUBLIQUE, ET SURTOUT :
VIVE LA FRANCE !
Marc Le Stahler
19 août 2022