Génération Identitaire : Leur éventuelle dissolution est-elle légitime ?
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Commandoair40 Admin
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Sujet: Génération Identitaire : Leur éventuelle dissolution est-elle légitime ? Mer Fév 17 2021, 19:04
"Génération Identitaire"
Leur éventuelle dissolution est-elle légitime ?
Génération Identitaire : Leur éventuelle dissolution est-elle légitime ?
Le processus est en tout cas enclenché.
Comme nous allons le voir, voilà plusieurs mois que le Ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, et d'autres avant lui, oeuvrent à dissoudre l'association. Les motifs avancés par le ministère est que certaines actions comme l’opération dans les Alpes, en 2018, au col de l’Échelle (un des points de passage des clandestins qui s'introduisent illégalement sur notre territoire) constitueraient l’action d’une milice. Ainsi, à compter du 13 février 2021, GI a "10 jours pour répondre" à cette annonce. Si aucun élément nouveau n’est apporté, "la dissolution (de l'organisation) est très probable sous 15 jours" selon la place Beauvau.
Je vous propose donc de revenir chronologiquement sur leurs actions militantes et tenter de répondre à la question posée par le titre de ce billet :
* La mosquée de Poitiers : En 2012, plusieurs dizaines de militants pénètrent sur le chantier de la grande mosquée de Poitiers. Ils déploient plusieurs banderoles sur lesquelles ils réclament un référendum sur la construction de mosquées et sur l'immigration, se revendiquent de Charles Martel ou encore de la Reconquista.
D'après wikipédia, en décembre 2017, le tribunal de Poitiers a condamné cinq militants à la peine exterêmement sévère de 1 an d’emprisonnement avec sursis pour « provocation à la discrimination raciale ou religieuse ». Wiki ommet de rappeller que la peine était en réalité, outre la peine d'une année de prison avec sursis, de 40.000 euros d’amende et 5 ans de privation de droits civiques, civils et de famille.
Wiki oublie également de rapporter les propos de l’imam de Poitiers, en 2015, qui a accordé une entrevue à une chaîne qatarie. Avec une traduction validée par Valeurs Actuelles, on y apprend que Boubaker El-Hadj Amor a choisi d’appeler sa mosquée « Balat al-Chouhada » (« mosquée Pavé des martyrs »), une allusion explicite et revendiquée par l’imam lui-même à la bataille de 732 livrée par Charles Martel.
Silence également sur le commentaire de l'imam qui, en 2017, revendiquait pourtant lui-même cette référence : "Le jugement explique bien que l’on peut faire référence à Charles Martel et à la bataille de Poitiers, mais pas n’importe comment, ni en tenant n’importe quels propos.". En 2020, ils sont finalement relaxés.
Y-a-til eu trouble à l'ordre public ? La réponse est évidente : On parle d'un chantier d'une mosquée, de banderoles et de rien d'autre... même si les plaignants ont tenté de faire croire qu'il y aurait des dégradations. 8 années de procédure judiciaire pour... rien.
* Le 26 mai 2013, dans le cadre d'une manifestation contre le mariage pour tous, 20 militants de GI accèdent au toit du 10, rue de Solférino, siège parisien du PS. Après avoir déployé là encore une banderole manifestant leur désapprobation de la politique de F. Hollande, ils sont rapidement arrêtés par la police. Ils ont condamnés à des amendes de 500 €...
Mais peut-on parler de trouble à l'ordre public ou d'une action d'une milice ?
Une manif pourtant interdite et organisée par les Traoré en plein confinement a été le théâtre de destructions matérielles importantes (nous y reviendrons). Ont-ils été arrêtés ? Non. Darmanin a expliqué que l'émotion devait passer au-dessus... Le comité "justice pour Adama" est-il ciblé par une procédure de dissolution ? Non. Le 2 poids 2 mesures est tellement évident que cela en en devient ridicule.
* En 2013-2014, GI lance une campagne « Génération anti-racailles », dont l'objectif est de dénoncer « l'insécurité généralisée » dans les villes ou les transports en commun. L'autre objectif est d’appeler les jeunes Français à apprendre à se défendre, puisque l'État se montre selon eux (et pas seulement...) incapable de faire régner l'ordre et la justice. GI organise dans plusieurs villes de France des stages de self-défense.
Un stage national sera organisé et réunira une centaine de personnes près de Lyon, bastion du mouvement. Est-il vrai que l'Etat est incapable de faitre régner l'ordre ? Il suffit de demander aux policiers, pompiers, etc blessés tous les jours ou presque, caillassés leur avis. Il suffit de demander au dernier médecin qui intervenait de nuit dans certaines cités du département 94, qui a été agressé à 4 reprises et a fini par arrêter pour s'en convaincre.
Et puis condamne-t-on des clubs de sport qui donnent des cours de self-defense ? Bien sûr que non. GI n'a d'ailleurs pas été inquiété pour cette campagne.
Aucun trouble à l'ordre public.
* En 2016, GI mène une action à Calais, alors au centre de l'actualité française au sujet de la fameuse jungle, immense bidonville qui héberge alors jusqu'à 10 000 clandestins souhaitant passer en Angleterre. 80 à 130 militants de GI bloquent pendant plusieurs heures trois ponts qui reliaient la jungle au centre-ville. « Agressions contre les forces de l'ordre, contre des automobilistes et des chauffeurs routiers, émeutes en ville, désagrégation totale du tissu social et économique - voilà ce qu'est devenu le quotidien de la ville martyre, avec une terrible accélération ces dernières semaines », dénoncent-ils dans un communiqué. 14 manifestants sont interpellés.
Ont-ils troublé l'ordre public ? Ont-ils eu un comportement de miliciens ? Il suffit de demander leur avis aux innombrables routiers agressés sur ces routes ou aux CRS attaqués violemment à d'innombrables reprises par des hordes violentes de clandestins s'ils estiment que le problème principal est GI. * Le 25 novembre 2017, GI organise un rassemblement « pour la défense de l’Europe face aux islamistes » devant le Bataclan. Interdite par le préfet de police Michel Delpuech, la manifestation donne lieu à 15 interpellations mais là encore. A chacun d'estimer ce qui trouble le plus l'ordre public entre 130 morts des centaines de blessés et des milliers de victimes collatérales (orphelins, parents qui ont perdus leurs enfants, familles détruites et autres traumatisés) vs une manif, certes interdite, mais pacifique, sans aucune dégradation ni violence. Aucun trouble à l'ordre public là encore. * Le 5 octobre 2018, des militants du groupe ont pénètré dans les locaux marseillais de l'association SOS Méditerranée, qui affrète le navire Aquarius. Là, c'est sans doute la seule affaire qui est sujette à caution. L'ONG a déclaré que son personnel, choqué, avait été mis en sécurité. Des militants de GI ont diffusé des vidéos de leur opération sur les réseaux sociaux et le groupe a revendiqué sur Twitter l'« occupation » de ces locaux. Ils ont réclamé la saisie de l'Aquarius, dernier navire humanitaire à parcourir la Méditerranée pour secourir des clandestins qui tentent la traversée (clandestine donc) vers l'Europe. 22 militants ont été mis en examen et placés sous contrôle judiciaire pour violences en réunion, séquestration, participation à un groupement en vue de commettre des violences et enregistrement et diffusion d'images de violence. Le 29 avril 2019, Anaïs Lignier (porte-parole de GI) est mise en examen et placée sous contrôle judiciaire, accusée de complicité de violences pour avoir enregistré et diffusé les images de l'action. Mais a priori aucune suites judiciaires... On peut à peine parler d'un trouble à l'ordre public. Le 9 février 2020, des militants perturbent l'anniversaire de l'antenne lyonnaise de SOS Méditerranée et déploient une banderolle « Moins d’ONG = Moins de morts en mer ». Là encore, des banderoles et rien de plus. * Avril 2018 : GI mène une action de com (comme on le voit, ils ne font que cela) contre l'immigration clandestine à la frontière franco-italienne, y déployant une fois de plus des banderoles affichant le message « Frontière fermée. Vous ne ferez pas de l’Europe votre maison. Hors de question. Rentrez chez vous ». C'est sans doute cette affaire qui a déclenché les premières vélléités de dissolution puisque Pierre Henry et Benoît Hamon l'ont bien réclamé. L'association, en tant que personne morale, son président Clément Gandelin, son porte-parole Romain Espino et un autre membre sont renvoyés en correctionnelle pour « activités exercées dans des conditions de nature à créer dans l'esprit du public une confusion avec l'exercice d'une fonction publique ». De son côté, au moment des faits, GI estime que ses actions étaient protégées par l'article 73 du code de procédure pénale, qui prévoit que « dans les cas de crime ou délit flagrant puni d'une peine d'emprisonnement, toute personne a qualité pour appréhender l'auteur et le conduire devant l'officier de police judiciaire le plus proche ». La présidente du tribunal correctionnel de Gap, Isabelle Defarge, prononce, le 29 août 2019, des peines très lourdes : 6 mois de prison ferme, une amende de 2 000 euros et une privation des droits civiques, civils et de famille pendant 5 ans pour chacun des trois prévenus — Damien Rieu, Clément Gandelin, Romain Espino —, et l’amende maximale de 75 000 € pour GI. Le tribunal a considéré que, « compte tenu de la nature extrêmement grave des faits, de l’importance du trouble à l’ordre public occasionné non seulement pendant leur période de commission mais de manière durable dans le département, de l’importance des valeurs protégées par les infractions reprochées et du passé pénal des prévenus », la prison ferme s’imposait. Les trois prévenus, qui sont soutenus par plusieurs cadres du RN et Marion Maréchal, qualifient le jugement de « politique » et font appel.
Finalement, le 16 décembre 2020, la cour d'appel de Grenoble prononce la relaxe des 3 prévenus, estimant que « cette action, purement de propagande politique, à visée médiatique, n’était pas de nature à créer une confusion dans l’esprit du public avec l’exercice de la fonction des forces de l’ordre ». Elle précise également qu'« aucun des migrants auditionnés n'avait indiqué avoir confondu ces individus avec les forces de l'ordre alors même qu'il s'agissait de personnes en détresse, affaiblies, maîtrisant peu ou pas le français ».
En clair, il n'y a rien eu. GI n'a violé aucune loi.
* Le 7 août 2018, GI participe à une marche silencieuse en hommage à Adrien Perez, mort à 26 ans à la suite d’une agression ultra violente commise par deux frères (Younès et Yanis E.H.) à la sortie d'une discothèque de Meylan. Le 11 août, l’association se réunit devant le palais de justice de Grenoble, avec une banderole, des t-shirts et une pancarte « Génération anti-racaille » pour demander « justice pour Adrien ». La famille d'Adrien Perez déplore une tentative de récupération politique.
Intéressant aussi, ce détail que rajoute wiki dans son article :
"L'avocat de la famille, Denis Dreyfus, est à la suite de cela visé par des propos antisémites par un site" sauf que... le site en question n'a aucun lien avec GI : il suffit d'aller sur la source qu'ils mentionnent pour le constater . Il s'agissait du site "Démocratie Participative". Alors pourquoi faire mention de ces propos dans cet article wiki consacré à GI, si ce n'est pour assimiler GI à ce site et aux propos antisémites qui y sont publiés ? Rappelons que GI est défendu notamment par Gilles-Wiliam Goldnadel...
Bref, là encore, aucun trouble à l'ordre public. Un rassemblement silencieux qui a duré 10 minutes. Rien de rien. * En décembre 2018, Al Jazeera réalise un reportage intitulé "Generation Hate" en caméra cachée sur le bar « La Citadelle », bar privé « ouvert à l'initiative de membres de Génération Identitaire et (qui) revendique 800 adhérents » et dont Aurélien Verhassel est « responsable lillois du groupuscule » selon Le Parisien. Suite à cela une enquête préliminaire est ouverte, des membres supposés appartenir au groupe se livrant à une apologie du 3ième Reich et se vantant de ratonnades contre des personnes d'origine arabe.
En outre, les images montrent des personnes fréquentant ce bar agresser une jeune femme qu'ils désignent comme maghrébine et ont des propos islamophobes, évoquant « un carnage », par exemple « contre une mosquée ». Verhassel évoque « des personnes de passage qui n'ont jamais participé à des actions ». En janvier 2019, à la suite d’une conférence de presse d'Aurélien Verhassel, qui déclare que le reportage n'a eu aucun effet sur l’établissement et que "l’organisation la Citadelle est une structure indépendante […]". "Aurélien Verhassel (...) n’est plus membre de Génération Identitaire et nous n’avons plus de contact avec lui ».
Quand ce dernier rétorque qu’il est « responsable national et régional de Génération identitaire » et dénonce la « pression médiatique » sur une porte-parole, le mouvement politique déclare : « Aurélien Verhassel n’est ni responsable local, ni national. Après avoir créé une antenne autonome différente de Génération identitaire ; il a pris ses distances de lui-même. Suite à ce reportage, il n’y a plus de lien possible avec la Citadelle. » La Voix du Nord a parlé alors d'une « scission ».
Bref, une nouvelle fois, pas grand chose de probant. * Le 29 mars 2019, GI occupe le toit-terrasse de la CAF de Bobigny (93) en déployant la banderole « De l’argent pour les Français, pas pour les étrangers ». 19 membres de GI se retrouvent en garde à vue. La CAF annonce le jour même avoir déposé plainte. C'est après cette action que le gouvernement va commencer à étudier les moyens afin de dissoudre GI. Lors d'une réunion interministérielle, la secrétaire d'État Christelle Dubos a déclaré :
« L'intérieur et la Justice [les ministres correspondants présents lors de la réunion] sont plutôt partants pour la dissolution, et ont exploré des solutions légales. Le problème est que les animateurs de GI connaissent le droit et jouent sur ses limites. Ils occupent des lieux publics, en perturbent l’accès, mais ne mènent pas d’action violente ».
Une déclaration qui dessine les contours des motivations de ceux qui veulent les dissoudre : interdire ces perturbateurs, faire taire ces gens dont les actions posent des questions, ce qui, en soi, est déjà inacceptable.
Jugés le 12 mars (2020 ?) pour « entrave à l’exercice de la liberté du travail », 6 militants de GI présents à l'audience assument l'action de groupe, mais aucun n'en revendique l'organisation. Il est impossible de déterminer qui a fixé des cartons « CAF occupée ; défense d’entrer » sur l'entrée du bâtiment. Le président de l’audience précise en outre qu'« aucune dégradation ou violence n’ont été constatées sur place ». Le 13 mars, un des prévenus est condamné à 90 jours-amende à 5 euros, et les 18 autres à des peines de un à trois mois de prison avec sursis, le tribunal ayant requalifié le délit en « violation de domicile ».
Bref, une fois de plus, rien.
* Le 13 juin 2020, une manifestation contre le racisme et les violences policières est organisée par le comité "Vérité pour Adama". Une dizaine de membres de GI ont alors déployé une banderole « Justice pour les victimes du racisme anti-blanc – White Lives Matter » sur un toit. Des habitants de l'immeuble ont déchiré la banderole.
Les identitaires auraient été délogés par des antifas (version contestée par GI), avant d'être interpellés, puis relâchés sans faire l'objet de poursuite. A cette occasion, Jean-Luc Mélenchon a prétendu que des saluts nazis auraient été faits puis a reconnu dans une tribune récente qu’il avait fait une erreur.
Encore une fois, rien de rien.
Par contre, on peut faire une comparaison avec la manif pourtant interdite par la préfecture mais malgré tout organisée par ce même comité "Vérité pour Adama" à Paris quelques jours plus tôt. Selon le maire du 17e arrondissement, Geoffroy Boulard, "Une responsabilité pénale doit être engagée par les autorités vis-à-vis des organisateurs".
Bilan : des agents de la ville de Paris ont du intervenir le lendemain pour réparer la quasi totalité des feux de signalisation du quartier et tout ce qui a été cassé ou mis à l'arrêt à cause d'un incendie. Des facades et des vitres de plusieurs magasins et d'un hôtel Ibis ont été brisées. Idem pour une agence immobilière et une concession de scooters.
De nombreux tags inscrits tout autour du Tribunal de Paris : "Pas de justice, pas de paix", "Black Lives Matter", "Je ne peux plus respirer".
Quelques images ici (à partir de 2 min 28 secondes) :
Et que dire de cette haine raciale pure exprimée par certains manifestants envers un policier traité de "vendu" parce qu'il est... noir ?
Tout cela est passé sans problème.
Personne n'a réclamé la dissolution de ce comité. Voici un débat intéressant issu de la chaîne YT "Le Crayon" (à laquelle il est recommandé de s'abonner) qui date de l'année dernière mais qui a le mérite de proposer un débat contradictoire respectueux :
Conclusion :
J'invite le lecteur à lire les deux articles suivants en préambule :
Quand GI dénonce l'immigration clandestine, il n'est pas inutile de rappeler que celle-ci peut être en partie à l'origine de tragédies effroyables.
Eu égard à toutes les non-affaires évoquées ci-dessus, il convient de se poser les questions suivantes.
Qui au juste menace la paix dans ce pays au point de mobiliser autant de hargne et de moyens afin d'obtenir leur dissolution ?
Une organisation qui dénonce de graves dérives qui conduisent à des tragédies épouvantables ou bien des organisations et individus ouvertement en guerre contre notre pays et notre civilisation ?
Et puis combien de vies brisées telles que celle de ce militaire, seul rescapé d'une des tueries commise par Mohammed Merah faudra-t-il pour que l'Autorité Publique s'occupe enfin des réelles menaces ?
Quoi que l'on pense de GI et mis à part l'occupation des locaux d'une ONG (et encore...), ils n'ont jamais commis de violences contrairement à bien d'autres.
Cette dissolution vise juste à faire taire un groupe qui traite frontalement de questions dérangeantes pour le pouvoir en place telles que l'immigration de masse, l'immigration clandestine, l'insécurité, le racisme anti-blanc (selon un sondage IFOP Fiducial de juin 2020, le racisme anti-Blanc est une réalité pour 47% des Français) et l'islamisation de notre société, questions qui préoccupent des dizaines de millions de Français.
Voilà la seule raison objective qui pousse certains élus qui par ignorance, bêtise, naïveté, clientélisme abject voire complicité, à exiger la dissolution de cette association.
Ils ne peuvent taire la réalité alors ils veulent faire taire ceux qui se contentent de simplement la décrire.
Je conclurais donc avec cette intervention qui en dit long sur la gestion des priorités pour certains.
En janvier 2021, au micro de France Inter en janvier 2021, le Président du groupe LaRem à l'Assemblée Nationale et ex-ministre de l'Intérieur a déclaré "j'ai, avec une forme de plaisir, dissous des associations d’extrême-droite et d’ultra-droite quand j’étais ministre. Et si j’avais pu dissoudre Génération identitaire, pour ce qu’ils représentent et ce qu’ils font, je l’aurais fait là encore avec plaisir, même si ça a peu de place dans une décision d’un ministre de l’Intérieur".
On le voit bien :
Même s'il faut bien rattraper l'aveu avec une nuance en fin de phrase, c'est bien par "plaisir" de combattre et faire taire des opposants politiques et "ce qu'ils représentent" que les décisions de ces gens sont guidées et non par des motivations de maintenir une paix civile (pour ceux qui voudraient s'infliger cela, voici la source) gravement menacée par des protagonistes dénoncés, entre autres, par des groupes comme GI.
Source : Conférençovore sur https://www.agoravox.tv/t
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
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