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 Nous allons tout droit vers une dictature.

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Commandoair40
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Commandoair40


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MessageSujet: Nous allons tout droit vers une dictature.   Nous allons tout droit vers une dictature. Icon_minitimeMar Jan 08 2019, 13:12

Nous allons tout droit vers une dictature.

Nous allons tout droit vers une dictature. Francebombe

Si cette violence continue d'augmenter comme ce sera le cas et ce à quoi le Président de la République semble s'employer, il pourra déclencher l'article 16 de la Constitution et comme ça il aura les pleins pouvoirs.

Pas bête. Il joue bien ! !  

Nous allons tout droit vers une dictature.

Depuis le temps que les élites cherchent ça !
Nous allons tout droit vers une dictature. 221046395
Gilets jaunes : Édouard Philippe va annoncer des mesures «d’ordre public» sur TF1 ce lundi soir.

► 7 janvier 2019 ● 14h03

Le gouvernement entend répondre fermement aux violences qui se sont déroulées partout en France de nouveau ce samedi, durant l’Acte VIII des Gilets jaunes.

Le Premier ministre Édouard Philippe sera l’invité du journal télévisé de 20 heures sur TF1 ce lundi soir et y annoncera des mesures « d’ordre public » face aux violences, a déclaré Matignon.

« Face aux violences inacceptables qui se poursuivent sur le territoire, le gouvernement entend afficher une très grande fermeté et faire évoluer son dispositif d’ordre public. Ce sont des questions sensibles au sujet desquelles le Premier ministre a engagé des consultations et fera des annonces ce soir » explique Matignon dans un communiqué.

L’acte VIII des Gilets jaunes ce samedi a été marqué par l’intrusion de plusieurs individus dans la cour du bâtiment qui abrite notamment les bureaux de porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux. Ces derniers ont utilisé un engin de chantier pour briser la porte.

Emmanuel Macron avait évoqué une « extrême violence venue attaquer la République » sur Twitter.

Des appels à un Acte IX samedi 12 janvier ont déjà été lancés sur les réseaux sociaux.


Quel pouvoir donne l'article 16 de la Constitution au Président de la République ?

Parmi les pouvoirs de crise prévus par la Constitution du 4 octobre 1958, les plus connus sont les pouvoirs exceptionnels du
Président de la République figurant à l'article 16.

La présence de cet article dans la Constitution s'explique par la mémoire constitutionnelle et, en particulier, par le souvenir de la « crise épouvantable » de 1940 : « il n'y avait plus moyen d'obtenir, dans les circonstances où l'on était, un fonctionnement régulier des pouvoirs de la République » (Charles de GAULLE).

Lorsque le Président de la République décide de recourir à l'article 16 (I), ses pouvoirs sont particulièrement étendus (II).

Toutefois, l'application de cet article ne saurait être maintenue indéfiniment : elle doit être une réponse temporaire à des situations de crise précisément identifiées (III).

En outre, un double contrôle de ces pouvoirs exceptionnels peut être exercé (IV).

I. Le recours aux pouvoirs exceptionnels

Le recours à l'article 16 est de la compétence exclusive du chef de l'État puisqu'il l'exerce sans contreseing, c'est-à-dire sans la
signature du Premier ministre et des ministres.

Il reste qu'un tel recours est exceptionnel en raison des conditions de fond et de forme prévues par cet article 16.

Les conditions de fond posées par l'article 16 de la Constitution sont :
Les conditions de forme posées par le même article de la Constitution sont :

II. L'étendue des pouvoirs exceptionnels du Président de la République


Le Président de la République prend toutes les mesures exigées par les circonstances, le cas échéant, au mépris du principe de la
séparation des pouvoirs.

Il peut ainsi prendre des mesures qui relèvement normalement de la compétence du Parlement ou exercer le pouvoir réglementaire sans solliciter le contreseing du Premier ministre et des ministres.

Bien que considérables, les pouvoirs exceptionnels du Président de la République connaissent quelques limites :

III. La durée des pouvoirs exceptionnels d'une part, une menace grave et immédiate des institutions de la République, de l'indépendance de la Nation, de l'intégrité de son territoire ou de l'exécution de ses engagements internationaux, et, d'autre part, l'interruption du fonctionnement régulier des pouvoirs publics constitutionnels.

Des obligations de consultation : le Président de la République doit consulter officiellement le Premier ministre, les présidents
des assemblées (soit le président de l'Assemblée nationale et le président du Sénat) ainsi que le Conseil constitutionnel.
l'information de la Nation : le Président de la République doit informer la Nation par un message de la mise en œuvre des
pouvoirs exceptionnels.

Les mesures prises par le Président de la République au titre de l'article 16 de la Constitution doivent avoir pour objet de permettre, dans les moindres délais, aux pouvoirs publics constitutionnels d'accomplir leur mission.

Le Conseil constitutionnel doit être consulté sur chacune de ces mesures.

Ces avis ne sont pas publiés.

Le Président de la République ne peut pas dissoudre l'Assemblée nationale.

Le Président ne peut pas interdire au Parlement de se réunir.

Le Président de la République ne peut pas engager ou poursuivre une révision de la Constitution (décision n° 92-312 DC du 2
septembre 1992, Traité sur l'Union européenne).

Source : Conseil constitutionnel

Depuis la révision constitutionnelle du 23 juillet 2008, l'article 16 prévoit que le Conseil constitutionnel contrôle la nécessité de
maintenir en vigueur les pouvoirs exceptionnels.

Deux hypothèses sont à distinguer :

IV. Le double contrôle des pouvoirs exceptionnels .


A un contrôle juridictionnel s'ajoute un contrôle politique.

D'une part, la décision présidentielle de recourir à l'article 16 de la Constitution constitue un acte de gouvernement, c'est-à-dire un
acte que le juge administratif ne contrôle pas (CE, 2 mars 1962, Rubin de Servens).

Les décisions présidentielles prises en application de l'article 16 de la Constitution peuvent être contrôlées par le juge administratif si elles sont intervenues dans le domaine du règlement figurant à l'article 37 de la Constitution (pour une illustration d'un tel contrôle, voir, par exemple, CE, 23 octobre 1964, d'Oriano ).

D'autre part, en vertu de l'article 68 de la Constitution, le chef de l'État pourrait être destitué par la Haute Cour en cas de
manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l'exercice de son mandat.

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Sicut-Aquila

Nous allons tout droit vers une dictature. 908920120 Nous allons tout droit vers une dictature. Cocoye10 Nous allons tout droit vers une dictature. 908920120

« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage.
La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure.
Être un homme et le demeurer toujours,
Quelles que soient les circonstances,
Ne pas faiblir, ne pas tomber,
Voilà le véritable sens de la vie ».

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MessageSujet: Re: Nous allons tout droit vers une dictature.   Nous allons tout droit vers une dictature. Icon_minitimeMar Jan 08 2019, 13:53

Ce ne sont pas 5 000 mille gilets jaunes qui mettent la patrie en danger !!!!
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MessageSujet: Re: Nous allons tout droit vers une dictature.   Nous allons tout droit vers une dictature. Icon_minitimeVen Jan 11 2019, 13:29

en tout cas,même  si MACRON n'est pas ma tasse de thé, j'en ai  ras le bol des gilets jaunes,ça suffit! guy
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Commandoair40
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Commandoair40


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MessageSujet: Re: Nous allons tout droit vers une dictature.   Nous allons tout droit vers une dictature. Icon_minitimeVen Jan 11 2019, 18:39

Merci Gus & Guy , pour votre réponse et avis .

Ici , entre nous , c'est la démocratie et l'amitié : donc pas d'embrouilles .

Mais pouvez vous développer votre ressenti .

Merci .

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Sicut-Aquila

Nous allons tout droit vers une dictature. 908920120 Nous allons tout droit vers une dictature. Cocoye10 Nous allons tout droit vers une dictature. 908920120

« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage.
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Ancien38

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MessageSujet: Re: Nous allons tout droit vers une dictature.   Nous allons tout droit vers une dictature. Icon_minitimeLun Fév 11 2019, 17:14

A mon avis, l'article 16 de la Constitution est un rempart contre l'anarchie :(absence de commandement.) Situation d'un pays caractérisée par l'absence d'un gouvernement disposant de l'autorité nécessaire, et en proie à des conflits désordonnés.
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jmperrin
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MessageSujet: La France et son armée   Nous allons tout droit vers une dictature. Icon_minitimeJeu Fév 14 2019, 23:11


 Bonsoir,



Je vous transmets ci-dessous, une analyse du Général Henri Roure, ancien officier des troupes de marine, sur l'avenir de l'armée française dans une perspective de disparition de notre pays, la France, absorbée, noyée  dans un mondialisme à but essentiellement financier. Une belle et courageuse analyse.

 

  Nous allons tout droit vers une dictature. 1682890804 Bien paramicalement



jmperrin

 

La France et son Armée
Je ne crois ni aux hasards, ni aux coïncidences. Tout a un sens dès lors que les évènements émanent d’une même source. C’est bien sûr le cas en stratégie politique.
Si nous considérons plusieurs faits récents, apparemment indépendants les uns des autres, et si, avec un peu de réflexion et d’attention, nous essayons de leur trouver un ferment commun, nous sommes immédiatement amenés à nous interroger sur les calculs qui sous-tendent certaines actions du gouvernement. Un phénomène latent depuis quelques années vient de prendre une acuité toute particulière avec les dirigeants actuels : les Français ne se contentent plus des paroles issues du système politique traditionnel, ils analysent et ils jugent de la pertinence des décisions.
Désormais ils s’informent grâce aux réseaux sociaux, à internet et à une solidarité qui s’est créée en dehors des cheminements habituels et qui porte un nom : ras-le-bol ! Ils en tirent inévitablement des conclusions.
Dans un panorama d’insatisfaction nationale s’ajoutant à l’insécurité, nous pouvons nous interroger, aussi, sur le fond des relations entre le pouvoir et l’armée. Les forces armées sont les garantes de l’intégrité du territoire, de la défense de la population et des intérêts nationaux. C’est dire que leur mission est essentielle, régalienne, et doit les rendre intimes avec le peuple. Elles sont, d’ailleurs, constituées par des citoyens qui en sont issus. Dans le paysage politique présent il est bon de le rappeler.
Bien avant la révolte des gilets jaunes le président et ses soutiens ont montré à la fois une indifférence hautaine et une crainte inavouée du peuple. Ils persévèrent. Méconnaissant les gens-d’en-bas ils prennent des décisions à l’emporte-pièce, en cohérence avec leur idéologie européiste et mercantiliste, sans se soucier des conséquences sociales, parce qu’ils se sentent assurés de leur intelligence et donc de la qualité de leurs choix. Ils savent, cependant, probablement de manière encore confuse et en sous-estimant les conséquences possibles, qu’ils ne sont pas à l’abri de sévères remous, car leur politique ne sert pas la France indépendante alors que les Français restent toujours attachés à leur pays, à leur mode de vie, à la grandeur de leur histoire et à leur culture. Cette crainte a sans doute été confirmée par les actions des gilets jaunes. Cette arrogance va de pair avec une inquiétude. Ils prennent donc quelques précautions pour éviter un mouvement populaire puissant et structuré qui viendrait à mettre en péril la permanence de leur démarche politique. Mais nous pouvons douter de leur compréhension de la situation, donc de la justesse de leur réaction…
Une de leur appréhension, non-dite, serait que les armées sortent de leur neutralité en cas de crise majeure, contestant la globalité de la politique conduite. Cette méfiance est en soi une preuve supplémentaire d’une politique très sensiblement en contradiction avec un destin national indépendant. Ils ont à l’égard des militaires ce même regard qu’ils portent au peuple.
Ils additionnent, donc, des gestes et des décisions vers les armées qui visent à les affaiblir et à les décérébrer mais à les conserver aux ordres. Cette action de défiance complète le désir de ne pas développer un instrument de défense nationale, qui serait en contradiction avec leur idéologie. Dans cette ligne, le président émet l’idée d’une armée européenne, rejetant celle de patrie et montrant, à l’évidence, qu’il ignore pourquoi un soldat accepte de mourir. La Défense est un monde qui lui échappe. Il constitue, par essence, un obstacle au supranationalisme financier.
Aucun président, avant lui, n’a trouvé nécessaire de rappeler qu’il était chef des armées. Les militaires savent parfaitement que celui qui, seul, peut engager le feu nucléaire et décider d’une opération militaire est bien le responsable suprême. Nul n’est besoin de le clamer et de défier et humilier un chef d’état-major pour asseoir une autorité constitutionnelle. Pourtant il est surprenant que le président actuel réponde aux questions d’un journaliste, à bord du porte-avions Charles de Gaulle, tout juste sorti de sa grande visite, avec en fond de tableau un Rafale Marine, comme s’il voulait se mettre sous la protection de ces armées qu’il maltraite par ailleurs. De même en imaginant d’accorder aux grands responsables militaires parisiens une prime conséquente de très haute responsabilité, sachant pertinemment qu’ils sont les véritables chefs opérationnels des armées, alors que cadres et militaires du rang subissent toutes sortes de régressions sociales et financières et se heurtent, au quotidien, à des conditions de vie professionnelles et personnelles difficiles. Les nantis sont censés être du côté du pouvoir ! Diviser pour régner et faire accepter une nouvelle baisse de capacité opérationnelle ?
L’attitude du chef de l’État n’est paradoxale qu’en apparence.
Simultanément le président - par l’intermédiaire de son ministre des comptes publics - rabote le budget de la défense de 400 millions d’euros, malgré la LPM, alors que la menSTLS ace islamiste intérieure et extérieure est bien présente et que l’immigration musulmane ne cesse pas. Il essaie de dissocier la Nation et son armée, notamment, lors de la commémoration du centenaire de l’armistice de 1918, refusant, en outre, d’honorer les maréchaux qui ont conduit à la victoire l’armée de la nation et non-pas des civils que l’on avait armés. Et, tout récemment, en humiliant les Saint-Cyriens et, en fait tous les militaires, en faisant débaptiser la dernière promotion de l’Ecole Spéciale Militaire au prétexte que le parrain choisi, le général LOUSTAUNAU-LACAU - pourtant héros des deux guerres et de la Résistance, déporté par les nazis.- ne répondrait pas aux critères de la bien-pensance, à laquelle il voudrait se référer, et aux critères de ceux qui ont fait son élection. Il bafoue le contexte historique et la tradition d’une grande école qui a fourni à la France ses sauveurs, des présidents et un saint. En agissant ainsi c’est bien l’intimité du peuple et de son armée qu’il voudrait fracturer. Il affiche le même mépris des militaires que du peuple.
Nous pouvons dès lors nous interroger sur la finalité d’une politique générale qui vise à appliquer contre vents et marées les obligations supranationales du traité de Maastricht en s’opposant, notamment, aux revendications populaires, pour s’inclure dans des règles budgétaires inappropriées et à continuer, par petites touches, à résorber l’héritage gaullien d’une politique militaire indépendante.
La réponse va de soi : il faut tout faire pour réduire encore la souveraineté nationale pour mieux paraître, individuellement, dans la coterie mondialiste. D’ailleurs certaines idées sont étonnantes, sortes de ballons sondes ; mais qu’elles aient pu être émises donne la direction souhaitée par le pouvoir actuel : Partage de la direction de la dissuasion nucléaire avec un autre État, s’ajoutant à la proposition d’armée européenne, partage du siège permanent au conseil de sécurité…D’un personnage aussi complexe, élu grâce à une manipulation médiatico-financière, partenaire des plus fervents « mondialistes », il n’y aurait là rien d’étonnant.
Général (2S) Henri ROURE
Ancien officier des Troupes de Marine
27 novembre 2018
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MessageSujet: Re: Nous allons tout droit vers une dictature.   Nous allons tout droit vers une dictature. Icon_minitimeVen Fév 15 2019, 08:43

d'accord avec l'analyse     guy
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MessageSujet: Re: Nous allons tout droit vers une dictature.   Nous allons tout droit vers une dictature. Icon_minitimeVen Fév 15 2019, 09:43

Heureux de t'entendre dire cela Guy !!



As-tu remarqué que nos musulman se sont abstenus ( enfin dans la grande majorité), car ces "gilets jaunes" font un rempart entre les deux cultures ! Mais as-tu remarqué avec quel violences nos concitoyens sont matraqués, alors que c'est le contraire dans les manifs de quartiers sensibles ??? Les gilets jaunes de par leur ténacité , dévoilent le vrai visage d'un chef d'état démoniaque et sans aucun regard vers le bas, l'arrogance envers le peuple et l'armée qu'il manipule aux grès d'une mondialisation galopante, ou bientôt le vrai Français aura disparu, submergé par les afro-magrébin, avec le bon vouloir de notre président et sa clique !!!    VIVE les GILETS  JAUNES ....
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Ancien38

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MessageSujet: Re: Nous allons tout droit vers une dictature.   Nous allons tout droit vers une dictature. Icon_minitimeVen Fév 15 2019, 10:03

Bonjour
 depuis le putsch, tout a été fait pour que l'Armée ne se retourne pas contre le Chef de l'Etat, dissolutions, osmose des cadres afin qu'il n'y ait pas une cohésion pouvant fomenter "un coup d'état", etc . . .. D'autre part la Défense a toujours été source de variable d'ajustements budgétaires.
La question est aussi et surtout de savoir aujourd'hui pourquoi un soldat est prêt à mourir. Ordinairement c'est pour sa patrie, mais l'est-il pour l'Europe ? Défendre une idée européenne issue du monde moderne peut ne pas justifier le don de sa vie.
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MessageSujet: Re: Nous allons tout droit vers une dictature.   Nous allons tout droit vers une dictature. Icon_minitimeVen Fév 15 2019, 10:32

Remarque juste Ancien38  ! je me demande toujours ce qui peut motiver un jeune venant dans l'armée ? Ce n'est pas le salaire ni une  grandeur d'âme envers la patrie ??  Peut-être pour certains, une certaine recherche de l'inconnu, ou des gloires passées de nos armées  ?? Mais je doute  ??
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Ancien38

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MessageSujet: Re: Nous allons tout droit vers une dictature.   Nous allons tout droit vers une dictature. Icon_minitimeVen Fév 15 2019, 15:51

Bonjour bretirouge,

Je crois que la réponse est dans la propagande du Recrutement: trouver une activité professionnelle dans un domaine très diversifié. Quant aux vrais combattants, tous les paramètres environnementaux ayant changé, effectivement, c'est la grande inconnue concernant les motivations.
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MessageSujet: Re: Nous allons tout droit vers une dictature.   Nous allons tout droit vers une dictature. Icon_minitime

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