Les E.Unis bombardent une base du régime de Bachar el Assad
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Sujet: Les E.Unis bombardent une base du régime de Bachar el Assad Ven Avr 07 2017, 08:55
========= Syrie. Les États-Unis frappent une base aérienne du régime d'Assad Modifié le 07/04/2017 à 08:47 | Publié le 07/04/2017 à 06:00 ===================== Les missiles Tomahawk ont été tirés depuis les bateaux de guerre américains USS Porter et USS Ross qui se trouvent actuellement en Méditerranée orientale. Les missiles Tomahawk ont été tirés depuis les bateaux de guerre américains USS Porter et USS Ross qui se trouvent actuellement en Méditerranée orientale. | AFP Les États-Unis ont frappé dans la nuit de jeudi à vendedi une base aérienne syrienne en réponse à l'attaque chimique survenue mardi et attribuée au régime de Bachar al-Assad.
La frappe a été menée avec « 59 missiles », a précisé un responsable de la Maison Blanche, indiquant que les États-Unis avaient frappé la base aérienne de Shayrat, qui est « associée au programme » syrien d'armes chimiques et « directement liée » aux évènements « horribles » de mardi.
Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), les frappes ont quasiment détruit la base, et quatre soldats ont été tués. « On a la confirmation de la mort de quatre militaires dont un général de brigade dans l'armée de l'air. L'aéroport a été presque totalement détruit : le tarmac, le dépôt de fuel et le bâtiment de la défense aérienne ont été pulvérisés », a indiqué à l'AFP Rami Abdel Rahmane, directeur de l'OSDH.
L'opposition syrienne s'est félicitée vendredi de la frappe américaine et a appelé à la poursuite des bombardements jusqu'à « neutraliser la capacité » du régime à lancer des raids contre ses adversaires, a déclaré à l'AFP un porte-parole. « La Coalition de l'opposition salue la frappe et appelle Washington à neutraliser la capacité du (président syrien Bachar al-) Assad à mener des raids », a indiqué Ahmad Ramadan. « Nous espérons la poursuite des frappes », a-t-il ajouté.
Frappe punitive
Les États-Unis ont accusé le régime syrien d'avoir utilisé un agent neurotoxique de type sarin mardi contre la ville rebelle de Khan Cheikhoun, dans le nord-ouest de la Syrie. Ce bombardement a fait au moins 86 morts, dont 27 enfants. « Pour ces attaques, le régime Assad a utilisé un agent neurotoxique qui a les caractéristiques du sarin », a affirmé un haut responsable de la Maison Blanche sous couvert d'anonymat, en même temps qu'il révélait la frappe punitive de 59 missiles de croisière contre la base aérienne syrienne.
Plus tôt dans la soirée, les membres du Conseil de sécurité de l'ONU n'avaient pas réussi à se mettre d'accord sur la meilleure réponse à apporter à l'attaque de mardi. La Russie, par la voix de son ambassadeur aux Nations unies, avait mis en garde les États-Unis contre une éventuelle intervention militaire contre son allié syrien. « S'il y a des actions militaires, toute la responsabilité sera sur les épaules de ceux qui auront initié une telle entreprise tragique et douteuse », a déclaré l'ambassadeur russe Vladimir Safronkov à l'issue d'une réunion à huis clos du Conseil de sécurité sur la Syrie.
Les missiles ont été tirés depuis les bateaux de guerre américains USS Porter et USS Ross qui se trouvent actuellement en Méditerranée orientale, a précisé un deuxième responsable américain. Les frappes ont visé « de multiples cibles » sur la base, « avions », « piste », ou pompes à carburant, a-t-il précisé.
Syrie : le bombardement américain. Syrie : le bombardement américain. | Visactu Agression
La télévision d'État syrienne a qualifié vendredi d'« agression » les frappes américaines contre une base aérienne du régime, une source militaire évoquant des « pertes ».
« Agression américaine visant des cibles militaires syriennes avec plusieurs missiles », a alerté la chaîne sitôt après l'annonce américaine. « L'une de nos bases aériennes dans le centre du pays a été visée à l'aube par un missile tiré par les États-Unis, provoquant des pertes », a ensuite signalé une source militaire citée par la télévision d'Etat, sans préciser s'il s'agit de pertes humaines ou matérielles.
« Cette agression américaine vient après la campagne médiatique de dénigrement menée par des pays (...) après ce qui s'est passé à Khan Cheikhoun », a indiqué pour sa part l'agence officielle Sana. L'attaque chimique présumée, qui a fait au moins 86 morts dans cette ville du nord-ouest syrien selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme, a été imputée au régime de Bachar al-Assad, notamment par Washington, Paris et Londres.
Franchir la ligne
Le président américain Donald Trump a de son côté appelé toutes les « nations civilisées » à oeuvrer pour faire cesser le bain de sang en Syrie et le terrorisme, peu après avoir ordonné une frappe punitive contre le régime de Bachar al-Assad. Au cours d'une brève allocution télévisée, le visage et le ton très grave, M. Trump a accusé « le dictateur syrien Bachar al-Assad (d'avoir) lancé une horrible attaque avec des armes chimiques contre des civils innocents (...) en utilisant un agent neurotoxique mortel ».
M. Trump a affirmé qu'« il est dans l'intérêt vital de la sécurité nationale des États-Unis de prévenir et d'empêcher la prolifération et l'usage d'armes chimiques », soulignant « que des années de tentatives de faire changer Assad ont échoué, et échoué dramatiquement ». Son secrétaire d'État, Rex Tillerson, a renchéri soulignant que la frappe montre la volonté du président américain d'agir quand des pays « franchissent la ligne ».
Les images du village de Khan Cheikhoun, petite ville de la province rebelle d'Idleb, dans le nord-ouest de la Syrie où au moins 86 personnes, dont 30 enfants, ont été tuées lors d'un raid mené mardi ont choqué le monde entier, y compris le président Trump. Celui-ci a souligné jeudi soir que la frappe avait été lancée contre la base aérienne d'où est partie l'attaque sur Khan Cheikhoun. « Nous espérons que tant que les États-Unis seront synonymes de justice, la paix et l'harmonie prévaudront », a ajouté le président. Syrie 07h01
Dernière édition par Athos79 le Ven Avr 07 2017, 10:43, édité 2 fois
Commandoair40 Admin
Nombre de messages : 29167 Age : 78 Emploi : Français Radicalisé . Date d'inscription : 07/11/2014
Sujet: Re: Les E.Unis bombardent une base du régime de Bachar el Assad Ven Avr 07 2017, 09:47
Voici la preuve que Trump est un impulsif et dangereux .
Attendons la réponse de Poutine et préparons le paquetage .
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
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Sujet: Re: Les E.Unis bombardent une base du régime de Bachar el Assad Ven Avr 07 2017, 09:54
Gare a la casse !... et notre Trou d'uc ... qui va suivre..
Commandoair40 Admin
Nombre de messages : 29167 Age : 78 Emploi : Français Radicalisé . Date d'inscription : 07/11/2014
Sujet: Re: Les E.Unis bombardent une base du régime de Bachar el Assad Ven Avr 07 2017, 10:01
Les frappes US sur la base syrienne sont une agression contre un Etat souverain, selon Poutine
L’attaque américaine sur la base aérienne en Syrie viole la loi internationale, Washington ayant effectué un acte d’agression contre un Etat souverain, a estimé le président russe Vladimir Poutine, cité par le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov.
«Le président Poutine qualifie les frappes américaines en Syrie d’agression contre un Etat souverain, violant la loi internationale en usant d'un prétexte artificiel», a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, devant des journalistes en commentant l’attaque américaine sur la base syrienne d'Al-Chaayrate.
Dmitri Peskov a souligné que l’armée syrienne ne disposait pas d’armes chimiques et a rappelé que la destruction de tous les stocks d’armes chimiques syriennes «avait été réalisée et confirmée par l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques, une branche spéciale de l’ONU».
«D’après Vladimir Poutine, le fait d'ignorer complètement l’utilisation d'armes chimiques par les terroristes ne fait qu’aggraver la situation», a-t-il ajouté.
Dans ces frappes américaines en Syrie, le président russe voit également une tentative américaine de «détourner l’attention de la communauté internationale des nombreuses victimes civiles en Irak».
En outre, les relations russo-américaines qui «sont déjà dans un état déplorable» ont été endommagées par cette attaque, a déclaré Dmitri Peskov.
«D’après Vladimir Poutine, cette mesure ne nous rapproche pas du but final de la lutte contre le terrorisme international, mais constitue un obstacle sérieux à l'émergence d’une coopération des nations dans la lutte contre un mal mondial dont le président américain Donald Trump avait affirmé lors de sa campagne électorale qu'elle serait l’une de ses tâches principales», a ajouté le porte-parole du Kremlin.
Donald Trump a déclenché le 7 avril des frappes contre la base aérienne d'Al-Chaayrate en Syrie en riposte à une attaque chimique présumée imputée à Bachar al-Assad.
Cette première opération militaire des Etats-Unis contre Damas a été menée avec «59 missiles» de croisière Tomahawk.
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
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Sujet: Re: Les E.Unis bombardent une base du régime de Bachar el Assad Ven Avr 07 2017, 10:25
SOURCE : Yahoo.com.\ M6 Info ------------------------ Syrie : les Etats-Unis frappent une base aérienne du régime, la Russie condamne "une agression" M6info il y a 1 heure 29 minutes
AFP PHOTO / US NAVY / Jaret MORRIS
Les Etats-Unis ont lancé des missiles ce vendredi contre la base aérienne en Syrie d’où a été menée l’attaque chimique de mardi, en riposte à ce raid. Plusieurs soldats ont été tués. Pour Paris et Berlin, Bachar al-Assad porte “l’entière responsabilité de ce développement”. La Russie condamne les tirs et parle d’une “agression contre une nation souveraine” et demande une réunion d’urgence à l’ONU.
“Vous verrez”, c’est ce qu’avait déclaré Donald Trump quand on lui avait demandé comment il comptait réagir à l’attaque au gaz de Khan Cheikhoune. La réponse est venue et rapidement, sans attendre la fin des négociations diplomatiques.
Afin d’empêcher à court terme l’usage d’armes chimiques, 59 missiles Tomahawk ont été tirés ce vendredi à 2h45 heure de Paris, sur une base aérienne située à Shayrat, au sud de Homs, “associée au programme” syrien d’armes chimiques et qui serait “directement liée” à l’attaque “horrible” à Khan Cheikhoun, mardi dernier. Au moins 86 civils sont morts.
La frappe est partie depuis deux navires de guerre américains en Méditerranée. Le département de la Défense américain a diffusé sur YouTube des images de la frappe contre la base de Shayrat.
Plusieurs soldats tués
Les missiles ont fait cinq morts et sept blessés, a déclaré le gouverneur de la province de Homs à la chaîne libanaise Al Mayadeen.
Selon l’Observatoire Syrien des Droits de l’Homme (OSDH), quatre soldats syriens ont été tués, dont un général, et la base a été “presque totalement détruite”.
Selon le porte-parole du Pentagone, “les premières informations indiquent que la frappe a sévèrement endommagé […] des infrastructures et des équipements de la base aérienne de Shayrat, réduisant la capacité du gouvernement syrien à lancer des armes chimiques”.
Les avions évacués avant les tirs
Cependant, l’armée syrienne avait évacué la plupart des avions présents sur la base, sans doute prévenue par la Russie, qui avait été informée à l’avance des tirs de missile par les Etats-Unis.
Il s’agissait d’une mesure de précaution pour s’assurer que des soldats russes ne seraient pas dans la zone visée et éviter des heurts accidentels dans la lutte contre l’Etat islamique.
Les relations USA-Russie “endommagées”
Mais les Etats-Unis n’ont pas cherché à obtenir l’aval de la Russie. Et la réaction de Vladimir Poutine le prouve bien. Le chef d’Etat russe considère les frappes américaines comme “une agression contre une nation souveraine” en se servant “d’un prétexte fallacieux”, et qu’elles ont endommagé les relations entre les Etats-Unis et la Russie, a déclaré Dmitri Peskov, le porte-parole du Kremlin.
Pour Vladimir Poutine, cette initiative militaire américaine vise à détourner l’attention de la communauté internationale des morts civiles provoquées par l’offensive contre la ville de Mossoul dans le nord de l’Irak.
Réunion en urgence à l’ONU
La Russie ne croit pas que la Syrie dispose d’armes chimiques, a ajouté le porte-parole. Moscou va en outre demander la tenue d’une réunion en urgence du Conseil de sécurité de l’ONU, a annoncé le chef de la commission de défense de la Chambre haute du Parlement russe.
L’autre allié du régime de Bachar al-Assad, l’Iran, condamne également fermement les frappes des Etats-Unis, indique l’agence de presse ISNA. “De telles mesures vont renforcer le terrorisme en Syrie et vont compliquer la situation en Syrie et dans la région”, ajoute ISNA.
Assad porte “l’entière responsabilité”
La télévision officielle syrienne parle d’une agression, tandis que l’opposition salue l’opération américaine. Plusieurs pays ont aussi apporté leur soutien aux Etats-Unis, comme la Grande-Bretagne, l’Arabie Saoudite ou Israël.
Pour François Hollande et Angela Merkel, Bachar al-Assad porte “l’entière responsabilité de ce développement”, son recours continu aux armes chimiques et aux crimes de masse ne peut en effet rester impuni. Dans un communiqué commun, Paris et Berlin appellent la communauté internationale à se rassembler en faveur d’une transition politique en Syrie, conformément à la résolution 2254.
Risque d’une confrontation
Au-delà de la cette riposte ponctuelle à l’attaque chimique, Donald Trump a appelé “toutes les nations civilisées à rejoindre [les Etats-Unis] pour chercher à mettre fin au massacre et au bain de sang en Syrie et également à mettre fin aux terrorismes de tous types”.
Avec cette frappe, Donald Trump a pris la mesure militaire américaine la plus directe depuis le début de la guerre en Syrie il y a six ans. Une décision qui accroît le risque d’une confrontation avec la Russie et l’Iran.
Invité Invité
Sujet: Re: Les E.Unis bombardent une base du régime de Bachar el Assad Ven Avr 07 2017, 22:22
Frappe a la limite de la confrontation US versus Russie. ^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^ 7 avril 2017 Des frappes US en Syrie «à la limite du conflit militaire avec la Russie»
Le Premier ministre russe Dmitri Medvedev Les États-Unis ont effectué des frappes aériennes en Syrie « à la limite du conflit militaire avec la Russie », c’est ainsi que le Premier ministre russe Dmitri Medvedev a qualifié l’acte de Washington, soulignant que cela avait été fait en violation du droit international et des procédures intérieures américaines.
Dmitri Medvedev, Premier ministre russe, a critiqué sur sa page Facebook la décision de l'administration du Président américain Donald Trump de bombarder le territoire syrien.
« En dépit de belles paroles sur la lutte conjointe contre Daech, le principal ennemi, l'administration de Trump a prouvé qu'elle allait mener un combat contre le gouvernement légitime syrien. En contradiction avec les normes du droit international, sans approbation de l'Onu.
Avec la violation de ses propres procédures établissant la nécessité d'avertir le Congrès sur une opération militaire qui n'est pas liée avec les attaques aux États-Unis », a-t-il écrit ce vendredi, ajoutant que cet incident se situait « à la limite du conflit militaire avec la Russie ».
Suite à l'attaque chimique de mardi à Khan Cheikhoun, attribuée par l'Occident aux forces armées syriennes, le Président américain Donald Trump a ordonné une frappe ciblée contre la base aérienne syrienne de Shayrat. Vendredi matin, une soixantaine de missiles de croisière Tomahawk ont été tirés par les navires américains USS Porter et USS Ross, qui se trouvaient en Méditerranée, faisant selon Damas neuf morts, dont quatre enfants, et causant d'importantes destructions.
En réaction à l'attaque américaine, la Russie a suspendu son accord avec Washington sur la prévention des incidents et la sécurité des vols lors des opérations en Syrie, signé en octobre 2015 quelques semaines après le début de l'intervention russe dans le pays.
Le ministère russe de la Défense a pour sa part affirmé que les frappes américaines contre la base de Shayrat avaient été « planifiées depuis longtemps », l'attaque chimique de Khan Cheikhoun n'étant qu'un prétexte.
source
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Sujet: Re: Les E.Unis bombardent une base du régime de Bachar el Assad Sam Avr 08 2017, 07:55
Syrie : pourquoi Bachar Al-Assad n'a pas à s'inquiéter (pour l'instant)
Franceinfo tente de comprendre ce que la frappe américaine, qui a visé des installations militaires syriennes, va changer pour le président syrien.
Le président syrien Bachar Al-Assad, à Damas, la capitale syrienne, le 9 janvier 2017. (SANA / AFP) avatar Louis San France Télévision L'avenir de Bachar Al-Assad est-il menacé après la frappe américaine contre des infrastructures militaires syriennes ? Donald Trump a lancé cette attaque, dans la nuit du jeudi 6 au vendredi 7avril, alors que la Maison Blanche avait indiqué, une semaine auparavant, que le départ du président syrien n'était pas une priorité. Elle précisait se concentrer, en Irak et en Syrie, sur la lutte contre le terrorisme et contre l'organisation Etat islamique, rapportait le New York Times (en anglais).
"Enfin, l'impunité de Bachar Al-Assad est finie (...) Il ne peut pas continuer à utiliser des armes chimiques sans conséquences", s'est félicité Assaad Al-Achi, directeur de l'ONG Baytna Syria basée en Turquie. Un avis partagé par nombre d'opposants. Pour Mohammad Allouche, membre du Haut comité des négociations, il faut faire davantage : "Frapper un seul aéroport n'est pas suffisant (...). Le monde entier doit aider à sauver le peuple syrien des griffes de l'assassin Bachar [Al-Assad] et de ses acolytes."
Mais le régime de Damas a communiqué en campant sur ses positions. Il a condamné des frappes "idiotes" et "irresponsables". Il a ajouté qu'elles étaient fondées sur des informations erronées, restant sur sa ligne de défense : nier toute responsabilité dans l'attaque chimique menée contre la ville de Khan Cheikhoun. Franceinfo explique pourquoi l'initiative américaine ne risque pas, pour l'instant, de déstabiliser le président syrien.
Parce que Donald Trump a d'abord ordonné ces frappes pour lui
"Avec ces frappes, on est dans le cosmétique", tranche auprès de franceinfo Frédéric Pichon, spécialiste de la Syrie et chercheur à l'université de Tours, faisant valoir que les Russes étaient informés de l'offensive et que le Kremlin a laissé faire. "Je ne crois pas qu'on puisse parler de tournant puisque, militairement, cela reste un événement mineur", a commenté sur franceinfo Michel Goya, ancien militaire et spécialiste des questions de défense.
"C'est peut-être une manière d'adresser un message aux Russes pour leur dire de mieux tenir leur allié syrien, de mieux le contrôler", avance Frédéric Pichon, sans trop y croire.
Le chercheur pense plutôt qu'avec ces frappes, Donald Trump a davantage voulu envoyer un message aux Américains qu'à Bachar Al-Assad. "Il y a beaucoup de politique intérieure là-dedans. Il était en difficulté depuis son arrivée au pouvoir, il était accusé de collusion avec la Russie. Il ne faut pas non plus oublier qu'il a ordonné ces frappes alors même qu'il était en rendez-vous avec le président chinois". "Donald Trump a voulu montrer les muscles", résume-t-il.
Parce qu'il est conforté par le précédent de 2013
En clair, Bachar Al-Assad n'a pas à s'inquiéter dans l'immédiat. "Il n'est pas mis en difficulté tant qu'on en reste à cette unique frappe", selon Frédéric Pichon. En revanche, si l'offensive contre des installations syriennes se poursuivait, le numéro un syrien pourrait commencer à se faire du souci. "Avec des accents bushiens, Donald Trump a lancé un appel aux 'Nations civilisées' pour sortir Al-Assad", souligne l'universitaire.
Des mots qu'il prend avec précaution, rappelant les menaces proférées en 2013 par la communauté internationale, et qui ont été abandonnées. Le 21 août de cette année, quelque 1 400 personnes sont mortes dans une banlieue de Damas tenue par la rébellion. Immédiatement, le régime syrien est pointé du doigt.
"Nous étudions la possibilité d'une action limitée, ciblée", avait annoncé Barack Obama. De son côté, la France se montrait détermineé à mener une action militaire contre le régime syrien. "Il y a un massacre chimique qui est établi. Il y a la responsabilité de Bachar Al-Assad, il faut une réaction", avait déclaré Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères de 2012 et 2016. Mais, finalement, la communauté internationale a fait marche arrière.
Bachar Al-Assad s'était ensuite rapidement engagé à démanteler l'ensemble des armes chimiques syriennes. Avec dix-huit mois de retard, en janvier 2016, l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques annonçait que l'arsenal avait été "détruit à 100%".
Parce que l'étape d'après est loin d'être fixée
Le dirigeant syrien n'a pas à s'alarmer, car la communauté internationale manque cruellement de solutions. "Le problème reste toujours le même. Comment faire partir Bachar Al-Assad sans envoyer des troupes au sol ? Les bombardements ne suffisent pas. On pourrait imaginer que des rebelles au sol pourraient prendre le relais mais la plupart de ces rebelles et les plus puissants, ce sont l'Etat islamique ou Al-Qaïda. Donc on voit mal une coordination avec eux", synthétise Frédéric Pichon.
Autre problème majeur, le remplaçant (ou la remplaçante) du numéro un syrien n'a pas encore été trouvé, insiste le chercheur : "On ne sait toujours pas qui mettre à la place de Bachar Al-Assad. Certes, cela peut arriver mais il faudrait des défections importantes au sein du régime, qui arriveraient après un signal fort en leur disant 'maintenant vous vous débarrassez d'Assad et on vous confie les rênes.'"
En janvier, Bachar Al-Assad a qualifié l'élection de Donald Trump de "positive", jugeant le programme du milliardaire "très prometteur". S'il n'a pas encore à s'affoler, peut-être que le président syrien a changé d'avis depuis.[/size]
Invité Invité
Sujet: Re: Les E.Unis bombardent une base du régime de Bachar el Assad Sam Avr 08 2017, 09:56
Qui vrai, qui dit faux ??? La manipulation US est connue depuis toujours, Comme l'Iraq ou la Syrie !!!
Invité Invité
Sujet: Re: Les E.Unis bombardent une base du régime de Bachar el Assad Sam Avr 08 2017, 10:19
Les guerres ont toujours commencées par des motifs futiles qui n'avaient bien souvent rien a voir avec la situation que l'on reproche aux pays hostiles - l'histoire internationale est un éternel recommencement et se renouvelle sous nos yeux.
Invité Invité
Sujet: Re: Les E.Unis bombardent une base du régime de Bachar el Assad Sam Avr 08 2017, 14:17
Les Tomahawks, ces missiles américains qui ont bombardé la Syrie
Le mot Tomahawk signifierait «frapper» en langue amérindienne algonguin. Il désigne une hache qui restait plantée dans un poteau jusqu’à la fin d’une guerre. Un nom prédestiné pour des missiles de croisière (à longue portée)…
Fabriqué depuis 1986 par la firme américaine Raytheon, le Tomahawk mesure entre 5 et 6 mètres de long, il emporte une charge (classique et possiblement nucléaire) pesant 500 kilos et a une portée de 1250 à 2500 kilomètres. Il vole à une vitesse de 880 kilomètres par heure. Chaque unité coûte quelque 830.000 dollars. «Dénommé Bunker Buster (mot-à-mot: le casseur de bunker) par son fabricant, les pilotes de l’US Air Force l’appellent également Deep Throat (Gorge Profonde), car il peut pénétrer 35 mètres sous terre ou encore perforer 6 à 7 mètres de béton», assure Le Parisien.
Des missiles «intelligents» «C’était l’arme qui s’imposait pour faire des frappes en Syrie», estime le Washington Post. Principal avantage: guidé par un système de navigation sophistiqué, il ne nécessite pas de pilote pour atteindre sa cible. Ces missiles «ne vont pas nécessairement d’un point A à un point B en ligne droite. Ils peuvent faire tout un périple pour éviter d’être abattu», selon un officier supérieur à la retraite cité par CNN. Il peut en effet être redirigé grâce à une modification de ses données GPS.
Les Tomahawks ont une puissance de feu moins importante que des grosses bombes larguées par des avions à pilotage humain. Mais selon un expert cité par le Washington Post, cela n’a pas d’importance. Car l’opération avait pour but d’atteindre des avions syriens. Or, explique l’expert, ces appareils sont «les plus vulnérables des cibles vulnérables et il est inutile d’employer des munitions plus grosses pour les détruire ou les rendre inutilisables». Une variante du missile peut emporter des charges à fragmentation pour provoquer davantage de dégâts.
Utilisés 300 fois lors de la première guerre du Golfe La première apparition de ce missile sur un théâtre d’opération remonte à la première guerre du Golfe en 1991. Tiré à la fois depuis des sous-marins et des navires de surface, il avait alors été utilisé près de 300 fois.
Par la suite, il l’avait été en 1995 en Bosnie-Herzégovine, en Afghanistan en 1998 et au Kosovo en 1999. Le Pentagone y a eu recours en 2011 contre les forces du colonel Kadhafi en Libye et, en 2014, contre des djihadistes en Irak et en Syrie. La dernière utilisation de ce missile remonte à octobre 2016. Les Américains avaient alors bombardé des cibles au Yémen.
Les Britanniques utilisent, eux aussi, des Tomahawks. Et des copies auraient été fabriquées en Corée du Sud, en Chine et au Pakistan.
Invité Invité
Sujet: Re: Les E.Unis bombardent une base du régime de Bachar el Assad Sam Avr 08 2017, 17:52
A quoi joue les américains ?? c'est de la provocation pur !! très dangereux pour nous, ils nous engagent dans un processus si il y a guerre , nous sommes aux premières loges !!
Invité Invité
Sujet: Re: Les E.Unis bombardent une base du régime de Bachar el Assad Dim Avr 09 2017, 08:32
SOURCE : L'Express -: Deux jours après les frappes missiles en Syrie - les E.Unis dirigent un Porte avion vers la Coree du Nord et les menaces nucléaires de Kim Jong Hil. ------------ Un porte-avions américain en route vers la péninsule coréenne Par LEXPRESS.fr avec AFP , publié le 09/04/2017 à 05:13 , mis à jour à 07:02 ------- Photo de l'US navy prise le 31 mars 2017 montrant le porte-avions américain Carl Vinson et sa flotte (photo d'illustration). afp.com/MCS 3rd Class Matt BROWN
Moins de 48 heures après avoir frappé une base aérienne syrienne, les Etats-Unis ont décidé samedi de montrer leurs muscles sur un autre dossier, le nucléaire nord-coréen.
Se dirige-t-on vers un conflit entre les Etats-Unis et la Corée du Nord? Deux jours après les frappes américaines en Syrie, un porte-avions américain et sa flotte font route vers la péninsule coréenne a révélé samedi le porte-parole du commandement américain dans le Pacifique.
"Le commandement américain dans le Pacifique a ordonné au groupe aéronaval déployé autour du porte-avions USS Carl Vinson d'être à disposition et présent dans l'ouest du Pacifique, et ce par mesure de précaution", a déclaré son porte-parole, le commandant Dave Benham. Et de préciser que "la menace numéro un dans la région reste la Corée du Nord, en raison de son programme de missiles irresponsable, déstabilisateur et imprudent, et de la poursuite (de ses recherches) en vue de disposer d'armes nucléaires".
Cinq tests nucléaires Ce groupe comporte le porte-avions Carl Vinson, de la classe des porte-avions Nimitz, son escadron aérien, deux destroyers lanceurs de missiles et un croiseur lanceur de missiles. Alors qu'il devait initialement aller faire escale en Australie, il a pris la route du Pacifique Ouest depuis Singapour.
La Corée du Nord a réalisé cinq tests nucléaires, dont deux en 2016, et les images satellites décortiquées par les experts de "38 North" suggèrent que le régime de Pyongyang serait en train de préparer un sixième essai.
"Acte d'agression intolérable" Selon les services de renseignement américains, la Corée du Nord pourrait être à même de disposer d'un missile à tête nucléaire capable de frapper le sol américain d'ici moins de deux ans. Jeudi et vendredi, le président américain Donald Trump et son homologue chinois Xi Jinping ont longuement discuté en Floride (Etats-Unis), à Mar-a-Lago, dans la résidence privée du nouvel hôte de la Maison Blanche, et Trump aurait demandé à son visiteur de faire pression sur Kim Jong-Un pour que celui-ci cesse son programme d'armement nucléaire.
Le président américain a cependant d'ores et déjà menacé le régime de Pyongyang d'une action unilatérale, et cette menace paraît encore plus crédible depuis la frappe ordonnée jeudi soir sur la base aérienne syrienne d'où auraient décollé les avions syriens supposés responsables de l'attaque chimique présumée contre le village de Khan Cheikhoun mardi.
Samedi la Corée du Nord a d'ailleurs qualifié cette attaque américaine en Syrie d'"acte d'agression intolérable". "La réalité d'aujourd'hui montre que nous devons exercer pouvoir contre pouvoir, et cela prouve plus d'un million de fois que notre décision de renforcer notre dissuasion nucléaire a été le bon choix", a ajouté un porte-parole non identifié du ministère nord-coréen des Affaires étrangères, cité par l'agence officielle KCNA. Selon plusieurs analystes, ces frappes américaines en Syrie constituaient en fait aussi un message clair à destination de Pyongyang.
"Seconde frappe" Le secrétaire d'Etat américain Rex Tillerson avait prévenu dès vendredi que les Etats-Unis étaient prêts à "agir seuls" si nécessaire contre la Corée du Nord: "Nous (...) sommes prêts à agir seuls si la Chine n'est pas capable de se coordonner avec nous" pour contrer les ambitions nucléaires de Pyongyang, qui violent le droit international, avait déclaré Rex Tillerson, depuis Mar-a-Lago. Pyongyang a tiré mercredi un missile balistique qui s'est abîmé en mer du Japon, à la veille de la première rencontre entre Donald Trump et Xi Jinping.
En février, la Corée du Nord avait tiré simultanément quatre autres missiles, dont trois avaient fini leur course dangereusement près du Japon. Elle avait expliqué qu'il s'agissait d'un exercice en vue d'une attaque contre les bases américaines dans l'archipel. Fin août 2016, la Corée du Nord avait également tiré depuis un sous-marin un missile qui avait parcouru un demi-millier de kilomètres en direction du Japon, ce qui constituait pour les experts une nette avancée dans les programmes de Pyongyang.
Une véritable capacité de missiles stratégiques mer-sol (MSBS) ferait monter d'un cran la menace nucléaire, car Pyongyang pourrait ainsi porter sa dissuasion bien au-delà de la péninsule et disposerait d'une capacité de "seconde frappe" en cas d'attaque. S'ils soulignent les progrès nord-coréens, les experts estiment cependant que la Corée du Nord est encore loin de maîtriser la technologie MSBS.
Invité Invité
Sujet: Re: Les E.Unis bombardent une base du régime de Bachar el Assad Lun Avr 10 2017, 06:13
La Russie et l'Iran riposteront a toute nouvelle attaque envers la Syrie!..La soupe devient chaude et sa mijote.... Athos79 ----
Blog : Citoyens et Francais 9 avril 2017 Syrie: Russie et Iran riposteront à toute nouvelle attaque
« En frappant une base aérienne syrienne, les Etats-Unis ont franchi la ligne rouge », a dit en substance le « Centre de Coordination de Combat contre le Terrorisme » composé de la Russie, de l’Iran et autres soutiens de la Syrie, en promettant de répondre par la force à tout nouvel acte d’agression contre la Syrie, d’où qu’il vienne. (« From now on, we will respond by force to any aggressor and to any violation of the red line, from whom it may emanate. »)
Ce dimanche 9 avril les présidents russe et iranien se sont entretenus par téléphone: « Un échange de points de vue a eu lieu concernant la situation en Syrie. Les 2 parties ont affirmé que les actions agressives des Etats-Unis contre un état souverain, en violation des lois internationales, sont inadmissibles.
Vladimir Putin et Hasan Roukhani appellent à une enquête objective et non biaisée sur les circonstances de l’attaque chimique du 4 avril en Syrie », indique le communiqué publié par la Russie. Le président iranien a par ailleurs réaffirmé le même jour par téléphone au président Assad que l’Iran ne cessera pas son soutien à la Syrie.
Les frappes américaines ont le soutien du Royaume-Uni, de la France, de l’Allemagne, d’Israël, de l’Arabie Saoudite… et de la Turquie, dont les revirements successifs n’étonnent plus au Kremlin! Le Secrétaire d’Etat américain Rex Tillerson a appellé la Russie à cesser de soutenir le Président Assad dont les Etats-Unis exigent le départ, et a lié la situation à l’introduction de nouvelles sanctions contre la Russie.
Aux Nations Unies ce 9 avril le représentant des Etats-Unis a indiqué que la priorité des américains est le départ du President Assad.
Selon certaines informations, Rex Tillerson qui sera à Moscou les 11 et 12 avril délivrera un ultimatum à Moscou pour que la Russie cesse tout soutien à la Syrie.
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Sujet: Re: Les E.Unis bombardent une base du régime de Bachar el Assad Lun Avr 10 2017, 07:55
La !! Les dés sont entrain d'être jetés !! Qui va gagner la 1er manche ?? Sans aucun doute , ce ne sera pas les soldats qui vont avoir la meilleur part !!
glaive
Nombre de messages : 4766 Age : 60 Emploi : Doublure Date d'inscription : 08/06/2012
Sujet: Re: Les E.Unis bombardent une base du régime de Bachar el Assad Lun Avr 10 2017, 23:38
3èmeGUERRE MONDIALE ,c'était PREVU depuis longtemps .En plus,TRUMP, s'attaque à la COREE DU NORD.................................PREPARONS NOUS,cela commence tout doucement
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Sujet: Re: Les E.Unis bombardent une base du régime de Bachar el Assad Jeu Avr 13 2017, 08:06
UN SITE NUCLEAIRE NORD COREEN CHARGE . -------------------------------------------------- SOURCE : HUFTPOST ----------------------- INTERNATIONAL Le site d'essais nucléaires en Corée du Nord serait "amorcé et prêt" à servir de nouveau La Corée du Nord aurait "apparemment placé un engin nucléaire dans un tunnel" qui pourrait être lancé samedi matin. 13/04/2017 04:30 CEST | Actualisé il y a 3 heures KCNA KCNA / REUTERS
Le site d'essais nucléaires nord-coréen serait "amorcé et prêt" à servir. INTERNATIONAL - Le site d'essais nucléaires nord-coréen Punggye-ri, dans le nord du pays, est "prêt" à servir, affirment les analystes de "38 North", un site internet qui fait autorité sur le régime communiste et se base sur plusieurs images satellites datées de mercredi.
Le site de Punggye-ri est "amorcé et prêt", écrivent ces experts. Les images satellites "montrent une activité continue autour du portail nord, de nouvelles activités dans la zone administrative principale et du personnel près du centre de commandement".
La Corée du Nord aurait "apparemment placé un engin nucléaire dans un tunnel" qui pourrait être lancé samedi matin, affirme par ailleurs la radio Voice of America (VOA), qui cite plusieurs responsables américains sous couvert de l'anonymat.
Préparatifs depuis le 25 mars
Le régime communiste a prévu de célébrer samedi le 105e anniversaire de son fondateur. Ces cérémonies sont souvent le prétexte à un déploiement de forces militaires.
La Corée du Nord a promis mardi de répondre à l'envoi "insensé" d'un groupe aéronaval américain vers la péninsule coréenne, avertissant qu'elle était prête pour la "guerre" alors que la tension monte encore d'un cran dans la région.
Le président américain Donald Trump a pour sa part menacé d'une action unilatérale américaine contre la Corée du Nord si la Chine, alliée du régime de Pyongyang, ne réussissait pas à faire entendre raison à son turbulent voisin.
De précédentes images satellites datées du 25 mars montraient déjà des préparatifs en vue d'un nouveau test nucléaire en Corée du Nord, selon "38 North". L'envoi d'un missile samedi serai le 6e essai de la Corée du Nord qui tente de se doter de missiles intercontinentaux capables de transporter une charge atomique.
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Sujet: Re: Les E.Unis bombardent une base du régime de Bachar el Assad Jeu Avr 13 2017, 08:24
Cela prouve qu'il existe encore des cons capable d'appuyer sur le bouton d'une guerre nucléaire !! çà bouge de partout, attention à la mise à feu !!
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Sujet: Re: Les E.Unis bombardent une base du régime de Bachar el Assad Mar Avr 18 2017, 22:36
Question : Ou sont passés les missiles qui n'ont pas atteints leurs cibles?
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Sujet: Re: Les E.Unis bombardent une base du régime de Bachar el Assad
Les E.Unis bombardent une base du régime de Bachar el Assad