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> > Remise à sa place d’Hidalgo, place qu'elle n'aurait jamais dû
> > quitter, le fond de la classe !!!!
> > Texte de Manuel GOMEZ
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> > Manuel GOMEZ est né à Alger (Bab-el-Oued) le 17 novembre 1941.Il a été
> > engagé comme journaliste pigiste par Albert Camus dans le quotidien
> > Alger-Républicain, puis chef de rubrique à La Dépêche d'Algérie.Il a
> > poursuivi sa carrière en France, après 1962, comme chef de rubrique
> > dans le quotidien L'Aurore, également comme rédacteur à Paris-Turf et
> > correspondant du quotidien Le Méridional.
> > Le manque de curiosité et l'inculture des religions alliées à la
> > bêtise, à l'à-plat-ventrisme donnent un résultat totalement renversant
> > et insultant !
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> > De Manuel Gomez, écrivain
> >
> > On peut être Maire d’une capitale comme Paris tout en présentant de
> > larges déficiences culturelles sur certains sujets.
> > Sa déclaration n’est qu’un monument d’erreurs « Le ramadan est une fête
> > qui fait partie du patrimoine culturel français. Le célébrer fait
> > partie du partage et ne contrecarre pas la laïcité. »Et bien NON Madame
> > la lécheuse de babouche: Trois erreurs grossières dans cette simple
> > petite phrase destinée à satisfaire les représentants des musulmans de
> > France, qu’elle recevait en grande pompe à l'’hôtel de ville.
> >
> > 1) Le ramadan n'’est pas une fête.
> > Bien au contraire, il s'’agit d’'une épreuve pénible imposée par le
> > Prophète à ses croyants afin de tester leur fidélité : jeûne total,
> > abstinence sexuelle et étude du Coran durant toute la journée (les
> > manquements étant très sévèrement punis, jusqu’'à la peine de mort).
> > Cela n'’a rien d'’une fête. La fête suit dès la fin du ramadan car,
> > justement, c'’est une fête qu'’il soit enfin terminé, il s'’agit alors
> > de l’'Aïd el-Fitr et cette fête peut même durer jusqu’'à trois
> > jours. 2) Le ramadan n’'a jamais fait, ne fait pas et ne fera jamais
> > partie du “patrimoine culturel français”.
> > Mme Hidalgo imagine-t-elle une seule seconde que l’'occupation de la
> > France du Sud, avec ses pillages, ses razzias, ses paiements de
> > rançons, son exploitation systématique au bénéfice du califat, son
> > esclavage (sexuel pour les femmes et économique pour les jeunes hommes
> > qui étaient châtrés afin de pouvoir ni “forniquer” ni se reproduire),
> > etc., permettrait un jour d’'inscrire cette période néfaste au
> > patrimoine culturel de notre pays ?
> > 3) « Célébrer le ramadan ne contrecarre pas la laïcité » ?
> > Effectivement, que les fidèles musulmans pratiquent le ramadan ne
> > contrecarre en rien la laïcité, tout comme les juifs et les chrétiens
> > qui célèbrent leurs fêtes religieuses. Mais quand la pratique de la
> > religion musulmane nous oblige à la subir contre notre volonté, cela
> > contrecarre la laïcité.
> > Quand on ne veut pas que les femmes soient soignées par des médecins
> > hommes.
> > Quand on exige des horaires spéciaux dans les piscines ou salles de
> > sports.
> > Quand on exige des menus « halal » dans les cantines des crèches et des
> > écoles.
> > Quand on porte le « voile » dans l’'unique but de provoquer, justement,
> > les lois laïques.
> > Quand on demande que l'’on offre des églises pour en faire des
> > mosquées.
> > Quand on débaptise des fêtes chrétiennes et que l’on supprime le mot «
> > saint » sur les médias télévisés et que l’'on souhaite également le
> > supprimer dans le nom de nos communes, etc. Un jour on ira peut-être à
> > Tropez, à Raphael ou bien à Etienne !
> > Tout cela contrecarre la laïcité car il s’agit d’exigences
> > communautaires d’une religion.Alors, Mme la Maire de Paris, si votre
> > culture n’est pas à la hauteur de vos ambitions politiques, profitez de
> > la prochaine période du ramadan, non pas pour étudier le Coran mais
> > pour vous instruire davantage sur les « valeurs de la République »
> > qu'hélas, vous représentez.
> > Et souvenez-vous que l’Andalousie, où vous êtes née, a subi sept
> > siècles d'occupation par les Maures au cours desquels des dizaines de
> > milliers de vos anciens compatriotes ont payé de leur vie pour s’en
> > libérer et d’autres, livrés à l’esclavage, se sont vu priver à vie de
> > leur liberté.
> > Manuel Gomez