INTERNATIONAL 18:20 04.10.2015(mis à jour 13:27 05.10.2015) URL courte 19124851781
Pour le moment, la Russie n'est que "l'alliée de Bachar el-Assad", mais elle peut devenir également l'alliée de la France, a déclaré le président français François Hollande.
[size] L'Occident est jaloux du succès de la Russie en Syrie La Russie pourrait prochainement devenir un partenaire de la France dans le cadre de la lutte contre le groupe terroriste Etat islamique et le règlement de la crise syrienne, a estimé le chef d'Etat français dans un entretien exclusif à la chaîne de télévision Arte, au cours duquel il a évoqué des sujets brûlants d'actualité, la crise syrienne entre autres. A la question de savoir si le président russe Vladimir Poutine était l'allié de la France en Syrie, François Hollande a répondu que l'on ne pouvait pas le constater actuellement. "Non, pour l'instant il n'est pas notre allié. Il est l'allié de Bachar el-Assad, ce n'est pas la même chose. Il peut être demain — et je le souhaite et c'est ce que je lui ai dit — un partenaire, un partenaire pour chercher la solution politique (…) pour frapper Daech", a précisé le président français. Plus tôt dans la semaine, le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov avait annoncé que les chefs d'Etat russe et français avaient discuté lors de la rencontre bilatérale de l'opération militaire en Syrie, et que M. Poutine avait notamment souligné la nécessité de la participation d'autres pays afin d'assurer la réussite de l'opération.
[size] Voir Paris et repartir: les conclusions de la rencontre "Normandie" Toujours d'après M. Peskov, le dialogue au "format Normandie" va continuer. Plus précisément, il y aura des rencontres des ministres des Affaires étrangères des quatre pays en novembre, ainsi que des discussions des conseillers pour les affaires étrangères des présidents. Le 30 septembre, les forces armées russes ont entamé une opération militaire contre l'EI en Syrie sur décision du président russe Vladimir Poutine et à la demande du président syrien Bachar el-Assad. Les frappes aériennes russes ciblent les sites militaires, les centres de communication, les transports, ainsi que les stocks d'armes, de munitions et de combustibles appartenant à l'EI.[/size]
Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/international/20151004/1018588918/syrie-poutine-hollande-allies.html#ixzz3nhJP8zf7
Commandoair40 Admin
Nombre de messages : 29167 Age : 78 Emploi : Français Radicalisé . Date d'inscription : 07/11/2014
Sujet: Exclusif : zoom sur les avions de combats russes en Syrie (VIDEO) Lun Oct 05 2015, 15:53
Exclusif : zoom sur les avions de combats russes en Syrie (VIDEO)
Des avions de combat russes ont frappé 60 cibles de l'Etat islamique lors des quatre derniers jours en Syrie.
Le correspondant de RT Mourad Gazdiev a pu les voir de près sur l’aérodrome russe en Syrie.
Le ministère de la Défense russe a déclaré avoir bombardé des combattants du groupe terroriste Daesh près de la ville syrienne de Raqqa, la capitale de facto du groupe terroriste.
Les frappes ont été portées lors de la dernière vague comprenant plus de vingt missions.
Le correspondant de RT Mourad Gazdiev est allé voir de plus près ces avions de chasse et bombardiers SU-22, SU25 et SU-34 qui ont réalisé ces frappes.
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
Invité Invité
Sujet: Re: Il était temps , la Russie s'en mêle Lun Oct 05 2015, 16:42
Je bois du petit lait et si poutine pouvait s'en sortir tout seul sans s'allier avec nous ce serait encore mieux il a fait le plus gros du boulot jusqu'à présent c'est à lui que reviennent toutes les félicitations il n'a pas à les partager .
Commandoair40 Admin
Nombre de messages : 29167 Age : 78 Emploi : Français Radicalisé . Date d'inscription : 07/11/2014
Sujet: Re: Il était temps , la Russie s'en mêle Lun Oct 05 2015, 17:08
Lili .
Comment remercier les fouteurs de merde Américano européens .
Ce sont des sans "Couilles"
Notre "Bouffon National" , va tourner sa veste :
En plus les Turcs , eux aussi vont bientôt morfler avec leurs petits F16 et leurs pilotes de pacotille .
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
Invité Invité
Sujet: Re: Il était temps , la Russie s'en mêle Lun Oct 05 2015, 18:43
Pas de bla-bla avec cette force de combat, du dernier cri super efficace bravo les Russes
Papa schulz Admin
Nombre de messages : 12008 Age : 64 Emploi : Apéro à plein temps! Date d'inscription : 23/10/2007
Sujet: Re: Il était temps , la Russie s'en mêle Mar Oct 06 2015, 19:58
petit film de 15 minutes qui montre des frappes Russe !!!
Dans une guerre, ce qui se passe, ce n'est jamais ce qu'on avait prévu. Alors ce qui compte, c'est d'avoir le moral !
Invité Invité
Sujet: Re: Il était temps , la Russie s'en mêle Mar Oct 06 2015, 21:22
De vrais rats - qui utilisent les mosquees et meme les civils comme boucliers humains ============= https://francais.rt.com/international/7935-daesh-se-cache-dans-mosquees ===================== D’après le vice-ministre russe de la Défense, Anatoliï Antonov, les terroristes de Daesh ont trouvé une solution pratique qui a pu être filmée pour éviter les frappes de l’aviation russe en Syrie.
Anatoliï Antonov, vice-ministre de la Défense russe, a annoncé lors de la conférence de presse qui a suivi sa rencontre avec les attachés militaires étrangers à Moscou que les combattants de Daesh utilisaient les lieux de culte pour se réfugier et mettre leurs armes à l’abri car ils connaissent le respect avec lequel les soldats russes les traitent et sont persuadés qu’ils ne les attaqueront «jamais». «Nous avons aujourd’hui des informations selon lesquelles les terroristes se cachent dans les mosquées. De plus, nous savons que les terroristes cachent leurs unités techniques autour des mosquées. Prenant en considération notre attitude attentionnée et notre respect pour les mosquées, ils comprennent très bien que nous ne frapperons jamais des objets non-militaires», a-t-il précisé.
Pour prouver les dires du ministre, le ministère de la Défense a diffusé une vidéo où l’on voit les terroristes s’approcher d’une mosquée et positionner leurs véhicules armés autour de ce lieu de culte.
Lors de la rencontre avec les journalistes, Anatoliï Antonov a mis en évidence que les observateurs russes disposaient d’images prises par satellite et par avion. «Nous avons vérifié nos données une centaine de fois. Nos décisions sont bien équilibrées, discutées et calculées. Nous entamons nos frappes seulement si nous sommes sûr à 100% que nous toucherons la bonne cible», a-t-il expliqué.
Invité Invité
Sujet: Re: Il était temps , la Russie s'en mêle Mar Oct 06 2015, 21:46
En direct : les frappes de l'aviation russe visent à désorganiser les opérations de Daesh en Syrie 3 oct. 2015, 16:30 Source: RIA NOVOSTI Les avions russes Su-34 à Lattaquié
Depuis le 30 septembre, l’armée de l’air russe mène son opération militaire visant les positions de Daesh en Syrie à la demande des autorités de Damas. C’est de la base aérienne russe à Lattaquié que les avions décollent pour frapper les terroristes.
Mardi 6 octobre 21h06 CET Le ministère de la Défense russe a déclaré que Daesh utilisait des civils syriens comme boucliers humains.
19h14 CET Le ministère de la Défense russe a déclaré que les frappes aériennes russes ont touché mardi 6 octobre 12 cibles de Daesh. «Les chasseurs Su-34, Su-24M et Su-25 ont frappé 12 cibles d'infrastructure, de postes de commandement, de camps terroristes et de centres d'entraînement appartenant aux combattants de Daesh», a précisé le porte-parole du ministère russe de la Défense, Igor Konachenkov.
18h01 CET Le représentant officiel du ministère russe de la Défense Igor Konachenkov a dénoncé toutes les déclarations des médias étrangers à propos des frappes russes qui auraient touché la ville de Palmyre en les qualifiant de «mensonges absolus». «Notre aviation en Syrie ne frappe pas des lieux habités», a-t-il fait savoir.
17h44 CET Le vice-ministre de la Défense russe, Anatoliï Antonov a annoncé que les combattants de Daesh utilisaient les lieux de culte pour s’abriter car ils savent le respect avec lequel les soldats russes les traitaient et sont persuadés qu’ils ne les attaqueront «jamais». «Nous avons aujourd’hui des informations selon lesquelles les terroristes se cachent dans les mosquées. De plus, nous savons que les terroristes cachent leurs unités techniques autour des mosquées. Prenant en considération notre attitude attentionnée et notre respect pour les mosquées, ils comprennent très bien que nous ne frapperons jamais des objets non-militaires», a-t-il fait savoir lors de la conférence de presse qui a suivi sa rencontre avec les attachés militaires étrangers à Moscou.
14h46 CET La carte des frappes russes visant les cibles de Daesh en Syrie ces derniers jours
14h08 CET Les forces aériennes russes ont attaqué les positions occupées par Daesh à Palmyre et dans les environs de la ville, a fait savoir ce mardi la télévision nationale syrienne en citant une source militaire anonyme. Auparavant, le ministère russe de la Défense avait annoncé que ses chasseurs avaient réalisé 15 sorties et frappé 10 cibles de Daesh dans différentes régions de Syrie. Selon Moscou, au moins 20 chars et 3 lance-roquettes ont été détruits dans la province de Homs, près de la ville de Palmyre le 5 octobre.
«Lors de la journée, Su-34, Su-24M et Su-25 ont exécuté au total 15 sorties depuis la base de Khmeimim. Les frappes aériennes ont touché 10 cibles du groupe terroriste de Daesh en Syrie», a précisé le porte-parole du ministère de la Défense russe, Igor Konachenkov. Des avions Su-25M et Su-24 ont frappé deux cibles à l’est de la province de Homs près de la ville de Tadmur. «Quelques 20 unités de chars T-55 qui avaient été pris aux forces de l’armée syrienne et trois lance-roquettes multiples ont été détruites», a-t-il précisé.
Le ministère de la Défense russe a aussi diffusé une vidéo des frappes russes sur un dépôt d’armes appartenant aux terroristes à Homs. «Des éclairs lumineux prouvent l’explosion des armes provoquée par les frappes aériennes. La fumée dense atteste de l’incendie au dépôt», explique encore le ministère.
Lundi 5 octobre 12h44 CET Selon le Premier ministre turc Ahmet Davutoglu, la Russie a répondu à Ankara que le fait qu’un avion russe soit entré dans l’espace aérien turc était une faute et que cela ne se répéterait plus. Comme le ministère turc des Affaires étrangères l’a affirmé, un avion de combat russe a violé samedi l’espace aérien turc au-dessus de la frontière turco-syrienne. Deux chasseurs turcs F-16 ont décollé pour intercepter l’appareil russe.
11h59 CET
11h06 CET
Dimanche, les avions russes ont effectué 25 raids et ont frappé 9 installations de Daesh en Syrie
Les avions russes ont effectué 25 raids et ont frappé 9 installations de Daesh en Syrie au cours des dernières 24 heures, a fait savoir lundi le ministère russe de la Défense. Plus exactement, les bombardiers russes qui décollent de la base Khmeimim près de Lattaquié, ont détruit un camp terroriste camouflé dans la forêt près de la ville d’Idleb, qui abritait 30 véhicules blindés, y compris des chars T-55 de fabrication soviétiques. Ces chars ont été pris par les terroristes à l’armée syrienne. En savoir plus : zoom sur les avions de combats russes en Syrie (VIDEO EXCLUSIF) «Six frappes aériennes ont frappé le camp, et l’équipement des terroristes a été entièrement détruit», a fait savoir le porte-parole de la Défense russe Igor Konachenkov.
Un centre de commandement de Daesh dans la province de Lattaquié a également été détruit par une frappe chirurgicale d’un chasseur russe, qui a provoqué un incendie sur le site. En savoir plus : L’Irak a réclamé des frappes russes contre des sites de Daesh «La nuit dernière, des bombardiers Su-25 ont visé des positions d’artillerie des terroristes près de Jisr al-Choghour. Une frappe autre chirurgicale a entraîné la destruction des munitions et des véhicules», a raconté Igor Konachenkov.
Dans la province de Homs, trois frappes sur les infrastructures terroristes ont anéanti deux entrepôts d’armes. Un poste de commandement de l’Etat islamique près de la ville de Rastane a été aussi détruit. Toutes les frappes des forces aériennes russes visent à «désorganiser les systèmes de contrôle et à détériorer la logistique des terroristes», a souligné le porte-parole du ministère de la Défense.
Samedi 3 octobre 16h41 CET La panique et la désertion ont gagné les rangs des djihadistes, a-t-on annoncé au ministère de la Défense russe. «Environ 600 mercenaires ont abandonné leurs positions et essaient d’atteindre l’Europe», a fait savoir le général Kartapolov.
Découvrir plus
Le 30 septembre, Moscou a entamé des frappes aériennes en Syrie, suite à une requête de la part du gouvernement officiel à Damas et avec l’autorisation du parlement russe. En quatre jours de frappes, dont les buts ont fait l'objet de vastes spéculations médiatiques en Occident, les avions russes ont détruits plusieurs bases de Daesh, y compris un camp d’entraînement et un centre de commandement du groupe térroriste à Alep.
International Raconter l'actualité
Invité Invité
Sujet: Re: Il était temps , la Russie s'en mêle Mer Oct 07 2015, 16:50
MOSCOU ET ANKARA S'INSTALLENT UN TELEPHONE ROUGE POUR EVITER LES INCIDENTS DE FRONTIERES ET DE VIOLATION DE L'ESPACE ARERIEN TURC KANESATAKE ============ Moscou et Ankara instaurent une ligne de communication directe pour éviter de nouveaux incidents 7 oct. 2015, 13:46 Source: RIA NOVOSTI
Les militaires russes et turcs ont mis en place une communication directe pour éviter à l’avenir des incidents dans l’espace aérien à la frontière turco-syrienne, a fait savoir un représentant du ministère russe de la Défense. Les consultations entre la Russie et la Turquie ont commencé après qu’Ankara a accusé Moscou, deux fois au cours de trois derniers jours, d’avoir violé ses frontières aériennes. Selon le ministère turc de la Défense, les avions russes ont violé l’espace aérien turc les 3 et 4 octobre. Le ministère russe de la Défense a expliqué que le 3 octobre, l’avion de combat russe SU-30 était entré accidentellement dans l’espace aérien turc pendant quelques secondes à cause de mauvaises conditions météo.
Invité Invité
Sujet: Re: Il était temps , la Russie s'en mêle Mer Oct 07 2015, 20:43
De source : Yahoo actualité =================
LE MONDE SELON RAVANELLO
AFP/AFP/Archives - Des combattants du "Premier bataillon" de l'Armée syrienne libre participent à un entraînement, le 4 mai 2015, dans la ville d'Alep (nord de la Syrie
Reuters - il y a 5 heures
La Russie s'est dite prête mercredi à établir des contacts avec l'Armée syrienne libre (ASL), principal groupe armé modéré en Syrie, afin de coordonner la lutte contre le groupe Etat islamique (EI) et tenter de trouver une issue politique au conflit. Moscou est prêt à "établir des contacts avec les dirigeants de cette structure dans le but de discuter de la possibilité de son implication dans le travail de mise en place d'un processus de règlement politique de la crise syrienne, via des pourparlers entre le gouvernement et l'opposition patriotique", a indiqué dans un communiqué le ministère russe des Affaires étrangères. "Conformément à la position exprimée par le président Vladimir Poutine, la Russie est prête à contribuer à l'unification des efforts de l'armée syrienne et de l'ASL dans la lutte contre l'EI et les autres groupes terroristes, y compris via une coordination avec les actions de l'aviation russe", poursuit le ministère. M. Poutine a affirmé mercredi que son homologue français François Hollande lui avait proposé vendredi à Paris d'"unifier les efforts" des forces de Bachar al-Assad et de l'Armée syrienne libre. "Il est vrai que nous ne savons pas pour le moment où (cette Armée syrienne libre) se trouve et qui la dirige", a nuancé M. Poutine, tout en jugeant cette idée "intéressante". L'entourage du président français a par la suite démenti que M. Hollande ait évoqué une telle alliance, affirmant qu'il avait simplement rappelé à son homologue russe la "nécessaire présence de l'opposition syrienne" aux négociations de paix.
Invité Invité
Sujet: Re: Il était temps , la Russie s'en mêle Jeu Oct 08 2015, 14:40
Ce groupe de collision avec un navire de la nuit de la marine russe a lancé des missiles de croisière contre ISIS installations d'infrastructure en Syrie.
Ce soir, un groupe d'intervention navale (IBM) de la Marine de la Russie dans le navire de missiles "Daghestan" de petits navires de missiles "Sviyazhsk", "Ouglitch", "Great Ustyug" frappé par des missiles de croisière à partir de la zone désignée de la mer Caspienne sur LIH d'infrastructure sur Syrie.
Le tir a été effectué par bateau armes de haute précision "Calibre NK" missile de croisière qui avec succès et avec une grande précision pour toucher tous les objectifs fixés.
Cette nuit, le groupe de collision avec un navire de la marine russe composé du navire de missiles Daghestan, les navires de missiles de petite taille Grad Sviyazhsk, Ouglitch, Veliky Ustyug lancé des missiles de croisière contre ISIS installations d'infrastructure en Syrie du district affecté de la mer Caspienne.
Le tir a été effectué par des systèmes de missiles de croisière de haute précision Kalibr NK, les missiles de croisière qui livrent tous les objectifs assignés avec succès et avec une grande précision.
Invité Invité
Sujet: Re: Il était temps , la Russie s'en mêle Jeu Oct 08 2015, 15:25
UN AUTRE SON DE CLOCHE : CELUI DE L'OTAN.. QUI DEPLORE ET SIGNALE L'ESCALADE RUSSE DANS LE CONFLIT ENVERS DES PAYS DE L"ALLIANCE ; LA TURQUIE. KANEDATAKE ==================
L'Otan s'inquiète de l'"escalade" militaire russe en Syrie
12h19 par charente libres
. PHOTO/DR L'Otan a qualifié d'"escalade inquiétante"l'engagement militaire russe en Syrie, exhortant à nouveau Moscou à cesser de soutenir le régime de Bachar al-Assad, et s'est dite prête à défendre chacun de ses membres, "y compris la Turquie". "En Syrie, nous avons observé une escalade inquiétante des activités militaires russes. Nous allons analyser les derniers développements et leurs implications pour la sécurité de l'Alliance", a déclaré aux médias son secrétaire général, Jens Stoltenberg, au début d'une réunion des 28 ministres de l'Otan à Bruxelles.
"Ceci est particulièrement pertinent au regard des violations récentes de l'espace aérien de l'Otan par des avions russes", a noté M. Stoltenberg après que la Turquie, pilier de l'Alliance atlantique, a dénoncé des incursions aériennes russes à la frontière turco-syrienne. "Nous avons vu des frappes aériennes, des tirs de missiles, nous avons vu des incursions dans l'espace aérien turc, et bien entendu tout ceci suscite des raisons d'inquiétude", a-t-il dit aux journalistes.
L'Otan a déployé des missiles Patriot en Turquie pour éviter que le conflit en Syrie ne déborde sur le territoire de cet important allié, situé sur le flanc sud de l'Alliance, mais ces batteries doivent en principe être retirées d'ici à la fin de l'année. "L'Otan est capable et prêt à défendre tous ses alliés, y compris la Turquie, contre tout type de menaces", a déclaré le patron de l'Otan, interrogé sur une possible extension du déploiement des Patriot.
Que la Russie joue un rôle constructif
"Nous avons déjà réagi en augmentant notre capacité à déployer des forces, y compris vers le Sud, y compris en Turquie, si cela s'avère nécessaire", a rappelé le chef de l'Otan. Parallèlement, ce dernier a plaidé pour des "initiatives afin de trouver une solution politique à la crise en Syrie". Prévue de longue date, la réunion des ministres de la Défense de l'Otan, est dominée par la guerre en Syrie -même si l'Otan n'y est pas collectivement impliquée-, ce qui ne l'empêchera pas d'aborder aussi la situation en Afghanistan, où elle a des troupes, alors que la sécurité s'y détériore.
La rencontre se tient au moment où les tensions s'accroissent avec Moscou, dont l'intervention militaire en Syrie a permis à l'armée du président Assad de lancer une vaste offensive terrestre. Les frappes russes "ont diminué la capacité de combat de l'EI (l'organisation extrémiste Etat islamique, ndlr) et des autres groupes terroristes", a affirmé ce jeudi le chef d'état-major de l'armée syrienne, le général Ali Abdallah Ayoub, en assurant qu'après celles-ci, "les forces armées syriennes ont gardé l'initiative militaire".
"J'appelle la Russie à jouer un rôle constructif dans la lutte contre l'EI et à ne pas continuer à soutenir le régime al-Assad, car un tel soutien ne constitue pas une contribution constructive à une solution pacifique et durable en Syrie", a-t-il réitéré. Washington, à la tête d'une coalition qui combat les jihadistes du groupe Etat islamique, a redit mercredi ne pas coopérer avec la Russie sur les bombardements aériens qu'elle mène en Syrie, le secrétaire américain à la Défense Ashton Carter les qualifiant d'"erreur fondamentale".
Invité Invité
Sujet: Re: Il était temps , la Russie s'en mêle Jeu Oct 08 2015, 15:41
Spurce : Ephemerodes de l'Histpire : 8 Octobre 1912 Serions nous en train de revivre les deux annees précédents la guerre de 19/4 - 1918 avec la Turquie? ======================1912==================
1912 Début de la Première Guerre balkanique.
La Première Guerre balkanique qui dura d'octobre 1912 à mai 1913 opposa la Ligue balkanique (la Serbie, la Bulgarie, la Grèce et le Monténégro) à l'Empire ottoman. Les armées des états des Balkans en supériorité numérique furent rapidement victorieuses. À la fin de cette guerre, les membres de la Ligue balkanique se partagèrent la quasi-totalité des anciens territoires européens de l'Empire ottoman, mais en Macédoine, la Bulgarie s'estima lésée par ce partage, ce qui provoqua la Deuxième Guerre balkanique.
Commandoair40 Admin
Nombre de messages : 29167 Age : 78 Emploi : Français Radicalisé . Date d'inscription : 07/11/2014
Sujet: Re: Il était temps , la Russie s'en mêle Jeu Oct 08 2015, 16:05
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
Invité Invité
Sujet: Re: Il était temps , la Russie s'en mêle Jeu Oct 08 2015, 16:07
La turquie cherche des poux c'est manifeste pour des incursions juste frontalières et d'un temps très court , la France elle même a violé l'espace de la syrie puisqu'elle n'avait pas l'accord des syriens ou comment faire de la propagande et de la désinformation .La Russie fait ce qu'elle veut si veut soutenir assad c'est son problème et si la Turquie préfère les islamistes c'est son problème et si nous nous préférons soutenir Erdogan c'est aussi notre problème après chacun en paiera le prix .
Invité Invité
Sujet: Re: Il était temps , la Russie s'en mêle Jeu Oct 08 2015, 20:16
Sources : Valeurs actuelles =======
Le président Vladimir Poutine a prévenu mercredi que les frappes russes vont s’intensifier dans les prochains jours en Syrie. Depuis le début de l’offensive russe, 112 cibles terroristes ont déjà été touchées. La Russie est aujourd’hui le pays qui a mené le plus d’actions pour éradiquer l’État islamique, mais aussi l’armée rebelle syrienne, dont les combattants sont des djihadistes. Ses attaques contre l’armée rebelle syrienne lui sont reprochées depuis le début du conflit par les États-Unis et la France. La Russie assume vouloir détruire totalement les djihadistes de la région, quels qu’ils soient. De son côté, la France, après avoir effectué des vols de reconnaissance, a mené quelques frappes qui relèvent plus du symbole que de l’efficacité. Effectivement, les autorités françaises n’ont plus aucun leadership en politique étrangère, ce qui les amène à agir sur instruction américaine.
Invité Invité
Sujet: Re: Il était temps , la Russie s'en mêle Ven Oct 09 2015, 11:08
DE SOURCE LE POINT =============== UNE INTEWIEW D' ERIC NADON : DIPLOMATE ========== LE MONDE EST IL A LA VEILLE D'UNE TROISIÉME GUERRE MONDIALE..? ================
[size=33]Syrie : le monde entre-t-il dans une troisième guerre mondiale ?[/size]
L'entrée de la Russie sur la scène diplomatico-militaire constitue-t-elle les prémices d'une crise encore plus grave en Syrie ? "Non", selon le diplomate Éric Danon.
PAR JEAN GUISNEL Publié le 09/10/2015 à 09:15 | Le Point.fr
Le Point.fr : Êtes-vous sur la ligne des Cassandre qui voient notre monde à la veille d'une troisième guerre mondiale ?
Éric Danon : Tout d'abord, méfions-nous des grands mots en faisant attention au vocabulaire employé. Certes, le monde ne manque pas de foyers de tensions et de graves crises potentielles ! Mais être à la veille d'une troisième guerre mondiale signifierait qu'un nombre considérable de puissances seraient prêtes à s'affronter directement entre elles, avec des conséquences catastrophiques pour les populations, leurs biens et leurs infrastructures. Nous n'observons pas aujourd'hui les éléments qui prévalaient avant chacune des deux guerres mondiales. N'oublions pas non plus que ces dernières sont toutes les deux nées en Europe, notamment autour de litiges territoriaux. Nous ne sommes pas dans cette situation.
Mais la crise moyen-orientale ne pourrait-elle pas être un détonateur ?
C'est l'histoire de l'étincelle qui met le feu au baril de poudre. De 1888 à 1914, la politique de Guillaume II est marquée par un militarisme et un autoritarisme exacerbés qui rendent explosive la situation en Europe. Avec la montée en puissance d'Hitler, qui avait très clairement annoncé ses desseins dans Mein Kampf, on se trouve aussi dans une tension extrême. Aujourd'hui, une grande puissance exprime-t-elle un propos réellement agressif à l'égard d'une autre ? Avons-nous entendu un discours violemment belliciste de la part de Barack Obama, d'un pays de l'Union européenne ou encore d'autres puissances comme la Chine ou l'Inde ? Quant à la Russie, même dans les affaires de Crimée et d'Ukraine - que Moscou considère comme des problèmes régionaux… -, les mécanismes multilatéraux de régulation, y compris les sanctions, ont joué. Je ne cherche évidemment pas à minimiser les antagonismes actuels, mais constituent-ils une "poche de grisou" prête à exploser ? Plus que dans les années 1960 ? Plus que dans les années 1970 ? Objectivement, non... Gardons-nous de recourir à des termes accrocheurs et anxiogènes. À ce stade, dans notre monde devenu interdépendant, les conditions d'un embrasement général ne sont fort heureusement pas réunies.
Les tenants de cette thèse évoquent la présence simultanée de troupes russes et américaines sur le même théâtre. Pour y voir un risque. Qu'en pensez-vous ?
Depuis 1945 et sans doute à cause de la dissuasion nucléaire, une confrontation militaire directe entre les États-Unis et la Russie alors soviétique est demeurée impossible. Durant la guerre froide, ces deux pays se sont affrontés, mais ailleurs que chez eux : en Asie, en Amérique latine, en Afrique... Leurs alliés locaux ont ainsi terriblement souffert de ces antagonismes. Voyons-nous cela aujourd'hui ? Non... Les États-Unis et la Russie disposent-ils de "terrains de jeu" où ils s'affrontent militairement de façon indirecte ? Très peu... Ce que nous redécouvrons, c'est que Poutine revendique une conception assez ancienne de la puissance, prévalant du temps de la guerre froide. On l'avait un peu oublié ; il nous force à revenir à une géopolitique classique, celle des rapports de force entre les États.
La nouvelle entrée de la Russie dans la crise syrienne n'est-elle pas un facteur de risque supplémentaire ?
Pour la première fois, Poutine envoie des forces militaires combattre au Moyen-Orient, en l'occurrence pour y consolider le pouvoir de Bachar el-Assad. Les États-Unis y sont présents, de même que les pays de la coalition, pour y vaincre une entité mal définie : Daesh. Curieuse situation, où chacun désormais s'efforce aussi de prendre la mesure des forces et des faiblesses de l'autre. Les États-Unis et la Russie s'observent, mais commencent aussi à travailler ensemble. Je dirais qu'ils sont à la fois dans la coopération et la compétition. Les enjeux sont importants, car celui qui en sortira "vainqueur" aura pour les années à venir une influence déterminante sur la régulation du Proche et du Moyen-Orient. Il y aura sans doute des dérapages, des bavures et de rudes escalades verbales, car ils ne sont pas d'accord sur le point d'aboutissement : le sort de Bachar el-Assad et du régime syrien. Cela peut-il conduire à un affrontement militaire direct entre eux ? Certainement pas.
Barack Obama a fait revenir l'Iran dans le jeu, a pacifié les relations avec Cuba. En opposition à l'ère Bush, les États-Unis seraient-ils entrés dans un cercle vertueux ?
Nous manquons encore de recul pour le dire. On observe cependant un élément essentiel : Obama a redonné à son pays des marges de manœuvre sur des terrains conflictuels, et d'abord avec l'Iran et Cuba. L'ère Bush avait enfermé les États-Unis dans des impasses ; Obama a redonné de l'oxygène dès ses discours de Prague et du Caire, ressentis d'ailleurs par certains, à l'époque, comme des signes de faiblesse. On verra à moyen terme si les inflexions de politique étrangère vis-à-vis d'Israël ou de l'Arabie saoudite ont permis d'ouvrir des perspectives nouvelles ou resteront sans lendemain. Quoi qu'il en soit, beaucoup souhaitent que les États-Unis retrouvent des capacités accrues de leadership, qui demeurent indispensables, notamment sur les théâtres d'opérations. On l'a vu de manière évidente dans l'affaire de l'utilisation des armes chimiques syriennes, quand Obama avait placé une ligne rouge : il a laissé Bachar el-Assad la franchir sans réagir, offrant à Poutine une formidable opportunité de revenir dans le jeu ===========================
Invité Invité
Sujet: Re: Il était temps , la Russie s'en mêle Sam Oct 10 2015, 10:27
Daesh profite des frappes russes et menace la ville d"Alep =================== De source : Yahoo actualité et photo AFP ============================= Syrie: l'EI à la lisière d'Alep, prochaines discussions sur l'espace aérien Par Rana MOUSSAOUI | AFP – il y a 52 minutes
AFP/AFP - Vue d'un quartier de la ville syrienne Aleppo, le
Afficher une photo
Afficher une photo
Afficher une photo
Afficher une photo
Le groupe Etat islamique (EI) a pris position vendredi à la lisière d'Alep, deuxième ville de Syrie, grâce à une percée éclair contre les rangs des rebelles déboussolés par les frappes russes qui les visent principalement. De son côté, le Pentagone a annoncé dans la soirée que la Russie et les Etats-Unis étaient prêts à reprendre des discussions sur la sûreté de l'espace aérien en Syrie, où les deux pays sont engagés dans des opérations militaires distinctes. Au dixième jour des frappes russes, les Etats-Unis ont par ailleurs décidé d'arrêter d'entraîner des groupes syriens anti-Etat islamique pour se concentrer sur la fourniture d'équipement et d'armes à des chefs de groupes rebelles triés sur le volet. Sur un autre front, l'armée syrienne, revigorée par les frappes de son allié russe et l'appui du Hezbollah chiite libanais, a intensifié sa chasse aux rebelles dans des régions du nord-ouest où les combattants de l'EI ne sont pas présents. Dans ce conflit complexe impliquant une multitude d'acteurs, les raids de Moscou ciblent pour le moment principalement les groupes rebelles hostiles au régime et le Front Al-Nosra, branche syrienne d'Al-Qaïda, et seulement marginalement l'EI. L'intervention de Moscou, entamée le 30 septembre, est critiquée par l'Occident qui l'accuse de vouloir secourir son allié Bachar al-Assad plutôt que de combattre les jihadistes. Profitant des frappes russes sur les rebelles, l'EI a avancé rapidement en direction d'Alep, sans être visé par les raids, après avoir chassé des groupes insurgés rivaux de localités au nord de cette ville, a indiqué l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH). Il y a eu des dizaines de morts, a ajouté l'ONG. "L'EI a profité de la confusion dans les rangs rebelles frappés par les Russes. Les jihadistes sont désormais près de la ligne de front avec les troupes du régime de Bachar al-Assad", a ajouté le chef de l'OSDH. - L'EI "aux portes d'Alep" - Dans un communiqué, l'EI a affirmé avoir "pris le contrôle de vastes régions au nord d'Alep" et être "aux portes d'Alep", Le groupe ultra-radical, qui s'est emparé de la moitié du territoire syrien et sévit également en Irakvoisin, se trouvait à un peu plus de 10 km de la périphérie nord de la ville et à 3 km de la zone industrielle de Cheikh Najjar, aux mains du régime, selon l'OSDH. L'ancienne capitale économique de Syrie est divisée depuis juillet 2012 entre des secteurs ouest aux mains du régime et est sous contrôle de plusieurs groupes insurgés, dont le Front Al-Nosra, ses alliés islamistes et des rebelles locaux. Ces derniers sont maîtres de la plus grande partie de la province d'Alep. L'EI n'est présent que dans le nord et le régime contrôle dans l'est une route clé reliant Alep à Homs. Pour Thomas Pierret, spécialiste de la Syrie à l'université d'Edimbourg, "les Russes concentrent leurs attaques sur les rebelles et ne frappent que très marginalement l'EI". La coalition internationale dirigée par Washington et qui frappe les jihadistes depuis plus d'un an en Syrie "n'est pas non plus très active contre l'EI dans cette région (d'Alep). Cette coalition a annoncé vendredi avoir mené un raid sur Alep et un autre sur Raqa la veille. "Le ministère (américain) de la Défense a reçu une réponse formelle du ministère russe de la Défense à qui il avait formulé une proposition pour garantir la sûreté des opérations aériennes en Syrie", a annoncé dans la soirée le porte-parole du Pentagone Peter Cook, ajoutant que "des négociations pourraient avoir lieu dès ce week-end". Au lendemain des premières frappes russes, de hauts responsables civils et militaires américains s'étaient entretenus par vidéo-conférence avec leurs homologues russes sur les moyens d'éviter des incidents entre les aviations des deux pays. - Un général iranien tué - Sur un autre front de la province d'Alep, le général iranien Hossein Hamedani a été tué jeudi par l'EI selon Téhéran, principal allié régional de la Syrie où il a envoyé 7.000 membres des Gardiens de la révolution, son armée d'élite. Le plus haut gradé iranien opérationnel tué en Syrie depuis le début du conflit a trouvé la mort dans un bombardement à Kweires, un aéroport militaire encerclé par l'EI depuis mai et dont il était chargé de briser le siège, selon l'OSDH. Forte des bombardements russes, mais aussi de l'appui crucial du Hezbollah libanais au sol, l'armée du régime a lancé mercredi une vaste offensive pour reprendre le territoire perdu, avançant dans des secteurs des provinces de Hama (centre) et de Lattaquié (ouest). Le Kremlin a assuré que l'opération russe "se poursuivra tout au long de l'offensive des forces syriennes". "Cette campagne vise en premier lieu à protéger le territoire du régime (à Hama et Lattaquié), puis de contre-attaquer pour reprendre la province d'Idleb (entièrement conquise par une coalition composée d'Al-Nosra et des rebelles islamistes) en remontant vers le nord", selon l'OSDH. L'un des enjeux est Sahl al-Ghab, une plaine stratégique à Hama où les insurgés avaient avancé, menaçant Lattaquié. Ces derniers sont actuellement bombardés par les Russes. L'organisation de défense des droits de l'Homme Human Rights Watch a demandé vendredi une enquête sur des "frappes apparemment russes" qui auraient tué 17 civils près de Homs le 30 septembre dans une zone qui ne comptait pas d'objectif militaire. "Selon les lois de la guerre, une distinction doit être faite entre civils et combattants", a rappelé l'ONG. =============================
Invité Invité
Sujet: Re: Il était temps , la Russie s'en mêle Sam Oct 10 2015, 10:49
Si l'article reflète la réalité c'est quand même décevant que la Russie ne s'attaque pas plus que ça à l'EI ce sont eux les plus dangereux y compris pour Assad , les plus dangereux parce que les plus puissants implantés sur le territoire .
Commandoair40 Admin
Nombre de messages : 29167 Age : 78 Emploi : Français Radicalisé . Date d'inscription : 07/11/2014
Sujet: Re: Il était temps , la Russie s'en mêle Sam Oct 10 2015, 10:51
Un Mig-29 Russe aurait été ABATTU alors qu’il survolait l’espace aérien Turc
"mig-29" Un Mig-29 Russe aurait été abattu par les forces turques après avoir survolé l’espace aérien du pays, selon des rapports qui n’ont pas été confirmés mais qui circulent en masse sur les réseaux sociaux.
Selon les rapports, des témoins ont vu une énorme explosion à Huraytan, au nord de la Syrie, tandis que 3 avions de combat passaient au dessus d’eux.
Un journaliste a twitté que trois avions de combat turques ont répondu à de « mystérieux » accrochages de cibles par des Mig-29, les avions de combat utilisés par les forces de Poutine.
Express.co.uk a contacté le gouvernement turque et l’armée Russe mais ni l’un ni l’un n’a répondu aux commentaires.
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
Commandoair40 Admin
Nombre de messages : 29167 Age : 78 Emploi : Français Radicalisé . Date d'inscription : 07/11/2014
Sujet: Re: Il était temps , la Russie s'en mêle Sam Oct 10 2015, 10:57
Liliane a écrit:
Si l'article reflète la réalité c'est quand même décevant que la Russie ne s'attaque pas plus que ça à l'EI ce sont eux les plus dangereux y compris pour Assad , les plus dangereux parce que les plus puissants implantés sur le territoire .
C'est infos , sont d'origines : Anglos-américaines .
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
Invité Invité
Sujet: Re: Il était temps , la Russie s'en mêle Sam Oct 10 2015, 11:43
Houla si l'avion russe a vraiment été abattu ça craint non ?
Commandoair40 Admin
Nombre de messages : 29167 Age : 78 Emploi : Français Radicalisé . Date d'inscription : 07/11/2014
Sujet: Re: Il était temps , la Russie s'en mêle Sam Oct 10 2015, 11:52
Pas forcément Lili ,
Tout va dépendre des circonstances et du niveau des relations .
La politique va prendre le dessus .
Mais il serait temps que la Turquie , reçoive enfin , une bonne "fessée"
Ce fait est peut être faux : Donc attendons la suite
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
Invité Invité
Sujet: Re: Il était temps , la Russie s'en mêle Sam Oct 10 2015, 15:14
Toujours des désinformations sur se qui se passe dans le territoire Syrien, qui vrai?? qui dit faux !!
Invité Invité
Sujet: Re: Il était temps , la Russie s'en mêle Sam Oct 10 2015, 16:23
Ca fesse a droite , ça fesse au centre - on avance - on recule - on perd du terrain d'un côté, on en regagne de l'autre On cartonne, d'un bord et puis de l'autre Et la France dans tout ça !
Ou est elle dans ce panier de crabes.? ============================
============================ Ca grouille de partout , Death, rebelles favorables - pas favorables Al kaida, milices , etc On informe, on désinforme! On envoie un ordre, puis après un contre - ordre Ce qui evite le DESORDRE... mais pas la DISCORDE.. Kanesataké ================= Syrie: l'armée de Damas avance dans le centre grâce aux bombardements russe
AFP/Ministère russe de la Défense/AFP - Image tirée d'une vidéo diffusée sur le site du ministère russe de la Défense, le 6 octobre 2015, montrant le largage d'une bombe lors d'une frappe aérienne russe en Syrie
Les forces du régime syrien avançaient samedi dans la province centrale de Hama grâce aux bombardements massifs de l'aviation russe, qui a effectué plus de 50 frappes en 24 heures. Les combats étaient également violents dans la région de Lattaquié (ouest), fief du régime de Bachar al-Assad. Tandis que, près d'Alep, la grande ville du nord, ce sont les rebelles islamistes qui ont lancé une contre-attaque pour reprendre le terrain perdu la veille lors d'une offensive éclair du groupe Etat islamique (EI). Au onzième jour de son intervention, l'armée russe a affirmé avoir effectué 64 sorties en 24 heures et frappé 55 cibles de l'EI, poursuivant ainsi l'intensification de ses bombardements entamé la veille. Ces bombardements soutiennent l'armée syrienne qui, avec les milices pro-régime, s'est emparée de la localité d'Atchane dans la province de Hama, a annoncé la télévision officielle. Des combats faisaient rage pour la conquête des collines de Sukayk, mitoyennes au village, selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH). Si l'armée réussissait à prendre ces hauteurs, cela lui ouvrirait la route vers Khan Cheikhoun, une ville aux mains des rebelles depuis mai 2014, sur la route internationale entre Damas et Alep. Par ailleurs, selon l'OSDH, de violents accrochages opposaient l'Armée de la conquête, qui réunit les groupes islamistes et le Front Al-Nosra, branche syrienne d'Al-Qaïda, soutenue par l'Arabie saoudite, le Qatar et la Turquie, aux forces du régime, pour le contrôle de hauteurs stratégiques dans le nord-est de la province de Lattaquié. Le ministère russe de la Défense a précisé que les 55 frappes avaient visé les provinces de Damas, Alep, Hama, Raqa et Idleb, détruisant 29 camps d'entraînement "des terroristes", 23 positions défensives, deux centres de commandement et un dépôt de munitions. Dans le même temps, la coalition conduite par les Etats-Unis a annoncé avoir mené cinq frappes contre des positions de l'EI en Syrie et 20 autres en Irak. - Dizaines de morts - A proximité d'Alep, des groupes islamistes anti-EI, dont le puissant Ahrar al-Cham, ont repris dans la nuit le village de Tall Soussine et des combats se déroulaient pour le contrôle de Tall Qrah. Ces deux localités au nord d'Alep sont situées sur une route stratégique pour les rebelles car elle conduit vers la Turquie, l'un de leur principal allié. L'EI avait réussi vendredi à avancer en quelques heures jusqu'à une dizaine de kilomètres de la périphérie nord de la grande ville et à 3km de la zone industrielle de Cheikh Najjar, aux mains du régime. Les jihadistes du groupe ultra-radical ont profité des frappes russes qui ciblent en priorité la coalition regroupant le Front Al-Nosra, branche syrienne d'Al-Qaïda, et ses alliés islamistes. Des dizaines de jihadistes et de rebelles ont trouvé la mort au cours des combats, selon l'OSDH. Dans la même province, l'ONG a fait état de violents combats entre les forces du régime et l'EI autour de l'aéroport militaire de Kweires, assiégé par les jihadistes depuis mai. Les soldats et miliciens pro-régime attaquaient le groupe jihadiste dans plusieurs villages autour de cette base pour desserrer l'étau. Par ailleurs, un puissante explosion a détruit samedi dans la localité d'al-Bab, place forte de l'EI au nord d'Alep, un dépôt de munitions et une fabrique d'armes appartenant aux jihadistes. L'origine n'a pas encore été déterminée mais des avions survolaient la ville au moment de la déflagration, a précisé l'OSDH. - Eviter des incidents aériens - Des négociations pourraient se tenir ce week-end entre la Russie et les États-Unis pour garantir la sûreté des opérations militaires distinctes que mènent les deux pays dans l'espace aérien en Syrie, a affirmé vendredi le porte-parole du Pentagone Peter Cook. Washington et Moscou veulent éviter tout incident entre leurs avions qui sont susceptibles de se croiser au cours de leurs raids depuis que la Russie est entrée dans le conflit le 30 septembre. Les Etats-Unis sont eux à la tête d'une coalition anti-jihadistes qui comprend plusieurs pays occidentaux comme le Royaume-Uni et la France, et qui mène des bombardements en Syrie depuis septembre 2014. Au lendemain des premières frappes russes, de hauts responsables civils et militaires américains s'étaient entretenus par vidéo-conférence avec leurs homologues russes. Ils avaient évoqué des questions comme les fréquences radio qu'utiliseraient les avions pour communiquer "en cas de détresse", ou encore de la langue à utiliser pendant des échanges d'appareil à appareil. Le Pentagone avait ensuite critiqué Moscou, affirmant que la Russie ne répondait pas assez rapidement aux propositions formulées par Washington à la suite de ces premiers échanges