L'Eurotunnel bloqué par des migrants .

Bonjour,

L'Armée?Mais les militaires ne peuvent pas intervenir pour la simple raison qu'ils ne sont pas policiers ou gendarmes.
La solution réside dans deux points cruciaux:
1)Décision politique française pour l'intervention;
2) Changement de la loi britannique sur l'accueil des clandestins.

EST-CE CETTE POLICE QUIL NOUS FAUDRAIT ?

Citation :

Des policiers brésiliens mis en cause pour meurtre



Pour la première fois, trente membres des forces de l'ordre devront répondre d'exécutions sommaires. Trois personnes meurent chaque jour à Rio sous les balles de la police.

La nouvelle a fait l'effet d'une bombe dans les rangs de la police de Rio de Janeiro. Pour la première fois, la justice a accepté d'enregistrer une dénonciation du minis­tère public à l'encontre de trente policiers militaires, accusés d'exécutions lors de raids contre les narcotrafiquants dans les favelas. «L'enquête prouve que ces personnes n'ont pas été tuées dans un contexte de légitime défense», assure le procureur Alexandre Themístocles. L'examen des corps révèle que les victimes, âgées de 14 à 29 ans, ont été tuées de balles dans la nuque, la tête et le dos, à bout portant.

Des images de ces corps criblés de balles, l'avocat Joao Tancredo en a plein la tête. Il exhibe les photos des victimes dont il plaide la cause à partir de son Institut de défense des droits de l'homme. «Regardez ce corps : cinq balles, toutes dans le dos. Il avait quel âge ce gamin ? 15 ans», s'indigne-t-il. Les calibres différents prouvent que plusieurs agents ont tiré simultanément. «C'est typique des exécutions, cela crée une loi du silence entre les policiers», explique-t-il.

Sortant une autre photo de ses dossiers, Joao Tancredo pointe la position du corps d'un adolescent, à genoux la tête en avant, une balle dans la nuque. «Vous avez l'impression qu'il constituait une menace ?», lâche-t-il, amer. Le cliché est une exception. En général, les forces de l'ordre déplacent les corps, au mépris de la loi, et les déshabillent, pour qu'on ne puisse retrouver les traces de poudre. «Regardez ces traces dans leur dos, ça indique qu'on a traîné les corps de ces gamins par terre, comme si c'était des animaux».
« Acte de résistance »

Chaque jour, à Rio de Janeiro, trois personnes meurent sous les balles de la police, officiellement à cause «d'actes de résistance» aux forces de l'ordre. Les autorités en recensaient 300 en 1997, 1 330 en 2007. L'année dernière, un quart des homicides de l'État a été provoqué par la police.

Le député Marcelo Freixo a fait de la lutte contre la violence policière son cheval de bataille. Il salue la décision de la justice, mais en souligne la faible portée : «Trente agents sont accusés pour des exécutions de 2007 et 2008, alors que plus de 2 500 personnes sont mortes sous les balles de la police pendant cette période. Chaque mort devrait faire l'objet d'une enquête». Il rappelle que le concept d'«acte de résistance» a été inventé par la dictature militaire (1964-1985) pour donner carte blanche aux policiers.

La détérioration de la situation a poussé Philip Alston, rapporteur spécial de l'ONU pour les exécutions extrajudiciaires, sommaires ou arbitraires, à se rendre au Brésil. Dans son rapport publié en septembre dernier, il tire la sonnette d'alarme. «Il y a une culture de l'impunité qui permet aux policiers de tuer en sachant que personne n'ira enquêter derrière», déplore-t-il, rappelant que le Brésil recense 48 000 homicides par an, un chiffre digne d'un pays en guerre.

Rompre le cercle de la violence n'est pas simple. «Ces policiers ont été accusés, mais pas encore jugés. Pourtant, on les présente déjà comme coupables», s'insurge le lieutenant Melquisedec Nascimento, président de l'Amae, l'équivalent du syndicat de la police militaire. Il rappelle les conditions de travail précaires de ses collègues, les armes lourdes des bandits dans les favelas, le salaire misérable et la peur au ventre.

Une récente enquête de la Fondation médicale Oswaldo Cruz montre d'ailleurs que près de 14 % des officiers de la police militaire de Rio de Janeiro prennent des calmants, très au-dessus de la moyenne nationale pour cette tranche d'âge (6 %).

Promettant une énième réforme, le gouverneur de Rio de Janeiro a changé la semaine dernière le chef de la police, le troisième depuis janvier 2007. Tout juste nommé, Mario Sergio Duarte a annoncé qu'il mettrait 1 000 agents de plus dans les rues, et qu'il ferait de la lutte contre la violence policière sa priorité.

Ou encore cela diffusé par DIAL

Citation :

43 TER, RUE DE LA GLACIÈRE-75013 PARIS-FRANCE-TÉL. (1) 43.36.93.13
FAX:  (1)43.31.19.83
CCP  1248.74-N  PARIS  -  Du  mardi  au  vendredi  de  9  h  à  12  h  et  de  14  h  à  18  h  30
diffusion de l’information sur l’Am érique latine
Hebdomadaire - n° 1522 - 27 septembre 1990 - 2,5 F
-----
D 1522  BRÉSIL: ASSASSINAT HABITUEL  D'ENFANTS -------------
PAR DES ESCADRONS bE LA MORT
Un enfant au moins tué chaque jour dans le pays par les   "escadrons de la
mort"...  tel  est le constat de pratiques policières envers des mineurs délinquants
ou prétendus tels.  La violence en milieu urbain atteint dans certaines  villes des
niveaux extraordinaires  (cf. DIAL D 872,  1364 et 1512).
Le 6 septembre 1990, Amnesty International  a publiquement dénoncé cette si­
tuation, après avoir rencontré le président de la République du Brésil  en     août
dernier.
Texte du communiqué de presse d'Amnesty International.
------------------------------------------------  Note DIAL
----------------
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DES ENFANTS VICTIMES DE TORTURE ET D'ASSASSINAT
Amnesty International  déclare, aujourd'hui  6 septembre, que des centaines d'en­
fants sont abattus par des “escadrons de la mort" dans les grandes villes brési­
liennes et que d'autres, encore plus nombreux,  sont frappés et torturés par des
policiers en service.
Selon l'organisation,  un nombre croissant d'enfants et d'adolescents sont obli­
gés de vivre dans la rue pour subvenir à  leurs besoins ou à ceux de leur famille,
ce qui  les rend d'autant plus vulnérables face aux abus de la police.  De plus en
plus fréquemment, ces enfants sont torturés, mutilés ou tués par des policiers en
uniforme ou agissant sous le couvert des  "escadrons de la mort".  Les organisations
brésiliennes de défense des droits de l'homme estiment qu'aujourd'hui  un enfant au
moins est tué chaque jour par les  "escadrons de la mort" dans le pays.
Parmi  les informations récentes, concernant les brutalités policières couramment
commises, figure le cas de trois garçons de Rio de Janeiro.  Selon des témoins, en
août dernier,  ils ont été interpellés par la police militaire qui  les soupçonnait
de vouloir cambrioler un magasin.  Ils ont ensuite été soumis à la roulette russe;
un des garçons,  Leandro Cardoso da Silva,  13 ans, a reçu une balle dans la tête,
avant d'être abandonné devant un hôtel.  Il  est mort à l'hôpital.
Les enfants pauvres sont traités avec mépris par les autorités brésiliennes;  le
simple fait d'être dans la rue met leur vie en danger.  Leurs droits les plus élé­
mentaires sont bafoués par ceux-là même qui  devraient en garantir le respect,  dé­
clare Amnesty International.  L'organisation demande que les autorités brésiliennes
agissent pour assurer la protection des personnes les plus exposées aux brutalités
policières.
Le président Collor de Mello a déclaré en juin que le Brésil  n'aurait plus à
être cité par Amnesty International, dans la mesure oD son gouvernement ne tolé­
rait plus aucune violation des droits de l'homme.  Une délégation d'Amnesty Inter­
national  a rencontré le président en août.  Elle lui  a demandé de respecter ses
D 1522-1/2
engagements et de mettre en oeuvre des mesures concrètes et immédiates en réponse
aux propositions de l'organisation visant à assurer la protection des enfants.
Amnesty International  a formulé douze recommandations destinées à mettre fin à
la  torture et aux exécutions extrajudiciaires.  Elles comprennent la mise en place
d'un fichier où seront répertoriées toutes les morts violentes imputables aux "es­
cadrons de la mort" ou aux policiers en uniforme,  1'instauration d'un contrôle des
autorités fédérales sur toutes les enquêtes consécutives à ces assassinats,  l'assu­
rance d'une réelle protection pour les victimes et les témoins et l'ouverture d'en­
quêtes exhaustives et impartiales sur toutes les allégations de torture. Ces mesu­
res constitueraient un premier pas vers la suppression de la violence policière
dont les victimes se comptent par milliers, adultes comme enfants.
Les  "escadrons de< la mort"  - dont beaucoup sont dirigés par des membres de la
police qui agissent en dehors des heures de service - tuent leurs victimes pour
"nettoyer les rues",  supprimer des témoins gênants ou assurer la sécurité dans un
quartier.  Des policiers ont abattu des jeunes en motocyclette parce qu'ils n'avaient
pas obtempéré alors qu'on leur avait fait signe de s'arrêter ou parce qu'ils au­
raient insulté l’un des policiers.
Une étude récente de l'Instituto Brasileiro de Anélises Socias e Econômicas
(IBASE,  Institut brésilien d'analyses socio-économiques), a révélé que, dans seule­
ment trois grandes villes,  457 enfants ou adolescents, ayant pour la plupart un ca­
sier judiciaire vierge,  avaient été tués par des  "escadrons de la mort" en 1989.
Les données récentes montrent que le nombre de ces assassinats ne diminue pas.
Bien qu'un certain nombre de policiers et de juges déplorent de tels abus,  les
autorités n'ont généralement rien fait pour y remédier.  Les cas de torture ou de
meurtre font rarement l'objet d'une enquête exhaustive; ou lorsqu'une enquête est
menée,  l'affaire met souvent plusieurs années avant d'être jugée et les coupables
sont condamnés à des peines très légères.  Les policiers tardent parfois à interve­
nir lorsqu'une personne est enlevée par les  "escadrons de la mort". Ainsi,  deux
garçons ont été emmenés de leur domicile par des hommes armés prétendant être de
la police, mais lorsque la mère des deux jeunes gens a demandé l'aide à des poli­
ciers stationnés dans une voiture de patrouille,  ceux-ci  ont refusé de partir I
leur recherche.  Ces garçons ont été retrouvés morts.
Des jeunes, qu'ils soient dans la rue ou retenus dans les locaux de la police,
sont couramment victimes de mauvais traitements et de tortures.  Les enfants des
rues sont ramassés par des policiers qui  les frappent souvent et leur extorquent
de l'argent en les menaçant de les envoyer dans des institutions d'Etat.  Ils sont
torturés avec des décharges électriques pour obtenir des informations ou des aveux.
Amnesty International  a reçu le témoignage de plusieurs enfants qui  racontent en
détail  comment les policiers les brûlent avec des cigarettes,  les aspergent d'eau
bouillante et les frappent avec des matraques.
Par crainte des représailles, témoins et victimes portent rarement plainte con­
tre la police pour torture et mauvais traitements.  Lorsqu'ils portent effective­
ment plainte,  ils finissent souvent par se rétracter après avoir reçu des menaces.
La plupart des cas de torture ont lieu lors de la garde à  vue ou dans les pri­
sons; cependant, dans les Institutions d'Etat,  les jeunes sont également frappés.
Un garçon de 14 ans,  ancien pensionnaire d'un institut pour jeunes délinquants a
déclaré:  "Ils nous frappent pour un rien.  Pour la moindre petite chose,  ils aiment
nous battre.  Ils nous disent:  'Si  tu en parles au juge,  je te tue'; alors on a peur
et on ne dit rien".

MOI JE SUIS FIER DE NOS FORCES DE L'ORDRE QUI NE SONT PAS DES HOMMES DE MAIN!
AVEN

Le BRESIL,c'est une chose,chez nous c'est tout autre chose ,pour le moment ce qui se passe ailleurs ne fait pas parti de nos problèmes,c'est cruel mais c'est comme ça d'abord faire face à l'affluence d' immigration ect............................Si au Brésil la Police est tortionnaire,la notre est trop gentille ,chaque Pays doit résoudre ses problèmes...........................

L'indifférence ne me semble pas une réponse à la question que je posais....mais après tout c'est un choix

En revanche Jean Pierre a posté une réponse terrible: "seul compte le résultat"

Pour moi aucune dispute ...

Finalement de l'indifférence aux autres suffira si "l'humanisme nous conduit à notre perte"!

Ça a le mérite d'être clair, même si je ne partage pas cette "philosophie" de la guerre appliquée sur notre territoire en paix civile.
Mais je comprends la nostalgie des grands combats militaires de l'Algérie
Pour ma part je trouve que la France souffre assez du terrorisme des autres sans qu'on lui inflige le notre!
Et en ce qui me concerne cet avis raccourci clôturera le débat
Bonne journée à tous
AVEN

Puisque tu me poses une question personnelle je réponds
Je pense que dealer, agresser, violer etc... a toujours existé
Notre société au moyen âge était beaucoup plus violente qu'elle n'est aujourd'hui.
En tout cas tout ceci n'a jamais constitué des actes de "guerre" au sens propre.
A-t-on considéré les violences de la pègre comme des actes de guerre?
Le seul pays qui a voulu le considérer comme tel a déclenché effectivement des combats intérieurs comparables à la guerre...Mais là encore pas de loi martiale!
La violence engendre toujours la violence et ton discours le prouve
En tout cas il y a plus de mort en France par les accidents automobiles que par le terrorisme.
Certains accidents sont de véritables meurtres: alcoolisme, drogues, conduite irresponsable ...) mais ce ne sont que des dégâts collatéraux d'une société qui a perdu son bon sens et s'amuse à se faire peur!

AVEN a écrit:

Puisque tu me poses une question personnelle je réponds
Je pense que dealer, agresser, violer etc... a toujours existé
Notre société au moyen âge était beaucoup plus violente qu'elle n'est aujourd'hui.
En tout cas tout ceci n'a jamais constitué des actes de "guerre" au sens propre.
A-t-on considéré les violences de la pègre comme des actes de guerre?
Le seul pays qui a voulu le considérer comme tel a déclenché effectivement des combats intérieurs comparables à la guerre...Mais là encore pas de loi martiale!
La violence engendre toujours la violence et ton discours le prouve
En tout cas il y a plus de mort en France par les accidents automobiles que par le terrorisme.
Certains accidents sont de véritables meurtres: alcoolisme, drogues, conduite irresponsable ...) mais ce ne sont que des dégâts collatéraux d'une société qui a perdu son bon sens et s'amuse à se faire peur!

j' hésite à prendre part à cette conversation qui au départ ne me regarde pas mais je ne peux résister à participer. Aven , que la société ait perdu son bon sens certainement, mais quelle s' amuse à se faire peur ! là, je ne comprend plus! comment peut- on être aussi naïf voir indifférent à ce qui se passe dans le monde actuellement ?. On ne parle pas d' accident de la route, d' alcoolisme ou de drogue. Le danger qui nous guette est bien plus terrifiant. Le nier ou l' ignorer nous conduira à la catastrophe. J' ai souvent comparé notre époque à la fin de l' empire Romain, nous vivons le même cycle de fin de civilisation où les responsables ont préféré masquer la réalité au peuple en organisant des jeux du cirque ( notre télé réalité et autres émissions crétines)de plus en plus grandioses alors que le danger se présentait aux frontières de l' empire. la suite est connues, l' empire balayé!. Nous risquons de connaître le même sort. Nos élus n' ont pas de c......s, appelons un chat un chat, sans être raciste ( je ne me considère pas comme tel ), ni va t-en guerre car j' aspire simplement à vivre en paix avec tout le monde mais reconnaissons que le problème c' est bien l' Islam. Une dernière chose, j' ai 2 petites filles, pas question qu'un jour elles soient obligées de porter un voile. Ici c' est la FRANCE. Et pour ça si il le faut je me battrai.

Commandoair40 a écrit:

Alors :

Vive la "Violence & Vive la Mort"

     

Tu restes malgré tout mon Ami .

Effectivement bien que tu prônes la violence et la mort tu es et restera mon ami!

Citation :

Nous devons nous plier au conneries de cette "Racaille"  

Non mais pour cela pas besoin de violence, la surveillance policière devrait suffire
Ceci dit ceux qui prennent le risque assume le risque
Cher Jean Pierre j'invite ton cœur à regarder le film "la pirogue"

La Pirogue est un film franco-sénégalais réalisé par Moussa Touré, sorti en 2012. Le film a concouru dans la catégorie Un Certain Regard du Festival de Cannes 2012

miko33 a écrit:

AVEN a écrit:

Puisque tu me poses une question personnelle je réponds
Je pense que dealer, agresser, violer etc... a toujours existé
Notre société au moyen âge était beaucoup plus violente qu'elle n'est aujourd'hui.
En tout cas tout ceci n'a jamais constitué des actes de "guerre" au sens propre.
A-t-on considéré les violences de la pègre comme des actes de guerre?
Le seul pays qui a voulu le considérer comme tel a déclenché effectivement des combats intérieurs comparables à la guerre...Mais là encore pas de loi martiale!
La violence engendre toujours la violence et ton discours le prouve
En tout cas il y a plus de mort en France par les accidents automobiles que par le terrorisme.
Certains accidents sont de véritables meurtres: alcoolisme, drogues, conduite irresponsable ...) mais ce ne sont que des dégâts collatéraux d'une société qui a perdu son bon sens et s'amuse à se faire peur!

j' hésite à prendre part à cette conversation qui au départ ne me regarde pas mais je ne peux résister à participer. Aven , que la société ait perdu son bon sens certainement, mais quelle s' amuse à se faire peur ! là, je ne comprend plus! comment peut- on être aussi naïf voir indifférent à ce qui se passe dans le monde actuellement ?. On ne parle pas d' accident de la route, d' alcoolisme ou de drogue. Le danger qui nous guette est bien plus terrifiant. Le nier ou l' ignorer nous conduira à la catastrophe. J' ai souvent comparé notre époque à la fin de l' empire  Romain, nous vivons le même cycle de fin de civilisation où les responsables ont préféré masquer la réalité au peuple en organisant des jeux du cirque ( notre télé réalité et autres émissions crétines)de plus en plus grandioses alors que le danger se présentait aux frontières de l' empire. la suite est connues, l' empire balayé!. Nous risquons de connaître le même sort. Nos élus n' ont pas de c......s, appelons un chat un chat, sans être raciste ( je ne me considère pas comme tel ), ni va t-en guerre car j' aspire simplement à vivre en paix avec tout le monde mais reconnaissons que le problème  c' est bien l' Islam. Une dernière chose, j' ai 2 petites filles, pas question qu'un jour elles soient obligées de porter un voile. Ici c' est la FRANCE. Et pour ça si il le faut je me battrai.

Tu aurais tort d'hésiter à prendre part à une conversation de forum. Nous sommes tous ici suffisamment mature et responsable pour faire la part des choses dans les idées. Alors merci d'avoir apporté ta pierre.
Non ce n'est pas la société qui s'amuse à se faire peur ce sont les tenants de l'apocalypse qui, partant de faits réels mais sans les relativiser, utilisent l'argument de la peur plutôt que de la raison. Un exemple 10 jeunes de Vezoul partent rejoindre Daesh et on fustige toute la jeunesse française comme si elle ressemblait majoritairement à cela. On aime se comporter en journaliste qui ne propage que l'information sur les ponts qui s'écroulent et ne parle jamais des ponts qui restent debout.
Ton propos qualifiant ma naïveté sont sans doute un peu exagérés. Tu sais à 67 ans et ayant pas mal baroudé dans des postes difficiles et à responsabilité je ne crois pas que je suis aussi naïf que tu le penses.
Ceci dit sans nier la réalité des difficultés que nous traversons il ne faut pas non plus les accentuer. Il est clair qu'aujourd'hui, comme tu le dis, nous sommes surtout influencés par une abêtissante communication des médias qui généralise les difficultés. Pourtant je suis beaucoup plus inquiet de la situation économique de la France, et de l'incapacité des gouvernants à prendre les bonnes décisions sur les masses migratoires des pays en guerre (et pas forcément islamiques), que par l'influence de l'Islam dont la presse a fait un point de fixation.
Notre situation actuelle n'a strictement rien à voir avec la décadence de l'empire romain:
* d'abord parce que nous ne sommes pas un empire et que nous n'avons pas à gérer les guerres des périmètres de notre empire. la situation de migrations romaines n'a rien à voir avec les nôtres car ils ont voulu assimiler des cultures inassimilables au lieu de tenter de les intégrer!!
* ensuite parce que nous ne vivons pas une crise culturelle en France mais seulement une crise sociétale ce qui n'est pas pareil. Toutes les sociétés évoluent tenant compte de l'évolution scientifique , technique , âge moyen etc... ce qui ne signifie pas la décadence.  L'Islam au 2500 aux mosquées...même à 5000 ne remettrait pas en cause les 100000 églises du christianisme. Le problème de la France c'est son impiété (en 2020 il y aura plus d’irréligieux que de croyants) et non son changement de religion.
* enfin parce que les masses ne changent pas comme cela
Alors certes le terrorisme est violent mais il est loin d'avoir réglé sur son terrain arabe les deux voies de l'Islam: Sunnite et Chiite et c'est plus leur enjeu que de tenter de convertir l'Europe
Ceci dit je te laisse penser ce que tu veux je te livre seulement le point de mes connaissances
Alors pour terminer: non! le problème ce n'est pas l'Islam. Ça c'est un problème le drap rouge que l'on agite sous le nez de la population pour la détourner d'une réalité plus complexe.
L'Islam est devenu un problème uniquement parce que les USA plantés et ont foutu en l'air tous les régimes qui équilibraient et stabilisaient le Golfe. Peut être que sur le plan moral ces régimes étaient condamnables. Mais sur le plan géostratégiques ils avaient une utilité incontournable
En France les vrais enjeux sont ailleurs et les petits salariés et petits retraités vont bientôt comprendre que le phénomène Grec est transposable à toute l'Europe et que les gouvernants de l'Europe défendent plus leur banque et leurs financiers que leur population. 9a c'est le vrai défi.
On a pas mis de taxe Tobin sur les tractations boursières...mais on taxe les retraites et les salaires!!
Mais je ne cherche pas à te convaincre qu'effectivement l'Islam c'est le dossier qui unit tous les français dans la peur, comme ce fut autrefois les "rouges" et le "péril jaune"...pendant ce temps ceux qui nous dirigent ne sont pas emmer.... pour prendre les décisions qui visiblement n'intéressent pas les français.
Je souhaite de tout cœur, et ceci sans naïveté, que tes deux petites filles (j'en ai deux aussi) n'ait pas plus à craindre la pauvreté ou la misère que le tchador !!!
AVEN