Pauvre Yanick JEAN ROUCCAS "HABILLE" NOAH "Que Noah change de pyjama, s’achète des chaussures et surtout je dis bien surtout, qu’il ferme sa grande gueule de milliardaire socialiste !Qui au passage l'a mise en veilleuse après les tueries de Charlie Hebdo et du Market Casher.
Surprenant de la part de "Monsieur Donneur de Leçons"...En ce moment, la collabosphère du show-business déploie toutes ses antennes pour nous tirer des larmes sur le sort du malheureux Yannick Noah !
Nous apprenons avec consternation que ses concerts sont boudés par le public.
Va t-il connaître à son tour les joies du boycott ou alors le public deviendrait-il enfin intelligent !
Voila un monsieur qui vient de temps en temps en France, généralement pour promouvoir un album, et qui donne au peuple de France des leçons de civisme avant de regagner son paradis en Floride.
Que connaît-il des problèmes quotidiens des français confrontés à l’insécurité et au chômage, au nom de quoi donne t-il des leçons ?
Vit-il ici ? Non, monsieur Noah est un locataire privilégié qui n’habite même pas l’immeuble.
Malgré ça, il nous sort une petite chansonnette moralisatrice anti FN, une blousette intitulée « Ma colère » pour stigmatiser les vilains fascistes que nous sommes.
Une chanson qui ne vole pas haut et que Marine Le Pen a qualifié à juste titre de « musique d’ascenseur ».
Le résultat ne s’est pas fait attendre, le public boude ses concerts (on devrait plutôt dire ses meetings) ce qui me réjouit le cœur, car j’y vois un éveil de cette France qui en a marre de subir la propagande mielleuse et sucrée de tous ces artistes engagés d’opérette.
N’est pas Brel ou Brassens qui veut. J’appelle d’ailleurs le public de France à continuer sur cette bonne voie et à boycotter par la même occasion les autres tartuffes de gauche qui encombrent nos scènes et nos médias.
Moi je vis en France, j’y travaille (enfin, j’essaye !) et j’y paye mes impôts.
Excusez-moi, messieurs les milliardaires exilés, ça me donne le droit de parler avant vous des problèmes que traverse notre pays.
Retournez dans vos paradis fiscaux et laissez-moi me battre pour la France, ici, chez moi.
Jean Roucas Un citoyen libre qui depuis longtemps n’est plus sensible à vos grimaces