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 ALGERIE PRESSE 1960 5ème et dernière partie

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MessageSujet: ALGERIE PRESSE 1960 5ème et dernière partie   ALGERIE PRESSE 1960 5ème et dernière partie Icon_minitimeMer Aoû 14 2013, 15:27

ALGERIE PRESSE 1960 5ème et dernière partie 134

ALGERIE PRESSE 1960 5ème et dernière partie 220

ALGERIE PRESSE 1960 5ème et dernière partie 320

le destin de l'Algérie française est compromis, mais on continue à faire comme si......229 entreprises françaises s'installent !

Maurice CHALLE s'est fait avoir.....

Le général CHALLE n'aura pas le temps de s'attaquer aux Aurès, C2G le rappellera en France en avril 1960.

Pour l'armée, le plan CHALLE, c'était pour mettre le FLN à genoux et maintenir l'Algérie française, pour C2G, il fallait mettre le FLN en difficulté pour être en position de force lors des futures négociations ......ce qui n'est pas pareil !

En remerciement de son excellent travail, CHALLE est licencié par C2G (on lui reproche sa tiédeur
lors des Barricades) il reçoit une lettre de consolation du Président....
faux cul va !

ALGERIE PRESSE 1960 5ème et dernière partie 415

ALGERIE PRESSE 1960 5ème et dernière partie 136


ALGERIE PRESSE 1960 5ème et dernière partie 137


ça y est, de Gaulle a dévoilé son plan, l'armée (de métier) est désorientée......

L'affaire SI SALAH un coup tordu de C2G...... article Wikipédia

Le 12 décembre 1958, le général Challe prend le commandement militaire en Algérie. Le 6 février de l'année suivante, il lance une première offensive dans l'Oranais, relayée en avril-juin par l'opération « Courroie » (Ouarsenis, Algérois) qui s'attaque à la wilaya IV. Le FLN, éliminé des grandes villes en particulier d'Alger depuis 1957, souffre particulièrement. Le quadrillage systématique du terrain le coupe de la population.
La wilaya IV, dont les forces ont été déjà entamées par les opérations engagées par le général Massu en novembre 1958 (opération Couronne I) puis le mois suivant (Couronne Il), sort considérablement affaiblie de l'opération Courroie : certaines de ses katibas sont anéanties, les autres sont contraintes de se disperser et elle perd, au total, 40 % de ses effectifs : 2 400 hommes sont mis hors de combat, dont de nombreux officiers, parmi lesquels le colonel Si M'hamed, tué le 5 mai 1959.
Par ailleurs, les combattants de l'ALN nourrissent des griefs à l'égard de leurs dirigeants de l'extérieur, notamment sur des questions d'approvisionnement en armes.
En mai 1959, Si Salah, de son vrai nom Mohamed Zamoum, devient responsable par intérim de la wilaya IV. Si Salah était un ancien militant du MTLD, et l'un des premiers maquisards de Kabylie. Il est secondé par Si Lakhder et Si Mohammed. Lors d'une réunion du conseil de la wilaya, tenue du 14 janvier au 14 février 1960, ils dressent le constat que « le peuple a trop souffert [ … ] Le peuple est en voie de nous abandonner »1.
Le 10 juin 1960, à la suite de la proposition de la « paix des braves », il décide, en tant que responsable d'un maquis de « l'intérieur », d'ouvrir des négociations directes avec les autorités françaises. Si Salah se rend secrètement à l'Élysée, et négocie directement avec le général de Gaulle un possible cessez-le-feu.
Tout avait commencé cinq mois plus tôt. Dans les premiers jours de janvier 1960 les services d'écoute radio du capitaine Heux, chargé, au Bureau d'études et liaison (BEL), des renseignements concernant la wilaya IV avaient intercepté une série de messages échangés par Si Salah et l'état-major général (EMG) d'Oujda commandé par le colonel Boumédiène. Ils étaient singulièrement instructifs. Heux savait que le plan Challe avait fait la vie dure aux survivants de la wilaya, mais il ne pensait pas que le moral fût tombé aussi bas. Dans son message, Si Salah exprimait en termes d'une rare violence le désarroi, le désespoir et la fureur de ses hommes. Le recrutement local était devenu impossible et ni les armes, ni les munitions, ni les renforts promis par l'extérieur n'arrivaient jusqu'au cœur de l'Algérie. En fait, Si Salah « engueulait » littéralement son chef d'état-major.
« Vous ne foutez rien, vous vous prélassez à l'extérieur. Mais méfiez vous. Les maquis sont las et écœurés. De Gaulle propose la « paix des braves », l'égalité complète pour tous. Nous, c'est ce que nous demandons. L'égalité, c'est le but auquel depuis toujours nous aspirons. Si vous ne nous fournissez pas les moyens de faire la guerre nous acceptons cette proposition. On ne peut rien demander d'autre. »
L'état-major d'Oujda semblait suffoqué. Croyant à une manœuvre d'intoxication des services français du BEL, il avait demandé la répétition du message accompagné de chiffres d'identification prouvant l'authenticité de l'origine. Si Salah avait donné toutes les précisions voulues et avait envoyé un deuxième message encore plus virulent.
Heux transmit ces informations à son patron. Le colonel Jacquin avait tout de suite senti que cette fois il y avait un espoir d'aller au-delà d'une simple opération d'intoxication. Jacquin savait la valeur du chef de la wilaya IV. Qu'un homme aussi sérieux, aussi mesuré, aussi estimé de ses troupes que Si Salah prenne de pareils risques et se révolte ouvertement contre ses chefs de l'extérieur valait qu'on s'en occupe sérieusement. Il fallait absolument établir la liaison. Heux fut chargé de la mission.
Le 15 avril, Si Salah adresse un autre message chiffré au GPRA :
« Il semble définitivement établi que nous n'entretiendrons entre nous qu'un langage de sourds. Vous avez interrompu radicalement tout acheminement de compagnies et de matériel de guerre depuis 1958. Vous êtes enlisés dans la bureaucratie. Nous ne pouvons plus en aucune manière assister les bras croisés à l'anéantissement progressif de notre chère ALN. »
La décision est alors prise de nouer des contacts avec le gouvernement français pour engager, de leur propre initiative, des pourparlers de paix. Un projet de congrès, réunissant des délégués de toutes les wilayas, est envisagé pour renverser le GPRA et désigner des parlementaires chargés d'amorcer des pourparlers avec les autorités françaises. Si cette perspective est finalement abandonnée, le choix de négocier une paix séparée, sans en référer au GPRA, est maintenu.
Négociations
Préalables
À la mi-février 1960, un premier contact est noué avec le colonel Fournier-Foch, par l'intermédiaire du bachaga Boualem. Également approché quelque temps plus tard, le cadi de Médéa informe le procureur général d'Alger, Schmelck, qui en réfère au ministre de la Justice, Edmond Michelet, lequel juge la piste sérieuse.
Après la phase préalable, destinée à jauger les intentions de l'une et l'autre partie, les responsables de la willaya - les commandants Si Salah, Si Lakhdar et Halim et le capitaine Abdellatif - rencontrent dans le plus grand secret, à quatre reprises les émissaires français, Bernard Tricot - représentant le général de Gaulle - et le colonel Mathon - du cabinet de Michel Debré.
Le 28 mars, l'entrevue se déroule à la préfecture de Médéa. Lakhdar, Halim et Abdeltiff confirment leur intention de parvenir à un cessez-le-feu. Elle se poursuit le 31 mars. Les Algériens demandent alors à entrer en contact avec Ben Bella pour obtenir sa caution, ce qui leur est refusé. Les huit semaines suivantes, les dirigeants algériens s'emploient à convaincre leurs homologues des autres wilayas de l'opportunité de mettre un terme, au combat pour s'acheminer - dans le cadre de cette « paix des braves » - vers l'autodétermination de l'Algérie, proposée par de Gaulle dans son discours du 16 septembre 1959. Le chef de la wilaya III, Mohand Ou el Hadj paraît disposé à emboîter le pas de Si Salah. Mais, prudent, il attend de voir comment la situation évolue avant de s'engager plus avant. Le 31 mai et le 2 juin, cette fois au domicile du cadi de Médéa, Abdelkader Mazighi, deux nouvelles réunions aboutissent à un plan de paix autour de quatre points principaux :
1. Les combattants déposeront leurs armes dans les gendarmeries « pour gardiennage », selon une formule destinée à sauver leur honneur.
2. Libres de regagner leur village, ils pourront, s'ils le souhaitent s'engager dans les forces de l'ordre ou dans les formations de travailleurs employés à la réalisation de grands travaux d'utilité publique.
3. Les combattants convaincus de crime de sang seront placés sous surveillance ou éloignés en métropole jusqu'à l'arrêt complet des combats, préalable à une amnistie générale.
4. La libération massive des prisonniers et internés du FLN ne pouvant intervenir qu'après un cessez-le-feu général, les responsables de la willaya s'en remettent aux autorités françaises pour élargir ceux qui ne présentent pas de danger pour la sécurité publique.
Pour pousser leurs interlocuteurs à s'engager irrévocablement et pour faciliter leurs démarches auprès des autres wilayas - en particulier la III et la VI les négociateurs français décident, avec son accord, de leur faire rencontrer le général de Gaulle en personne.
Une entrevue avec le général de Gaulle
Le 9 juin, Si Salah et ses adjoints, Si Mohamed et Lakhdar, décollent pour Rambouillet à bord d'un SO Bretagne.
Le lendemain, ils sont conduits auprès de De Gaulle. L'entrevue se passe dans une atmosphère courtoise. Selon Bernard Tricot, témoin direct de la scène, « les visiteurs expliquent leur affaire, ils le font brièvement et bien. Le général résume ses propositions publiques sur l'autodétermination. Mais, dit-il, il faut d'abord mettre fin aux combats. Le cessez-le-feu peut être conclu dans des conditions honorables pour chacun. Les combattants rappellent qu'ils ne veulent pas apparaître comme des faux-frères ; ils se rendent bien compte qu'ils ne pourront pas entraîner d'un seul coup toute l'ALN d'Algérie, mais ils voudraient du moins que le cessez-feu partiel soit aussi large que possible. À cette fin, ils désirent pouvoir prendre contact avec la wilaya III en Kabylie ; ils demandent en outre qu'on leur facilite le voyage à Tunis, afin qu'ils puissent mettre le GPRA en face de ses responsabilités. » Si Lakhdar qui, selon G. Meynier, semble avoir joué le rôle principal du côté algérien, s'affirme même disposé à créer un « parti nationaliste modéré. »
De Gaulle accède à la première des demandes, mais il refuse le déplacement en Tunisie « qui présentait pour les intéressés des dangers évidents » et, de nouveau, une rencontre avec Ben Bella, car « à la suite de la visite des chefs FLN à l'Île-d'Aix les autres dirigeants du FLN seraient avertis du projet et prendraient les moyens de le faire échouer. » En revanche, « il se déclare prêt à faire transmettre un message des chefs de la wilaya IV aux dirigeants extérieurs de la rébellion »2.
De Gaulle informe ses interlocuteurs de sa décision de renouveler « publiquement son offre de discussion avec le GPRA en vue de permettre l'exercice de l'autodétermination ». L'armée sur le terrain avec le plan Challe et ses succès militaires est sur le point d'obtenir la reddition d'une partie de l'ALN, mais De Gaulle n'en veut pas, il veut poursuivre les négociations vers l'autodétermination avec le GPRA en exil à Tunis.
Déclarations de De Gaulle
Le 14 juin, de Gaulle tient un discours dans lequel, après avoir évoqué la « nostalgie » bien compréhensible de certains pour ce qu'était l'Empire français, rappelle « qu'il n'y a pas de politique qui vaille en dehors des réalités » et conclut en lançant un nouvel appel « aux dirigeants de l'insurrection » :
« Nous les attendons ici pour trouver avec eux une fin honorable aux combats qui se traînent encore [ ... et] accomplir, en union avec la France et dans la coopération des Communautés, la transformation de l'Algérie algérienne en un pays prospère et fraternel. »
Mise au courant du GPRA
Le 22 juin, le journal Le Monde publie un communiqué du « Commandement FLN de la wilaya IV », daté du lendemain 23 juin :
« En ces heures cruciales et décisives où se joue l'avenir non seulement de l'Algérie, mais de la France, au moment où pour le sombre drame algérien semble poindre l'éclaircie susceptible de ramener la paix dans les cœurs et les esprits de tous les habitants de notre patrie déchirée, le commandement général de la wilaya IV ordonne à toutes les unités fidaïyounes de cesser toutes activités contre les établissements publics à clientèle essentiellement civile, contre les véhicules et personnes civiles musulmanes et européennes à dater du 15 juin 1960. Cette décision [ ... ] a été prise dans un but d'apaisement, et pour enlever aux organisations extrémistes européennes, tout prétexte de nuire à la bonne marche des négociations franco-algériennes. »
Dès le lendemain, L'Écho d'Alger, rapportant les propos du porte-parole de l'état-major français, le commandant Maire, soulignait combien la décision des chefs de la wilaya IV contrevenaient aux ordres donnés par le GPRA.
Échec des négociations
Fin mai, des purges commencent dans une partie de la wilaya, surtout dans l'Ouarsenis, à l'initiative du commandant Hassan, Si Mohammed, qui avait emboîté le pas de Si Salah avec réticence, et qui sent, au lendemain de l'entrevue avec de Gaulle, que l'affaire tourne court.
Hassan décide alors de faire allégeance au GPRA et de reprendre la willaya en main. Le 14 juillet, il dissout le comité de la wilaya et prend la direction d'un Comité militaire de coopération et d'exécution dont il nomme les membres. Le 22, il fait exécuter Si Lakhdar. Si Salah, de retour de Kabylie est arrêté et destitué.
Appuyé par Bencheriff, enfin parvenu à destination, Si Mohammed liquide Abdelatiff le 11 août et Halim. Un an plus tard, Si Salah, conduit sous bonne escorte en Tunisie, meurt le 20 juillet 1961 dans une embuscade tendue par un commando de chasse de l'armée française à Maillot dans la région de Bouira (Kabylie), Si Mohamed, à son tour, le dernier témoin de l'entrevue avec de Gaulle, sera tué le 8 août 1961 à Blida par une unité du 11e choc.
Certains officiers français en vaudront beaucoup au général de Gaulle de n'avoir pas su utiliser cette occasion pour engager des négociations avec les combattants de l'ALN de l'intérieur (et qui s'opposaient au GPRA basé en Tunisie). Cette « affaire Si Salah » sera l'une des causes du putsch contre de Gaule en avril 1961.

Décembre 1960 (pas de journal) 1ère manifestation dirigée par le FLN à Alger, pendant le dernier voyage de C2G en Algérie, il ne viendra pas à ALGER.
1960 est une année charnière, car en décembre 60, la partie est perdue le FLN ayant repris le contrôle de la Casbah, la masse musulmane a compris que la France va s'en aller....le vent a tourné.

Comme tout le monde, j'ai écouté le discours de C2G du 4 novembre, qui évoque la future République algérienne.........
Le 9 décembre 1960, C2G visite l'Oranie, arrivé en hélicoptère à Aïn-Témouchent, l'accueil est houleux. A Alger, le Monoprix rue d'Isly est attaqué et mis à feu, des voitures brûlent, une voiture conduite par des musulmans, mitraille les passants, des magasins sont dévastés, des européens molestés, lynchés.

Le 10 décembre une manifestation du FAF (Front de l'Algérie Française) a lieu rue Michelet, sous la pression des gendarmes mobiles, qui ont reçu une dotation en grenades offensives, les manifestants refluent.
Au Champ de Manoeuvres (quartier entre Alger et Belcourt), les musulmans encadrés par le FLN, sont descendus des hauteurs, armés de haches, de bâtons, de couteaux saccagent tout.....magasins défoncés, autos incendiées, un vrai spectacle de désolation.

Dans la rue du Divan, une voiture retournée brûle
encore et l'odeur prend à la gorge, 3 journalistes (2 métros et une PN) couvrent la manifestation. Ils croisent des soldats du contingent, très pâles, nerveux le fusil encore chaud à la main. Ils viennent de tirer sur une foule et de tuer pour la première fois.
Un jeune musulman habillé à l'européenne, agrippe les 3 journalistes.....

-Vous voulez voir ce qui se passe là-haut ? Venez, vous ne risquez rien.-
Devant eux il monte l'escalier, les journalistes le suivent et traversent le marché Randon désert, débouchent ensuite sur une foule hystérique, hérissée de drapeaux FLN..sur les balcons, les femmes poussent des youyous farouches.
Le jeune musulman arrache les 3 journalistes au torrent et les entraîne dans un café maure.
-J'ai quelque chose à vous montrer- crie-t-il aux journalistes.
Au-dessus de la coupole de la synagogue de la Casbah, qui domine tout Alger, monte un grand drapeau FLN.
- Rappelez-vous cette date et cette heure reprend le musulman en serrant le bras de la journaliste. Nous sommes le 11 décembre 1960, il est 16h45 et le drapeau FLN flotte sur Alger.....-
-Je m'en souviendrai toute ma vie- dit la journaliste d'une voix basse en dégageant son bras.


fin année 1960









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MessageSujet: question   ALGERIE PRESSE 1960 5ème et dernière partie Icon_minitimeJeu Aoû 15 2013, 09:03

pourquoi ALGERIE  PRESSE 5ème partie se trouve avant la 4ème?

j'ai mis un message et OK, la réponse : parce qu'il n'y a pas eu de réaction de membres du Forum.....j'ai compris.
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MessageSujet: Re: ALGERIE PRESSE 1960 5ème et dernière partie   ALGERIE PRESSE 1960 5ème et dernière partie Icon_minitimeJeu Aoû 15 2013, 10:09

Merci pour ces magnifiques posts Guy ;

Plus je te connais et plus j'apprends et me confirme que C2G , est une saloperie de première .

Putain , Delhomme aurait dut suivre les ordres et le flinguer , cet enfant de P*** !!!!!

Mauvais soldat en 14/18 , en 40 , diviseur de la France et assassin de Français .

Comment peut on admirer ce type et l'honorer aux travers d'un parti .

Un grand Homme ...............oui , par la taille , pas par le talent .

ALGERIE PRESSE 1960 5ème et dernière partie 257728      
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MessageSujet: après tout, le général KATZ n'a fait qu'obéir aux ordres....   ALGERIE PRESSE 1960 5ème et dernière partie Icon_minitimeJeu Aoû 15 2013, 10:31

"La France ne doit plus avoir de responsabilité dans le maintien de l'ordre après l'indépendance........si les gens s'entre-massacrent ce sera l'affaire des nouvelles autorités (algériennes)" Charles de Gaulle dans c'était de Gaulle par Alain Peyrefitte page 136.

Ce matin là,5 juillet 62 premier jour officiel de l'Algérie nouvelle, sept
katibas de l'ALN avaient défilé dans les rues de la ville. Les Officiels français
étaient partis et le GPRA n'avait pas encore désigné de remplaçants, soudain
une fusillade éclate. C'est alors qu'une vague de folie part des faubourgs
musulmans pour déferler sur les quartiers européens. Hommes, femmes,
enfants, vieillards sont indistinctement abattus à coups de mitraillette ou à
l'arme blanche. Les blessés sont égorgés jusque sous les yeux des sentinelles
françaises qui montent la garde, boulevard Joffre, devant le service social de
l'armée. Ces militaires obéissent à la consigne du Général KATZ, de ne pas
intervenir ! Le lendemain, aucune parole de regret ne sera prononcée par un
Officiel français, mais par le nouveau Préfet de la wilaya qui fera arrêter les
meneurs ; ils seront présentés à la Presse internationale.
(photo éditions. Edibys)


ALGERIE PRESSE 1960 5ème et dernière partie Cid_6310




Le Général Katz termine son déjeuner avant de transmettre les ordres
d’intervention contre les massacreurs
5 juillet - ORAN
sources FLN : 46 morts
Quai d'Orsay : 453 morts, enlevés et disparus
(en débordant les 6,7 et 8 juillet)
Armée française : 215 morts
dernière estimation du Quai d'Orsay d'octobre 2005 : 453 mais 88
retrouvés ou décédés (autre raison)
---------------------------------------------------------------------------------------------------------
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MessageSujet: Re: ALGERIE PRESSE 1960 5ème et dernière partie   ALGERIE PRESSE 1960 5ème et dernière partie Icon_minitimeJeu Aoû 15 2013, 10:43

Merci Guy ,

Katz le "BOUCHER" ................ALGERIE PRESSE 1960 5ème et dernière partie 310541 ALGERIE PRESSE 1960 5ème et dernière partie 310541 

"La France ne doit plus avoir de responsabilité dans le maintien de l'ordre après l'indépendance........si les gens s'entre-massacrent ce sera l'affaire des nouvelles autorités (algériennes)" Charles de Gaulle .

Giscard a envoyer le 2eme REP a Kolwezi .

L'armée française sur place , que dire et penser de ces patrons de Rgts Loyalistes .

Un "Abandon total" ..............HONTEUX Sad Sad Sad 
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MessageSujet: C2G MISE AU POINT   ALGERIE PRESSE 1960 5ème et dernière partie Icon_minitimeJeu Aoû 15 2013, 10:56

Je tiens à repréciser ma position :

J'admire l'homme du 18 juin, son appel est l'acte fondateur de la FRANCE LIBRE......

Je hais l'homme du 13 mai .......il a pris le pouvoir sur un mensonge et a joué sciemment le double jeu jusqu'au 16 septembre 1959
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MessageSujet: Re: ALGERIE PRESSE 1960 5ème et dernière partie   ALGERIE PRESSE 1960 5ème et dernière partie Icon_minitimeJeu Aoû 15 2013, 11:03

GUY61 a écrit:
Je tiens à repréciser ma position :

J'admire l'homme du 18 juin, son appel est l'acte fondateur de la FRANCE LIBRE......

Je hais l'homme du 13 mai .......il a pris le pouvoir sur un mensonge et a joué sciemment le double jeu jusqu'au 16 septembre 1959
Je respecte tes idées , mon Ami Guy ;

Mais pour moi , mieux Leclercq , qui a été de toutes les batailles .

L'Homme du 18 Juin , a cautionné le massacre de Mers el Kébir , un beau début pour la suite de sa vie .
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MessageSujet: Re: ALGERIE PRESSE 1960 5ème et dernière partie   ALGERIE PRESSE 1960 5ème et dernière partie Icon_minitimeJeu Aoû 15 2013, 11:04

Comme disaient Marius et Olive: C'était une Bordille ALGERIE PRESSE 1960 5ème et dernière partie 159551 
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MessageSujet: Re: ALGERIE PRESSE 1960 5ème et dernière partie   ALGERIE PRESSE 1960 5ème et dernière partie Icon_minitimeJeu Aoû 15 2013, 11:11

Chacal a écrit:
Comme disaient Marius et Olive: C'était une Bordille ALGERIE PRESSE 1960 5ème et dernière partie 159551 
Tu me "Fends le Cœur"....... I love you I love you ALGERIE PRESSE 1960 5ème et dernière partie 991300 ALGERIE PRESSE 1960 5ème et dernière partie 991300 
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