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 Exclusif: Un « illégal » témoigne, 18 ans en France .

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Commandoair40
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MessageSujet: Exclusif: Un « illégal » témoigne, 18 ans en France .   Exclusif: Un « illégal » témoigne, 18 ans en France . Icon_minitimeDim Mai 06 2018, 11:46

Exclusif: Un « illégal » témoigne, 18 ans en France
Exclusif: Un « illégal » témoigne, 18 ans en France . Agent

L’un de nos Lecteurs a eu l’occasion de rencontrer à plusieurs reprises, dans un pays étranger, une personne très particulière qui a bien voulu, après plusieurs requêtes, répondre à nos questions.

L’interview a eu lieu face à face, il en existe un enregistrement vocal.

Les conditions étaient les suivantes: Ne citer ni ne donner aucune indication sur des noms de personne, ville ou pays.

Voici la transcription intégrale de l’interview.

– Bonjour, peut-on vous présenter comme un « agent illégal » qui a vécu légalement sur le sol français ?

Bonjour, vous pouvez utiliser le terme que vous voulez. Dans les services de renseignement on nous appelle en effet les « illégaux », puisque nous vivons avec de faux documents d’identité dans des pays étrangers.

– Cette expérience a duré 20 ans, c’est exact ?

Un peu moins. 18 ans exactement. Je suis arrivé en France à l’âge de 27 ans et en suis reparti à 45.

– Illégal car entré illégalement, ou sous une fausse identité ?

Les 2! Je suis entré illégalement, c’est très facile, et j’ai reçu des papiers d’identité sur place par mon organisation qui m’a aussi aidé à m’installer.

– Concrétement vous aviez une vraie fausse identité, une vraie fausse famille, un vrai faux travail ?

L’identité était créée de toutes pièces, mais les documents étaient enregistrés dans les systêmes informatiques français et pouvaient donc résister à tout contrôle. Je ne suis pas spécialiste de ce domaine, mais nos experts le sont. J’avais une carte d’identité française (un nom bien français, né en France) et un permis de conduire également enregistré. J’avais un numéro de sécurite sociale, mais pas de passeport, tout au moins à mon arrivée; je m’en suis fait délivrer un par la préfecture du lieu ou je vivais, sans aucun problème.

Je suis arrivé seul en France, je me suis marié 2 ans plus tard avec une jeune femme qui ignorait tout de qui j’étais. Et qui ne l’a jamais su. Pour le travail, disons que j’ai une formation d’ingénieur dans mon pays mais je ne pouvais bien entendu pas l’utiliser en France, il aurait fallu un diplôme français. Mon organisation a financé l’installation d’un petit commerce de matériel électronique en région parisienne, qui a fonctionné près de 15 ans.

– De fait, vous avez le profil de l’agent dormant au service d’une puissance étrangère, ça y ressemble beaucoup en tout cas..

Oui c’est tout à fait ça.

– Etiez-vous volontaire pour ce type de mission ou bien avez-vous accepté une proposition que vous ne pouviez refuser?

J’avais une vie tout à fait normale dans mon pays, et à la fin de mes études d’ingénieur j’ai été approché par les services spéciaux qui m’ont proposé de travailler pour mon pays. Je me souviens très bien quand ils m’ont dit que ce serait difficile, que je ne pourrais dire à personne ce que je fais, que je ne reviendrais pas chez moi durant plusieurs années, mais que mon travail serait très utile pour ma Patrie. Ils m’ont dit également qu’au retour chez moi ils m’aideront pour me ré-installer. Il n’y a eu aucune pression, non. J’ai réfléchi un mois environ et c’est moi qui les ai rappellé pour leur dire que j’acceptais, j’ai eu alors plus d’informations, et j’ai suivi une préparation de 3 ans avant d’être envoyé en France.

– Si mission il y avait quel était son but ? ,

Le but était de s’infiltrer dans le pays et d’y vivre comme un « bon citoyen » normal, pour remplir 3 sortes de missions: D’une part assister des agents opérationnels venant pour une mission bien précise, ça a été concret à plusieurs reprises: Trouver un logement, louer des voitures, acheter des téléphones portables, etc.
D’autre part effectuer des repérages photographiques et video de certains endroits que l’on me désignait.
Enfin je devais tenter d’approcher des responsables politiques proches du pouvoir, en m’inscrivant comme militant dans un parti.

– Donc des agents étrangers venaient opérer en France et vous les aidiez?

Oui.

– Pour quel genre de missions?

Je n’étais pas informé, et même si j’ai pu parfois le comprendre à la suite d’évênements, je ne peux en parler.

– Des repérages photos de quels sites?

Je ne peux donner d’informations précises, mais ça pouvait être un port, un site industriel, etc.

– Des sites militaires? Des centrales nucléaires?


[Pas de réponse]

– Au départ aviez-vous un lien familial ou historique avec votre pays d’accueil ?

Mon père était un amoureux de la France. Dans mon pays beaucoup considèrent la France comme une référence culturelle, il est d’ailleurs très chic de parler français dans certaines soirées! Mon père m’a fait apprendre le français dès l’âge de 7 ans, et à 15 ans je le parlais déjà couremment. Ceci a beaucoup joué dans le fait que je sois contacté.

– Pour en revenir à votre personnage, vous l’avez créé ou certains services vont ont aidé, par exemple en vous formant aux us et coutumes locales?


L’identité m’a été fournie avant de partir et j’ai dû l’apprendre par coeur. Pour certaines raisons je ne suis jamais allé en France avant le début de ma mission, mais nous avons une école un peu particulière ici, avec des professeurs qui connaissent très bien la France – et d’autres pays puisque la France est MON exemple, mais il y en a d’autres – qui y ont vécu et qui nous montraient donc comment y vivre sans s’y faire remarquer. Nous avions par exemple une reconstitution d’une célèbre brasserie parisienne, nous allions y déjeuner, tout le monde ne parlait que français, était habillé « en français », etc. Une des premières choses que j’ai faites en arrivant en France a été de m’y rendre et j’ai été stupéfait de voir que tout était strictement identique à notre « copie »!

Nous avions aussi un laboratoire de langues ou j’ai été formé aux divers accents régionaux. Je parle bien entendu français sans aucun accent mais suis capable de prendre l’accent marseillais ou parisien sans problème.

– On peut penser que votre statut d’infiltré ne consistait pas à rester un citoyen lambda.

Eh bien si! Les histoires de James Bond c’est pour les films. Je n’ai jamais touché une arme durant mon séjour en France! Et quand une équipe d’agents venait pour une opération speciale, je ne participais qu’au niveau de la logistique. Un de mes responsables m’a dit que j’étais « beaucoup plus précieux que n’importe quel opérationnel »…

– Je pense que durant ces années vous aviez des contacts avec vos supérieurs.


Oui bien sûr, mais de manière très particulière. D’abord j’avais reçu l’ordre formel de ne jamais m’approcher des ambassades de mon pays, ni des centres culturels, expositions etc. Nous avions donc des méthodes de contact par petites annonces (je me suis abonné au Figaro dès mon arrivée!). Sans entrer dans les détails, ces annonces signifiaient que je devais me rendre quelque part et là-bas je trouvais des instructions. Un magasin de livres, un supermarché, un café, etc. Nous n’utilisions quasiment jamais internet pour nos contacts, par souci de ne pas nous faire repérer.
Les contacts directs, face à face, étaient tres rares. Par exemple une année nous étions en vacances ma femme et moi à Nice, et un de mes responsables est arrivé sur la plage pendant que ma femme se baignait. Nous avons discuté quelques minutes.

– Votre femme donc… Elle ne savait rien?


Non et elle n’a jamais rien su. Il avait été prévu que je me marie rapidement pour passer plus inaperçu, mais de ne pas faire d’enfant. Une autre raison était que je ne devais conduire une voiture que très rarement, par sécurité: Si je conduisais et avais un grave accident je risquais d’être fiché par la police, ce qui ne devait pas se produire. Donc ma femme, mes petites amies ensuite, conduisait. Pour moi donc c’était un mariage de nécessité on peut dire. Nous sommes restés mariés 3 ans puis avons divorcé, à mon initiative car je ne devais pas m’attacher sentimentalement, je savais que je devais repartir un jour, donc…

– Au passage vous n’avez jamais été soupçonné ou risqué d’être dentifié. Ceci expliquant votre départ. Il faut le préciser vous êtes reparti chez vous.

Soupconné, non je suis certain. Sauf à la fin ou j’ai dû partir très vite, mais pas par ma faute. Un de nos agents chez moi a trahi et a livré des informations aux services britanniques sur des agents illégaux opérant en Europe. Il n’avait pas accès aux identités mais avait tout de même des informations assez spécifiques. Dès que nous avons su cela, j’ai reçu l’ordre de partir mais en règlant un maximum de choses avant. J’ai donc fermé mon magasin prétextant une baisse d’activité, informé mes amis que je devais m’absenter quelques semaines, et suis simplement parti, nous avions une procédure très précise pour cela.

– Avez-vous connu des situations disons… délicates?

On peut dire que j’ai été durant 18 ans en situation délicate puisque toute erreur risquait de compromettre ma position avec toutes les conséquences que cela implique.

Une fois en particulier oui, ça a été un peu spécial… Je devais relever une « boite aux lettres », un lieu ou on récupère les messages (après avoir été informé par une petite annonce, vous vous souvenez?). La boite était en fait une petite cache sous un banc dans un parc de la ville ou je vivais alors. Donc je sors me promener comme tout promeneur, et arrivé sur le banc, pas de chance, 2 amoureux qui s’embrassent… Je continue mon chemin, reviens 10 minutes plus tard, ils sont encore là!
Problème, car rester dans le coin peut me faire remarquer, donc je pars boire un café dans un bar à proximité. Une heure plus tard je retourne sur place et… Ils sont toujours là!!! Ca devient un problème car la règle est de récupérer les messages le plus vite possible, et il était déjà 20 heures, la nuit allait tomber et je n’aurais pas été très discret d’aller sur ce banc en pleine nuit!! J’ai alors fait quelque chose qui est totalement non-conforme, qui n’a jamais été suggéré dans nos cours de formation [rires]. Et je suis certain que si mes chefs l’avaient su ils n’auraient pas approuvé! Je suis allé dans une cabine publique (il y en avait beaucoup à l’époque), j’ai appellé la police et ai signalé un couple suspect qui semblait utiliser des narcotiques! Je suis ensuite retourné dans le parc et me suis assis à une centaine de mètres. Deux agents de police sont arrivés et se sont dirigés directement vers le couple… Dix minutes après le banc était libre et j’ai pu récupérer le message!

– Aucune situation ou vous auriez risqué d’être arrêté? Repéré?


Non car il faut bien comprendre que je menais une vie très calme pour les normes françaises! Avec une extrème prudence lors de mes missions, et non vraiment je ne me souviens pas de risques directs mais encore une fois, ma situation était risquée depuis le début jusqu’à la fin de mon séjour… 18 ans…

– Vous avez vécu dans quelles villes en France?


Paris et d’autres également mais je ne veux pas les citer. Disons simplement une ville au bord de la mer, et quelques autres vers les frontieres françaises. Pratique quand on doit accueillir des agents opérationnels qui arrivent en France pour une mission ponctuelle.

– On peut supposer que tous les pays utilisent des agents dormants, au cours de votre mission avez-vous soupçonné certaines personnes « d’en être »?

Voila une excellente question! Et je réponds oui sans hésitation, ça concerne une personne qui etait dans le parti politique que je devais infiltrer. Pour ma mission d’infiltration je demandais parfois des renseignements à mes chefs, sur telle ou telle personne. Pour savoir par exemple comment je pouvais les approcher, quels sont leurs goûts, etc. Et donc nous avons comme cela identifié une personne qui était au moins un « correspondant » d’une puissance étrangere. Un « illégal » je ne sais pas, mais un correspondant oui c’est certain! J’ai reçu l’ordre de ne pas tenter de l’approcher.

– Vous êtes parti clandestinement, de la même manière que vous êtes entré?

Quand je suis parti il y avait l’Espace Shengen, donc sans contrôle à l’intérieur de l’Europe. J’ai pris un billet de train pour Amsterdam où un collègue m’attendait et m’a remis d’autres documents d’identité. Je suis parti pour Vienne en Autriche où j’ai une fois encore changé d’identité, j’ai alors pris un vol pour Athènes où je suis resté quelques jours, ensuite je suis simplement rentré dans mon pays que j’avais quitté 18 ans plus tôt!

– Vos proches n’ont jamais eu de soupçon?

Officiellement mes parents français étaient décédés et je n’avais pas d’enfant. Donc… J’avais bien entendu des amis et petites amies, mais là encore tout était fait de telle manière que personne ne sache rien. Lorsque nous parlions politique, je restais neutre. Quand les discussions concernaient mon pays, là aussi je restais neutre en disant ne rien savoir, donc ne pas pouvoir juger. Je m’effaçais complètement. Un de mes instructeurs employait les termes « être transparent ».

– Vous avez dit il y a quelques minutes que vous deviez approcher des responsables politiques proches du pouvoir. Pouvez-vous en dire plus?


J’avais reçu l’ordre de tenter d’approcher les responsables politiques d’un certain parti français. Je me suis donc inscrit à ce parti et participais aux réunions publiques, puis ensuite à certaines réunions plus restreintes. J’ai avec le temps pû rencontrer à plusieurs reprises un des hommes politiques importants du moment, oui… Ca a été long, plus de 2 ans de travail… Ce qui importait à mes chefs était alors de savoir quelle serait la politique de la France à l’égard de mon pays si cet homme arrivait au pouvoir. Je pense avoir pu fournir des informations importantes.

– Quel parti? Quel homme politique?


Comme je vous l’ai précisé dans nos conditions de discussion, je ne peux citer aucun nom.

– Un parti au pouvoir en France?

[Pas de réponse]

– Avez-vous recruté d’autres agents ?

Non, et ça m’était d’ailleurs strictement interdit de faire la moindre tentative en ce sens! Je sais qu’il y avait des gens spécialement pour le recrutement et je ne devais jamais tenter de le faire, ça aurait risqué de me griller.

– Quel est selon vous le bilan de votre action.


Ecoutez… J’ai été reçu à mon retour par un des plus hauts responsables de mon pays qui m’a remis une décoration… qui doit rester secrète! Il me semble donc que le bilan est positif.

– Maintenant que votre mission est terminée, vous-a-t-il été facile d’éliminer votre personnage de fiction et de retrouver votre vraie personnalité?


En fait je n’ai pas eu de vie active dans mon pays, puisque je l’ai quitté à l’âge de 27 ans. Je travaille actuellement comme analyste dans les services de mon pays, à la section qui gère les opérations en Europe. Mes collègues de travail savent plus ou moins que j’ai opéré en France, mais sans plus, personne ne pose de question. Et justement puisque personne ne demande rien, mon identité de français s’efface jour après jour, même s’il m’arrive de penser parfois encore en français… et de regretter certains petis bistrots [rire]. Ici maintenant j’ai une vie normale, des amis comme tout le monde, pour qui je suis un fonctionnaire parmi d’autres.

– Vous ne pensez pas à une seconde mission du même genre? Dans un autre pays?


Impossible, allons! Imaginez que je croise une personne que j’ai croisé en France, alors que je suis sous une autre identité dans un autre pays… Non non, la règle est « une fois ».

– Après 20 ans passés en France, quel est votre sentiment sur l’évolution du pays.


J’ai assisté durant presque 20 ans à une évolution totalement incroyable pour moi, et je pense que nous ne l’avions pas prévu dans mon pays. Les français ont totalement changé de mentalité… Ils ont totalement renié leur culture et leur mode de vie… J’avoue être abasourdi, j’ai encore du mal à y croire, un si grand pays… Tombé si bas…

– Vous savez que nous militons activement pour justement inverser cette évolution… Beaucoup d’entre nous pensent que le pays va basculer dans la guerre civile et que nous devrons alors entrer en clandestinité très prochainement. En tant que professionnel, acceptez-vous de nous donner quelques conseils?

Etre clandestin n’est pas à la portée de tout le monde. Le plus difficile est l’aspect psychologique: Couper les ponts avec ses amis, sa famille. Pour tenir il faut une extrême motivation et un mental très très fort. Si vous maitrisez cet aspect alors ce sera assez facile, à supposer que vous ayez ce que je pourrais appeller une « base de départ ».
C’est à dire si vous avez eu soit le temps de préparer matériellement votre changement de vie, soit si vous rejoignez un réseau clandestin déjà opérationnel. Il est important pour pouvoir mener des opérations contre un ennemi, que vous-même vous sentiez en sécurité sur le plan matériel: Une base de repli, de l’argent, etc.

Pour tenir, vous devrez être « transparent », comme disait mon instructeur. Habillez-vous de manière neutre, ni comme un clochard ni comme un riche homme d’affaire. Soyez très prudent vis à vis de votre entourage (les voisins du lieu ou vous résidez), donnez leur l’impression que vous êtes un homme banal. Partez le matin à l’heure où les gens partent travailler, revenez le soir à l’heure où les gens reviennent du travail. Ne conduisez jamais de véhicule à permis! Savez-vous quel est le meilleur moyen pour circuler en ville? Le vélo! Pas de permis donc pas de contrôle. Et puis entre nous, imagineriez-vous un agent clandestin circuler en vélo?! Dans la rue en marchant, ne regardez jamais les autres passants dans les yeux. Fuyez leur regard.

Adaptez votre rythme à celui des autres passants autour de vous. Ne fréquentez pas les lieux nocturnes, c’est un piège, police et voyous peuvent vous nuire. Mon instructeur disait aussi « vivez comme un bon père de famille même si vous n’avez pas de famille »!

Si vous devez mener des opérations illégales, dans la mesure du possible opérez le jour et non la nuit. Et ayez toujours deux plans de repli: Celui dans le cas où tout va bien, et un autre en cas de problème. Et surtout, surtout, ne faites confiance à personne dans votre nouvel entourage. Partez du principe que si personne ne sait rien de vos activités, personne ne pourra jamais vous dénoncer.

– Vous aviez un pays entier derrière vous. Dans notre cas ce serait plutôt un pays entier, le notre, contre nous!

Oui, vous n’aurez pas la base de repli que j’avais, mon pays, en cas de probleme sérieux. En effet. Prenez ce fait en considération donc.

– Je vous remercie d’avoir bien voulu répondre à nos questions, monsieur… J’ai oublié votre nom… Monsieur comment déjà?


[Rires] Disons Francois Grasset… Ou Pierre Ripel… Ou ce que vous voulez!

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« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage.
La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure.
Être un homme et le demeurer toujours,
Quelles que soient les circonstances,
Ne pas faiblir, ne pas tomber,
Voilà le véritable sens de la vie ».

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MessageSujet: Re: Exclusif: Un « illégal » témoigne, 18 ans en France .   Exclusif: Un « illégal » témoigne, 18 ans en France . Icon_minitimeDim Mai 06 2018, 13:01

Bravo à cet agent, je pense Russe ?? car la-bàs le français s'apprend  !! mais c'est tout de même un homme de qualité,  Exclusif: Un « illégal » témoigne, 18 ans en France . 926774 Exclusif: Un « illégal » témoigne, 18 ans en France . 926774 Exclusif: Un « illégal » témoigne, 18 ans en France . 926774
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MessageSujet: Re: Exclusif: Un « illégal » témoigne, 18 ans en France .   Exclusif: Un « illégal » témoigne, 18 ans en France . Icon_minitimeDim Mai 06 2018, 18:57

Lui , "OUI" , tu as raison Gus ,

Mais notre "DCRI" ........................quelle honte . Exclusif: Un « illégal » témoigne, 18 ans en France . 133142 Exclusif: Un « illégal » témoigne, 18 ans en France . 133142

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« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage.
La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure.
Être un homme et le demeurer toujours,
Quelles que soient les circonstances,
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Voilà le véritable sens de la vie ».

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