Quand MASSU et SALAN ont fait appel au grand Charles, le 13 mai, savaient-ils cela ? :
Charles de Gaulle à André Philip en 1944, au sujet de l'Algérie « Tout cela finira par l'indépendance, mais il y aura de la casse, beaucoup de casse ! »
A Christian Pineau en 1957 « Il n'y a qu'une solution en Algérie, c'est l'indépendance » « Mais mon général, pourquoi ne pas le dire maintenant ? » « Non Pineau, ce n'est pas le moment ! »
Fin juin, après avoir dit le 6 juin« vive l'Algérie française » à Mostaganem, le général de Gaulle demande à Bernard Tricot de bien vouloir intégrer le nouveau Secrétariat des Affaires Algériennes :
« j'accepte à une condition mon Général, que ce soit pour aboutir à l'indépendance de l'Algérie». »pourquoi croyez-vous que je suis là ? »*