ON SE DEMANDE CE QU' ON ATTEND POUR VIRER CETTE MERDE A GRANDS COUPS DE POMPES DANS L'CUL...
CETTE MERDE réclame un printemps arabe en France.....
On peut aussi lui apprendre à déménager ? Pour rejoindre ses copains des cités.
Il faut boycotter ses spectacles, il ne nous mérite pas ,et si ça ne lui plaît pas qu' il se taille.
Sachez qu' il habite rue St-Louis-en-l'Ile .(quartier haut de gamme de Paris) à plus ou moins 20.000 EUR le m2 !!!
Jamel Debbouze promet la révolution d'immigrés "énervés" !
Irresponsable, Jamel Debbouze ?
Le "comique" a lancé un message incendiaire à destination des banlieues et des enfants d'immigrés qui vont « s' énerver » et suivre les modèles tunisiens et égyptiens.
En gros, faire la révolution !
Depuis les beaux quartiers parisiens où il réside depuis plusieurs années, Jamel Debbouze la joue « choc des civilisations ».
Face à des Français de plus en plus inquiets par les enjeux de l' immigration et par la délinquance issue des banlieues, il oppose la colère des « jeunes » issus de l' immigration,qui vont « gagner leur liberté ».
Au même titre que l' Égypte, que la Tunisie, ou encore l' Allemagne de l' Est, ils vont s' énerver, ils vont vouloir regagner leur liberté », a-t-il déclaré sur RTL. Le parallèle entre des banlieusards vivant d'allocations (je parle évidemment de ceux qui vont faire la révolution, parce que la majorité des banlieusards, issus ou non de l'immigration bossent et ont mieux à faire que d' aller brûler des voitures et « gagner leur liberté » en lançant des pavés sur les policiers) et les peuples arabes excédés par des décennies d'autoritarisme, de corruption et de sous-développement, est évidemment totalement stupide.
Mais pas de doute que les propos de Jamel Debbouze auront malgré tout un impact catastrophique sur des paumés de banlieue qui n' en demandaient pas tant pour haïr leur pays et faire porter le poids de leurs échecs sur la société dans son ensemble.
Si Jamel Debbouze est peut-être hilarant sur scène (Ah bon?), il serait temps qu' à l' image de tous ces« people » qui croient que la célébrité les rend plus aptes à donner leur avis, il se concentre sur ce qu'il croit savoir faire et qu' il évite de mettre de l' huile sur le feu...
FERAIT MIEUX DE FERMER SA GUEULE...
S' il faisait ça dans son pays, il ne serait pas prêt de revoir la lumière du jour, car en Algérie, au Maroc ....on ne s' amuse pas avec les invitations à la révolution !
"DEHORS !"
Faites suivre ce message à tous vos amis , collègues , parents
Et en plus il est domicilié en Suisse!
Demandez lui aussi comment il a perdu son bras!!!!
Il ferait mieux de mettre à jour sa conscience, pauvre branleur, pour ça, il n’a pas de couille au cul, c’est plus facile de n’avoir que la gueule !!!!
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Sujet: Re: Jamel Debbouze. Sam Juil 20 2013, 00:14
Oui Jean-Pierre, nous savons vaguement pour le bras de ce parasite; mais tu pourrais nous donner les détails quand même, car beaucoup ne savent pas et idolâtrent ce résidu du Mitterrandisme
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Sujet: Re: Jamel Debbouze. Sam Juil 20 2013, 02:10
Pour les Admirateurs d'un Assassin , anti Français
Jamel Debbouze rattrapé par son passé
Comme pour toutes célébrités, les journalistes creusent dans leurs passés afin de faire ressortir des erreurs de jeunesse.
Bien évidemment, Jamel Debbouze n'échappe pas à la règle et les journalistes n'hésitent pas à lui rappeler l'accident qui lui a couté son bras et la mort de Jean Paul Admette, fils de Marlène Admette, le 17 Janvier 1990.
Ce jour la, Jean Paul Admette, est poussé sur la voie ferrée en gare de Trappes. Un train qui arrive à 150 km à l'heure le faucha et laissera aussi des séquelles à Jamel Debbouze, cette célèbre main qu'il cache dans sa poche.
Madame Admette fût catégorique et dénonça ce qui suit :
"c'est bien Jamel Debbouze qui a tué mon fils".
"Jamel Debbouze dont je peux encore vous donner l'adresse à Trappes, 19 rue du Moulin de la galette, était connu comme un délinquant comme un voleur de voiture à Trappes. Il est venu chercher mon fils ce jour de 17 Janvier 1990 chez nous à Guyancourt. Il était 17 h. Jamel était accompagné de deux autres personnes des « zoulous ». Ils ont obligé mon fils à monter dans le bus, puis dans le train. Et ensuite le drame est arrivé. Tout ça parce que Jamel, qui n'a jamais été le copain de mon fils contrairement à ce que certains ont prétendu, à piégé mon fils en lui cachant qu'ils était accompagné de voyous qui en voulaient , tout comme lui, à son blouson ; blouson que l'on d'ailleurs jamais retrouvé. On ne nous a rendu que le corps. Oui je c'est bien Jamel qui a tué mon fils en organisant cette embuscade et en poussant mon fils sur la voie ferrée."
" J'affirme que Jamel Debbouze est l'assassin de mon fils, c'est lui qui a poussé mon fils sous le train »
" Immédiatement après l'accident plusieurs témoins du drame ont affirmé sans hésitation que c'est Jamel Debbouze qui avait poussé mon fils sur la voie ferrée. Et c'est à ce moment là que Jamel a lui-même été blessé à la main. Le seul problème est que les témoins ont tous retourné leurs vestes, quand ils sont arrivés au commissariat de St Cyr l'Ecole, tous sauf une jeune fille africaine Edwige ANZOUANA qui persistera dans ses déclarations "
L'affaire fût menée en justice et Jamel Debbouze poursuivit pour homicide involontaire suite a la plainte déposée par la famille Admette. Le comique obtiendra un non lieu.
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Sujet: Re: Jamel Debbouze. Sam Juil 20 2013, 07:17
Une belle ordure !! je savais que l'histoire de son bras était une vacherie de sa part, une frappe! de banlieu , mais avec sa gueule d'enfer il a endormi son public, et maintenant il joue les révolutionnaire !!
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Sujet: Re: Jamel Debbouze. Sam Juil 20 2013, 08:18
Un "nervi", un voyou qui se prend pour le nombril du monde, mais n'est qu'un imposteur, à Marseille où l'esprit est très supérieur et fin, on dirait une BORDILLE. Mais, en France prés-musulmane, tout le monde sait que l'assassin a tous les droits et la victime tous les torts... est-ce que ça changera sous la charia ? l'avenir nous le dira
En tous cas, svp, ne lui faisons pas plus d'honneur en hébergeant son évocation chez nous
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Sujet: Re: Jamel Debbouze. Sam Juil 20 2013, 16:21
Vous pouvez même détruire le post aprés !! car c'est trop dit et il n'en vaut pas la peine
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Sujet: 48 h Après "Trappes" . Dim Juil 21 2013, 18:43
48 h Après "Trappes" : les policiers sur le qui-vive
Merci "JAMEL"
Trappes : les policiers sur le qui-vive
Un rassemblement de centaines de personnes "hostiles" a eu lieu devant un commissariat vendredi soir.
Les policiers sont en alertes samedi soir, à Tulles, dans les Yvelines. Il faut dire que la nuit de vendredi à samedi a été tendue. Entre 200 et 400 personnes "hostiles" à la police se sont réunies aux alentours d'un commissariat de la ville avant de se disperser aux alentours d'une heure du matin. Les gros cailloux et les douilles de grenades lacrymogènes qui jonchaient le sol après le rassemblement témoigne de la vive tension qui a régné pendant quelques heures. Le calme était finalement revenu samedi matin, même si les forces de l'ordre restent mobilisées.
Quatre blessés, six gardes à vue. Selon le procureur de la République de Versailles, Vincent Lesclous, trois policiers ont été légèrement blessés durant les échauffourées. Un garçon de 14 ans a lui été grièvement blessé à l'oeil par un projectile venu d'une origine indéterminée, a poursuivi le magistrat, qui s'exprimait lors d'une conférence de presse. Six personnes ont été arrêtées et placées en garde à vue à l'issue des affrontements ayant opposé 250 jeunes aux forces de l'ordre, a ajouté le procureur.
"Inacceptable", pour Valls. "Aucune raison ne justifie ces violences, elles sont inacceptables", a déclaré Manuel Valls à la presse lors d'un déplacement à Marseille. "L'ordre public est rétabli, il sera rétabli à Trappes (...) Des effectifs nombreux sont déployés et resteront déployés toute cette fin de semaine. S'en prendre aux forces de l'ordre, aux institutions, aux biens publics n'a aucun sens, ne règle aucun problème et est inadmissible", a encore déclaré le ministre de l'Intérieur, sans évoquer les circonstances de ces heurts.
Un témoin a filmé une partie de la scène :
A l'origine, un contrôle qui tourne mal. Le rassemblement "violent", selon une source préfectorale qui n'en pas expliqué l'origine, s'est formé aux environs de 20h30. Sous couvert de l'anonymat, le responsable d'une association de musulmans a expliqué que la manifestation faisait suite à l'interpellation jeudi d'un homme qui s'était opposé au contrôle par la police de son épouse portant un voile intégral. Selon le procureur, l'homme a tenté d'étrangler un policier lors du contrôle. Un premier attroupement s'était formé avant que l'homme et son épouse ne soient arrêtés. Il a été remis en liberté dans la journée et placé sous contrôle judiciaire. Il sera convoqué prochainement devant un tribunal.
Des témoignages relayés notamment pas le site al-kantz évoquent au contraire un contrôle musclé et parlent de violences policières. Le Collectif contre l'islamophobie en France (CCIF) affirme de son côté avoir été contacté par la femme voilée dans un communiqué publié sur son site internet. Selon le CCIF, le mari de cette femme s'est opposé à des "provocations" de la police et a été "molesté".
Guérilla urbaine. Le lendemain, dans l'après-midi, un groupe d'une vingtaine d'hommes demandent la libération du gardé à vue. Ils repartent sans incidents. Mais quelques heures plus tard, les violences éclatent. Revenant sur les faits, le préfet des Yvelines Erard Corbin de Mangoux a expliqué qu'il y avait eu "deux périodes". La première "intense" s'est déroulée de 20h30 à 21h45 avec le "siège" du commissariat. Des jeunes ont jeté des pierres en direction du bâtiment et sur les policiers. La deuxième, qui s'est passée entre minuit et 2h00, a constitué en des "épisodes sporadiques", avec des dégradations de matériels urbains, notamment des poubelles incendiées et des abribus brisés.
Une soixantaine de CRS... et un hélicoptère. Pour ramener le calme, une soixantaine de CRS et autant de renforts venus des environs ont été dépêchés sur place. Un hélicoptère a même été utilisé pour survoler la ville. Les abords du commissariat de Trappes restaient déserts dans la soirée de samedi mais une trentaine de fourgons de CRS étaient toujours postés sur place. Les renforts seront maintenus dans le quartier des Merisiers, classé zone urbaine sensible (Zus), "tant que nous sentirons des menaces", a souligné le préfet Erard Corbin de Mangoux, en appelant les habitants "au calme".