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 27 Juillet 1942

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MessageSujet: 27 Juillet 1942   27 Juillet 1942 Icon_minitimeLun Juil 27 2009, 04:38

27 Juillet 1942


27 Juillet 1942 Urss Front de l'est
Front sud
Le groupe d'armées A continue son avance vers le sud et capture Bataysk, porte d'accès au Kouban et au Caucase
Dans le même temps, la VIe armée allemande continue d'éliminer les dernières résistances soviétiques dans la grande boucle du Don, attaquant la tête de pont soviétique à l'ouest de Kalach


27 Juillet 1942 27-07

Affiche française présentant l'action des volontaires de l'Estonie et de la Lettonie au sein de l'armée allemande sur le front de l'est.
Elle est issue d'une série présentant les alliés de l'axe et leur action sur le front de l'est


source : Worldwar-2.net, onwar.com, guerre-mondiale.org, mémorial de caen (photo)


27 Juillet 1942 Egypte Front d'Afrique du nord
A 2h la 24e brigade australienne réussit à capturer ses objectifs, la partie orientale de la crête de Miteirya, et la 69e brigade capture Deir el Dhib a 8h, mais suite à une confusion, l'avancée de la 2nd brigade blindée est retardée, permettant aux troupes allemandes de contre-attaquer et de repousser la 69e brigade, qui perd 600 soldats dans la journée, et la 24e brigade indienne, qui perd 400 soldats.

source : wikipedia


27 Juillet 1942 Australie Front du pacifique sud
En Nouvelle-guinée, les troupes australiennes se regroupent à Deniki et commencent à se déplacer vers Kokoda pour tenter d'en défendre la piste.

source : wikipedia, guerre-mondiale.org


27 Juillet 1942 Coule-1 Atlantique nord
Le U130 coule le cargo britannique Elmwood entre le Brésil et l'Afrique
Le U582 coule le cargo américain Stella Lykes entre le Brésil et l'Afrique
Le U752 attaque le convoi FN-20 entre le Brésil et l'Afrique, et coule le cargo norvégien Leikanger.

source : UBoat.net 27 Juillet 1942 27-07
Caricature de David Low paru dans le Evening Standard le 27 Juillet 1942 : "Observation avec curiosité"

sur le marin: la jeune amérique


source : CartoonHub

Publié dans : la-guerre-au-jour-le-jour - Par Fix


voilà Sylvain remit aux normes 27 Juillet 1942 991300
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MessageSujet: Monsieur Bourvil   27 Juillet 1942 Icon_minitimeLun Juil 27 2009, 05:08

27 Juillet 1942 Images-115819a

Bourvil, né André Robert Raimbourg, le 27 juillet 1917 à Prétot-Vicquemare (Seine-Maritime), mort le 23 septembre 1970 à Paris (XVIe), est un acteur et chanteur français.


Biographie
André Raimbourg, alias Bourvil (ou durant la "Débâcle", à Arzacq en juin 1940, et en 1941-début 42, Andrel en référence à Fernandel qu'il admirait tant), n'a jamais connu son père, tué durant la Grande Guerre. Il passa son enfance avec sa mère et le nouveau mari de celle-ci, un agriculteur nommé Ménard, dans le village de Bourville (qui lui inspira son nom de scène). Il épousa Jeanne Lefrique (1918-1985) le 23 janvier 1943 avec qui, il eut deux fils :

Dominique Raimbourg (né le 28 avril 1950), avocat pénaliste, conseiller municipal de Saint-Sébastien-sur-Loire et député.
Philippe Raimbourg (né le 18 mars 1953), professeur de finance à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et à l'ESCP Europe.
Après un apprentissage de boulanger, il partit en région parisienne pour tenter une carrière musicale, qu'il commença par des radio-crochets. Jeune artiste en quête de succès, il s’installe avec son épouse, à Vincennes dans un minuscule appartement de la rue des Laitières, au septième étage, sous les toits (il y restera jusqu’en 1947).

Il enchaîna ensuite avec des numéros de « comique-paysan » (dérivé du comique troupier), mais c'est avec la chanson Les Crayons que sa carrière débuta vraiment en 1945. C'est d'ailleurs avec cette chanson qu'il fit sa première apparition au cinéma, en 1945 dans La Ferme du pendu, de Jean Dréville.

Il est parfois désigné par le nom d’« André Bourvil » (il existe d’ailleurs un « Théâtre André Bourvil » à Paris, XIe arrondissement). C'est sous ce nom qu'il apparaît au générique et à l'affiche de l'avant-dernier film qu'il a tourné, Le Cercle rouge. Il remercia Jean-Pierre Melville, le réalisateur, pour avoir mentionné ainsi son prénom.

Son dernier film, tourné juste après Le Cercle rouge, fut Le Mur de l'Atlantique. Ces deux films sortirent quelques semaines après sa mort.

À ses obsèques étaient présents : Alain Delon, Yves Montand, Jean Poiret, Francis Blanche, François Périer, Terry Thomas, Jean-Paul Belmondo, Gérard Oury, David Niven, Salvatore Adamo, Patrick Préjean, Robert Hirsch, Louis de Funès, Yves Robert, Danièle Delorme, Jean-Pierre Melville, André Hunebelle, Marcel Camus, Jean-Pierre Mocky, Jean Marais, Michèle Morgan, Laurent Terzieff, Lino Ventura, Fernandel, Gilles Grangier, Jean Gabin, Serge Reggiani, Pierrette Bruno, Jean-Claude Brialy, Bernard Blier ou encore Claude Autant-Lara pour ne citer que ceux-là...

Jeanne Lefrique, son épouse, née en 1918, mourut le 26 janvier 1985 dans un accident de voiture alors qu’elle se rendait de Paris à Montainville sur la tombe de son époux.

Un acteur de la gentillesse
Le jeu comique de Bourvil a reposé principalement sur des rôles de gentils, parfois un peu bêtes ou naïfs, comme les rôles qu’il a tenus face à l’énergique Louis de Funès : le personnage incarné par Bourvil parvient toujours, par sa gentillesse, non seulement à faire rire, mais aussi à échapper aux manipulations des personnages machiavéliques interprétés par de Funès.

Bourvil a cependant tenu des rôles plus dramatiques, comme l’homme à tout faire dans L'Arbre de Noël, dans lequel il aide un petit garçon atteint d'une leucémie à assouvir sa passion pour les loups. Dans ce film comme dans les films comiques, le spectateur peut facilement s’identifier au personnage joué par Bourvil, car c’est un homme simple. On peut aussi citer son rôle de Thénardier dans l’adaptation cinématographique des Misérables, ou encore son avant-dernier rôle, celui d’un commissaire de police dans Le Cercle rouge.

Bourvil était un homme très cultivé. Son ami Georges Brassens, devenu son voisin à Montainville, confiait qu’il était le parfait honnête homme, façon XVIIe siècle et lui suggérait des lectures. Il partageait avec Brassens une connaissance encyclopédique sur la chanson française.
Il connaissait aussi Jean-Paul Sartre et on pensa à lui pour la Comédie-Française.


Aujourd’hui, il reste une référence pour de nombreux artistes. François Morel et Antoine de Caunes ont notamment réalisé un portrait de lui, en mars 2005, dans le cadre de l’émission télévisée sur le plus célèbre des Français à travers les siècles, classement dans lequel il arrivait en 7e position, gage d’une très grande popularité, 35 ans après sa disparition. Il parlait le français, l'anglais et un peu l'espagnol dans les films qu'il tournait.


Rôles et œuvres
Bourvil a reçu le prix du meilleur acteur du festival de Venise (la Coupe Volpi) pour son rôle dans le film La Traversée de Paris (d’après l’œuvre de Marcel Aymé). Comédien complet, il a choisi à maintes reprises des rôles traitant de sujets de société, notamment en coproduisant les films avec Jean-Pierre Mocky (La Cité de l'Indicible Peur ou La Grande Frousse, La Grande Lessive...). Il a également assuré le doublage de ses films en anglais.


Filmographie

1941-1949
1941 : Croisières sidérales d'André Zwobada : figuration sous le nom d'Alain Grimor, un scientifique au début du film
1945 : La Ferme du pendu de Jean Dréville : le bourrelier, un villageois et chanteur à la noce
1946 : Pas si bête d'André Berthomieu, Léon Ménard (*), le paysan
1947 : Blanc comme neige d'André Berthomieu : Léon Ménard (*), le jeune paysan veilleur de nuit
1947 : Le Studio en folie, court métrage de Walter Kapps : Bourvil y tient son propre rôle
1947 : Par la fenêtre de Gilles Grangier : Gaston, dit « Pilou », peintre en bâtiment
1948 : Le Cœur sur la main d'André Berthomieu : Léon Ménard (*), le bedeau musicien
1948 : Le Bal du comité de défense, court métrage muet, réalisation anonyme : Bourvil y tient son propre rôle
1949 : Le Roi Pandore d'André Berthomieu : Léon Ménard (*), le gendarme
1949 : Miquette et sa mère d'Henri-Georges Clouzot : Urbain de la Tour-Mirande
(* : nom du second mari de sa mère, qui l'a élevé)


1950-1959
1950 : Le Rosier de madame Husson de Jean Boyer : Isidore, le benêt au prix de vertu
1951 : Seul dans Paris d'Hervé Bromberger : Henri Milliard, le jeune marié
1951 : Le Passe-Muraille (Mister Peek a Boo) de Jean Boyer : Léon Dutilleul, modeste fonctionnaire (**) (« Mister Peek a Boo » dans la version anglaise)
1952 : Cent francs par seconde de Jean Boyer : Bourvil est un invité d'honneur
1952 : Le Trou normand de Jean Boyer : Hyppolite Lemoine, le dadais (**)
1952 : Grrr, court métrage d'André Rigal : Bourvil y fait une participation
1953 : Les Trois Mousquetaires d'André Hunebelle : Planchet, valet de d’Artagnan
1953 : Étoiles au soleil, court métrage de Jacques Guillon : Bourvil y fait une participation
1954 : Cadet Rousselle d'André Hunebelle: Jérôme Baguindet
1954 : Le Fil à la patte de Guy Lefranc : Camille Bouzin, clerc de notaire compositeur
1954 : Poisson d’avril de Gilles Grangier: Émile Dupuy, mécanicien auto
1954 : Si Versailles m'était conté... de Sacha Guitry : un guide du musée de Versailles
1955 : Les Hussards d'Alex Joffé: Flicot, un soldat de l'armée napoléonienne
1956 : La Traversée de Paris de Claude Autant-Lara : Marcel Martin, chauffeur de taxi au chômage (**)
1956 : Le Chanteur de Mexico de Richard Pottier : Bilou, l'ami de Vincent
1958 : Les Misérables, film tourné en deux époques de Jean-Paul Le Chanois : Thénardier, l'aubergiste de Montfermeil
1958 : Le Miroir à deux faces d'André Cayatte : Pierre Tardivet, professeur de calcul
1958 : Sérénade au Texas de Richard Pottier :Me Jérôme Quillebœuf, notaire
1958 : Un drôle de dimanche de Marc Allégret : Jean Brevent, publiciste à « Publiparis »
1959 : La Jument verte de Claude Autant-Lara : Honoré Haudouin, paysan
1959 : Le Bossu d'André Hunebelle : Passepoil, le compagnon de Lagardère
1959 : Le Chemin des écoliers de Michel Boisrond: Charles Michaud, entrepreneur intermédiaire

1960-1970
1960 : Fortunat d'Alex Joffé : Noël Fortunat, le braconnier passeur
1960 : Le Capitan d'André Hunebelle : Cogolin, le roi des baladins
1961 : Le Tracassin ou Les Plaisirs de la ville d'Alex Joffé : André Loriot, laborantin
1961 : Dans la gueule du loup de Jean-Charles Dudrumet : Bourvil fait une apparition dans ce film
1961 : Tout l'or du monde de René Clair : Mathieu Dumont et ses fils, Toine et Martial
1962 : Les Bonnes causes de Christian-Jaque : le juge Albert Gaudet
1962 : Un clair de lune à Maubeuge de Jean Chérasse : Bourvil chante la chanson à la télévision
1962 : Les Culottes rouges d'Alex Joffé : Fendard, le prisonnier poltron
1962 : Tartarin de Tarascon de Francis Blanche : apparition en curé dans ce film
1962 : Le Jour le plus long (The Longest Day) de Ken Annakin : le maire de Colleville
1963 : La Cuisine au beurre de Gilles Grangier : André Colombet, le cuisinier normand (**)
1963 : Le Magot de Josefa de Claude Autant-Lara : Pierre Corneille, petit escroc
1963 : Un drôle de paroissien de Jean-Pierre Mocky : Georges Lachaunaye, noble déchu
1964 : Reflets du temps passé, court métrage de Marcel Leray : Bourvil y tient son propre rôle
1964 : Le majordome de Jean Delannoy : apparition en vrai fiancé d'Agnès à la fin du film
1964 : La Cité de l'Indicible Peur ou La Grande Frousse de Jean-Pierre Mocky : l’inspecteur Simon Triquet
1964 : Le Corniaud de Gérard Oury : Antoine Maréchal, modeste commerçant en vacances
1965 : Guerre secrète (The Dirty Game) de Christian-Jaque : sketch de Bourvil, Michel Lalande, agent secret
1965 : La Grosse Caisse d'Alex Joffé : Louis Bourdin, employé R.A.T.P et écrivain
1965 : Les Grandes Gueules de Robert Enrico : Hector Valentin, bûcheron
1966 : La Grande Vadrouille de Gérard Oury : Augustin Bouvet, peintre en bâtiment
1966 : Trois Enfants dans le désordre de Léo Joannon: Eugène Laporte, entrepreneur de travaux publics
1967 : Les Arnaud de Léo Joannon : le juge Henri Arnaud
1967 : Les Cracks d'Alex Joffé : Jules Auguste Duroc, inventeur
1968 : Gonflés à bloc ou Le Rallye de Monte-Carlo (Monte Carlo or Bust) de Ken Annakin : Monsieur Dupont
1968 : La Grande Lessive de Jean-Pierre Mocky : Armand Saint-Just, professeur de lycée
1969 : Le Cerveau de Gérard Oury : Anatole, le copain d'Arthur
1969 : L'Arbre de Noël (The Christmas Tree) de Terence Young : Verdun
1969 : L'Étalon de Jean-Pierre Mocky : William Chaminade, vétérinaire
1970 : Clodo de Georges Clair : Gaston, le père vivant sur le tableau
1970 : Le Cercle rouge de Jean-Pierre Melville : le commissaire Matteï
1970 : Le Mur de l'Atlantique de Marcel Camus : Léon Duchemin, restaurateur normand

Tombe de Bourvil Il mourut à 53 ans de la maladie de Kahler (myélome multiple), et repose à Montainville (Yvelines), village où il avait sa maison de campagne.

27 Juillet 1942 180px-montainvill...ourvil01-115818e


Oupss j'ai oublié de cité ma source pour monsieur Bourvil qui est WIKIPEDIA voila qui est fait

27 Juillet 1942 926774 27 Juillet 1942 926774 27 Juillet 1942 926774
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MessageSujet: Re: 27 Juillet 1942   27 Juillet 1942 Icon_minitimeLun Juil 27 2009, 07:22

Merci Sylvain

Pour cet hommage à Monsieur Bourvil.
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MessageSujet: Re: 27 Juillet 1942   27 Juillet 1942 Icon_minitimeLun Juil 27 2009, 08:54

Merci Sylvain 27 Juillet 1942 926774
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MessageSujet: Re: 27 Juillet 1942   27 Juillet 1942 Icon_minitimeLun Juil 27 2009, 14:40

oui un grand monsieur dans tous les sens du terme
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MessageSujet: Re: 27 Juillet 1942   27 Juillet 1942 Icon_minitimeLun Juil 27 2009, 18:29

Oupss j'ai oublié de cité ma source pour monsieur Bourvil qui est WIKIPEDIA voila qui est fait
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MessageSujet: Re: 27 Juillet 1942   27 Juillet 1942 Icon_minitimeLun Juil 27 2009, 18:48

Sylvain a écrit:
Oupss j'ai oublié de cité ma source pour monsieur Bourvil qui est WIKIPEDIA voila qui est fait



tu as bu ou koi 27 Juillet 1942 Aclat_10 c'est écrit 27 Juillet 1942 Aclat_1027 Juillet 1942 Aclat_1027 Juillet 1942 Aclat_10
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MessageSujet: Re: 27 Juillet 1942   27 Juillet 1942 Icon_minitimeMar Juil 28 2009, 04:58

Bien joué je n'ai meme pas pensé a la fonction EDITER 27 Juillet 1942 310541

c'est la fatigue de la reprise 27 Juillet 1942 991300
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MessageSujet: Re: 27 Juillet 1942   27 Juillet 1942 Icon_minitime

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