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 22 Janvier

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MessageSujet: 22 Janvier   22 Janvier Icon_minitimeJeu 22 Jan - 7:52

22 janvier 22e jour de l'année

Zodiaque : 22 Janvier Versea12

Aujourd'hui : Saint Vincent

Originaire de Huesca (Espagne), il devient diacre de Saint-Valère, l’évêque de Saragosse. Arrêté lorsque survient la persécution de Dioclétien, il est traduit devant le gouverneur Dacien, qui lui demande de sacrifier aux idoles. Ayant refusé, il périt dans les tourments (+ 304)

Dicton du jour :

À la Saint-Vincent, tout dégèle ou tout fend


ÉVÉNEMENTS :

1666 : Saint-Germain-en-Laye devient résidence principale de Louis XIV.

1732 : Fini, les miracles !

Le cimetière parisien de Saint-Médard est fermé par ordonnance royale. Depuis plusieurs années, la tombe du diacre François Paris était devenue un lieu de pèlerinage après que des guérissons miraculeuses et des crises de convulsions y ont été observées. Scandalisé par ces psychoses collectives, le gouvernement y mit un terme. Le lendemain, on put lire sur la porte l'inscription d'un plaisantin : "De par le Roy, défense à Dieu de faire miracle en ce lieu."

1811 : Napoléon annexe Oldenbourg, ce qui mécontente le tsar Alexandre.

1851 : Création d'une loi en France prévoyant l'assistance judiciaire permettant à toute personne sans ressources d'obtenir un défenseur sans frais.

1852 : La famille d'Orléans est bannie de France.

1888 : Attentat contre Louise Michel au Havre alors qu'elle donne une conférence.

1905 : Enterrement de Louise Michel suivi par un cortège de plus de 100 000 personnes.

1939 : L'aviatrice française Maryse Bastié termine un périple de vingt mille kilomètres au-dessus de l'Afrique.

1941 : Les Alliés prennent Tobrouk.

1944 : Les forces alliées débarquent à Anzio (Italie).

1963 : Signature du traité de l'Élysée d'amitié entre le président français Charles de Gaulle et le chancelier de l'Allemagne fédérale Konrad Adenauer. Le 22 janvier est depuis 2003 la journée franco-allemande.

NAISSANCES :

1592 : Pierre Gassendi, philosophe et astronome français († 24 octobre 1655).

1714 : Louis-Georges de Bréquigny, académicien français († 1795).

1825 : Ernest Cœurderoy, interne des hôpitaux, écrivain, socialiste puis anarchiste français († 21 octobre 1862).

1877 : Gaston Dominici, patriarche français d'une tribu paysanne et accusé célèbre d'un assassinat († 1965).

1878 : Francis Picabia, peintre français († 1953).

1882 : Louis Pergaud, écrivain français († 1915).

1889 : Henri Pélissier, cycliste français († 1935).

1892 : Marcel Dassault, né Bloch, entrepreneur, fondateur et PDG du Groupe Dassault. († 17 avril 1986).

1904 : Louis Néel, universitaire français († 2000).

1907 : Étienne Borne, philosophe français († 1993).

1911 : André Roussin, écrivain français († 1987).

1913 :
Henry Bauchau, écrivain, poète, romancier, dramaturge et psychanalyste de langue française.

1916 : Henri Dutilleux, compositeur français.

1930 : Pierre Petit, homme politique français.

1937 : Jean-Pierre Miquel, écrivain français († 2003).

1942 : Philippe Jacquin, historien, ethnologue et anthropologue français († 28 septembre 2002).

1947 : Jean-Paul Delevoye, homme politique français.

1959 :
Juliana Rimane, femme politique française.

1968 : Frank Lebœuf, footballeur français.

1972 : Cédric Lyard, champion olympique français en équitation (concours complet) aux Jeux olympiques de 2004.

1990 : Alizé Cornet, joueuse de tennis française.

DÉCÈS :

1333 : Guy IX de Laval, seigneur de Laval, de Vitré et d'Attichy (° v.1270).

1672 : Pierre Séguier, homme politique, magistrat et académicien français (° 28 mai 1588).

1888 : Eugène Labiche, dramaturge français (° 6 mai 1815).

1950 : Corinne Luchaire, actrice française (° 11 février 1921).

1994 : Jean-Louis Barrault, acteur, metteur en scène et directeur de théâtre français, époux de Madeleine Renaud en 1940 et fondateur en 1946 de la troupe du théâtre Marigny (° 8 septembre 1910).

2004 : Ticky Holgado, acteur français (° 24 juin 1944).
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MessageSujet: Re: 22 Janvier   22 Janvier Icon_minitimeJeu 22 Jan - 11:50

MERCI CA study study study lol!
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MessageSujet: Re: 22 Janvier   22 Janvier Icon_minitimeJeu 22 Jan - 11:57

22 janvier 1852, création, par NAPOLEON III de la médaille militaire :


Décoration mondialement connue, la Médaille Militaire française est, dans la hiérarchie de nos récompenses nationale actuellement décernées, à la seconde place derrière la Légion d’honneur ( bien sur, si l’on excepte l’Ordre de la Libération qui n’est plus décerné et donc en voie de disparition ).
Elle fut créée par Louis-Napoléon BONAPARTE, petit neveu de Napoléon Ier et alors Président de la seconde République, par les articles 11 et 12 du décret du 22 janvier 1852, en vue de récompenser les sous-officiers, caporaux, brigadiers, soldats ou marins, pour leurs long services et leurs actes de bravoure.
Le futur empereur Napoléon III désirait s’attirer, certes, les bonnes grâces de l’armée, mais également rétablir un peu plus d’équité dans l’attribution des récompenses militaires car, la Légion d’honneur, ouverte à tous les grades lors de sa création, était devenue au fil du temps, le privilège des officiers ; la troupe s’étant habituée à ne la recevoir que de plus en plus rarement. Depuis la disparition du Médaillon de Vétérance, aucune médaille ne récompensait l’ancienneté des services de la troupe et la Médaille Militaire venait donc aussi à point pour remédier à cela.

C’est dans la cour des Tuileries, le 21 mars 1852, qu’eue lieu la première remise de décoration en présence de Louis-Napoléon BONAPARTE qui prononça l’important discours suivant : « Soldats, en vous donnant pour la première fois la médaille, je tiens à vous faire connaître le but pour lequel je l’ai instituée. Quand on est témoin comme moi de tout ce qu’il y a de dévouement, d’abnégation et de patriotisme dans les rangs de l’armée, on déplore souvent que le gouvernement ait si peu de moyens de reconnaître de si grandes épreuves et de si grands services. L’admirable institution de la Légion d’honneur perdrait tout son prestige si elle n’était renfermée dans certaines limites. Cependant, combien de fois ai-je regretté de voir des soldats et des sous-officiers rentrés dans leurs foyers sans récompense, quoique, par la durée de leurs services, par des blessures, par des actions dignes d’éloges, ils eussent mérité un témoignage de satisfaction de la Patrie ! C’est pour le leur accorder que j’ai institué cette médaille. Elle pourra être donnée à ceux qui se seront rengagés après s’être bien conduits pendant le premier congé ; à ceux qui auront fait quatre campagnes, ou bien à ceux qui auront été blessés ou cités à l’ordre de l’armée. Elle leur assurera cent francs de rente viagère ; c’est peu certainement, mais ce qui est beaucoup, c’est le ruban que vous porterez sur la poitrine et qui dira à vos camarades, à vos familles, à vos concitoyens, que celui qui le porte est un brave. Cette médaille ne vous empêchera pas de prétendre à la croix de la Légion d’honneur, si vous en êtes jugés dignes ; au contraire, elle sera comme un premier degré pour l’obtenir, puisqu’elle vous signalera d’avance à l’attention de vos chefs. Vous ne cumulerez pas les deux traitements, mais vous pourrez porter les deux décorations ; de même, si un sous-officier, caporal ou soldat, auquel aurait été décernée la croix de la Légion d’honneur, vient à se signaler encore, il pourra également être décoré de la médaille. Soldats, cette distinction est bien peu de chose, je le répète, au prix des services immenses qu’ici et en Afrique vous rendez à la France ; mais recevez-la comme un encouragement à maintenir intact cet esprit militaire qui vous honore ; portez-la comme une preuve de ma sollicitude pour vos intérêts, de mon amour pour cette grande famille militaire dont je m’enorgueillis d’être le chef, parce que vous en êtes les glorieux enfants. »

L’article 12 du décret du 22 janvier 1852, avait prévu une disposition qui ne sera jamais appliquée : à l’instar de la Légion d’honneur, un château national devait servir de maison d’éducation aux filles ou orphelines indigentes des familles dont les chefs auraient été décorés de la Médaille Militaire.
Le 13 juin 1852, le prince-président décida que les maréchaux de France la porteraient par exception, ainsi que les officiers généraux ayant rempli les fonctions de ministre ou ayant exercé des commandements en chef. Ultérieurement, cette exception fut étendue par deux décisions présidentielles ( 20 octobre 1888 et 24 novembre 1909 ) aux commandants de corps d’armée Grand-croix de la Légion d’honneur, qui ont exercé le commandement pendant deux périodes triennales et qui, en outre, ont siégé au Conseil supérieur de la guerre ; et aux généraux de division ayant commandé un corps d’armée pendant plus de trois ans ou ayant, pendant cette même période, exercé ces hautes fonctions ou celles de membre du Conseil supérieur de la guerre, et ayant rendu des services exceptionnels pour l’organisation de la défense nationale.

Si au début de son existence, son attribution ne semblât guère soulever l’enthousiasme ( beaucoup la considérant comme une Légion d’honneur au rabais ), les campagnes militaires des années suivantes allaient lui donner rapidement l’importance et le lustre que on lui reconnaît aujourd’hui. Voici ce que l’Almanach du drapeau de l’année 1900 écrivait, non sans lyrisme, sur son compte : « C’est la récompense d’honneur suprême. Bien que née d’hier, est-il une distinction qui mérite plus d’estime ? On a pu dire avec orgueil qu’elle est immaculée. »
Durant la guerre de 1870-1871, la Médaille Militaire a pu être décernée à des gardes nationaux mobiles, sédentaires et assimilés, à des officiers de tous grades de la garde nationale, non décorés de la Légion d’honneur, sans la pension, sauf en cas de blessures reçues pendant la campagne.
Les guerres de 1870-1871, 1914-1918 et 1939-1945 ont entraînées l’attribution de près d’un million de Médailles Militaires. Au premier trimestre 1998, l’effectif s’élevait à 203 987 médaillés militaires.
Le décret n° 62-1472 du 28 novembre 1962 institua un Code de la Légion d’honneur et de la Médaille Militaire.
Le décret n° 2005-301 du 31 mars 2005, a permis aux filles, petites-filles et arrière-petites-filles des médaillés militaires, d'être accueillies dans les maisons d'éducation de la Légion d'honneur
.22 Janvier Cadrem10
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MessageSujet: Re: 22 Janvier   22 Janvier Icon_minitimeJeu 22 Jan - 11:57

merci Noisot 22 Janvier 926774 22 Janvier 926774
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MessageSujet: Re: 22 Janvier   22 Janvier Icon_minitimeJeu 22 Jan - 12:00

Merci Noisot
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MessageSujet: Re: 22 Janvier   22 Janvier Icon_minitimeDim 25 Jan - 11:36

Merci a vous deux
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MessageSujet: Re: 22 Janvier   22 Janvier Icon_minitime

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